

Histoires


La Chatte aux enchères
La Chatte aux Enchères On dit que certaines femmes naissent avec une beauté. D'autres, avec une malédiction. Cassya était née avec les deux. Son corps était une œuvre d’art. Une tentation sculptée pour détruire des empires. Ses lèvres, plus dangereuses que des promesses. Sa démarche, une invitation silencieuse à la perdition. Elle n’avait besoin de rien supplier : ce monde s’était toujours agenouillé devant elle. Elle n’était ni épouse, ni amante, ni muse. Elle était un luxe. Un caprice que seuls les hommes les plus riches, les plus puissants et les plus fous osaient convoiter. Mais posséder Cassya n’était pas une affaire de charme ni de tendresse. C’était une question d’argent, de domination, d’orgueil. Et lorsque les milliardaires se mirent à s'entretuer pour une nuit avec elle, elle comprit que son corps valait plus qu’un empire. Alors elle décida de mettre un prix. Le plus haut. Et le monde entier en perdit la raison. Un soir d’été, dans une villa perchée sur les hauteurs de Capri, elle organisa des enchères privées. Un seul gagnant. Un seul homme aurait le droit de la posséder. Mais ce que personne ne savait… C’est que Cassya n’appartenait à personne. Pas même à celui qui remporterait l’enchère. Pas même à l’amour. Et surtout pas à la fidélité. Ce roman n’est pas une histoire d’amour. C’est l’histoire d’un désir sans fin, d’un luxe trop grand, d’un corps qui avale les promesses et recrache des mensonges. C’est l’histoire d’une femme dont la seule vraie passion… était le sexe.


La Mère Porteuse
La Mère Porteuse Au sommet des collines blanches de Lisbonne, dans la villa vitrée où l’océan semblait n’être qu’un tableau mouvant, ils avaient bâti un empire. Sept ans d’ambition, de calculs et de sacrifices, un pacte gravé comme un serment d’airain : accumuler plus de richesses qu’aucun d’eux n’aurait jamais cru possible, puis, à la huitième année, offrir la vie à un enfant qui serait leur héritier. Il pensait que leur rêve était intact. Qu’elle l’était aussi. Ce matin-là, il s’était avancé vers elle, un sourire qu’il n’avait plus eu depuis longtemps, les mains tremblantes de joie. Il s’était imaginé son visage radieux, l’étreinte, les larmes peut-être. Mais ses mots se fracassèrent contre un mur invisible : — C’est le moment, Aitana. Il est temps… Il est temps de faire notre enfant. Elle n’avait pas levé les yeux de son téléphone. — Un enfant ? murmura-t-elle d’une voix trop calme. Tu veux que je sacrifie mon corps ? Ma taille ? Mon énergie ? Tu crois que j’ai attendu sept ans pour devenir une mère grassouillette et invisible ? Il resta figé. Dans le silence, il crut entendre son cœur se fendre. Elle souriait, un rictus glacé qu’il n’avait jamais vu sur son visage. — Nous avons l’argent, Hugo. Nous pouvons engager une mère porteuse. Une belle, jeune, solide. Moi, je n’ai pas… le temps. Elle s’était levée, le pas léger, et était partie sans un regard. Ce soir-là, il avait bu seul sur la terrasse, face à la mer. Il avait tenté de se convaincre qu’elle avait raison, qu’il fallait l’accepter. Mais une fissure s’était ouverte en lui, profonde et obsédante. Il voulait un enfant, oui. Mais pas conçu comme on achète un bijou rare. Le lendemain, malgré tout, il accepta. Deux semaines plus tard, on leur présenta Ana. Vingt-cinq ans, le regard d’un bleu tendre, la peau dorée, un sourire qui lui serra la gorge. Il crut que c’était la lumière qui vacillait, qu’il était fou d’imaginer le désir dans le sillage de ses pas. Il se promit qu’elle ne serait jamais rien qu’un ventre, une promesse biologique. Un simple passage vers la paternité. Il n’avait pas encore compris que le destin, parfois, se nourrissait des fissures qu’on refuse de voir. Et qu’une obsession pouvait naître dans le battement d’un cil, dans l’ombre d’un ventre qui s’arrondirait bientôt. Dans cette maison de verre, tout allait basculer.


L'ombre de ton Destin
On croit toujours que la pire prison est celle dont les murs sont visibles. Mais Lina ne savait pas qu’on peut être emprisonnée sans chaînes, sans barreaux, sans cris. Qu’on peut devenir la proie d’un regard qu’on ne voit jamais. Il l’aimait en silence. Il la désirait d’un amour si absolu qu’il avait décidé qu’aucun autre homme n’aurait le droit de la toucher, de la regarder, de prononcer son nom avec tendresse. Dans l’ombre, il avait effacé tous ceux qui s’étaient approchés d’elle. Dans l’ombre, il avait pris possession de sa vie. Et bientôt, il viendrait réclamer ce qu’il considérait comme sien. Au début, elle le détesta. Puis elle comprit que certaines obsessions, quand elles vous engloutissent, peuvent ressembler à de l’amour. Ou à un enfer délicieux.


Retour des flammes
? Introduction Il n’avait fallu qu’une poignée d’années pour qu’il devienne l’un des hommes les plus puissants du Mexique. Quelques contrats habilement signés, des partenariats conclus à la lueur de promesses opaques, et Rodrigo Jimenez avait franchi les portes d’un univers qui lui paraissait autrefois réservé aux héritiers et aux héritières d’un sang qu’il croyait plus noble que le sien. Il n’était plus l’homme qui partageait une soupe claire avec Alma sous un toit percé. Il n’était plus ce père qui rapportait de maigres billets, honteux de ne pouvoir offrir mieux que la survie à ses quatre enfants. Aujourd’hui, Rodrigo pouvait s’offrir des palais, des banquets, des voyages où nul ne connaissait encore son nom — et où il aimait qu’on le découvre, qu’on s’incline devant sa fortune. Il lui avait suffi d’un regard, un soir de réception, pour croire qu’il avait enfin trouvé la femme à la mesure de sa réussite. Mariana Delgado. Ses yeux couleur d’ambre, sa voix basse et grave, sa silhouette de reine. Tout en elle lui soufflait qu’il méritait mieux qu’une épouse aux mains calleuses, usées par des années d’efforts qu’il ne voulait plus se rappeler. Alors, Rodrigo n’avait pas hésité. Il avait signé les papiers qui briseraient sa famille comme on tranche un fil devenu inutile. Il n’avait pas écouté Alma quand elle l’avait supplié à genoux, les larmes et la poussière mêlées sur ses joues. Il n’avait rien vu des regards de ses enfants, figés par la peur et l’incompréhension. Tout ce qui comptait, c’était cette nouvelle vie, plus vaste, plus éclatante. Plus digne de lui. Ce qu’il ignorait, c’est qu’en s’arrogeant le droit de tout piétiner, il tendait la main à son propre gouffre. Car Mariana ne l’aimait pas. Elle avait trouvé, en lui, l’instrument parfait de son ambition et de sa vengeance. Et Alma, celle qu’il avait cru reléguer à l’ombre, porterait en elle une force qu’il n’avait jamais su soupçonner. Une force patiente, douloureuse, mais inépuisable : celle de la dignité qu’on piétine et qui finit par se relever. Quand les flammes qu’il croyait éteintes reviendraient consumer ses dernières illusions, Rodrigo comprendrait, trop tard, qu’on ne bâtit rien de solide sur l’orgueil et le mépris.


La Prison Dorée
La lumière du matin traversait les immenses baies vitrées de la chambre, s’étalant sur le parquet comme un voile d’or pâle. Raissa ne la regardait plus depuis longtemps. Le ciel était bleu, l’air semblait pur, et tout, dans cette propriété, exhalait la perfection. Mais ce luxe l’écoeurait, comme un parfum trop capiteux. Elle s’éveillait chaque jour avec un poids dans la poitrine, un sentiment d’exil que rien ne dissipait. Elle repoussa le drap de soie ivoire et posa ses pieds nus sur le tapis épais, si moelleux qu’elle avait parfois l’impression de marcher sur un mensonge. Autour d’elle, tout n’était qu’apparence : la coiffeuse en marqueterie, les rideaux brodés, le lit gigantesque où elle dormait seule depuis des semaines. Peut-être des mois. Elle avait cessé de compter les absences de Joven. Raissa se leva et traversa la chambre, les pans de sa chemise de nuit effleurant ses cuisses. Les murs couleur crème étaient ornés de toiles anciennes qu’elle n’avait pas choisies. Elle ne s’y intéressait plus. Ces tableaux, comme les bijoux qu’il lui offrait après chaque humiliation, étaient des trophées d’un mari qui ne l’aimait pas vraiment. Ou qui croyait que posséder signifiait aimer.


Les Lys de la Vengeance
Introduction On dit que le temps adoucit les blessures. C’est un mensonge. Vingt ans plus tôt, la famille Montrose possédait tout : la richesse, l’influence, le respect d’un royaume. Jusqu’au soir où, derrière les murs fastueux du domaine des Aldridge, un pacte secret fut scellé. Une alliance perverse qui ruina leur fortune, souilla leur nom et condamna leur lignée à l’oubli. Elle n’était alors qu’une enfant. Aujourd’hui, elle revient. Plus belle que jamais. Plus dangereuse qu’ils ne l’imaginent. Sous le masque irréprochable de l’épouse parfaite, Isabella Montrose dissimule un unique dessein : faire s’effondrer pierre après pierre l’empire qui a détruit sa famille. Mais lorsque l’amour imprévu vient frapper au cœur le plus endurci, même la vengeance la plus patiente peut vaciller. Car si les lys symbolisent la pureté, les siens porteront à jamais le parfum du sang.


Sous la cendre de tes mains
*Le roi déchu* Les couloirs de la tour Lenoir étaient silencieux à cette heure où Paris se préparait à dormir. La lumière des lampadaires glissait sur les vitres teintées, comme une marée pâle. Dans le bureau du dernier étage, l’odeur amère du whisky flottait, mêlée à celle d’un parfum plus ancien : la solitude. Adam Lenoir ne se souvenait plus très bien quand il avait commencé à boire. Peut-être le soir où elle l’avait quitté. Peut-être le lendemain, quand il avait compris qu’il n’y avait plus rien à réparer. Depuis, chaque jour ressemblait au précédent : dossiers empilés, réunions interminables, et la brûlure de l’alcool pour anesthésier la faille en lui. Il avait été un homme puissant. Le plus jeune directeur général de la banque Montrose, décoré, respecté, craint. Un conquérant en costume trois-pièces, sûr de sa victoire sur tout ce qu’il touchait. Puis un matin, il s’était réveillé avec le cœur en ruines. Et plus rien n’avait eu de goût. Il porta son verre à ses lèvres, avala une gorgée. Ses tempes pulsaient. Dans quelques heures, il faudrait feindre encore : apparaître devant les actionnaires, prétendre qu’il était cet homme froid, inébranlable, dont le nom faisait trembler les marchés. Mais la nuit, il redevenait cet autre Adam — celui qui n’était qu’un homme usé, trop las d’aimer. Ses yeux glissèrent jusqu’à la fenêtre. Tout en bas, les phares des voitures traçaient des sillons dorés. Paris s’étalait, indifférente, magnifique et cruelle. Il pensa qu’il aurait dû quitter cette ville. Il pensa qu’il aurait dû mourir un peu plus vite.


Je suis l'offrande de ma belle famille
Je suis l’offrande de ma belle-famille Yasha, jeune femme naïve et sans ressources, épouse Kaelan, héritier d’une dynastie richissime et réputée irréprochable. La famille de Kaelan – son père et ses trois frères – détient un secret ancestral : chaque nouvelle épouse est considérée comme l’Offrande, une femme destinée à rassasier les désirs de tous les mâles de la lignée. Lorsqu’elle franchit la porte du domaine, Yasha ignore que son corps est leur rituel d’initiation et d’adoration, et que le plaisir qu’ils savent offrir est leur arme la plus redoutable. Tiraillée entre honte, fascination et une attirance dévorante, elle devra choisir : fuir, au risque de tout perdre, ou se laisser consumer par la sensualité des hanches de ces hommes qu’elle ne devrait pas désirer.


Jael et les 5000 fantômes
On raconte qu’aucune des familles qui ont franchi le seuil du manoir Julio n’en est jamais ressortie. Depuis deux siècles, la maison dévore les vivants et conserve leurs ombres, tissant sa légende dans le silence et la poussière. Jael, expert en phénomènes paranormaux, n’a jamais cru aux histoires qu’on se murmure à la nuit tombée. Jusqu’au jour où il a voulu percer le secret du manoir. Jusqu’à l’instant où il a prononcé le mot interdit. Maintenant, il n’est plus un simple visiteur. Il est celui qui a réveillé les ombres endormie. Et la maison n’a pas fini de réclamer ce qu’ils attendent depuis trop longtemps. -


Le Silence des Écorchés
Le bruit monotone des essuie-glaces battait la mesure de sa fatigue. Chaque aller-retour du caoutchouc contre le pare-brise semblait un peu plus lourd, comme si le moteur lui-même s’éreintait de cette nuit sans fin. Élina plissa les yeux : les phares découpaient la brume épaisse en formes mouvantes qui ressemblaient à des silhouettes. C’était une illusion, elle le savait. Mais à cet instant, dans l’ombre liquide des arbres, elle aurait juré voir quelqu’un se tenir immobile sur le bas-côté. Elle se força à respirer plus profondément. Sa main droite se crispa sur le volant, ses phalanges blanchies par la pression. Elle n’avait pas fermé l’œil depuis presque quarante heures. Peut-être plus. À vrai dire, elle avait cessé de compter. Les derniers mois avaient été un enchaînement de journées trop longues, de patients trop brisés pour qu’elle leur soit utile, de cauchemars qu’aucune lumière ne dissipait. Elle s’était promis de tenir bon, encore une semaine, puis une autre, jusqu’à ce qu’un matin elle réalise qu’elle ne se souvenait même plus de la couleur du ciel. Son psychiatre l’avait avertie : « Vous avez brûlé toutes vos réserves. » Elle n’avait rien répondu. Qu’aurait-elle pu dire ? Qu’elle était psychologue, elle aussi ? Qu’elle savait tout ça ? Les théories, les étapes de l’épuisement émotionnel, la spirale de l’angoisse ? Connaître le nom du mal ne l’en avait pas protégée. Alors elle avait pris la fuite.


Hanches de la destruction
? Hanche de la Destruction – Présentation du Roman ? Résumé En Italie, un cartel d’élite réunit quarante milliardaires criminels. Leur empire – un réseau d’armes, de drogues, de trafic d’influence – est si puissant qu’il fait trembler même le gouvernement. Nul n’ose les affronter. Jusqu’au jour où émerge Dalia Moretti, une beauté fascinante, indomptable, qui accepte de collaborer avec un service secret rival. Son corps, ses hanches, son regard incendiaire… Elle fera tomber ces hommes un à un, en les menant dans des pièges où leur orgueil et leur désir se retourneront contre eux. Elle devient leur amante, leur confidente, leur poison. Quand la vérité éclate, les 40 s’entretuent pour la posséder – le dernier survivant espérant garder le seul trophée qui compte : la femme qui a détruit des empires.


Innocent ou coupable ?
— Ils ont des preuves… je ne comprends pas… Ils disent que j’ai fait des choses horribles… — Écoute-moi. Je vais trouver qui t’accuse. Je vais trouver pourquoi. Et je jure devant Dieu que je ne laisserai pas ces mensonges détruire notre famille. Elle vit ses yeux s’emplir de larmes. — Je ne sais pas si j’ai la force… — Si. Tu l’as. Parce que je vais être ta force, Alejandro. Et nos enfants aussi. Tiens bon. Elle inspira profondément, pour ne pas laisser éclater sa peine. — Lucía va s’occuper de toi. Et moi, je vais chercher la vérité. Peu importe le prix. Le gardien annonça que le temps était écoulé. Elle le regarda encore, imprimant chaque détail de son visage dans sa mémoire. — Je t’aime, dit-elle simplement. — Je t’aime aussi, murmura-t-il. Quand elle ressortit, le commandant Vargas l’observait en silence. — Vous êtes courageuse, Señora Torres. Mais préparez-vous. L’enquête sera longue. Et parfois, la vérité fait plus mal que le mensonge. Marisol ne répondit pas. Elle sentait en elle une détermination froide et tranchante. Elle trouverait qui avait osé accuser son mari. Et elle ne reculerait devant rien.


Marquée par la Lune
Et si votre passé n’était jamais vraiment mort ? Dix ans après avoir fui Ravelore, Aelya pensait avoir enterré à jamais les fantômes de son enfance — un village figé dans le silence, une forêt pleine de non-dits, un frère jumeau avec qui elle partageait tout… jusqu’à sa disparition. Mais un matin, le téléphone sonne. Un message. Huit mots qui pulvérisent une décennie de distance : « Il est arrivé quelque chose à Théo. Rentre. » Elle revient. Seule. Dans un village qui semble avoir oublié comment sourire, où les rideaux se ferment trop vite et où le silence a remplacé la parole. Un village rongé par une peur que personne n’ose nommer. Et dans l’ombre… un inconnu aux yeux d’or, qui la regarde comme s’il l’attendait depuis toujours. Ce n’est pas un retour. C’est un compte à rebours.