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JUMELLES ENNEMIES
18·Stephane MbiandjiPDV De Sylviana Cédric: chérie tu es prète? Je me regarde une dernière fois dans le miroir pour voir si tout est bien Moi: oui j'arrive Je me suis dirigé rapidement en bas pour qu'on y aille Cédric :enfin t'es là je croyais tu allais passer une éternité dans la maison devant ce miroir Moi:pas la peine d'en faire des tonnes Je lui sourit et je me mets un dernière couche de parfum Moi: c’est pas comme si on n'est en retard!si? On va pas voir quelqu'un n'est ce pas? Cédric :oui on va voir que nous deux mais fais vite Moi: ah d'accord je prend mon sac et on n'y vas Heureusement qu'on a reservé nos places j'attrape mon sac et soulève ma robe de peur de tomber dans les escaliers Cédric: chérie fait attention Moi: oui ne t'inquiète pas Nous nous sommes dirigés vers la voiture ou nous avons pris la route du restaurant Car aujourd'hui c'est la saint Valentin Ouais c'est la fête des amoureux le jour où tu es heureuse d'avoir quelqu'un dans ta vie Le jour où on célèbre l'amour quoi. Le trajet n'a pas été long on n'a beaucoup parlé pour faire passer le temps Et nous sommes finalement arrivé Moi: restaurant la paella spécialité italienne mais dis donc, tu me connais bien toi. J'aime pas j'adore tout ce qui est repas Italien Je lui fais un sourire et un bisou sur la bouche Cédric : je savais que t'allais aimer juste en voyant le restaurant mais rentre on va pas rester devant Moi:oui t'a raison Nous sommes rentré dans le restaurant et nous avons commandé Cédric : tu aimes le restaurant? Moi:oui beaucoup je me souviens pas être venu ici Je regarde autour de moi Y'a une bonne ambiance des chanteurs et tout Les serveurs ce sont habillés de la même manière. De bonnes odeurs qui viennes se loger dans mon nez De quoi me rendre heureuse quoi. En Fin je suis très ébahie. Nous avons beaucoup parlé le temps que la nourriture arrive puis tout d'un coup j'ai commencé à avoir mal au ventre Au début je croyais que ça allais passer mais la douleur faisait que s'intensifier de quoi avoir de grosses sueurs. Moi: je crois que…je. vais aller au toilette Cédric: d'accord mais fais vite Je me suis levée avec difficulté et je me suis dirigée vers les toilettes après avoir demandé au serveuses où elle était bien sûr Je suis partie et devinez quoi j'ai plus eu mal au ventre c'était un peu bizarre que la douleur s'arrête si brusquement je me suis donc levé pour rejoindre Cédric qui lui mangeait déjà Cédric :ça va? Moi :… Oui Elles ce sont calmé mais elles sont revenus et ont commencé à être de plus en plus violentes Moi: chérie ce sont. des contractions que j'ai Cédric :je crois qu'on va aller a l'hopital Moi:non elle doivent pas venir aujourd'hui Mais j'ai l'impression que cette fois elles sont de plus en plus violentes J'ai fais un sourire pour qu'il se calme même si j'ai beaucoup mal Les contractions ont arreté puis ont subitement repris Et là Moi:C-Cedric! Cédric :oui? Moi:je crois que j'ai perdu les eaux Ni une ni deux il m'a aidé a me lever et nous nous sommes dirigé a l'hopital Je comprends pas , les enfants ne devaient pas naître aujourd'hui. Il devait venir en Mai! je comprends pas Quand nous sommes arrivé il m'ont directement prise en charge Infirmière: respirez Madame J'essaie tant bien que mal de faire ce qu'elle me dit Je fais des exercices de respirations et on me conduit au bloc pour l'accouchement Je fais signe a Cédric de venir parce qu'a ce que je vois il fait les cent pas dans l'hopital L'accouchement a quelques peu duré puis L'infirmière : tenez bon J'attrape la main de Cédric de ne pas me laisser et c'est ce qu'il fait j'ai commencé a poussé fort pour que les enfants sortent. Quelques minutes après les bébés sortirent. Deux petites filles qui se ressemblent fortement, elles étaient entrain de pleurer et moi aussi par tant d'émerveillement Les infirmières les on pris pour faire leur bain et voir si elle vont bien faire des examens et des analyses parce qu'elles sont venu avant l'heure Cédric: ça va? Moi:un peu fatigué Cédric: comment veux-tu qu'on les appelle Sylviana: Emma et Stella.. ....Emma et Stella Mc Bride J'ai soupiré car je suis fatiguée et j'ai vraiment Besoin de sammeil Sylviana:tu me réveille quand elles viendront après les examens Cédric:d'accord Après avoir dit cela je suis allée rejoindre Morphée je suis réellement beaucoup fatigué Narrateur Externe C'est là qu'est venu l'existence des jumelles McBride ________________________________________________ Moi: Stella tu m'a trahi comment as tu pu me faire ça moi ta soeur de sang ta soeur jumelle Stella: on n'est tombé amoureux du même mec et pas de pitié dans le buisness Moi:que la meilleure gagne! Stella: oui que la meilleure gagne! Quelques années plus tard Qui a gagné? Que s’est-il passé ? Tu veux savoir? Et bah lis!!!
MON DESTIN
79·Stephane MbiandjiAvant de débuter votre lecture j'aimerai vous faire part de la liste des trigger warnings. Ce roman est une DARK ROMANCE est donc il contiendra des : - Scènes à caractère sexuel. - Langage grossier. - Violence psychologique et physique. - Évocation de viol. - Meurtres. - Kidnapping Je vous avertis donc que ce n'est pas du tout un roman à l'eau de rose, donc si vous décidez de poursuivre la lecture c'est en toute connaissance de causes. Bonne lecture ! ___________________________________________ Pdv de Nelya: Et voilà que je me tiens face à mon propre reflet dans la glace. En ce jour. Ce jour qui pour chaque femme est censé être magique, attendu, fêté, n'est pour moi que le début d'un réel enfer. Comment est ce que j'en suis arrivée à là ? Comment est ce que je me retrouve vêtue d'une longue robe blanche dans cette énorme pièce luxueuse qui renferme toute ma tristesse et ma colère ? C'est très simple. Bien plus simple que la raison l'accepte. Il a suffit de quelques mots, d'égoïsme et de soif d'argent pour que ma vie soit vendu à une autre personne que moi. Le plus désolant dans tout ça c'est de savoir que la raison principale de mon malheur aujourd'hui, n'est autre que mon père. Un père qui au long de toute ma vie ne m'a jamais sourit, chéri ou encore choyé comme l'étaient toutes les filles de mon entourage par leur père. Quand bien même je faisais de mon mieux pour essayer de le rendre fier. Essayer d'attirer son attention ne serait-ce qu'une seule fois. Mais rien. J'échouais lamentablement à chaque essais de ma part. Les seuls moments que je partageais avec lui n'avaient rien de doux et d'aimable. Bien au contraire. Il ne s'adressait à moi que lorsqu'il était énervé et qu'il avait besoins de « quelque chose » pour déverser sa colère. Et qui de mieux pour ce faire que moi ? C'est donc ainsi que j'ai vécu les vingt-trois ans de ma vie. Sans aucun réel ami, car je n'avais le droit à aucune vie sociale mis à part les cours de violoncelles que je prenais. Tous mes cours se faisaient chez moi par des professeurs privés. Aucun emploi, car « les femmes ne travaillent pas. » Aucune passion, car je n'ai jamais eu le temps et la liberté d'explorer mes préférences et mes envies. Trop occupés à apprendre et passer des examens pour essayer de rendre fière mes parents. Rien. Voilà à quoi se résumait ma vie de jeune femme. À rien, absolument rien. Bien que je ne manquais ni de nourritures ou encore moins d'habits je n'avais pas la moindre importance pour qui que ce soit dans cette maison. Pas même ma propre mère qui ne se gêne pas à toute opportunité de me comparer aux jeunes filles élégantes et douces de mon âge. Qui selon elles devraient être pour moi un exemple à suivre. Car je lui fait trop honte. Honte d'être moi même. J'ai trois grand frères. Adnan. Redouane. Jabar. Eux. Ce sont les rois à la maison. Ils sont aimés, respectés, et fuient de tous. Leurs souhaits sont des ordres, aussi fou soient-ils. Pourquoi ? Car se sont des hommes. Ils travaillent tout les trois dans la célèbre entreprise d'architecture de mon père. Entreprise dont j'aurais pu également être une employée, étant donné que je détiens les mêmes diplômes que mes frères, et même avec de meilleurs résultats. Chose que mon père a pris soins de ne jamais énoncer par peur de rouiller la fierté de ses fils. Ils sont la prunelle de ses yeux à lui et à maman. Tandis qu'à ce jour je demeure toujours dans l'ombre. Mais j'aime mes frères du fond de mon cœur. Ils ne m'ont rien fait. Même s'ils n'ont jamais omis le moindre mot sur la manière dont je suis traitée et qu'ils n'ont jamais essayé de me défendre... Je ne peux leur en vouloir. C'est pas de leur faute s'ils sont comme ça. Mais bien celle de notre père et de l'éducation de macho qui leur a offert. Mais de là à vendre sa fille tel un vulgaire objet. J'avoue que là ça a dépassé toutes les crasses qu'il m'a faite jusqu'ici. Jamais je n'y aurais songé. Même pas dans mes cauchemars. Des années en arrière. Je me souviens encore du jour où ça s'est passé. Mais j'ignorais que j'étais la proie. J'ignorais que j'étais la marchandise dont il parlait. Comment pouvais-je le deviner alors que je n'étais qu'une petite fille de sept ans. Il était rentré ce soir au manoir plus qu'heureux et fier en arborant un sourire vainqueur et plein d'accomplissement. Ce soir là ils nous avait annoncé qu'il avait signé l'un de ses plus gros contrats et que cela allait lui rapportait gros. Très gros. Tous étaient heureux et ma mère la première. Malgré le fait qu'elle savait très bien, quoi et surtout qui était en jeu. Mais ce soir là mon père m'a brièvement sourit. Mon âme de petite enfant s'était alors subitement réchauffée et illuminée. Je me souviens même avoir versée des larmes le bonheur une fois sous ma petite couette dans ma chambre tellement j'étais heureuse. Mais aujourd'hui j'ai compris une chose, c'est que son sourire n'était en rien paternel ou aimant. C'était un sourire victorieux et vicieux. Alors me voilà. En ce mardi. Me voilà me laissant faire préparer pour rejoindre et sceller ma vie à un homme que je ne connais pas. Et qui ne me connaît pas. Seulement car nos deux pères, amis et collaborateurs ont décidés un jour que notre union ne pouvait qu'être bénéfique. Surtout pour mon père car son ami Lexy Vlyrsofa a bien plus d'influence et de richesse que lui. Raison de plus pour laquelle mon père n'a pas hésité une seule seconde à me jeter dans leurs bras. ___________________________________________ Nelya se voit encore une tois privée de sa liberté. Encore une fois laissée dans l'ombre, la jeune femme se fait arracher le dernier espoir qu'il lui restait encore. Celui d'un jour pouvoir vivre une vie heureuse avec son prince charmant. Un prince charmant qu'elle aura d'elle même choisie et aimé. Mais ça c'est sans compté l'accord passé il y a des années de cela alors qu'elle n'était encore qu'une petite fillette dont les seuls préoccupations étaient de jouer. Un accord purement commercial passé par son père et son vieil ami et collaborateur Lexy Vetriof qui consiste à marier deux âmes dont les rêves et modes de vie diffèrent en tout points. Qu'adviendra-t-il d'elle lorsque la réalité la rattrapera ? Comment fera-t-elle face à ce mariage arrangé avec le mystérieux Nikolaï. Je vous invite à lire pour le savoir ... C'EST UNE DARKROMANCE PAS UN ROMAN À L'EAU DE ROSE!!! Des sujets sensibles sont traités dans ce roman ! Je suis responsable de ce que j'écris et non de ce que vous lisez! #Mon_Destin
J’ai Volé Le Mari De Ma Meilleure Amie
57·Stephane MbiandjiEnfin, nous sommes arrivées à la voiture, mais je restais figée, les yeux rivés sur mon téléphone. Son mari semblait mettre une éternité à sortir de la voiture. - Kady, je te présente mon mari, Monsieur Tall! Je lève la tête vers elle en rigolant, puis pose mon regard sur "lui". • Nous nous sommes regardés, nos yeux se sont croisés, et nos regards se sont accrochés. Nous ne nous sommes plus quittés des yeux. C'était comme si le monde s'arrêtait autour de nous, comme s'il n'y avait rien d'autre autour de nous. Je ne me suis même pas rendue compte que j'étais figée sur son visage. Il me fixait droit dans les yeux, mais avec une telle intensité que c'était possible que ce soit un coup de foudre... Il me tend la main. - Hasmiou Tall!! La main moite et le cœur battant fort, je lui tends la main en retour. - Kadiatou Barry, mais Kady pour les intimes, ai-Je dis immédiatement, en esquissant un sourire aussi charmeur que son regard. En l'espace d'une seconde, l'ancienne moi était de retour. Je le veux!! Parfois dans la vie, nous avons envie de presser le bouton « pause » pour remonter le temps, mais nous savons tous que cela est impossible. Mon nom c'est kadiatou Barry et ceci est mon histoire : « j'ai volé le mari de ma meilleure amie » Bienvenue dans cette nouvelle aventure. Ceci est une histoire fictive . C'est une histoire de vengeance et d'ambition, de séduction et de trahison, qui tourne autour d'une femme offensée du nom de Kadiatou Barry une victime et une parfaite coupable avec un passé lourd . Ceci n'est pas une histoire d'amour !!
UN DOUX CHANTAGE
205·Stephane MbiandjiEn se réveillant dans le lit de son crush de toujours, Nasha réalise qu'elle vient de commettre la plus grosse bêtise de sa vie. Surtout quand celui-ci lui fait une terrible proposition. Entre secret et chantage, l'amour sera-t-il plus fort?
JEU DE SÉDUCTION
81·Stephane MbiandjiL'avantage quand on déménage dans une nouvelle ville, c'est que personne ne vous connaît, donc vous pouvez prendre un nouveau départ en toute tranquillité. L'inconvénient c'est que personne ne vous connaît, donc difficile de vite trouver du travail et de se repérer facilement dans la ville. J'ai finie mes études à Los Angeles, en Californie et je me suis ensuite installer a Oklahoma City, la capitale de l'état de l'Oklahoma. Ça va faire bientôt 6 mois, et, personnellement, j'ai eue de la chance vis à vis du travail. J'ai trouvée assez vite dans une société de comptabilité. Je suis la secrétaire du patron, Mr Jonhson. Un homme insensible, insupportable, pourri gâté dès le plus jeune âge et méchant. Surtout avec moi, je pense pas qu'il m'apprécie particulièrement. Toujours des petites remarques désagréable du genre : «Vous avez l'air encore plus fatiguée que d'habitude.» ou alors «tâchez de bien vous habillez demain.». Certes ce n'est pas grand chose mais avoir le droits à tous pleins de petites remarques comme ça tous les jours, avec en plus son air dégoûté, c'est pas forcément agréable. Pourtant la première fois que je l'ai vue à mon entretien d'embauche, il m'avait l'air plutôt gentil, avec ses cheveux noirs séparés en deux, sur chaque cotés de sa tête et ses yeux noisettes. En soi, c'est un bel homme. Bref assez parlé de lui, parlons de moi. Mon nom est Alyssa Clark, j'ai 25 ans et vous allez bientôt entrez dans ma vie... ——————————————————————————— Un voyage d'affaire entre une secrétaire et son boss, quelque chose de normal. Mais quand le boss en question est joueur et quand la secrétaire en question est maligne, je peux vous assurer que c'est tout, sauf ennuyant ! Alyssa va vite se retrouver à jouer à un jeu de séduction plus ou moins dangereux, avec le diable en personne...
MIGRANTS DE RÊVE
1.0K·Stephane MbiandjiGabon, Libreville. Parfois dans la vie, on fait des choix sans vraiment se douter une seule seconde de tous les problèmes que cela pourrait nous apporter. Tout ce qui nous guide c'est cette envie irrépressible de vouloir cette chose à tout prix, on fait abstraction de tout ce qui ressort du négatif et on ne se concentre que sur le positif. A ce stade là, on n'écoute plus l'avis de nos proches qui essaie de nous ramener à la réalité. Moi aussi je fais partie de cette catégorie de personnes qui se sont laissés guider par leur obsession sans me douter une seule seconde de tout ce qui allait me tomber dessus. Bref je ne vous fais pas plus attendre avec mes discours, je vous raconte mon histoire: Je m'appelle Danielle, j'ai dix-huit ans et je viens d'une famille pas très riche. La vie n'a pas toujours été douce avec nous, je vous assure qu'on ena Vraiment vu de toute les couleurs. Cette année par exemple, j'aurais dû passer mon bac mais mon père qui jusque-là s'occupait de ma scolarité et de celle de mes frères est tombé gravement malade et il a été obligé d'arrêter de travailler. Ma mère quantà elle, est vendeuse au marché. Vous doutez bien que C'est pas avec ce qu'elle gagne qu'elle aurait réussi à nous prendre en charge mes petits frères et moi donc j'ai décidé de quitter l'école afin de pouvoir aider mes parents à nous nourrir. J'ai pu trouver des petits boulots par-ci et là et c'est comme ça qu'on se débrouille. On ne peut compter sur personne à part mon frère mais il a aussi une famille à sa charge donc on ne lui en demande pas beaucoup. En ce moment je travaille dans un bar en tant que gérante mais c'est uniquement le soir, je suis plutôt bien payée et je reçois aussi plein de pourboires de la part de certains clients qui se montrent généreux, il faut aussi avouer que je suis belle, je n'ai pas besoin de faire grand chose pour qu'un homme me remarque, ici j'ai appris à utiliser ma beauté à bon escient. Avec quelques petits regards et sourire, le client peut vouloir te racheter le bar et tout ce qui se trouve à lintérieur. Aujourd'hui, vu que je n'ai rien à faire de ma journée, je suis allée aider ma mère au marché pour qu'on puisse vendre toutes les deux. Je patrouillais tranquillement sur Facebook vu que je m'ennuyais et sur mon fil d'actualité j'ai vu la publication d'une ancienne connaissance. On a fait le collège ensemble et aujourd'hui elle a beaucoup changé surtout depuis qu'elle a voyagé pour la France. C'est dingue de voir à quel point les gens Glow up une fois qu'ils touchent la terre des blancs. C'est comme si quand ils y mettent les pieds on les purifiait de tout ce que est mauvais. Je me perds dans mes pensées en imaginant comment moi je serais si je mne retrouvais là-bas un JOur. -Qu'est-ce qui te fait sourire comme ça ? Me demande ma mère. -Humm. tu te rappelles de ma copine là non. Elle s'appelle Esther. -Oui, je m'en rappelle, répond-t-elle. -Devine où elle est en ce moment ? -Comment je vais faire pour deviner, je ne la connaissais pas tant que ça. -Maman elle est en France. Regardes comment elle est en ce moment tu ne vas pas la reconnaître( je prends mon téléphone et je lui montre les photos). Elle a changé jusqu'aux orteils et ça se voit qu'elle vit bien. Imagines si un jourj'ai la chance de voyager aussi, là-bas la vie doit être tellement parfaite. J'aurais un travail et je vous enverrai chaque mois de l'argent, en plus si on convertit l'Euro en Franc CFA cela ferait beaucoup et ça pourrait largement vous aider. On ne deviendra pas riche mais au moins c'est déjà ça... -Malheureusement pour toi je vais être méchante et te tirer de ce rêve. On sait toutes les deuX que tu ne pourras jamais voyager et faire tout ce que tu entreprends. -Pourquoi tu dis ça ? On ne sait jamais ce que la vie nous réserve... -Dois-je te rappeler notre situation ? Elle n'est pas prête de changer. Un voyage demande beaucoup d'argent et on en a pas. -Oui c'est vrai que c'est beaucoup d'argent mais ça c'est pour ceux qui veulent passer par les airs et se charger de toute la paperasse administrative qui va avec. Je suis sûre que pour ce qui voyage clandestinement c'est beaucoup plus abordable sinon les gens ne prendraient pas de tel risque. -Voyager clandestinement ? Tu sais tous les risques que cela engendre ? Sais-tu combien de gens meurent chaque jour en mer pour atteindre l'Europe? Et il y en a même d'autres qui disparaissent sans laissé de trace ou de signe de vie. -Oui c'est vrai mais certaines personnes réussissent. -Une poignée et puis quand ils réussissent sais-tu à quoi ils sont exposés et ce qu'ils subissent ? -Tout est question d'organisation, il faut bien planifier les choses pour ne pas se retrouver dans ce genre de situation... -Je pense que le soleil commence déjà à te griller les neurones et ça altère ta façon de voir les choses. Tu te rends compte de ce que tu dis ? C'est... Elle se fait couper la parole par l'arrivée d'une de ses fidèles clientes. Les deux commencent à parler de choses qui ne m'intéressent absolument pas donc je continue simplement de manipuler mon téléphone. _____________________________________________ Pour offrir une vie décente à sa famille, Danielle quitte tout et entreprend un voyage clandestin à travers des territoires inconnus. Mais les chemins de l'espoir sont souvent pavés de dangers insoupçonnés. Que fera-t-elle lorsque son rêve prendra une tournure inattendue? Prenez vos bagages on va aller #BOZA ( Expression Camerounaise ) #MIGRANT_DE_RÊVE
DOUTES
10.0K·Stephane Mbiandji23 heures. Je m'active en apercevant que l'heure est déjà bien avancé. Zen m'attend sûrement depuis une bonne dizaine de minutes et va encore me crier dessus pour mon nouveau retard. Je brosse une dernière fois mes cheveux en remettant quelques mèches en place. J'enfile ma paire de talon, sors de chez moi en vérifiant plusieurs fois que j'ai bien fermé la porte de mon appartement. Puis j'interpella un taxi venant dans ma direction et lui indiqua le lieu. Dans la voiture, je reçu plusieurs notifications et je savais déjà qui en était l'expéditeur. Zen : - tu peux te dépêcher? 23:13 - bon sang ! t'es pas foutu d'arriver à l'heure une fois dans ta vie ? 23h15 -le patron va te tuer ! mais t'as déjà l'habitude non? 23h16 Je soupire en reposant mon téléphone sur mes genoux. Il a raison, depuis que j'ai ce boulot , je ne suis pas arrivé une fois à l'heure. Mon patron m'a déjà menacé plusieurs fois de me virer si ie continuais . Mais il n'a jamais mis ces menaces à exécution, fort heureusement pour moi. Je joue avec le feu , je le sais , j'ai toujours vécu comme ça et c'est pas aujourd'hui que je vais arrêter. Le taxi frêne brutalement me faisant comprendre que je suis arrivée. Je sors de mon sac à main un billet pour payer ma course. Puis je le remercie et descend de la voiture en refermant la porte. Juste en jetant un regard à la devanture du bar, je remarque qu'il est bondé. C'est normal, cet endroit est très réputé. L'une des meilleures boites de la ville paraît-il! Je suis serveuse depuis 3 mois ici, un petit boulot qui m'aide à payer le loyer de mon appartement. Je rentre et directement j'aperçois Zen, plusieurs verres dans les mains , trop occupé à zigzaguer entre les tables pour servir les clients , il ne me voit pas. Je me dépêche de poser mon sac dans les vestiaires et de me mettre derrière le bar pour commencer mon travail. La grande pièce se remplit à vue d'œil et ne se vide jamais de clients Je prend les commandes rapidement. Zen ne m'a pas adressé la parole . Il est sûrement énervé d'avoir commencé le service seul, je le comprends. Au fil du temps, depuis que j'ai commencé à travailler ici, Zen et moi avons tissés des liens d'amitiés. Même si c'est très récent, je ne voudrais pas qu'on se dispute ce soir. Je l'apprécie. Perdue dans mes pensées, je fonce dans quelqu'un et me prend un torse en pleine face. Mon plateau me glisse des mains et les verres se renversent et éclatent par terre. Surprise je me recule , je lève la tête pour apercevoir un homme, grand , ces cheveux noir tout en bataille. Il me fixe d'un regard froid. Je baisse les yeux sur son costume et déglutis quand je vois la tache de boisson en plein milieu de son vêtement, qui doit couter plus que tout mon salaire réuni . Si mon patron apprend que j'ai importuné un de ces clients, je peux dire adieu à mon boulot Il se racle la gorge pour me rappeler sa présence. - Excusez moi monsieur , je ne vous avez pas vu. lui dis-je précipitamment, ne sachant pas comment réagir. Après quelques secondes de silence malaisant, il me toisa méchamment avant de répliquer. - pas capable de faire son travail sérieusement celle là. répondit il froidement Mon sourcil s'arqua face à sa remarque. Pour qui se prenait-il celui la ? Toutes sortes de phrases bien cinglantes traversèrent mon esprit et, sans réfléchir j'ouvris la bouche pour répliquer. _____________________________________________ Elle a 19 ans, son enfance a été compliqué mais elle a réussi à s'en sortir. Pourtant son destin va changer quand elle va récupérer ce qu'elle n'aurai jamais dû prendre. Que se passera t'il quand le chef de la mafia italienne va vouloir obtenir la chose qu'elle possède ? Leur rencontre ne sera sûrement pas de tout repos, mais l'amour triomphe toujours, ce n'est pas ce qu'on dit souvent ? #DOUTES
VENGEANCE ( TOME 2 )
1·Stephane MbiandjiVoilà bientôt un an qu'Éna n'a pas revu Hice. Plus aucune nouvelle. Plus aucune apparition de lui. Pourtant elle a l'impression qu'il ne l'a jamais quitté venant hanter ses rêves. Ou plutôt ses cauchemars. Ce prénom qui l'a hanté pour le meilleur, la hante dès à présent pour le pire. Cette trahison. Son plan. Sa cruauté. Comment a-t-il pu? Tous ces souvenirs, ces moments n'étaient-ils que des foutaises ? Elle a baissé sa garde pour finir briser. Hice lui a comme on dirait éteint, sa dernière part, d'humanité. La partie qu'Éna lui faisait sentir. Vivant. Ses passions, sa liberté n'ont, paradoxalement, plus le même goût sans elle. Comment a-t-il pu se prendre à son propre jeu ? Tous ces souvenirs, ces moments n'étaient-ce que ce qu'il lui reste d'Elle. Et si le « destin >> en décider autrement? Le 29 octobre, une fois par an cet endroit, Le Zag, ouvre ses portes. Un pied dans un monde qu'Éna tente d'oublier sera un retour dans le passé. Se revoir après tant de temps d'absence pourra-t-il se montrer tumultueux ? Les choses changeront-t-elles entre Éna et Hice ? Réussira-t-elle à le pardonner? Réussira-t-il à changer? #vengeance ( TOME 2 )
VENGEANCE ( TOME 1 )
10·Stephane MbiandjiRendre justice et avoir le sentiment d'avoir établi la paix est l'uns des sentiments les plus gratifiante que nous puissions ressentir. Ce sentiment inexplicable que nous avons lorsque l'on sait qu'une bonne action a été faite. Mais si nous pensions rendre justice alors que nous avons fait linverse? Vengeance, ce sentiment irrévocable de répondre à une souffrance que l'ont nous as infligés. Quelle souffrance est plus dure à supporter ? La douleur physique, blessé ? Ou la douleur psychique que nous ressentons face à un individu qui nous as trahis? Ena, 25 ans est une femme policière méfiante, dure, qui a à son actif inculpés plus de criminels que des policiers qui ont 30 ans de carrières. Passant de tous types de personnes, ayant commis des horreurs plus macabres les unes que les autres. Hice, arrogant qualifiait de sans cœur est l'un des hommes qu'Ena a inculpé. La différence? Il n'a pas commis le crime pour lequel cette policière l'a emprisonné. C'est ici, à cet instant précis, que le mot « Vengeance » prend tout son sens. Hice attend de mettre en marche ce plan depuis cinq longues années afin de se venger de cette injustice. Certains diront qu'il est sans cœur, certains diront qu'il est justifié. Vous vous demandez sûrement quel est ce plan si diabolique ? La faire tomber amoureuse de lui. Va-t-il arriver à ses fins ? Ce plan va-t-il marcher sur cette femme différente des autres? Ne risque-t-il pas de se brûler les ailes ? Quelles seront les conséquences ? __________________pdv de Hice. Flashback: Cinq ans plus tôt Me voilà debout devant la juge auprès de mon avocat. J'attends que la sentence se mette à tomber lorsque la juge prend la parole suite à ce silence qui me paraît interminable : - La décision est prise. Monsieur Hice Suarez, vous êtes inculpés pour huit ans de prison avec sursis pour avoir tué Milo Martez. Elle frappe son marteau scellant sa décision. Mon coeur se ferme. Mon avocat ferme les yeux défaitiste et moi je sers le poing, fou de rage. La policière qui m'a inculpé est dans le fond de la salle. Ainsi je me tourne vers elle. Cette dernière me sourit avec un sourire plus que satisfait. C'est à cet instant précis que je me jure à moi-même, lors de ma sortie que je me vengerai. Croyez moi. Et elle s'en mordra les doigts. À suivre dans #Vengeance...
L’ENFER A UN VISAGE
36·Stephane MbiandjiBonjour ou bonsoir, c'est selon l'heure à laquelle vous mne lisez. Je m'appelle Edith Brou et j'ai 32 ans. J'ai jugé bon de commencer par une photo pour que vous sachiez qui vous parle. Je suis une femme ordinaire avec un passé extraordinaire. Et par le biais de cette histoire , à travers les écrits, je me permets si vous le souhaitez, de VoUs raconter mon histoire. Je vois déjà certains se demander : « Qu'est-ce qu'une Ex prostituée peut bien nous apporter? ». Pour vous répondre, je dirais tout. Tout ce que je peux en tout cas. Car il n'y a pas meilleur conseiller que celui qui a fait toutes les erreurs de la vie. Sans me vanter négativement, je crois avoir fait la plupart des mauvais choix... Pour reprendre mon histoire ou témoignage, c'est à votre guise; je m'appelle Edith et je suis née à Accra en 1988. J'ai grandi dans le quartier de Teshie, jusqu'à mon adolescence, qui n'a pas été vraiment gai. Je n'ai pas réellement connu ma mère. Et mon père avait épousé une autre femme. Une belle-mère assez méchante. Malgré que j'étais chez mon père, j'étais livré à moi-même. Je n'avais droit qu'à une nourriture par Jour, tandis que mes demi-frères en avait en abondance, j'étais mal nourri et battu. J'avais essayé d'en parler à mon père à l'époque, mais contre toute attente, je fus encore frappée. Mon père ne me croyait pas quand je disais que ma belle-mère était méchante et qu'elle me privait de nourriture. Il ne me croyait pas quand je lui disais que je n'avais pas d'argent de poche pour l'école. Il ne croyait en rien de ce que je disais. J'étais seule et très souvent, je pleurais. Je pleurais pour maman, je pleurais pour ma situation. Pourquoi moi ? Pourquoi je ne suis pas ailleurs ? Avec d'autres parents ? Mon père qui pour moi était un modèle, c'est transformé en un bourreau que je détestais de jour en jour. Intelligente à l'école, je vu mes résultats baissés de plus en plus dû à l'atmosphère lourde à la maison. Je n'étais pas assez concentré, et j'avais tout le temps faim. En classe de 3e, donc en classe d'examen, Jai voulu commencer un métier avec mon diplôme. Mais avec mes résultats déjà mauvais, c'est sans surprise, que j'échoua lamentablement au bepc. Je crus mourir. J'ai tellement pleuré ce jour-là. Surtout lorsque ma belle-mère, pour me «Consoler» m'a dit: « Tu vois Edith ? Tu es inutile comme ta mère. Tes frères eux ont réussi leurs exame: d'admission aux collèges. Et toi? Tu seras encore dans ma maison à ne rien faire et à tendre la main pour tout ! Quel échec ! : Je m'en souviens comme si c'était hier. Mes frères se moquaient, et mon père après avoir entendu la nouvelle de mon échec, ne m'adressais plus la parole. Imaginez? J'étais seule. Seule. Seule. ____________________________________________ Ça va vous paraître bête, mais j'écris cette histoire depuis l'asile psychiatre. Avec l'aide de Joshua qui vient me voir régulièrement, j'ai essayé d'expliquer pèle mêle ce dont je me rappelle. J'aurais pu le dire au début, mais je ne voulais pas vous effrayer. Une prostituée, à plus forte raison internée... Est ce que mon histoire aurait eu le même intérêt ? Je ne suis pas folle néanmoins, je tiens a le préciser. Je suis ici depuis peut-être 5 ou 6 ans, je ne sais plus. En réalité, Je m'en fous un peu. Et, J'ai passé 3 ans sans prononcer un seul mot. Pourquoi ? Certains disent que j'étais dans un état de choc émotionnel, d'autres que j'ai perdu la boule. Mais moi, je crois que je n'avais seulement rien à dire. Bryant, mon fiancé, est mort. Mes filles, ont disparu. Sont-elles vivantes ? Je ne sais pas. Anais, sa mère, s'est sacrifiée pour moi, je n'ai pas su la protéger. Je suis vide. J'ai perdu mon bonheur. J'ai perdu ma vie. Et j'ai perdu ma foi. Quel Dieu accepterait-il ça ? - Edith ? - Hum ? - Tu es une femme forte. Ne sois pas en colère contre Dieu. Crois-tu au paradis et à l'enfer ? - Le paradis, je n'en sais rien. Mais l'enfer, lui oui. Il a un visage, et ce visage s'appelle Aicha, ce visage, c'est Rogers, ce visage, c'est X. - J'ai parlé à ton médecin. Tu sortiras très bientôt. Et je vais t'aider à retrouver tes filles. - Toi? - Oui. - Pour de vrai Joshua ? - Pour de vrai Edith.
MÈRE A TOUT PRIX
59·Stephane MbiandjiQu'on ait du mal à y croire ou même à l'accepter, l'essence d'une femme et une femme africaine en particulier c'est de se marier, gérer impeccablement son foyer, être une image de soumission et surtout faire de beaux enfants afin de perdurer la descendance de la famille. Elle peut avoir un boulot, tout l'argent du monde, être une révolutionnaire ou autre, la société elle-même décidera que cette femme ne peut être pleinement heureuse ni importante sans un mari et encore moins des enfants. C'est ainsi que vous verrez que si l'une de ces phases manque à notre tableau ou si elle est trop présente,la société se chargera de nous le rappeler. « A son âge, elle n'est toujours pas mariée ? » Si elle est mariée, « humm pourquoi son mari est-il autant affectueux? Ça ce sont les choses des blancs Ce n'est pas bon pour votre foyer car elle va vouloir marcher sur ta tête. » « Pourquoi ta femme n'a-t-elle pas encore accouché? » « Pourquoi ta femme travaille autant ? » Pour d'autres, « pourquoi ne travaille-t-elle pas, de nos jours on n'aime plus les femmes fainéantes. » Vous l'aurez compris, le regard extérieur dirige beaucoup de foyers dans notre belle société africaine. Pour ce qui était de mon cas, je me considérais comme une femme ayant réussi même si mes critères n'étaient pas forcément ceux de la société. C'est fou comme il suffit d'être personnellement touché pour comprendre le réel impact de la chose. J'avais toujours compatis, assise sur mon canapé, aux histoires de ces femmes qui passaient dans les émissions de télé, chacune expliquant le combat qu'elle avait mené ou qu'elle menait toujours pour enfanter mais au fond, est ce que je comprenais réellement ? à vrai dire non. Même lorsque j'entendais des histoires sur des femmes qui se faisaient malmener, insulter ou rabaisser parce qu'elles n'avaient pas d'enfants, je trouvais que cela n'étaient que des histoires et rien de plus. Avant mon mariage je n'y pensais jamais car il était clair que mes enfants je les ferai uniquement dans le mariage et après mon mariage je me disais que j'avais le temps mais lorsqu'une année passe, une deuxième et puis une troisième, on se prend cette réalité en plein fouet et le combat de ces femmes que l'on regardait d'un point de vue extérieur devient notre. Et aujourd'hui? Je suis prête à tout pour être mère, même mentir si cela est nécessaire. Je ne venais pas spécialement d'une grande famille mais j'avais réussi à me construire et j'en étais fière. Mon père étant pompiste de métier, s'était toujours assuré que je fasse des études, malheureusement, il tomba gravement malade, et je devais me battre pour aider maman avec le traitement de papa, les factures, le loyer et mes études. Heureusement aujourd'hui, J'ai un bon travail, un bon mari, aimant et respectueux. Tout était parfait depuis maintenant sept ans. Oui sept ans jusqu’à ce que …. - Tu rêves ou quoi?? J’ai besoin d’eau à boire !!! Je me précipite vers celle que j’appelle ma belle mère et elle m’accueille avec un regard froid -Tu trouves que c'est toi qui doit encore m'apporter un verre d'eau alors que ça devrait être ma petite fille ou mon petit fils ? Me disait la personne en face de moi. Pour préserver mon foyer j’ai dû faire certains choix …
LE CHOIX D’UNE MÈRE
322·Stephane Mbiandji-welcome to the United Arab Emirates. Have a good stay ! (Bienvenue aux EAU. Bon séjour !) Sonia sourit nerveusement à l'hôtesse et récupérait son passeport avant de se diriger vers la première porte qu'elle vît sans trop savoir quoi faire. Elle était nerveuse, se demandant encore si ça avait été une bonne idée de venir. Mais n'était-il pas trop tard pour les regrets? Elle venait quand même de faire mine de rien plus de sept mille kilomètres par avion, 8h de vol, alors autant assumer. Elle serra très fort la lisière de son sac en regardant tout autour d'elle. Quelqu'un devait venir la prendre et elle cherchait son nom parmi toutes les pancartes qu'elle voyait. Et s'il avait oublié ? Et s'il s'était désisté ? Et si... -dangay gueneu ci biti tahaw fofou, dinga guiss legui lingay seet. (Il faut sortir. Tu verras celui qui est venu te chercher) - oh mon Dieu! Fit-elle très surprise alors que la jeune fille qui venait de lui parler l'avait dépassé depuis fort longtemps et sortait déjà de l'aéroport. - comment.. Elle ne termina pas sa réflexion dite à haute voix et traîna rapidement sa petite valise pour aller la retrouver. Juste à sa sortie, la jeune fille s'engouffrait dans un taxi et tournant la tête alors que quelqu'un venait de la heurter, elle vit un homme se tenir devant une voiture et entre ses mains, une pancarte où était écrit son nom : SONIA S'agissait-il d'elle ? se demanda t-elle en avançant vers lui sans savoir quelle langue lui parler. -bonjour..je suis S... se risqua t-elle en français. - pour Monsieur Touré ? L'interrompit-il - oui! - Bienvenue Madame ! Le chauffeur lui ouvrit la portière et lui prit sa valise. Assise à l'arrière du véhicule, elle avait l'impression que la voiture ne roulait pas sur une route mais volait plutôt tellement elle n'entendait aucun bruit et avait l'impression d'être confortablement assise dans un salon. Mariama avait raison, Dubaï était une ville phénoménale, indescriptible. Il fallait le voir pour le savoir. Pensa t-elle en insistant son regard sur ces nombreuses boutiques qu'elle vit. Et comme si le chauffeur le savait, il ralentit la voiture pour lui permettre de mieux regarder Les gratte-ciel défilait devant elle, l'émerveillant à un tel point qu'elle en oublia la boule qu'elle avait au ventre depuis qu'elle avait dit oui. La voiture s'immobilisa devant un hôtel qu'elle n'aurait jamais imaginé voir même dans ses rêves les plus fous. Lui ouvrant la porte, le chauffeur attendit qu'elle sorte pour la refermer et alors qu'elle allait vers le coffre, il la stoppa : laissez madame, je m'occupe de tout ! Le hall de l'hôtel devait faire trois fois la taille de son ancienne maison. Le sol était tellement luisant qu'elle y vit son reflet. Tout d'un coup elle se sentit intimidée par autant d'opulence mais détournant le regard vers un des nombreux miroirs du hall de l'hôtel, elle fut totalement fière de ce qu'ils lui renvoyaient. Sa coiffure, sa ligne tout était tout simplement parfaite pour elle... quoique son teint n'était pas du tout ça. Le chauffeur revint vers elle et lui demanda de la suivre. De l'ascenseur, elle apercevait la ville ainsi que toutes ces boutiques qui la peuplaient. Son cœur se mit alors à battre d'une drôle de façon alors que l'ascenseur s'ouvrait sur une chambre mais mettant un pieds dedans, elle se rendit compte que c'était plus qu'une chambre mais un appartement, une maison, dans l'hôtel même. -reposez-vous, Mr Touré est en réunion pour toute la journée, il vous rejoindra. Le code wifi est milleniumplazza2021. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, vous pouvez contacter le service de l'hôtel. Mon numéro de téléphone est inscrit sur cette carte au cas où vous voulez sortir ou faire les boutiques. Bonne journée ! Fit le chauffeur avant de prendre congés.
LES RÉALITÉS DU MARIAGE
662·Stephane MbiandjiPdv de Hakim Ba... - Binta tu dors ? - qu'est ce que tu me veux encore ? - je.. Je... - stp Hakim si tu n'as rien d'important à me dire, laisses moi dormir, demain je dois me lever très tôt pour aller à une cérémonie à Thiès. - tu oublies qu'on devait aller passer la journée chez ma mère.. - et puis quoi encore ? Je ne peux pas passer toute ma vie à aller chez ta mère. - mais elle est malade... - est ce que c'est moi qui lui ai causé cette maladie?... Puisque tu ne veux pas me laisser dormir, je vais dans la chambre d'amis, tu es chiant.. - Binta ou est ce que tu vas ? La porte de la chambre est claquée et a fait un bruit très sonore qui a peut être réveillé les voisins. Je m'appelle Hakim Bâ, j'ai 35 ans marié à Binta Diallo qui est aussi ma cousine. On a fait 3 ans de mariage, mais c'est le chaos total, vous allez comprendre le pourquoi.. Le véritable problème c'est que je suis fou d'elle, et cède à toutes ses caprices. Ma famille me considère comme un homme faible, mais ma seule erreur c'est que j'aime trop cette femme et je suis prêt à tout pour elle. Pdv de Aïcha Ndiaye... - Aïcha tu vois que je suis réveillé et tu oses encore dormir espèce de sale garce, lèves toi tout suite je te dis... - excuses moi Abdou je n'ai pas bien dormi hier et j'ai des maux de tête... Je ne finis pas ma phrase et ma gifle du matin atterrit sur ma joue: - je t'ai toujours dis de ne pas me répondre quand je te parle, tu as la langue trop pendue... - balma (excuses moi). - je n'ai rien à foutre de tes excuses, vas me préparer le petit déjeuner et que ça saute. Je cours dans la cuisine avec ma joue en feu, je lui prépare vite fait son petit déjeuner et vais le servir... Après avoir fini de manger, je lui apporte ses affaires et il quitte la maison direction son bureau... Je me nomme Aïcha Ndiaye, j'ai 25 ans, je suis mariée depuis deux ans avec Abdourahmane Sylla qui est un homme colérique, violent, et arrogant... Je vis avec lui en supportant ses humeurs changeantes et ses excès de colère, je suis battue, insultée et je n'ai aucune valeur à ses yeux. J'ai déjà subi deux fausses couches à cause de ses coups. Personne ne sait ce que je suis entrain de vivre avec cet homme, je suis dans une case dorée. Mais malgré tout, je continue à vivre avec lui parce-que je l'aime. Pdv de Assane Seck... - bébé tu as préparé tout ça pour moi... - oui je veux que tu manges bien et que tu sois productif au bureau. - hum et au lit aussi... Elle ne dit rien, elle avait la tête ailleurs : - Asma qu'est ce qu'il y'a ? - non je vais bien.. - je te connais dis moi ce qui te tracasse. - Assane j'ai très mal à chaque fois que je vois encore mes règles, chaque fin du mois c'est le même scénario. - quel est le problème pourquoi tu as mal, bébé toi aussi on en a déjà parlé. - c'est tellement évident pour toi parce-que tu es un homme, depuis 6 ans que nous sommes mariés et pas l'ombre d'un enfant, même un putain de fausse couche je ne l'ai jamais eu. - arrêtes de toujours remettre ce sujet sur la table, il faut croire en Dieu et dis toi que cet enfant viendra quand Dieu l'aura décidé... - et si Dieu ne nous le donne pas. - on trouvera une solution, sois positive toi aussi, allez viens dans mes bras, tu sais que je t'aime plus que tout, enfants ou pas, mes sentiments ne changeront jamais... Tu es ma raison de vivre. - moi aussi je t'aime... Moi c'est Assane Seck, 34 ans marié depuis 6 ans et pas encore d'enfants. Cette situation ne me dérange pas, mais Asma la vit très difficilement. Elle ne sort plus de la maison, toute sa vie tourne autour de ma personne.. Elle passe ses nuits à pleurer, tout ce qu'elle veut c'est avoir un bébé. On a tout fait mais rien, on a vu les meilleurs spécialistes d'ici et d'ailleurs mais toujours rien. Même la médecine traditionnelle on l'a essayé,toujours le même résultat. Le diagnostic est le même, on a aucune maladie qui nous empêche d'enfanter... L'enfant arrivera quand le moment sonnera. Mais ma femme est devenue parano à cause de ça, elle a même déjà aménagé une chambre de bébé où elle a mis toute sorte de choses.. Parfois je la trouve là-bas entrain de parler toute seule ou de ranger les habits de bébé qu'elle achète toutes les fins du mois. Je la laisse faire parceque je ne veux pas la froisser mais cette situation devient de plus en plus exaspérante pour nous.. Pdv de Ramatoulaye Mbaye.... - chéri je suis trop stressée, tu sais que ta famille n'a jamais voulu de notre mariage. - je ne laisserai jamais personne te faire de mal. - tes soeurs m'ont toujours rabaissé et là tu veux que je vienne rejoindre la maison conjugale, et si on continuait à vivre dans cette petite chambre... - je comprends tes inquiétudes Rama, mais arrêtes de trop t'en faire, tu sais que je n'ai plus les moyens de me payer cette chambre, mon travail n'est pas régulier et je suis aussi soutien de famille.. Au moins à la maison j'ai toujours ma chambre là-bas et personne ne l'occupe.. - d'accord ce n'est pas grave, mais promets moi quelque chose... - tout ce que tu voudras ma chérie. - je veux que tu sois toujours toi, que tu ne changes jamais, et tu sois toujours présent, moi à mon niveau je te promets de toujours te soutenir peu importe les situations, je t'aime de tout mon coeur mon Habib à moi. - je t'aime aussi plus que tu ne l'imagines ma Rama de coeur. Moi c'est Ramatoulaye Mbaye, 23ans, je suis mariée depuis 6mois avec Habib Camara, un homme simple et très honnête. On s'aime à la folie, mais sa famille ne me supporte pas à cause d'une histoire de caste, je suis ce qu'on appelle au Sénégal Guewel(griotte). Depuis notre mariage, Habib à loué une chambre à gueule tapée, mais par faute de moyens, je dois rejoindre sa maison familiale samedi prochain... Je sais que sa famille ne m'aime pas et ma vie dans cette maison ne sera pas de tout repos, mais j'affronterai tout car j'aime mon homme d'un amour très sincère... Narrateur Externe Le mariage n'est pas toujours ce que l'on pense. Les secrets d'un mariage ne sont pas souvent révélés... Les jours heureux dans un ménage sont à compter... On fait face à un perpétuel recommencement, une recherche effrénée de bonheur... Venez découvrir cette nouvelle chronique pleine de rebondissements.
RETOUR DU ROYAUME DES MORTS
211·Stephane MbiandjiMa vie n'était qu'un petit désagrément jusqu’au jour où je vais faire l'erreur de faire confiance à mon petit ami qui va môter la vie. Je ne suis pas la fille la plus aimer de mon lycée j'étais ordinaire. Alors quand l'un des garçons le plus cool du lycée m'a demander de devenir sa copine je n'aipas hésiter malgré quil avait 2 ans de plus que moi une erreur fatale. Comment savoir qu'il avait fait un paris avec ces amis celui de dévierger toute les filles de notre classe avant la fin de l'année. Et chacune de ces victoire était filmé en cachette par un de ces amis. À la fin de l'annéej'étais là dernière sur la liste il voulais terminer sa victoire en beauté une partouze mais voilà que moije viens contrecarrer ces plans. A la fin des cours LuC me demandera gentiment de l'accompagner à la glaceriejaccepte ensuite c'était au cinéma j'accepte aussi sans douter. C'est quand il m'avait demander de le suivre chez lui quej'aurai dû me méfier mais ma naiveté allait me coûter la vie. Fils d'un riche homme d'affaires il avait un petit pavillonà hủ. Je regarde sa chambre pendant qu'il m'apporte un peu de jus à boire je bois et mon regard se pose sur ma montre mon Dieu il était déjà 17 h je n'avais pas vue le temps passer. Ma mère descend à 18h go je devais rentrer avant elle. En prenant mes affaires Luc va essayer de me faire rester mais je refuse en lui disant que ma mère allait me faire la peau. Il me calme en me disant quil voulait qu'on aille plus loin dans notre relation en gros coucher ensemble. Ma réponse non je ne pouvais pas. La phrase qui suivra me fera réaliser un peu trop tard ma bếtise. Sur un ton il me dit mes amis sont là on avait prévu un petit truc entre nous ne fait pas ta dịfficile les filles de ta classe n'ont pas été aussi chiante je voulais ouvrir la porte mais impossilble il blogue ma main. Je suis prise de vertiges qu'est ce qui ce passe. Tout tournais autour de moi il avait mis quelques choses dans ma boissons. Il me porte sur son épaule et me jette sur son lit. Le reste je n'ai pas besoin de vous le raconter en détail à tour de rôle lui et ces quatre amis Vont me violer un seul d'entre eux n'avait pas eu le courage de le faire Xavier. Quand ils ont finis ils vont se mettre à se moquer de Xavier. Luc et Roland Viennent dans la chambre et me disent Luc: Habille toi et fou le camp. Merci pour l'après midi. Roland : Est-ce qu'elle peut marcher on à pas été tendre avec elle. Si tu en parles à quelqu'un la vidéo va faire le tour du lycée compris? Me dira t'il en riant. iL ne recevra pas de réponse Luc vient vers mnoi pour me lever voilà que ma main glisse entre ces mains. Je pouvais les voir les entendre sentir quil me touchais mais je ne pouvais pas bouger les yeux grands ouverts je ne respirait plus. Les autres garçons sont mises aux Courant Xavier prend peur et veux m'emmener à I'hôpital Roland lui crie dessus Roland: Tu est fou ont va sefaire lyncher. Xavier : Cest votreproblème débrouiller vous. Le quatrième Kevin venant d'un autre lycée c'était lui le caméraman de la bande il dit clairement sans détour Kevin: Tu étais ici tu à tout vue tout entendu c'est comme s tuy avait participer tu va te calmer ok ? ) Luc : Sa mère doit déjà être à sa recherche si elle va chez lune des filles de la classe mon nom va tomber. Elle va débarquer on ne pourra plus rien Kevin était le plus riche c'est lui qui avait le plus à perdre. Voilà quatre fils de riche avec un cadavre sur les bras. Dans leurs panique Roland appelle son père qui en apprenant ce qui céait passer débarque chez Luc. Les 8 parents réunis dans le salon principal ils se demandait comment ils allaient régler le crime que leurs fils venait de commettre. Je n'étais pourtant pas avec eux mmais je pouvais les entendre parler. Louise la mère de Xavier voulais savoir ce qui c'était passer. Kevin voulais mentir mais Xavier dira toute la vérité à ces parents. La mère de Kevin Marlène dira froidement Louise : Ont doit appeler la police Marlène: Si la police arrive ont va leur dire quoi ? Tu dis ça parce que ton fils n'a pas toucher cette fille La mère de Roland, Rachel rétorque en sursautant Rachel : Ont peu donner de l'argent au commissaire ça suffira le préfet de police nous connais bien. Marlène : Ne soit pas bête c'est pas parce-qu'il nous connais quil va couwrir un cadaure pour nous. Le père de Kevin Richard demande à Marlène d'appeler le préfet de police mais Luc refuse Richard: Tu la ferme on a pas à vous écouter crétin Luc: Elle m'a dit que son oncle était commissaire de police tonton Richard. John le père de Xavier sursaute en criant John : Quoi? Tu mêles la nièce d'un policier à vos jeux vous êtes des malades. Marlène: Tu crois quil va accepter un pot de vin en apprenant ce que nos fils ont fait à sa nièce? Le calmne reviens les seul qui n'avait pas encore parler c'était les parents de Luc Paul et Anissa. Luc : Papa dit quelque chose Paul se lève va vers son fils et le gifle sa mère ne s'en mêle pas. Anissa Boganda regarde son fils se faire frapper par son père sans cligner des yeux. Une fois à terre saignant du nez Luc supplie son père à genoux de l'aider. Il le savait son père était un fou il pouvait très bien le liurer à la police non pas pour lui apprendre les bonnes manières mais tout juste pour couvrir sa carrière politique. Les autres parents savais aussi très bien de quoi Paul était capable. Richard ira vers son ami en lui demandant ce quil comptais faire Richard : Ont fait quoi maintenant ? Paul: Prenez vos fils et disparaissez de ma vue. Dira t'il aux femmes qui s'exécutent avant qu'il ne mettent à frapper leur enfant aussi les hommes vont rester dans le salon pour discuter. Une fos dehors sur la terrasse la mère de Xavier vient dans la chambre de Luc et découvre mon corps souillée a moitié nue sur le lit. Elle dit sur un ton triste Louise : Pauvre petite je te demande pardon mon fils ne t'a rien fait mais il aurait dû t'aider. La mère de Luc était derrière Louise elle rétorque Anissa : Je vois des filles entrer et sortir de cette chambre celle là devait nous mettre dans la merde. Louise : tu n’es pas sérieuse tu à entendue ton fils. Anissa : Voilà ce qui arrive quand on cours derrière le gains facile. Arrête de jouer la saintes aVec moi. Louise: Si tu avais pris le temps d'éduquer ton fils on en serait pas là aujourd'hui. Alors ferme la. Anissa : Je te rappelle que ton fils participait aussi et pourtant tu dit l'avoir bien éduquer explique moi Louise : Crois moi une fois que se problème sera réglée je ne laisserai plus mon fils fréquenter Luc. Louise sort de la chambre les deux autres femmes étaient curieuse de savoir ce qui cétait dit dans la pièce. Marlène dira à Rachel Marlène: J'espère que ces deux là ne vont pas nous rouler si mon fils tombent vos fils suivrons. Rachel: Arrête ce n'est pas le moment Marlène. Entre temps il était 20 heures ma mère était bloqué dans le boulot elle m'avait envoyer un message d'aller chercher mon petit frère chez la voisine si seulement elle savait. Après une longue discussion les hommes avaient pris une décision il demande aux autres de les rejoindre au salon. Paul: Luc qui était à la maison quand vous êtes venue avec la fille réfléchie avant de répondre Luc: Personne c'est vendredi le premier gardien était déjà parti et le chauffeur dormait dans sa chambre. Paul : Bien! Qui d'autre savait qư'elle allait venir ici? Luc: Personne a part nous. Kevin: Tu crois qu'elle l'a dit à Éloise? Paul : Eloise pourquoi elle le lui dirai? Xavier : Cest sa meilleur amie Paul: Tu n'a trouvé aucune autre fille il a fallu que se soit la meilleure amie d'Eloise. La fille de mon frère. Thomas : Bravo la journée n'est pas finit pour moi. Richard:C'est un petit problème Thomas : Qu'est ce qu’il y a de petits si la mère appelle chez sa nièce tu n'a aucune idée de ce qui va se passer dans les prochaines heures. Rachel : Luc appelle Éloise et demande lui de dire à sa copine de se faire signe au moins ça calera Luc appelle ma meilleur amie qui s’étonne Eloise : Tu lui à fait quoi vous étiez ensemble non ? Luc : Oui mais elle s'est énervé et ne me répond plus au téléphone dit lui de me faire signe Eloise : Non. Tu es nocives si elle à compris c'est mieux pour elle et ne m'appelle plus laisse la Tranquille Ils étaient calmer le père de Luc regarde sa montre et dit Paul : Anissa prend le chauffeur et le gardien avec voUs trouvez une raison pour aller faire du tapage chez une de vos ennemies. Anissa : Le chauffeur je peux comprendre le gardien j’explique ça comment ? _____________________________________________ Je m'appelle Lyni Conan j'ai 16 ans , Gabonaise d’origine, je suis lycéenne en première .comme je l’ai dis à l’entame de mon histoire j’ai été tuée il y a de cela quelques jours. Tuer par mon petit ami Luc . je ne sais absolument pas par quel miracle je me retrouve quelques heures après dans ma chambre. Voici mon histoire
THE BACHELOR ( La mère porteuse )
838·Stephane MbiandjiPdv de Dimitri Il fait particulièrement froid aujourd'hui, le ciel est d'un gris orageux, je crains bien qu'il pleuve d'un moment à l'autre. - Dimitri es tu bien certain de ce que tu t'apprête à faire? Beaucoup de médias en parleront. Me demande Vladimir, mon fidèle ami assis juste en face de moi. - Oui j'ai pris ma décision, et puis je m'en fou pas mal de ce que ces torchons peuvent dire sur moi. Ma vie privée ne les regarde en rien. - elle ne sera plus très privée après ça... Je ne l'écoute plus essayer de me faire changer d'avis en me donnant mille et une raison de ne pas le faire. Mon verre de cognac en main, je le remu d'une lenteur extrême le regard plonger dans le vide. Ça va faire bientôt un an que j’y pense, je connais les risques et le scandale que cela peut engendrer mais ça reste légale au yeux de la loi, des agences existent même pour ça. Depuis quelques mois l'idée tourne de plus en plus continuellement dans ma tếte. Je sais que c'est la meilleure solution pour moi. Je ne veux plus m'accombrer dans des relations fades et sans avenir. Des relations où chacune qui vient ne recherche que la soif du pouvoir que je peux l'apporter et l'offrir. Je me sens de plus en plus vieux, du haut de mes trente cing ans, je n'ai plus le temps pour des gamineries, le temps qui passe n'épargne personne, même pas moi. Je veux au moins une trace de mon passage sur cette terre et avoir un peu de temps pour le voir grandir. - Bon voilà ce que j’avais préparé avant de venir comme tu ne veux rien entendre. Me dit-il. Je vide mon verre d'un trait et entre mon regard dans le sien, je suis tout oui. - Avis de recherche. Il commence > - Parfait. Je dis - Tu penses qu'elles viendront nombreuses? - Je suis Dimitri Petrov, Vladimir. Rien que mon nom fait soulève des foules alors elles viendront. Toutes les femmes sont attirées par l'appât du gain comme des abeilles sur du miel. Elles sont prêtes à tout. Elles sauront que celle que je choisirais pour devenir la mère de mon enfant sera à l'abri du besoin pour le restant de ses jours. -Tu as certainement raison. - J'ai toujours raison, tient le pour dit. Je me lève et me dirige vers la grande fenêtre qui me fait face et j'observe avec attention la ville qui m'a vu naître. Quelques gouttes d'eaux commencent à tomber du ciel. - Tu as une préférence de classe? Me demande Vladimir. - Non je suis habitué à toutes la hautes sociétés et regarde où j'en suis toujours aujourd'hui? Toutes les catégories de femmes seront acceptées tant qu'elle respecte mon critère féminin. - OK je préciserai alors que toutes les catégories de femmes sont acceptées. - Bien. - La sélection se fera par toi, je suppose? - Biensur que non. Je me retourne et le regarde. Ça sera toi la personne chargée de les sélectionnés mon cher ami. Qui d'autre me connais mieux que toi? Tu sauras celles qu'il me faut, je te laisse carte blanche mais n'oublie pas... - Elles devront au moins respecter quelques aspects de tes critères féminins. Quelle confiance tu me fais là. Dit il en affichant un large sourire. Je secoue la tếte - Entre nous combien seront elles sélectionnés? Il Continue - Trente, et c'est seulement après que j’entrerai en scène. Narrateur externe Connaissez vous le concept de mère porteuse ? Le milliardaire Dimitri Petrov est un homme d'une beauté froide qui ne croit plus en l'amour depuis bien des années. Malheureusement le temps passe et l'âge avance, maintenant âgé de trente cing ans, il lui faut à tout prix un héritié. Plus besoin de faux semblant, et de fausse promesse, les termnes du contrat sont clairs. La femme choisit pour devenir la mère porteuse de son héritié sait à quoi s'attendre. Elles seront trente sélectionnés pour vivre dans une énorme villa avec lui et à la fin une seule aura cet honneur et un compte en banque bien chargé. Qui sera la mère porteuse de l'héritier Petrov?
AMOUR & INCESTE ( LE CHOIX )
990·Stephane MbiandjiBadra : et si je refuse d'épouser Amizo ? Et si je dis que je ne compte pas l'épouser ? Mon père : sache alors que tu n'es plus un fils de cette famille, je te renie et tu es mis en retrait de tous ce qui concerne la fortune de cette famille Badra : quoi ? Non tu ne peux en aucun cas faire cela Mon père : tu vas alors épouser ta cousine, tu sais très bien que dans cette famille c'est toujours comme ça, ta mère c'est ma cousine , les femmes de mes frères c'est aussi leur cousine donc tu feras pareille Badra : mais je n'aime pas Amizo et elle ne m'aime pas non plus donc laisse moi épouser celle que j'aime en plus je ne suis pas pressé de me marier aussitôt. Mon père : jamais , notre fortune restera entre nous, on ne se mélange pas tu es bien conscient de cela Badra : et si Amizo ne veut pas de ce mariage ? Mon père : elle ne pourra jamais dire non à son père comme toi tu le fait puisque depuis que vous êtes petits elle et toi savez que vous serez tôt ou tard mari et femme , elle sait déjà fait une entité de cette coutume donc elle n'y s'opposera jamais en plus je la connais , c'est la mieux éduqué de toutes les filles dans cette maison Badra: très bien, je vais l'épouser et sache que je ne le fait pas parce que j'ai peur de ne plus être ton fils, je le fait par ce que je ne veux pas perdre mon statut dans l'entreprise et dans cette maison Mon père : ravi de le savoir Badra : je sais c'est du chantage que tu me fais et je vais y succomber Mon père : tu le sais déjà et tu es un esclave de l'argent donc tu na pas le choix Je sors en trombe de ce salon et tombe sur Amizo dans la cour. Puisqu'on habite la même maison juste chaque frère a son territoire avec sa femme et ses enfants. C'est une maison qui peut héberger jusqu'à dix famille Peuls . Mon père et ses frères ont voulus rester dans la même concession comme l'a fait nos grands pères aussi et Amizo est ma cousine directe. Elle me fait son plus beau sourire et je lui rend un sourire plus que diabolique, un regard qui fait froid dans le dos ce qui fait qu'elle perd aussitôt son air joyeux. _____________________________________________ Les Peuls , plus connus sous le nom de « Mbororo » est une communauté beaucoup plus localisée a l’extrême Nord du Cameroun . Facilement identifiable par leur traits phénotypique , ils ont un « teint cuivré, des cheveux peu crépus, un nez étroit, des lèvres minces et un corps mince et musclé » . ils ont une particularité, celui de conserver leur richesse et empêcher les étrangers de s’en emparer.. Conserver pour vous à l’air normal ou alors je dirai même banale mais est-ce que vous saviez que cette conservation implique d’épouser sa sœur et même sa cousine pour pérenniser le patrimoine familial? Dans la majeure partie des cas C'est toujours les femmes qui souffrent dans le mariage, c'est toujours elles qui sont dénigrées par leur belle famille et au passage par la société mais savez vous que nous les hommes nous sommes souvent aussi dans l'incapacité d'être heureux avec notre épouse. Nous souffrons en silence puisqu'il y'a un dicton qui dit touiours « l'homme dans sa vraie nature ne pleure jamais » et jusqu'où nous allons tenir? Jusque où ? Badra Aliou Yara de mon vrai nom , Peul de père et de mère ‚contraint d'épouser la femme de ma vie pour en épouser une autre qui n'est rien d'autre que ma cousine à cause de ma famille pour les rendre fiers. Vais-je aimer un jour cette cousine , jamais au grand jamais. C'est l’autre je veux et dont je voudrai pour toujours.
JUDA EST UNE FEMME
193·Stephane Mbiandji1 Corinthiens 15 : 33 « Ne vous y trompez pas : les mauvaises compagnies corrompent les bonnes moeurs.» La Bible nous révèle que recevoir l'amitié de Dieu dépend du comment nous voyons nos relations avec autrui et notamment ceux que Dieu agrée. cela est important pour nous. Le premier point, c'est qu'il faut aimer Dieu, le second point, est qu'il faut se faire aimer par Dieu et troisième point, il faut aimer ceux que Dieu aime. Mais comment y arriver ? Les humains ont une sensibilité spéciale en matière d'amitié, nous avons tendance à absorber ce qui nous entoure, un peu comme une éponge, et bien souvent, des impuretés se collent à eux. Notre Créateur sait très bien que les humains imparfaits sont influencés, en bien ou en mal, par les personnes qu’ils côtoient. C’est pourquoi il nous donne ce sage conseil : « Qui marche avec les sages deviendra sage, mais qui a des relations avec les stupides s’en trouvera mal. » (Proverbes 13:20). Un dicton dit : « dis moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es ! » fréquenter les personnes positives, les personnes qui veulent réussir comme vous. Les personnes négatives ne peuvent que vous alourdir et vous ralentir. Prier pour elles, dites leurs la vérité et détournez vous d'elles, vous ne les changerez pas. Le Saint-Esprit le peut, pas vous. Le négatif, le pessimisme, le doute, l'incrédulité sont très contagieux. Ils vous affectent intérieurement et polluent vos pensées. Parfois ceux qu’on aiment le plus , sont ceux qui nous brise profondément. Et ce qu’on déteste est toujours ce qui est convenable pour nous . ______________________________________________________________________________________________ -Comme tu mets ma copine dehors et bien sache que je la suis - putain quand est-ce que tu comprendras que cette fille n'est pas ton ami et que tout ce qu'elle fait c est pour son intérêt personnel ? - au revoir.. - reviens ici rapidement, je suis ton mari et tu dois m'écouter. #JUDA_EST_UNE_FEMME
UNE TCHIZA FAVORISÉE
170·Stephane MbiandjiBonjour le monde ! Moi c'est Lyly , j'ai 24 ans et toujours Célibataire . Je sais c'est pas du tout évident . Bon je vous raconte un peu sur moi. Je travaille dans une entreprise de marque, en tant que gestionnaire de compte. Et mon patron putain !! je vous dit pas vous avez compris. Et désolée il est marié, reste a voir , bon je rigole quand même Bon il est homme d'affaire déjà, il est embassadeur d'une marque et fait la promo des lignes de vêtements et du coup sa vie est faite quoi . Mais azy Et la ça fait 1 an que je travaille pour lui mais sincèrement que le travail nous lie en faite , rien de plus, Nada. Même si je sens un petit truc dans son regard mais bon ça ne m'intéresse pas je fais gaff . C'est mieux pour éviter des trucs. Et pour terminer , je suis totalement indépendante. J'ai des parents mais bon Voila quoi. J'ai perdu ma mère et mon père dans un accident de voiture i'avais juste 11 ans je m'en rappelle comme si c'etait hier . Je me suis battue toute seule pour en arriver là ou je suis . Avec l'aide de ma tante qui m'a élevé biensur mais après dès que j'ai eu un travail j'ai quitté sa maison. On habite plus dans la même ville mais je passe la voir souvent quand j'ai le temps vu que elle aussi n'a jamais le temps elle voyage tout le temps et du coup on se voit presque pas . Mais on se parle a chaque fois , on est en contact c'est le plus important. J'ai une meilleure copine elle c'est Mouna c'est une Guineenne. Et moi j'oubliais je suis libanaise Marocaine bah les deux. Côté sentimentale , Rien , Nada, Walou pas de copain rien depuis 1ans et demi maintenant j'ai pas le temps pour Ça. Il s'est passé tellement de chose pfff pas la peine . Bon bref ... ! Je ne vais pas tout vous révéler, je vous réserve des surprises mdr. Decouvrez les ... J'espère que vous allez kiffer , car il ya encore beaucoup de coup de tonnerre entre. Drame ... Confusion .... Bonheur ... et surtout amour...
INITIÉ À 13 ANS
62·Stephane MbiandjiJe n'avais que 13 ans et jetais déjà le génie de la sorcellerie Lisez mon histoire ....
LA DAME DU TABLEAU
273·Stephane Mbiandji- Je peux te donner le pouvoir de séduire et de mettre dans ton lit la femme de ton choix - c'est impossible - Pas plus que d'échanger avec une peinture - Pas faux. Et qu'avez-vous à gagner en faisant cela - Je veux assister à chacun de ces ébats - Si ce n'est que ça je n'y vois aucun inconvénient Si vous pensiez avoir tout vu , sachez que la vie réserve plus que des surprises
MAÎTRESSE D’UN HOMME MARIÉ
2.0K·Stephane MbiandjiBonjour à vous tous comment allez-vous ? Bien j'espère! En tout cas, moi, je vais très bien. Je m'appelle Vanessa, Helanga Vanessa d'origine congolaise de la République Démocratique du Congo. Actuellement je suis âgée de 39 ans. Eh oui vous pouvez me considérer comme une vieille. Je me dirige vers la quarantaine.. Je suis une femme mariée ayant trois enfants: une fille et deux garçons. Je gagne très bien ma vie, oui je suis auteur. J'écris des romans inspirés de faits réels et aujourd'hui, je fais le choix d'écrire ma propre histoire. Durant mon passé, j'ai commise de nombreuses erreurs, de très grosses erreurs et les conséquences ont été très lourdes pour moi. Des regrets ? Non. Pourquoi ? Car ces erreurs m'ont apporté que du bonheur par la suite. Moi Helanga Vanessa, devenue la maîtresse de ce bel Homme. Cet homme qui chamboulera toute ma vie.. […..] 18 ans en arrière… Vanessa helanga Me voilà dans la rue, simplement âgée de 21 ans. Mes parents viennent de me mettre à la porte pour des raisons que je ne comprendrais jamais, quelle pauvre fille je suis. Pourtant j'ai essayé de comprendre quelles étaient leurs raisons mais en vain. Pour mes parents et surtout mon père, je n'étais qu'une petite traînée qui passait son temps à faire des avances envers tous mes oncles. Mais quelle idée ! Moi draguer mes oncles ? Les frères de mon père, mon sang ! Comment aurais-je pu faire une chose pareille ? Dites le moi clairement ! Comment cela a pu se dérouler ? 3 Mars 1998, chez mes parents.. Je dormais paisiblement dans mon lit car je n'avais pas cours de toute la journée. Je profitais pour faire ma grâce matinée. J'étais en deuxième année de ma licence en droit. Oui j'aimerais devenir juriste, j'en étais passionnée. Je ne vous le fait pas dire mais j'étais très intelligente. J'avais obtenu mon bac avec mention très bien et j'étais la fierté de mes parents et surtout dans ma famille. Enfin bref, je dormais lorsque ma mère est venue en hurlant d'insultes dans ma chambre. Maman: Vanessa yo ! Ndumba salité ! Lamuka niama zobat !* (*Sale pute ! Réveille toi imbécile !) Je ne comprenais absolument pas. Elle vint enlever la couette et me donna une énorme gifle qui fit siffler mon oreille.
FATMAGUL L’orpheline
419·Stephane Mbiandji_ FATMAGUL. Cria Aissata _ Oui soeur . Répondis-je _petite orpheline! Tu as tué tes deux parents et maintenant tu m'as pris ma mère. Affirma-t-elle _mais soeur...je ... (en pleurant) _tais-toi meurtrière tu quittes cette maison dès aujourd'hui ! Ce fut ces derniers mots avant de jeter mes affaires contenues dans une petite mâle à la figure et me claquer la porte au nez sans que je ne puisse riposter ...... Découvrez l'histoire de fatmagul l'orpheline .... #FATMAGUL_LORPHELINE
LA JOUEUSE
72·Stephane MbiandjiLes nuits dans la ville de Dakar était la rencontre des putes sur les trottoirs. Sauf que moi j'en était pas une je ne vendais pas mon corps non Je jouais de mes atouts Je l'ai rencontré le seul hic était qu'il me connaissait trop bien et ça je ne voulais pas de ca J'ai voulu jouer avec lui sauf qu'il était trop intelligent pour moi il me découvrit et me laissa tomber comme une merde Avant lui j'étais une joueuse Avant lui je n'aimais pas Avant lui j'étais un bloc mur incassable Moi: Hamza laisse moi tout t'expliquer ça peux pas s'arrêter comme ça tu peux pas me laisser ansi Hamza: au revoir très chère Khadijah comme tu as dit toi et moi ce n'était qu'un reve éveiller Moi: je t'aime hamza Hamza: alors continue de m'aimer car je ne taime pas. *** Ah enfin on était le week end boulot de merde je pouvais enfin profiter de ces deux jours. Je dois aller aller à la chasse ce soir. Et oui sauf que les animals ce sont les hommes rien qu'eux ces idiots qui se croient trop intelligent en voulant me mettre dans leur lit pour moi la vie est un jeu un énorme monopoli j'adore jouer avec les gens trop méchants vous me direz. Mais donner mon Coeur ne fais pas partis de mes projets je suis plus tôt une sadique j'aime piqué la ou ça fait mal j'aime faire mal c'est trop bien même si mon meilleur ami me dit toujours d'arrêter cet homme c'est mon sauveur je donnerai ma vie pour lui aujourd'hui demain et pour toujours Rachid est l'homme type beau riche mignon très gentil mais avec un caractère de feu d'ailleurs on vit ensemble. Depuis mes seize ans on se connais depuis mes sept ans il m'a sauver la vie je dirai Rachid a 29 ans exactement et à une fiancée trop belle d'ailleurs c'est moi qui les ai présenté j'ai connu cette filles au super marché trop cool petite mignonne ils sont ensemble depuis deux ans on s'entend super super bien et moi j'ai 23 ans oui j'ai 23 ans j'ai continuer mes études de mes 17 ans à mes 20 ans en France et je vivais avec Rachid ou sont mes parents me demanderiez vous j'en sais trop rien d'après ma mamie ils sont mort depuis que je suis petite à mes deux ans dans un accident de voiture pourquoi je vis pas avec ma grand mère car c'est une sorcière femme méchante aigrie vipère tout ce que vous voulez pour moi ma seule famille c'est la famille Gueye celle de Rachid avec maman Khady et papa Flo c'est tout ils m'ont adopter comme leur fille vue que Rachid est fils unique. Je suis agent conseillère immobilière et décoratrice d'intérieur j'adore mon travail je suis fine de taille petite poitrine cheveux Afro petit visage nez fin bouche pulpeuse et des énormes fesses je suis petite et fais 1m65 Et je met que des talons au bureau à la maison dès basket ou sandale quand je sors je met que des talons. Je m'appelle khadijah oui comme la femme du prophète psl je suis musulmane pratiquante façon si je prie pas Rachid va me tuer donc !! Je suis asthmatique mais alhamdoulilah je traite ça et je vis au Sénégal plus précisément à Dakar en ville dans un magnifique appartement R5 trop bien Je disais c'est le week-end je devais sortir vue que j'ai pas d'amis fille je ne vois que les amis de Rachid et aucun n'oserai m'aborder Rachid les tuerai un à un J'avais choisis comme restaurant celui de l'hôtel pullman vêtue d'une robe rouge avec mes louboutin blanc et un petit sac hermès blanc je sortis dehors j'entre dans ma voiture acheter par Rachid et rejoins l'hôtel Une fois installé les jambes croisées sirotant mon mojito sans alcool bien sure j'avais repérer ma proie de la soirée qui d'ailleurs me regardais intensément je souris discrètement et fis la concentré sur mon téléphone je sentis une présence devant moi sauf que ce n'était pas ma proie c'était un autre homme avec un regard si intense qu'il tuerai quelqu'un Lui: bonsoir Oh my god sa voix Moi: bonsoir Lui: quel âge avait vous Moi:23 ans Lui: je suis un ami de votre meilleur ami Rachid je vous ai vue une fois chez vous sauf que vous vous enfermiez dans votre chambre maintenant levez vous et suivez moi au lieu de regarder un homme qui ne cherche qu'à vous mettre dans son lit Il me prit la main et comme une automate je le suivit dehors il m'ouvre la porte avec un visage aussi impassible il était très beau un regard perçant son costume remplie me prouvais qu'il était très muscler une fois installer il démarre la voiture meme sa façon de conduire était sexy Mon telephone se mit a sonner Moi: allô mon amour Rachid: tu attend quoi pour rentrer Moi: j'arrive Chad Rachid: tant mieux car je risque de fermer la porte et j'ai changer les serrures Moi: je suis pas un bébé Rachid: non tu n'en est pas une mais tu es sous ma responsabilité et tu es une imbécile qui collectionne les hommes pour ensuite les jeter comme des chiens Moi: on se parle après tu commence à m'énerver Je mis mes écouteurs augmente le volume du son c'est une fois garée que je me rendis compte que l'on était bien arriver Moi: merci Lui: hamza mocktar ndiaye Moi: Khadijah el jahrah Diagne Je m'approche de lui et avant même qu'il ne réagisse je lui fit une bise sur la joue et sortis de la voiture Attend vous croyez quoi que celui avec ses potes c'était lui que je voulais impressionné j'ai croisé les jambes pour être plus professionnelle j'ai fait un petit sourire pour qu'il me prennes pour une fille timide je regardais l'autre homme pour qu'il me remarque je savais que c'était un ami à Rachid je l'avais déjà vue et il m'avais plu je savais qu'il serai protecteur s'il pensais que l'autre homme en face voulais coucher avec moi il se dirai c'est la sœur de mon ami je dois pas laisser ça arriver et la bise sur la joue c'était pour le piquer et sentir son parfum sa montre Dior ses chaussures Marc Jacob son parfum hermès il était riche et sa voiture lambo rouge j'avais remarquer chaque détails et lui je le voulais. Bienvenue dans mon histoire khadijah Et je suis une joueuse ———————————————————— Venez avec moi découvrir cette histoire pleine de réalités….
Chuuuuuuuuut Silence
935·Stephane MbiandjiLaurine Passé - 12 Mai 2018 Le silence. Rien que le silence. Je suis seule. Je n'entends rien, ne dis rien, ne pense plus. J'en suis incapable. J'ignore où je suis, ce que je fais, pourquoi ou comment. Je ne sais absolument rien. Mes yeux sont ouverts mais je ne vois pas. Oh si ! Une sensation étrange me parvient ; je crois que quelque chose me touche le bras. Puis le visage. Il me semble que je lève la tête. Je crois. Finalement, ce n'était pas quelque chose, mais quelqu'un. Une femme, à la peau mate, d'une trentaine d'années peut-être. Ou plus. Ou alors moins. Je l'ignore. Ses lèvres bougent. Peut-être me parle-t-elle mais je n'entends pas. Qu'est-ce qu'elle me dit ? Et qui est-elle ? Est-ce que je la connais ? Elle porte des vêtements sombres. Peut-être bleus foncés, ou noirs. Un homme s'accroupit près d'elle et me retire quelque chose des bras. Je me laisse faire. Je baisse les yeux sur ce qu'il porte désormais. Un bébé. Pourquoi porte-t-il un bébé ? Je crois que c'est une petite fille. Elle est jolie, mais elle ne bouge pas. Est-ce qu'elle dort ? Ses yeux sont fermés. Elle dort. Je me sens vide d'un seul coup. Plus encore qu'il y a quelques secondes. J'ignore comment j'y parviens, mais j'en comprends la raison. Ce bébé était dans mes bras et il me l'a prit. Il s'éloigne. Je me lève difficilement. Je vacille. Mes membres ne me suivent presque pas. Je dois forcer sur mes jambes pour me lever. Je ne fais pas attention à tout ce monde dans cette pièce et suis l'homme qui m'a volé ce qui m'appartient. Je tangue. Mes pieds n'avancent pas très vite. J'ai mal. Un homme m'empêche de continuer. Il me tient par les épaules. Son contact me dérange. Me brûle. M'irrite fortement. L'homme que je veux suivre disparaît de mon champ de vision pendant que l'autre me tient plus fermement encore. Ils n'ont pas le droit de me l'enlever ! Je hurle de toutes mes forces pour faire réagir ceux qui m'entourent mais personne ne bouge. Ils doivent arrêter cet homme ! Pourquoi ils ne font rien ? Je ne comprends pas. Ce bébé m'appartient. Il faut qu'il me le rende. Je hurle. Encore. Et encore. Mais personne ne me ramène le bébé. Je crois que je me débats. Je frappe quelqu'un. Puis la force me quitte soudainement. Je n'ai plus d'énergie. Plus rien. Plus aucune force. Et je tombe. Quelqu'un me rattrape et mes yeux sont rivés au sol, sur une rivière rouge. Je ne vois que du rouge. Plein de rouge. Beaucoup trop de rouge. J'aime le rouge, mais pas celui-ci. Il est trop foncé. Trop sombre. Ça me fait peur, je crois. Alors je détourne le regard tout en sombrant de plus en plus. Je croise le regard d'une femme. Ses yeux sont bleus. Elle est jolie. Pourquoi est-elle couchée au sol ? Elle aussi porte beaucoup de rouge et je n'aime pas ça. Ça ne lui va pas. Mes paupières se ferment lentement et les ténèbres m'accueillent à bras ouverts. Suis-je en train de mourir ? Je l'espère. Sa présence m'apaise. Il me fait oublier les ténèbres dans lesquels je suis plongée depuis cette terrible soirée. Il me donne l'impression d'être de nouveau moi-même, mais cette fille-là est morte il y a plusieurs jours, et je ne peux plus être heureuse. Je n'en ai plus le droit. Je suis seule. Seule pour l'éternité. Ma mère est partie, mon père l'a suivie. Mon frère a fait de même, et mes sœurs l'ont imité. Quant à moi, suis-je réellement là ? Je suis peut-être présente physiquement, mais je suis morte à l'intérieur. Mon cœur est vide et je suis détruite. Anéantie. Il a volé ma vie. Mon identité. Ma voix. Je ne dois compter sur personne. Sauf peut-être sur lui. #Chuuuuuuutttt_Silence
NARTÉO
202·Stephane MbiandjiLe plus grand ennemi de L'Homme c'est lui même, il y'a certains qui sont nés juste pour nuire.Si il n'y avait pas l'existence d'un Dieu quelque part, beaucoup d'autres seraient 6 pieds sous terre voilà comment Nartéo l'a apprit de ses dépends, lui qui est rentré dans son pays d'origine pour connaitre la véritable cause du décès de sa mère.ll a apprit qu'il y'a des loups qui sont vêtus de peau d'agneau et que ce sont certains de nos amis(proches) qui mettent à jour nos ennemis de nos faits et gestes mais Dieu a et aura toujours le dernier mot... Ce livre contient tout et rien à la fois..évidemment je suis responsable de ce que j'écris mais pas responsable de ce que vous lisez... #NARTÉO
AU CŒUR DE LINIMAGINABLE
12·Stephane MbiandjiLe mal règne partout autour de nous et on croit souvent connaître les personnes qui nous entourent mais l'histoire d'Awa va changer toute votre vision du monde. C'est ainsi qu'un petit pays d'Afrique de l'ouest va se retrouver secoué par les révélations d'une jeune fille. C'est sous le pseudonyme d'Awa Bah que la jeune Malienne va littéralement gifler les réseaux sociaux avec ces déclarations qui ne vont pas manquer de défrayer les discussions au sein de plusieurs foyers. Tout en restant dans l'ombre elle va pousser tout un gouvernement à ce déshabiller devant le monde ce qui va la mettre sur la liste noir de l'une des organisations criminels les plus dangereux de sont pays. "Elle doit ce taire et cela au plus vite." Mais qui peut vraiment faire taire une fille qui selon c'est propre dire n'a plus rien à perdre et qui ne cacherait son identité que dans le seul but de pouvoir racontée son histoire jusqu'à la fin. Sachant très bien que les seules personnes qui pourront la reconnaître ne seraient nuls autres que les membres de sa propre famille. Qui en dévoilant son identité se verront dans l'obligation de donner des réponses. Awa Bah va parler elle ne va pas se contenter de parler. Elle va mettre beaucoup de personnes devant le fait accompli et pousser plusieurs d'entre eux à faire leur Mea-culpa devant le monde. Elle va parler de crime organisé au sein du monde politique. Le monde sera choqué de voir combien de choses sont faites devant eux sans qu'ils ne s'en rendent compte. Je m'appelle Awa Bah (Pseudonyme) j'ai 18 ans jour pour jour, je suis issue d'une famille pauvre de 7 enfants. À mon âge la majorité des filles ici sont déjà mariées et élèves des enfants. Ils diront en écoutant mon histoire que si mes parents m'avaient marié je ne serai pas ici sur les réseaux sociaux à dire tout ce que je m'apprête à dire. Et bien je leur demanderai d'écouter mon histoire après ils pourront se faire leur propres opinions. Je n'ai pas trouvé une autre plateforme pour mieux atteindre tout le monde. Alors oui c'est ici que le linge sale sera lavé et tout le monde va se mouiller! Une pute ont ne la touche pas dans la journée mais tard dans la nuit quand personne ne regarde. Qui sont ces femmes cela n'intéresse vraiment personne. J'ai passé beaucoup de temps à réfléchir et je suis maintenant prête à montrer au grand jour la vérité! Je vous fais gagner à vous et à moi du temps. Les menaces in box ne vous rapporteront rien. Dans ma vie je n'ai plus grand-chose à perdre. Arrivée à un moment les membres de ma famille sauront que celle qui parle c'est moi mais ils vont aussi comprendre que je ne me sens plus concerner par leur états d'âme. iLs choisiront de parler et ils devront aussi expliquer le pourquoi du comment! Mes révélations vont peut-être vous choquer et pourtant c'est une triste réalité, je ne dirais jamais rien sans preuve. À chacune de mes publications suivrons les preuves, pour que tout le monde soit sûr que je ne suis pas ici pour blaguer mais pour vous faire part de cette vie que j'ai menée avant d'y mettre fin. Comme je l'ai dit je n'ai plus grand-chose à perdre donc un bon entendeur...! ________________________________________________________________________________________ c'est l'histoire de Awa Bah. Une histoire parmi milles que l'on entend mais que l'ont ne raconte pas à haute voix à cause des tabous qu'elles comportent. Awa Bah va devenir l'ennemie juré de toutes une Organisation criminelle qui va vouloir la faire taire à tout prix. Comment ce fait-il qu'une jeune Malienne a peine sortie de l'adolescence se retrouve dans ce réseau infâme ? Va-t-elle s'en sortir? Tout ce que je peux vous dire c'est que Personne ne connait vraiment son voisin. __________________________________________________________________ NB : inspiré d'une histoire vraie #Au_Coeur_de_Linimaginable
JE SUIS EN ENFER
445·Stephane MbiandjiPdv de Katelyn - Mets ça. Dit Antonio en me lançant une belle robe sur la tếte - Où vat on ? Je demande hésitante - Une soirée organisée par un membre de la société. Je ne demande rien de plus et pars prendre ma douche et me change. Je lave mon corps tuméfié, mes hématomes me font un peu mal mais je ne dis rien et n'essaye même pas de pleurer. Pourquoi faire ? Au fil des ans ,j'ai appris que pleurer ne me serait d'aucune utilité, je dois juste encaisser et me taire et cela même si une partie de moi crie vengeance. Vengeance ? Laisse moi rire ! Un homme aussi robuste , méfiant, arrogant, mysogine. Comment pourrais je me venger de lui ? Je m'habille , me maquille et rejoins Antonio . C'est tout ce que je peux faire ... Me contenter d'être jolie et me taire. Même si je sais que certaine personne me trouve soumise ... C'est la meilleure méthode que je connaisse et aussi celle qui m'a permis d'être encore en vie. Nous montons en voiture et nous nous dirigeons vers ce fameuX endroit. Je ne sors presque jamais , et les seules occasions que j'ai de voir dehors , ce sont celles ci, c'est a dire être accompagnée de mon "cher mari" pour aller à une fête ou alors pour sauver les apparences devant les journalistes. Antonio a changé du tout au tout depuis , notre mariage.Je dirais même que c'est une autre personne. Il est malade psychologiquement. Pas besoin de diagnostic pour voir ça en tout cas. Parfois il est doux et parfois violent. Mais je n'arrive pas à le cerner. **** Deux ans plus tard après non mariage ... - Mon amour !!! Je suis désolé !! Pardonne moi! Pardonne moi. Dit l'homme qui vient de me martyriser a l'instant. Il m'a battu parce que son secrétaire m'a addressé la parole et que je lui parlais aussi . Son secrétaire est quelqu'un de gentil et il ne faisait que me faire rire pendant quelques temps. Lui au moins m'avait remonté le moral avec ses anecdotes ... Antonio l'a frappé à mort, puis l'a viré . Ensuite il m'a frappé, car selon lui , je flirtais avec Sam. Maintenant que je baigne dans mon sang, il panique et me soigne. Je me suis réveillée quelques minutes plus tard à l'hôpital et Antonio a fait croire a tout le monde que j'étais tombée des escaliers. Je ne peux rien dire dans l'état où je suis .Je peux juste fermer les yeux , comme je le fais toujours. Après cela , Antonio a engagé UNE secrétaire avec qui il baise souvent. Lorsque cette femme vient à la maison, elle ne râte aucune occasion de se moquer de moi ou alors de me rabaisser. Si seulement , elle savait que je me foutais clairement d'elle et de son Antoni0 ... ... **** Arrivés à cette soirée , Antonio est parti discuter avec certaines personnes , me laissant seule debout devant une table. Je profite de cette soirée pour boire . Et quelle ne fut pas ma surprise, lorsque j'aperçois Olivia ; la secrétaire d'Antonio , venir m'accoster. - Bonsoir Katy ! Mais dis moi , tu ne m'a pas l'air en forme ! Ta peau est toute blanche, on dirait une morte vivante ! Elle rigole Je continue de boire et lui réponds -"Katy" ? Tu m'as prise pour ta copine ou quoi? La SECRÉTAIRE, ou devrais je dire, Le PASSE TEMPS de mon mari , mis à part cela tu ne sers strictement à rien. Je me demande encore Pourquoi Antonio ne t'a pas encore renvoyée . Ah oui ! C'est parce qu'il ne s'est pas encore lassé de toi. Elle serre les dents colérique et me regarde mal - Moi au moins , je sais comment le satisfaire, sinon il ne viendrait pas me voir aussi souvent! Il faut dire que lorsque Antonio part la voir, Ça me fait des vacances , si seulement il pouvait se marier avec elle et me foutre la paix ! Je souris à Olivia, puis lui jette ma coupe de vin bien rouge , en pleine face. . - Oups ! Je suis désolée! - Espèce de ... -Qu'est ce qui se passe ? Intervient Antonio Je me crispe instantanément , ce qui ne passe pas inaperçu aux yeux d'Olivia. Elle sourit. - Elle m'a versé du vin dessus. Lance t elle - Et alors , tu n'as qu'à nettoyer. Répond Antonio - Mais ... Mon amour. Je m'étouffe presque avec le reste du contenu de mon verre , Antonio lui serre le bras. On dirait qu'il va le casser. Olivia grimace de douleur , alors par pitié je pose ma main sur celle d'Antonio , lui sollicitant silencieusement de la lâcher. Il la lâche, puis nous partons . Dans la voiture, Antonio me sourit heureusement - Tu es jalouse d'Olivia ? - Non. - Mais alors , pourquoi tu lui as versé du vin dessus ? - Si tu veux tout savoir , c'est qu'elle m'ennuyait , et puis.. Je me tais , si je dis un mot de plus, je sais très bien ce qui peut m'arriver. -Et puis quoi ? Insiste Antonio - "Si tu pouvais partir pour toujours avec elle et ne joutre la paix , ça me ferait grave plaisir ." C'est ce que J'aimerais lui dire mais je me contente de répondre simplement. - Non rien. Il pose sa main sur ma cuisse et fait pression sur celle ci. Il m'ordonne clairement de finir ma phrase , mais je ne dis rien et regarde tristement la vue par la fenêtre - Katelyn, finis ta phrase ! Ordonne t il Si je dis ce que je voulais dire, il va me frapper. Et le chauffeur n'en saura rien Puisqu'il y a une vitre qui nous sépare de lui , et même s'il savait , il ne dirait rien. Antonio serre ma cuisse plus fermement de façon à ce que j'ai mal , mais je me réagis pas . Je suis habituée, et à force,je suis devenue une vraie zombie - Katelyn parle ! Il ne va pas frapper mon visage , c'est un endroit trop visible pour les journalistes ... J'en suis sûre. Il veut: " Préserver les apparences" Ma jambe me fait de plus en plus mal, je serre les dents et les yeux , pour empêcher des larmes qui veulent couler . - Je ne peux pas parler ,je sais très bien ce qui va se passer. Je lui dis - Dis le quand même, c'est moi qui suis maître de mes actions. - Je ne peux pas ... Tu vas me frapper ! Des larmes traîtesses viennent en foule et je m'effondre en pleurs , Antonio a l'air d'avoir pitié de moi , mais je ne veux pas de sa pitié! Je veux juste quil me tue. - Arrête ! Ne me regarde pas comme ça ! Je ne veuX pas de ta pitié !! Il me prend dans ses bras, un geste qui m'étonne Et il caresse mon dos , je frappe son torse mais étonnement il ne me frappe pas. - Antonio , je veux juste que tu me tues ! Sil te plaît !Tue moi. Je t'en prie ! J'en peux plus! Il soulève mon menton, essuie mes larmes , et me pousse à le regarder dans les yeux. Ce que je vois me surprends , ses yeux ne sont pas haineux mais il ya de l'amertume, de la solitude et beaucoup de mélancolie. - Je ne veux pas te tuer, parce que je t'aime, tu es mon paradis et mon enfer.Tu me pousses à faire de mauvaises choses, mais aussi des bonnes. Tu es ma vie et je ne peux pas vivre sans toi. Parce que je t'aime Katelyn. Alors s'il te plaît , ne me demande pas de t'accorder la mort. Je me tais , cet homme est fou ! Un homme qui m'aime Vraiment ne me traiterait jamais ainsi ! Il est obssédé! Mon Dieu , comment j'ai pu m'amouracher de ce type ?! Qu'est ce qui m'est passé par la tête ? Comment j'ai pu tomber amoureuse de lui? Et le pire c'est que je crois que je ressens encore un tout petit quelque chose pour lui . Je me dégoûte Où suis-je ? ________________________________________________________________________________________________ Les apparences sont souvent trompeuses. Tout ce qu'on voit n'est pas toujours ce qu'il en est vraiment. Voilà Pourquoi méfiance et violence règne dans ma vie. Si jem'étais méfiée de lui ... Si j'avais écouté mes parents, mes amis. Aujourd'hui je n'en serai pas là. Katelyn est une jeune fille qui s'est mariée avec un homme qu'elle pensait connaſtre... Mais cet homme s'est révélé être .. Son pire cauchemar. Un mari qui la frappe jour et nuit et la traite comme du bétail. Mais un jour elle se révolta ... Venez découvrir les aventures d'une femme blessée, animée par une seule et unique chose: l'esprit de vengeance. NB : Cette histoire contient des scènes de violences et sexuels, ne le lisez pas si vous n'êtes pas mature ou encore si vous êtes sensibles . Merci #Je_Suis_En_Enfer
DESTINS CROISÉS
17·Stephane MbiandjiJ'aurai aimé que cela débute par une routine matinale et se termine par « Ils vécurent ensemble et eurent beaucoup d'enfants dont l'homonyme chacun de vous qui êtes en train de lire mon histoire... » Hélas ! il s'agit de MOI donc cela ne peut être une histoire à l'eau de rose. Parfois je me demande si je n'ai pas été maudite. Calmez-vous ! Je suis croyante je pratique ma religion et je ne rate pas mes prières mais je... bon trêve de bavardage vous allez comprendre du moins je l'espère... Hélène Diouf ma petite mamounette, la meilleure des mamans, la femme de ma vie. J'ai tellement envie de lui montrer de manière permanente en théorie et en pratique que je la porte au plus profond de mon être mais vous savez, mon principal problème c'est que je suis inexpressive. Sans oublier le fait qu'on se dispute beaucoup. Parfois je ne la supporte vraiment pas. On dit souvent qu'il faut montrer aux personnes qui comptent pour nous la place qu'ils occupent dans nos cœurs sachant que la vie peut ne pas nous donner l'occasion de le faire demain mais bon ce n'est pas de ma faute si je n'arrive pas à traduire mes sentiments en mots. Une battante hors pair, ma mère n'engage jamais une domestique pour les taches ménagères. Chaque matin après sa prière, elle prend le plaisir de faire tous les travaux nécessaires pour notre petit appartement. Femme au foyer, combative, énergique et très respectueuse. Elle est ce genre de personne toujours joviale taquine, d'une joie de vivre légendaire néanmoins il suffit d'essayer de voir au-delà de ce qu'elle laisse paraître pour se rendre compte qu'elle est triste et se sent seule depuis la mort de Papa il y a deux ans. Si je reprends ses propres mots, elle ressent toujours ce grand vide, cette solitude et cette peur constante de faillir à sa mission depuis qu'elle a réalisé que là où elle en est, elle est seule dans ce combat consistant à nous guider dans ce monde flou, de satisfaire nos besoins quotidiens, de s'occuper comme il faut de ses enfants dont mon frère jack âgé de onze ans et moi. J'ai constamment l'impression d'avoir tout le poids du monde sur moi depuis ce soir où je l'avais entendu discuter avec son frère tonton Djiby et sortir de tels propos. A partir de ce moment je me suis dite que je n'ai aucunement le droit de la décevoir...Contre vents et marrées je me battrai, embûches sur embûches je supporterai, situations débordantes je maîtriserai, chutes aussi monumentale qu'elles soient je me relèverai enfin fière je m'en sortirai. Quelle pipelette je fais ! Je vous ai narré une partie de ma vie sans me présenter au préalable. J'ai été baptisée sous le nom de Mamy Cira Cissé j'ai 17ans, élève en classe de terminale L2 au Lycée Maurice Delafosse. Teint d'une noirceur d'ébène, taille d'une petite sirène, je suis macha'allah gâtée par la nature et je me sens plutôt bien dans ma peau. Mes amies ont tendance à me dire que je néglige un peu trop mon physique, je ne suis pas la mode, jamais de maquillage etc. Quand est ce qu'elles comprendront que ma façon de vivre, mes décisions qu'elles plaisent ou pas ne regarde que moi et personne d'autre ? Je n'ai tout simplement pas encore le temps de prendre soin de moi. Aussi mouvementée que ma Vie soit , elle mérite d'être vécue... une vie chaotique, de nombreuses aventures tumultueuses, un coeur piétiné, la foi perdue, perdue dans ma propre famille (...) je m'appelle Mamy Cira Cissé. Découvrez mon histoire... #Destins_Croisés
SEXFRIEND
831·Stephane MbiandjiAujourd'hui femme respectée de tous, mariée, mère de trois magnifiques garçons, aimée, désirée, toujours aussi belle et au sommet de son art, Je ne peux me plaindre de la vie que j'ai aujourdhui. Beaucoup de femmes rêveraient d'avoir la chance quej'ai mais aucune ne pourrait accepter mener la vie que j'ai vécu lorsque je n'étais encore qu'une lycéenne... Oui aucune pas même moi si on m'avait demandé de choisir revivre cela. J'ai fait des choses dont je ne suis pas fière mais pourtant je ne regrette absolument rien car chaque nouvelle expérience a contribué à faire de moi la femme forte et dévouée que je suis aujourd'hui. Depuis mon premier rapport sexuel, jen étais devenue accros. Je voulais me faire plaisir tous les jours et peut importe le lieu. Il suffisait que je vois un homme un peu mignon pour que ma libido prenait le déçu sur ma raison. J'étais comme possédée par l'ange de la perversion. Heureusement pour moi quelques années plutard j'ai fait la rencontre de l'homme qui deviendra plutard mon mari et à ses côtés je vis le bonheur absolu. Je m'appelles Ngo Nounca Fara, Nounca pour les intimes. Oui je sais que vous diriez que " oooh encore une bassa'a " mais je m'en moque pas mal car pour moi l'appartenance tribale n'a rien à voir avec la sexualité d'une personne. Aujourd'hui j'ai un an de plus. Je suis une femme âgée de 38 ans et comme je vous l'ai dit plus haut, je suis mère de trois mignons garçons qui font aujourd'hui ma fierté : Ivan c'est l'aîné. Il est âgé de 12 ans ensuite vient Killian âgé de 9 ans et le tout dernier c'est Christian. Lui il a à peine six ans. Mes enfants sont le fruits du bonheur que je vis avec mon mari. Jean est la définition de l'amour même. Il est attentionné, doux, compréhensif, très beau, un peu musclé et grand de taille comme on les aime nous les femmes courtes... Oui je mesure 1,63 mètre.. parlant de mon mari, je dirais que Jean Bissami est un homme d'affaires accompli. Propriétaire de plusieurs entreprises agroalimentaires et de vastes plantations agricoles. L'argent a toujours été le dernier de nos soucis. Nous vivons le bonheur absolu. Il a su me comprendre et me recadrer et aussi c'est le seul homme qui a vraiment réussi a me satisfaire au lit... bref... Je ne dis pas que mes autres mecs et ou plans culs étaient nuls. Mais Jean, lui, a quelque chose en plus. Je ne peux vous dire réellement de quoi il s'agit mais a chaque fois qu'il me fait l'amour je voyage a travers d'autres Univers. Il est unique, sensationnel et très attentionné. - suuuuurprise !!! Joyeux anniversaire maman !!! Crièrent en cœur mes enfants avec un énorme gâteau d'anniversaire posé sur la table et leur papa a côté vêtu comme un guignol sûrement pour donner encore plus d'ambiance a l'événement. Ils Sont si mignons. regardant mon mari et mes fils heureux de me voir heureuse a travers cet anniversaire surprise, j'ai vu défiler sous mes yeux le film de mon passé, de ma jeunesse. Je ne pu m'empêcher de couler quelques gouttes de larmes. Je n'arrivais toujours pas à réaliser que j'avais vraiment failli rater tout ce bonheur? Je vous ai assez parlé de ma vie actuelle et je suis sûr que ça ne vous intéresse pas du tout. Seul mon passé pervers vous intéresse. Pas vrai ? Alors je vais vous raconter chaque détail de ma viea partir de mes Seize ans jusqu'à ma rencontre avec mon mari... Croyez moi c'est pas très catholique alors toutes âmes sensibles et les moins de 18 ans s'abstenir de continuer à lire.
LA DOMESTIQUE
689·Stephane MbiandjiC'est l'histoire d'une jeune fille villageoise qui après le décès de son père fuie avec sa mère en ville car persécutées par la famille au village...Arrivées en ville elles sont accueillies par la meilleure amie de sa mère...Mais ce qu'elle vit en ville va encore beaucoup bouleverser sa vie... bref la vie ne lui a jamais fait de cadeaux...entre pleurs...malheurs..tristesse...et desillusion,zahra trouvera t-elle le bonheur? Je vous laisse découvrir cette nouvelle chronique pleines d'émotions et d'imprevus..
L’insaisissable
76·Stephane MbiandjiDiarra et Anta sont deux sœurs de cœur communément appelé des " meilleures amies " . Elles se connaissent depuis l'époque des bacs à sable et elles étaient carrément très inséparables. Pas l'une l'autre sans l'autre et pas l'autre sans l'une. Cependant elles avaient un atout en commun " la séduction " , se jouer des hommes , prendre leur argent et se tirer des lieux comme si de rien était. Elles aimaient particulièrement une chose : L'argent et le luxe. Elles ne sortaient qu'avec des hommes friqués et si l'homme en question était pauvre, il ya pas moyen qu'il ait une quelconque relation. Néanmoins Diarra était largement plus belle que sa meilleure amie. Elle attirait beaucoup plus d'homme que sa coéquipière de séduction , comme elle le disait si bien . Ainsi donc, au fil du temps , Anta développe malgré elle une très grande jalousie envers celle ci mais bien évidemment Diarra ne s'en doutait pont. Comment sa sœur de cœur pouvait t-elle être jalouse d'elle ? C'est carrément impossible et même impensable. Quand elle voyait certains comportements de Anta, elle se disait qu'elle était peut-être jalouse mais aussitôt elle s'en voulait de penser a une chose aussi ignoble de son amie d'enfance. Au cours des années, l'amertume que Anta nourrissait chaque jour un peu plus envers Diarra devenait manifestement d'une grandeur énormément dangereux. - Anta devines qui me fait la cours ces temps ci ? S'exclame Diarra en entrant dans l'appartement de cette dernière. - Qui xa encore ? Cligne t-elle des yeux. - Le beau et ténébreux Samba ! - Qui ca Samba le commandant de l'armée Camerounaise ? Le riche tu veux dire? - oui exactement . Souria Diarra fièrement. Mais le problème c'est qu'avec lui les choses ne se passent pas aussi facilement comme les autres. Il est très intelligent. - n'oublie pas que c'est un commandant aussi, il est l'incarnation humaine de l'insensibilité et de la dureté . Tu ne le vois pas a la télé quand il parle ? J'ai des frissons . Il me plaît tellement. - Anta revient sur terre. Il est a moi. La coupa cette dernière. - mais tu ne l'aimes pas et tu sais que je l'ai toujours décrit comme un homme idéal. - c'est toi qui va me parler de l'amour maintenant rigola Diarra. - D'accord. J'accepte ma chérie. Façon c'est l'argent qui nous intéresse. Tu as déjà quelques choses de lui? - non . Cet homme est beaucoup trop pieux en plus d'avoir un gros caractère . L'armée a eut un gros impact sur lui et... - Diarra épargne moi ton baratin tu ceux ? Abrégé ! - D'accord. Il m'a demandé ma main . Il ne veut pas d'une relation hors mariage. - non ! Cria celle-ci stupéfaite. Tu mens ? - pas du tout. Souria Diarra fièrement. - Et tu vas accepter ? - oui certes, je ne l'aime pas du tout mais je vais me marier avec lui, je vais avoir un enfant avec lui pour que je sois crédible et quand viendra le moment où j'aurais collectionner assez d'argents et que j'aurais marre de voir sa tronche bah je me barre. - oui c'est une très bonne idée. Dit Anta avec une idée derrière la tête. Deux années après le mariage convenu, Anta voulut passer a l'action. Elle voulait exécuter ce qu'elle a tant concocter pendant ces 24 mois : être la deuxième femme de Samba. - ton fils est très beau ! - oh dis plutôt le fils de Samba car moi vraiment je ne le considère pas. Toi même tu vois que je ne m'occupe jamais de ce petit , c'est seulement quand je vois son père que j'essaie de jouer a la comédie. - oui au fait. Je profite de ce moment pour te dire que j'allais tous faire pour séduire Samba. Je veux être sa femme et je l'aime contrairement a toi . - ça ne te dérangerait pas de partager le même homme que moi? - pourquoi cela me dérangerait combien de fois on a séduit le même homme afin que la somme augmente ? - il s'agit de mariage là c'est différent. Bref fais ce que tu veux. Je sais que rien de ce que je pourrais te dire ne te fera changer d'avis. - tranquille ! Souria Anta. Aussitôt dit , aussitôt fait. Anta était désormais la deuxième femme de Samba sans que ce dernier ne se doute absolument de rien du tout , bien qu'il l'ait déjà vu a son mariage avec Diarra . Néanmoins même si elle était la deuxième femme de son homme idéal, Samba semblait développer plus d'affection envers sa meilleure amie . En réalité la jalousie ne faisait que s'empirer , elle n'en pouvait plus ! - certes j'aime beaucoup Diarra mais là elle me bloque, elle n'aime pas Samba alors que celui ci n'a d'yeux que pour elle. Ça m'énerve et je ne peux plus avoir d'enfants. - hum. - d'ailleurs elle m'a elle même avouer mot pour mot qui si elle ne vivait pas dans un luxe pareil avec autant d'argent, elle s'en irait. Alors je lui facilite simplement la tache. - est-ce que vous êtes sûr de ce que vous faites ? Une fois que vous dites oui , il n'y aura plus de retour en arrière . Répéta le marabout pour une deuxième fois. - qu'elle meurt ! Dit Anta sûr d'elle. - est-ce que une sœur serait-elle capable de commettre une chose aussi dérisoire ? - vous m'avez demandé ma réponse n'est-ce pas ? - en effet ! Affirma le marabout. - je veux qu'elle meurt . Je suis prête a tout donner. Votre prix sera le mien. Une semaine plus tard, Diarra tomba lentement malade. Une maladie qui ni les médecins ni les marabouts ne pouvaient soigner. Elle était en réalité condamnée , il n'y avait plus d'issue pour elle. Finalement, après quelques jours de souffrance incurable, elle rendit son dernier souffle en laissant derrière elle, un fils de 20 ans qu'elle n'a jamais aimé et qu'elle n'aimera jamais... Un fils que l'on appellera plus tard : Momo , L'insaisissable... La question est : Pourquoi le surnomme t'on L'insaisissable ? Découvrons le ensemble dans cette chronique.
LA LISTE
23·Stephane MbiandjiBECCA ÉTAIT ARRIVÉE chez moi vers midi, alors que je faisais mes devoirs, tranquillement. Elle était le genre de personne à débarquer chez quelqu'un n'importe quand, sans prévenir. Mon père n'aimait pas vraiment ça, et il ne se gênait pas pour s'en plaindre, lorsqu'elle nous quittait pour rentrer chez elle. En bref, elle était entrée dans ma chambre, sans même frapper - comme à son habitude. Puis, elle m'avait retiré mes écouteurs de force. J'avais donc arrêter mon lecteur MP3, pour me concentrer sur mon amie. À chaque fois que je la voyais, sa beauté me frappait de plein fouet. Elle était mince, ainsi que d'une grandeur alléchante. Ses yeux étaient bien ronds, d'un vert enviant et une ligne parfaitement bien dessinée rodait sur chacune de ses paupières. C'était sans parler de ses boucles châtaines qui mettaient son visage en valeur. Cette fille était vraiment belle et il était impossible de le nier. « Salut, Becca. Quelle est la raison de ta visite si... imprévue? » dis-je en la regardant, exaspérée. « J'en connais une qui s'est levée du pied gauche, ce matin. » Elle se laissa tomber sur mon lit et sortir son paquet de cigarette. Elle en prit une, au hasard, et ouvrit son briquet. « C'est d'ailleurs celui que tu risques d'avoir dans la figure, si tu fumes cette clope dans ma chambre. » Elle roula des yeux, avant de remettre la clope dans le paquet. Je n'aimais pas qu'elle fume. À chaque fois que je la voyais fumer une clope, je me retenais de ne pas la lui arracher. À chaque cigarette qu'elle prenait, elle perdait des minutes de vie importantes. Becca pouvait facilement gâché sa beauté en fumant. J'avais déjà essayé de la faire arrêter, mais ça n'avait pas vraiment marché. À vrai dire, ça s'était vraiment mal terminée pour nous deux. À la limite, nous nous étions battus parce que je ne voulais pas lui rendre son paquet de cigarette. « Tu sais, tu devrais essayer, un jour. » rétorqua Becca en pointant son paquet de cigarette. Je grimaçai. Je n'avais aucunement le goût et l'intention d'essayer. « Ma mère a déjà développé un cancer. Crois-moi, je compte bien m'épargner ça. » Ma mère avait véritablement eu un cancer. Un cancer de je ne sais quoi dont la seule tumeur n'était pas énorme, mais qui avait été suffisamment horrible pour notre petite famille. Après avoir vu ma mère en souffrir pendant des mois, je m'étais promis de ne jamais rien faire pour augmenter mes chances de développer un cancer. Ça aurait été injuste vis à vis de ma mère. Becca appuya sa tête contre mon oreiller, comme à son habitude. Mon chat, Pritt, sauta sur le lit pour renifler la nouvelle venue. Celle-ci l'aperçu aussitôt. Elle le repoussa, nonchalante. Pritt tomba en bas du lit. J'accourus aussitôt à sa rescousse et le pris dans mes bras, le protégeant des bêtises de mon amie. Je lançai un regard noir à Becca. « As-tu fait le devoir d'histoire sur la révolution française? » me demanda-t-elle en ignorant mon regard noir. « Non, pas encore. Je prévoyais le faire, mais quelqu'un est entré chez moi et m'a arraché mes écouteurs » Becca me fit un petit sourire arrogant qui ne voulait dire qu'une seule chose: elle en était fière. C'était comme ça entre Becca et mol: nous avions une amitié tendue et agressive. Ça nous plaisait bien, à toute les deux. Enfin, c'était ce que nous prétendions. Nous étions toutes les deux du genre anti-sociales, et nous aurions bien voulu le rester, mais la réputation et les binômes étaient importants au secondaire. Alors, nous avions convenu que notre amitié ne durerait que le temps de ces cinq années scolaires. Plus que quelques mois et cette amitié prendrait fin. Certes, nous pourrions garder contact après l'école secondaire, mais ... Mais il y avait un mais. « Bon, eh bien, tu te rappelles des cahiers de Doléances dont M.Cree a parlé au dernier cours? Les cahiers qui permettaient aux Français de libérer leur frustration contre le système. » demanda Becca en s'asseyant sur mon lit. « Oui, je m'en rappelle. Où veux-tu en venir? » Je m'assis à mon tour sur le lit, en reposant soigneusement Pritt au sol. « On pourrait en faire un, nous aussi. Mais plutôt du style liste noire. » Je souris. Cette idée était si excitante en ce dimanche midi. Écrire une sorte de liste noire, c'était géniale. Becca sourit malicieusement à son tour et sortit quelques feuilles lignées du tiroir de ma table de chevet. « Comment penses-tu l'organiser? » lui demandai-je. « On pourrait marquer les noms de tout les élèves que nous connaissons et les classer par un code de couleur. Le vert, ça pourrait signifier que c'est une bonne personne ... » « Le jaune c'est pour une personne que nous trouvons "entre les deux"' et le rouge ... Pour quelqu'un que nous haïssons. » la coupai-je, un sourire illuminant mon visage. Elle hocha frénétiquement la tête. Je courus jusqu'au rez-de-chaussez pour dénicher quelques marqueurs. Puis, avec mes trouvailles, je retournai à l'étage sous le regard inquisiteur de mon père qui dînait en compagnie de ma mère. Celle-ci avait les cheveux plus courts qu'à l'habitude. Elle sortait probablement de chez le coiffeur. Ces quatre dernières années, celles qui avaient suivit la guérison de son cancer, ses cheveux n'avaient jamais dépassé ses épaules. Quand elle avait commencé sa chimiothérapie, ses cheveux tombaient par différentes touffes. Mais elle n'en avait jamais eu honte. Ça devait être une sorte de symbole pour elle. Lorsque j'entrai dans ma chambre, je découvris que Becca avait déjà fini d'écrire la liste de noms. Il ne manquait plus que les couleurs. « Alors, on commence, Lucy? » me demanda-t-elle en levant la tête pour me regarder. J'hochai la tête et la rejoins sur le lit. Je lui tendis les crayons, qu'elle prit rapidement. « Le premier sur la liste est ... Brandon Adams. » me dit-elle. L'image de ce-dernier me vint à l'esprit. Ce grand brun ne m'avait jamais adressé la parole. Si bien que je n'avais rien à dire à son sujet. À vrai dire, il m'avait l'air d'être un type bien. « Vert. » Elle coloria son nom en vert. « Mary Ann Aberline. » commença-t-elle. « Rouge. Cette fille a brisé le cœur de mon cousin, il y a deux ans. » « D'accord. Qui est le prochain? » Elle jeta un coup d'œil à la liste de nom, après avoir reposé le marqueur rouge. « Manon Leblanc, la française. Celle de l'échange étudiant. » Cette fille n'était pas super, ni le contraire. Parfois elle me tapait sur les nerfs avec sa démarche hautaine et sa tignasse rousse. Son accent était si mélodieux que tous les garçons étaient à ses pieds. « Jaune. » Elle s'exécuta en hochant faiblement la tête. Nous étions plutôt d'accord sur tout les noms. C'était une bonne chose. Nous continuâmes ainsi pendant une bonne heure, à énumérer des noms et à les classer. Il y avait peu de personne dont le nom était en vert, mais cette liste était inoffensive de toute manière. C'était simplement pour se divertir un peu. Comment une liste pourrait-elle nous faire du tort? Une fois la liste fini, nous signâmes nos noms, satisfaites de cet après-midi. « Bon, je dois y aller. T'as un devoir d'histoire à faire, il me semble. Tu vas me faire une photocopie de la liste. ? » m'annonça Becca et sortant hors de mon lit. « Bien sur. Je te la donnerai demain. Bye. » Elle me salua à son tour et quitta la pièce en faisant claquer ses talons hauts. Aussitôt qu'elle fût parti, je remis mes écouteurs dans mes oreilles et m'assis sur mon sofa. Je pris la liste et la relue tout en caressant Pritt. Brandon Adams [vert] Mary Ann Aberline [rouge] Manon Leblanc [jaune] Luke Cooper [jaunel Allen Logan [rougel Abigail Chatterton [rouge] Ivy Kent [vert] Jade Dalton [jaune] Jacob Conley [rouge] Finn Maxwell [jaune] Emily Ann Hamilton [rouge] Frederick Bauer [rouge] Avery Grace Bradford [vert] Isaac Belvedere [rouge] Janet Allister [jaune] Kiara Richards [vert] Oprah Gordon [jaune] Parker Green [rouge] Kate Hill [jaune] Charlotte Austen [rouge] « Tout va bien, Lucy? » Je sursautai, faisant fuir Pritt. Mon père se tenait dans l'embrasure de la porte. Ne lui avait-on jamais dit qu'il valait mieux frapper avant d'entrer? Cette habitude qu'il avait de débarquer à l'improviste dans ma chambre, c'était presque autant désagréable que le bébé intrusive de Becca. Je reposai la liste en me disant que je pourrais poursuivre ma lecture plus tard. « Ouais. Tout est... Ok. » lui répondis-je. « Bon, dans ce cas. Ça te dirait d'écouter un film avec ta mère et moi? » J'hochai la tête et me levai. Mes parents étaient des grands amateurs de cinéma. Au moins deux ou trois fois par semaine, ils me proposaient d'écouter un film avec eux. Je commençais à me lasser de voir tout ces films à la con, mais comment leur dire non? Je suivis mon père jusqu'au rez-de-chaussez, oubliant ce fichu devoir d'histoire. En descendant les escaliers, je repensais à cette liste noire que nous avions écrite. C'était enfantin, voire ridicule. Nous avions passé l'après-midi à écrire une stupide liste simplement pour le plaisir de juger les gens. C'était bien inutile. _____________________________________________ Lucy croyait écrire une simple liste noire. Et puis, une personne mit la main sur cette liste. C'est là que les choses ont dérapé. Après tout, les listes noires peuvent cacher bien des choses. Et ces secrets peuvent vous coûter la vie.
MARIAGE FORCÉ
580·Stephane Mbiandji"Dring, dring"... Mais qu'est ce qui me nique encore le sommeil? Ah oui, c'est mon réveille qui indique 6h oo. L'heure de me bouger et aller a la fac pour mon 1er jour de cours à Paris. J'ai fais tous mon cursus scolaire en Guinée et après mon bac, je suis venu pour mon université chez ma tante Hasso (Hassanatou). Je me lève, fais ma toilette et m'habille avec un pantalon noir, un haut large, des baskets noirs blancs et mon sac a dos. j'aime pas les sacs a mains (oui, oui je suis un vrai garçon manqué). Je pars dans la cuisine et trouve ma tante entrain de préparer le repas -Moi: Bonjour -Elle: Bien dormi? -Moi: Hamdoullilah Je me sers des céréales et commence à manger quand ma tante me dit: -Elle: Marianna quand tu reviens de l'école, je dois te parler -Moi:Euh ok pas de problème j'y vais je veux pas être en retard pour mon 1er jour. je lui fais la bise et sors prendre le bus. Arrivée à l’école, je me dirige vers le secrétariat qui me donne mon emploi du temps et je pars dans ma classe. Heureusement qu'il n'y a pas beaucoup de monde, je m'assois au fond. La cloche sonne, la classe se remplit petit a petit et le cours débute. 15 mins plus tard, alors que je suis concentrée, je sens un léger coup de pied au tibia, je tourne la tête et vois un garçon qui a l'air d'être un arabe -Moi: T'as un problème? Lui: Déstresse, je veux juste savoir comment tu t'appelle -Moi: ça peut pas attendre la fin du cours? -Lui: Je m'ennuie la -Moi: Ok. Je te dis mon nom et tu me fou la paix. C'est Marianna. -Lui: Moi c'est Salif -Moi: Cool je peux suivre maintenant merci -Lui: azy c'est bon de toute façon t'es trop coincée -Moi: C'est ça oui. -Lui: Pffff... Je lui fais un tchip de 5 secondes ( je suis trop forte dans ça je suis une africaine qui se respecte quand même). Les cours se termine et je me dirige directement vers la cantine tellement j'ai faim (La nourriture et moi une vrai histoire d'amour). Je prend mon déjeuner et m'assois a une table vide puis commence a manger. Au bout d'un moment, je sens une silhouette devant moi, je lève les yeux et vois trois filles entrain de me fixer. -Moi: Vous voulez quoi? -Fille 1: T'es à notre table. Je regarde autour de moi et vois que tous le monde nous fixe avec des yeux ronds. je comprend directement que c'est la garce de l'école avec ses toutous. Je les ignore et retourne à ma nourriture quand l'une d'elles tape la table ce qui renverse toutes mes pâtes. La c'est trop, je suis énervée comme pas possible surtout que j'ai très faim. je remet toutes les pattes dans l'assiette et les jette sur le visage de celle qui les avaient renversés. - Fille 1: Non mais ça va pas ? - Fille 2: T'es tarée merde - Moi: Oui complètement tarée alors si vous voulez pas de la merde évitez moi. - Fille 3:(Celle sur qui j'ai renversées les pattes) Tu vas me le payer sale pute. - Moi: Moi pute? Y'a qu'a voir comment t'ai habillée pour savoir qui est la pute - Moi: Au moins nous on voit que nous sommes des filles alors que toi on te confond à mon frangin -Moi: C'est mieux que d'être habillé avec un bout de tissu comme une prostituée bande de garce. Allez vous faire foutre. Sur ce, je me lève et sors. Au bout d'un moment, j'entend quelqu'un m'appeler, je me retourne et vois Salif venir vers moi. - Moi: Tu veux quoi? - Lui: Calme tes nerfs je voulais juste te féliciter la manière dont tu les as remballées - Moi: Je pensais que tu voulais en rajouter - Lui:Non t'inquiètes. Viens je te présente mes potes. Il m'entraîne vers un couloir ou il y'a deux filles et deux mecs entrain de discuter -Salif: Les gars je vous presente Marianna Mecs 1: C'est la fille qui a remballée Mathilde et ses chiennes? Ah la garce 1 s'appelle donc Mathilde - Fille 1: Carrément t'as assurée - Moi: Faut pas me chercher surtout quand j'ai faim - Mec 2: Une vrai noire celle la - Fille 2: J'avoue je te kiffe déjà - Moi: Ah merci On fait les présentations Mec 1: Julien 19ans français mec 2: Souleymane 19ans malien Fille 1: Linda 18ans senegalaise Fille 2: Fatima 19ans metisse marocaine ivoirienne Salif: 19ans Algerien On discute et rigole comme de vieilles connaissance et je me sens déjà proche d'eux. Souleymane sort avec Fatima couple noir/arabe vous voyer le genre, ils passent leurs temps à se chamailler sans raison. La cloche sonne et on entre en classe. […] Eclipse des cours Il est enfin 16h, l'heure de rentrer a la maison. je vois souleymane devant la cours. - Lui: Tu rentres ou? - Moi: Dans le 93 - Linda: Mais on est dans le même coin -Julien: Venez je vous dépose On se fait la bise puis Linda et moi montons dans la voiture de Julien. Devant chez moi: -Moi: J'Habites la - Linda: Je viendrais chez toi un de ses quatre Moi: Ok bye les gars. Arrivé au salon, je vois toute ma famille de france: tantes, oncles... installés au salon - Moi: Euh... Salam aleykoum - T.Hasso: Ah tu es la. Vas te changer, on veut te parler pressée et inquiète de savoir la raison de leur venu, je pars me changer vite fait, je met un pagne et un t-shirt (respect pour la famille hein parce que même le pagne j'avais du mal à l'attacher) puis repars au salon -T.hasso: Assois toi sur cette chaise. Je m'assois sur la chaise qu'elle m'indique et baisse les yeux. Au bout d'un moment, un de mes oncles prend la parole. - Nous sommes réunis ici ma fille pour t'annoncer que tu vas te marier Euh... Quoi??? _____________________________________________ Je me presente, je m'appelle Marianna Sall de père senegalais et de mère guineenne. J'ai 18 ans et je mesure 1m 73 sur 65 kilos avec des formes où il faut. Je suis une fille avec un comportement de garçon c'est pourquoi tous le monde me traite de "garçon manquer". Je suis plutôt gentille mais quant on me provoque je deviens le diable en personne. Je n’hésite pas a dire ce que je pense, j'ai une fierté de dingue mais la vie va m'apprendre à changer et c'est cette histoire que je vais vous raconter. ________________________________________________ Narrateur Externe : Pour sauver l'honneur de sa mere, Marianna une jeune fille avec un fort caractère est obligée de se marier a un inconnu, Ibrahim. Que ce passera-il entre eux? venez le decouvrir.