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THE BACHELOR ( La mère porteuse )

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Stephane Mbiandji
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Chapitres
838
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9.0
Notes

Résumé

Pdv de Dimitri Il fait particulièrement froid aujourd'hui, le ciel est d'un gris orageux, je crains bien qu'il pleuve d'un moment à l'autre. - Dimitri es tu bien certain de ce que tu t'apprête à faire? Beaucoup de médias en parleront. Me demande Vladimir, mon fidèle ami assis juste en face de moi. - Oui j'ai pris ma décision, et puis je m'en fou pas mal de ce que ces torchons peuvent dire sur moi. Ma vie privée ne les regarde en rien. - elle ne sera plus très privée après ça... Je ne l'écoute plus essayer de me faire changer d'avis en me donnant mille et une raison de ne pas le faire. Mon verre de cognac en main, je le remu d'une lenteur extrême le regard plonger dans le vide. Ça va faire bientôt un an que j’y pense, je connais les risques et le scandale que cela peut engendrer mais ça reste légale au yeux de la loi, des agences existent même pour ça. Depuis quelques mois l'idée tourne de plus en plus continuellement dans ma tếte. Je sais que c'est la meilleure solution pour moi. Je ne veux plus m'accombrer dans des relations fades et sans avenir. Des relations où chacune qui vient ne recherche que la soif du pouvoir que je peux l'apporter et l'offrir. Je me sens de plus en plus vieux, du haut de mes trente cing ans, je n'ai plus le temps pour des gamineries, le temps qui passe n'épargne personne, même pas moi. Je veux au moins une trace de mon passage sur cette terre et avoir un peu de temps pour le voir grandir. - Bon voilà ce que j’avais préparé avant de venir comme tu ne veux rien entendre. Me dit-il. Je vide mon verre d'un trait et entre mon regard dans le sien, je suis tout oui. - Avis de recherche. Il commence > - Parfait. Je dis - Tu penses qu'elles viendront nombreuses? - Je suis Dimitri Petrov, Vladimir. Rien que mon nom fait soulève des foules alors elles viendront. Toutes les femmes sont attirées par l'appât du gain comme des abeilles sur du miel. Elles sont prêtes à tout. Elles sauront que celle que je choisirais pour devenir la mère de mon enfant sera à l'abri du besoin pour le restant de ses jours. -Tu as certainement raison. - J'ai toujours raison, tient le pour dit. Je me lève et me dirige vers la grande fenêtre qui me fait face et j'observe avec attention la ville qui m'a vu naître. Quelques gouttes d'eaux commencent à tomber du ciel. - Tu as une préférence de classe? Me demande Vladimir. - Non je suis habitué à toutes la hautes sociétés et regarde où j'en suis toujours aujourd'hui? Toutes les catégories de femmes seront acceptées tant qu'elle respecte mon critère féminin. - OK je préciserai alors que toutes les catégories de femmes sont acceptées. - Bien. - La sélection se fera par toi, je suppose? - Biensur que non. Je me retourne et le regarde. Ça sera toi la personne chargée de les sélectionnés mon cher ami. Qui d'autre me connais mieux que toi? Tu sauras celles qu'il me faut, je te laisse carte blanche mais n'oublie pas... - Elles devront au moins respecter quelques aspects de tes critères féminins. Quelle confiance tu me fais là. Dit il en affichant un large sourire. Je secoue la tếte - Entre nous combien seront elles sélectionnés? Il Continue - Trente, et c'est seulement après que j’entrerai en scène. Narrateur externe Connaissez vous le concept de mère porteuse ? Le milliardaire Dimitri Petrov est un homme d'une beauté froide qui ne croit plus en l'amour depuis bien des années. Malheureusement le temps passe et l'âge avance, maintenant âgé de trente cing ans, il lui faut à tout prix un héritié. Plus besoin de faux semblant, et de fausse promesse, les termnes du contrat sont clairs. La femme choisit pour devenir la mère porteuse de son héritié sait à quoi s'attendre. Elles seront trente sélectionnés pour vivre dans une énorme villa avec lui et à la fin une seule aura cet honneur et un compte en banque bien chargé. Qui sera la mère porteuse de l'héritier Petrov?

mauvais garçonmaturesuspensemilliardaireMariageprincesse

#chapitre1️⃣

Pdv de Léna

Une serviette accrochée autour de ma poitrine, j'ouvre la porte de la douche et me précipite les pieds nus et mouillés vers le téléphone qui n'arrête pas de sonner.

-Allez ne raccroche pas, ne raccroche pas. Je dis comme si la personne à l'autre bout du file pouvait m'entendre et attrape le combiné posé sur ma table de nuit.

Je dégage mes longs cheveux noir mouillés de mon Visage et porte l'appareil à mon oreille.

- Allô mnaman.

Je dis Je sais parfaitement que c'est elle qui se trouve à l'autre bout du file, c'est la seule personne qui m'appelle toute les semaines pour avoir de mes nouvelles.

- Léna ma chérie comment tu vas?

-Bien maman et toi, comment va papa?

- Nous allons bien, ne t'inquiète pas pour nous mon trésor, tu as pu trouver un travail depuis la semaine dernière?

Je souffle doucenment et prend place sur le lit. Une semaine de plus sans aucun résultat concluant, je vais finir par croire que j'ai de la poisse.

- Non maman, toujours rien. Moscou est une grande ville, je sais que je vais finir par trouver un bon travail, d'ailleurs j'ai un rendez-vous tout à l'heure avec le responsable d'un grand hôtel au centre ville.

- C'est bien ma fille, je te souhaite bonne chance.

- Merci maman, jen aurai Vraiment besoin. Bientôt je n'aurai plus assez d'économie pour subvenir à mes besoins et le loyer est...

- Je t'ai déjà dit que si ça ne va pas là-bas, tu peux toujours rentrer à la maison, je serai ravie de t'avoir avec nous.

- Ça fait à peine trois mois que j'ai quitté la maison maman, je n'ai pas le droit d'abandonner maintenant. Et puis ce n'est pas comme si nous coulons sur l'or.

- Notre petite vie nous suffit à ton père et moi.

- Je sais maman, pardon je n'ai pas voulu dire ça. C'est juste que bientôt papa sera à la retraite, comment allez vous faire? Je me dois de prendre soin de vous.

- Ce n'est pas ton rồle de...

- Mais c'est mon devoir. Nous n'avons peut-être pas assez de moyen mais vous vous êtes battus pour que je puisse avoir une bonne éducation.

- Ma chérie...

- Bon maman, je vais être en retard, je te rappelle le soir, si tu veux bien.

- D'accord, biensur mon coeur, une dernière chose Léna, Nikolai est encore venue hier soir.

Mon cœur se mets à battre très fort et je ne dis rien. J'attends qu'elle raccroche et dépose à mon tour le combiné.

Je n'ai pas de téléphone portable, je sais que pour une fille du vingt et unième siecles c'est étrange mais je viens d'une petite ville où tout le monde se connaît, sij'avais besoin d'un truc je n'avais qu'à me rendre chez la personne. Un temps j'ai utilisé un petit téléphone manuel et quand il s'est gâté, je n'ai pas eu la force d'en demandé un autre à mes parents. Heureusement que les secrétariats bureautiques existent, pour les recherches internet et les saisies.

Depuis que je suis ici, il n'y a que ma mère qui m'appelle et je parle aussi à mon père quand il est à la maiSon.

Je regarde une nouvelle fois la pièce dans laquelle je me trouve et je dois reconnaître quelle est encore plus petite que la chambre que j'occupais à la maison, elle est composée d'un petit lit une place, une table d'étude en bois, une petite armoire deux battants et des toilettes où seul une personne peut entrer à la fois. Voilà à quoi se résume mon budget.

Et dans quelques jours, je n'aurais même plus les moyens de me l'offrir.

Je dois à tout prix être prise comme serveuse dans le restaurant chic de cet hôtel. Je suis titulaire d'une licence en psychologie dans l'étude du comportement humain- y compris la mémoire, les relations sociales et le développement de l'enfant. Mais sans expérience c'est difficile d'être prise quelques part surtout quand tu viens d'une petite ville comme Glazov et que personne ne connaît ton université. Je préfère commencer tout doucement. 1

Serveuse c'est bien noor?

Je me dépêche de m'habiller, je ne veux pas être à la bourre. Je porte un pantalon jeans avec ma meilleure chemise blanche, mes baskets et je suis prête.

Je lâche mes

Une fois en bas de mon immeuble, je peux constater les restes de pluie de la veille. Depuis une semaine, il pleut chaque jour dans la ville et il fait particulièrement froid.

En même temps, il fait toujours froidà Moscou. Je m'étonne qu'il n'y ait pas plus d'enfants.

Nous sommes samedi et c'est le seul jour oùj'ai réussi à avoir un peu de temps après plusieurs tentatives pour un rendez-vous, dans l'emploi ultra chargé du responsable de l'hôtel Le BARON du célèbre milliardaire Dimitri Petrov.

Célèbre , oui de nom car je dois dire que je ne sais pas à quoi il ressemble, mais tout le monde semble le connaître ici. Je sais seulement de lui qu'il est un homme assez froid et beaucoup craint.

Normale c'est un MILLIARDAIRE. Même moi j'aurais peur si je l'avais en face de moi.

J'arrive devant le grand hôtel avec beaucoup de retard à cause de embouteillage devant l'hộtel. Il y'a des paparazzi un peu partout et plusieurs voitures haut de gammes qui attendent un peu plus loin.

Sûrement, due à la présence d'une célébrité dans l'hôtel, puis je me décide d'entrer sans me faire remarquer.

En même temps, habillé comme je suis, je doute que quelqu'un puisse me remarquer. Deux réceptionnistes sont présentes à l'accueil.

Je m'avance vers l'une d'elle et elle lève la tête déjà blazer de ma présence. Qu'est-ce que j'ai fait? Bonjour, je viens pour..

- La grande porte à votre droite quand vous prenez e couloir. M'indique t'elle.

- Hmm merci.

Je me retourne et entend.

- Encore une d'elle. Dit une

En tout cas, elle n'a aucune chance quand je la regarde. Dit l'autre De quoi je me mêle? Et puis comment elle sait pourquoi je suis là?

Je suit ses indications et j'entre dans une grande salle remplie de femmes de tout âge.

Elles doivent être une bonne centaine, plus belle les unes que les autres, bien habillé et le visage parfait.

C'est comme ça les rendez-vous d'emplois dans les grandes villes et les grands hôtels?

Je me place dans un coin un peu à l'égard quand une fille me regarde et s'approche de moi vêtu d'une petite robe moulante et des talons vertigineux. Elle me toise de la tếte au pieds.

- Salut moi c'est Irina Moi c'est Lếna Enchanté

- Hmm hmm ma chérie tun'auras aucune chance habillé comme ça, tu ferais mieux de rentrer chez toi.

Mais de quoi elle parle? C'est plutôt elle qui n'aura aucune chance, comment compte t'elle servir si elle vient habiller ainsi?

D'ailleurs

Je regarde mieux les filles dispersés de partout et toutes semblent avoir porter leurs dernières valises.

- Excusez moi mais pourquoi êtes vous là déjà?. Je demande par pure curiosité, peut être je me suis trompée de salle sans le savoir, on ne sait jamais.

Quand elle s'apprête à ouvrir la bouche pour me répondre la porte s'ouvre et un homme apparait.

- Bonjour mesdemoiselles, merci d'avoir répondu autant présente à l'annonce, je suis Vladimir et c'est moi qui sera chargé de faire la sélection de celle qui seront prises pour la suite. Prenez un numéro et mettez vous en rang on va commencer.

Les filles se précipitent vers une table remplie de numéro et se disputent pour avoir les premiers numéros et quand je me dirige pour prendre le mien, je me rends compte que je suis la dernière à piocher, le numéro qui s'affiche est le .

Ça promet et puis de quelle annonce il parle?

***

Je n'ai jamais vue autant de monde de ma vie, rếunit au même endroit pour un travail qui puis est serveuse. Sous le regard attentif de tous, le fameux Vladimir vêtu d'une chemise bleu et d'un jeans, avait pris place sur une chaise derrière une grande table disposée pour l'occasion.

- Derrière vos numéros, veuillez inscrire votre nom, âge, numéro de téléphone ou autre moyen de vous contactez pour la suite. Dit il de sa voix haute.

Les femmes se sont empressées, surexcitées de remplir les conditions demandées. Nous nous sommes retrouvées à faire trois rangs pour pouvoir suffire dans cette pièce. Heureusement pour moi, nous n'étions pas classées en fonction de nos numéros, comme le dit l'adage (premier arrivé, premier servi) il faut être agile pour occuper les premières places, tout est permis.

Le numéro sert uniquement de référence.

Alors je me suis faufilé comme je le pouvais avec mes baskets et elles sur leurs vertigineux talons. J'ai réussi à me retrouver à la deuxième ranger au milieu.

C'est un bon début, je ne passerai pas la journée à attendre que mon tour arrive.

La salles'est ouverte une nouvelle fois sous nos regards et un homme accompagné d'une femme sont entrées, le visage fermé, ils ce sont dirigés vers les deux places vide à la gauche et droite de Vladimir.

- Bon nous comimençons

La première fille s'avance légèrement, souriante, elle est belle. Elle porte une petite robe fleuri et des talons comme la majorité des femmes ici présentent. Elle tient en ses mains le numéro 14.

Il la regarde intensément, de la tếte au pieds, on aurait cru que nous nous trouvions dans une sélection de mannequin où s'est le physique et uniquement le physique qui compte.

Après quelques secondes à l'analyser, le verdict tombe

-Aspect trop jeune, éliminé. Dit il sur un ton ferme.

Le numéro est récupéré, puis barré au marqueur rouge par la damne.

Sur cinguante filles, sept ont été sélectionnés et les numéros ont été remis au monsieur à la droite de Vladimir. Le reste n'était que Kaspect trop vieille éliminé, trop jeune, ou encore t'es trop petite éliminé..

A ce stade, je crains qu'on me dise pas assez belle, éliminer. Ça ne blague pas, on élimine juste parce qu'on est trop petite ? Je fais à peine un mètre soixante deux.

Je doute de plus en plus des raisons de ma présence ici.

Je vois celle qui m'a dit s'appeller Irina être sélectionnée. Quand elle sent un regard sur elle, elle me regarde et me fais un léger coucou.

Je ne peux pas être éliminer. Crie la fille qui se tient devant le jury. Vous savez qui je suis? Où est Dimitri? C'est avec lui qu'on devait avoir cet entretien. C'est moi la mère de son enfant, on fera un beau couple vous allez voir. Elle se débat quand on appelle la sécurité.

S'en est de trop pour moi, je me retourne vers la fille derrière moi.

- S'il te plait on est là pour quoi au juste? Je demande.

Elle me regarde et sourit.

- Tu es en rang et tu ne sais pas pourquoi tu es là ?

Elle fouille dans son sac à main de marque et sort un journal et me le donne.

- Je ne t'ai pas demand...

- Lis ça. Elle me montre un article

Je prend le fameux journal et plus je lis l'annonce et plus mes yeux s'ouvrent.

Mais c'est quoi se délire de mère porteuse? Si je comprends bien l'annonce, la femme choisit doit s'engager à coucher avec se Dimitri et lui faire un enfant puis accepter de lui laisser I'enfant ?

Mais il est fou ma parole. Et toutes ces femmes sont des folles, ils ont dit recherche d'une. Pourquoi j'en vois déjà huit de sélectionner?

- Et et toi..

- Moi tout ce que je veux c'est de passer mes nuits auprès de l'homme le plus convoité de la Russie. Dit la jeune fille qui m'a clair plus jeune que moi et d'après l'annonce. Je comprends mieux l'aspect trop jeune.

-Tu n'es pas un peu...

Elle arrache son journal.

- Ça ne te regarde en rien, je tente ma chance. La plus part des femmes ici présentent viennent pour la plus part pour le même but que moi, et d'autres pour l'argent qu'elles pourront se faire à la fin. Et pour certaines encore plus naive que nous, elles espèrent réussir à toucher le cœur de pierre du grand Dimitri Petrov, du grand n'importe quoi.

Quand je la regarde parler, je lui donne à peine Dix huit ans. C'est dans quelle film d'horreur je me suis retrouvée?

Je sors avec peine des rangs. Je ne veux et ne peux pas m'engager dans pareil sottise de ma vie, louer mon ventre, je ne suis pas si désespérer que ça, juste pour une affaire de coucherie. Faire un enfant à un homme que je ne connais pas et n'aime pas puis lui laisser mon enfant.

Ce monde vire à la dérive, on touche la folie, ce Dimitri Petrov mérite des gifles j'ai juré.

Voilà les conséquences de trop d'argent, ça rend décidémnent fou, et que dire de toutes ces femmes?

Je me dirige vers la sortie de l'autre côté quand jentends une voix derrière moi.

- Mademoiselle le rang est de l'autre côté.

Je me retourne discrètement et remarque que c'est à moi que l'homme s'adresse. C'est Vladimir

- Oui je le sais, mais je ne peux pas participer à une telle folie. Je réponds calmement

- Mais vous étiez bien en rang n'estce pas?. Ça veut donc dire que vous avez lu et accepter l'annonce. Il reprend.

Tout le monde nous regardent.

- C'est bien ça le problème, je n'étais pas au courant pour cet annonce, j'ai décidément due me tromper de salle. Je ne me mélange généralement pas à des folles.

Il sourit de toute ses dents. Pendant que les filles se sentent offusquer mais je m'en fou.

-Et si je vous disais que quand je vous regarde. Il fait une légère grimaces. Vous êtes sélectionnés pour la suite? ça serait de la folie de partager la vie et de vouloir donner un seul héritié au milliardaire Dimitri Petrov. Il vous écoute et vous vois mademoiselle.

Il me montre des caméras. Et les filles se mettent à gesticuler comme des poules, arrangeant correctement leurs vêtements déjà parfait

- Pas besoin de préciser qu'il est milliardaire voyons, on le sait toutes ici. Et je considère que c'est vendre son âme au diable en acceptant pareil accord.

- Si vous le dites mademoiselle?

- Léna, Léna Ivanova.Je vous remet votre maudits numéro.

Je le lance au sol et sors de la pièce.

D'un pas précipité, je me dirige vers la réceptionniste qui m'a reçu à mon arriver

- Ah c'est déjà fini pour vous aussi? Dit elle un petit Sourire au lèvre.

Je sais comment traiter ce genre de femme.

- Pour qui vous vous prenez ? Hein, au dernière nouvelle je ne vous ai rien demandé. Je suis venue vers vous et vous ne m'avez même pas laissé m'exprimer que vous m'aviez envoyé à la cour de récréation...

- Mais...

- Fermez la, je n'ai pas fini. Toutes les personnes présentes me regardent. Votre travail est d'orienter les gens en fonction de leur besoin pas de nous envoyer où vous juger bon.

Je sens mes mains être encerclés par deux puissants bras. deux gardes arrêtent les bras, pour me diriger vers la sortie

- Et lâchez moi tout de suite, je suis encore calme mais il ne faut surtout pas me chercher. Lâchez moi j'ai un rendez-vous très important ici.

-Vous n'auriez qu'à demander un autres rendez- vous. Dit un garde.

Une fois dehors. Ils me lâche et je tombe les fesses au sol, puis ils entrent de nouveau dans l'hôtel.

- Hộtel de merde.

Je cri Je regarde autour de moi et constate qu'ils m'ont fait sortir par la porte de service sûrement à cause des paparazzi qui se trouvent à l'entrée.

- C'est la première fois que j'assiste à l'expulsion d'une demoiselle aussi catastrophique.

Dit un homme qui sort de l'ombre, ils'approche de moi, une cigarette au lèvre, la trentaine, richement habillé dans son costume sur mesure bleu roi. Il s'adosse au mur de l'hôtel et me lance un regard

Punaise

L'homme qui se trouve en face de mnoi est soit un diable, soit un ange.

Mais j'opterais plus pour un diable vue son regard froid. Il est d'une beauté froide.

Il est beau, très beau mais l'aura qui se dégage de lui me donne envie de le fuir, très loin.

Pourtant je n'ai jamais vue un honmme d'une pareil beauté de ma vie. Il est grand, très grand, blond mais un blond qui vire vers du roux, étrange comme couleur de cheveux pourtant ça le va si bien, il a de la barbe de quelques jours et un regard glaciale, d'un gris intense, il est tout simplement fascinant.

Je dois me ressaisir

- Mêlez vous de ce qui vous regarde. Ca vaut beaucoup mieux pour tous le monde. Je réponds brisant ainsi, le charme que son regard hypnotique opérait sur moi.

- Savez-vous seulement à qui vous vous adresser Comme ça ?

- Tout dans cette maudite ville, ne fait référence qu'au statut social. Vous portez de jolie vêtements et alors? Je m'en fou de qui vous pouvez être et dans quelle douche vous vous douchez.

Il ouvre légèrement les yeux, il semble surpris, mais refuse de le montrer, mais j'ai étudié la psychologie, je l'ai bien vue.

Et pourquoi diable j'ai parlé de sa douche moi?

Il se rapproche le pas lent de moi.

- Jamais une femme n'a osé me parler de la sorte.

- Et vous croyez me faire peur parce que vous êtes plus âgé que moi? Je n'ai peur de personne, je vous préviens.

Dans sa posture je peux déceler toute la domination qu'il veut opérer sur moi, grâce à sa simple présence et quand il essaie de me toucher, je prends peur. D'un geste précipité, je retire ma main et envoie l'autre sur sa joue.

C'est seulement après acte que je me rend compte de la terrible erreur que je viens de commettre. Alors je panique et décide de m'enfuir, il n'a rien dit, rien fait, pourtant je m'écarte rapidement de lui à grand pas.

Il me regarde le fuir une main dans sa poches.

Il a laissé tomber sa cigarette et m'a tourné le dos quand je l'ai guetté une dernière fois.

A suivre..