CHAPITRE 4 : Mes seins en l'air

Oui, tout mon corps est pratiquement aux anges. Je n’attendais qu’une suite très favorable.

Le répétiteur de ma fille, s’approchant de moi avec un sourire radieux sur le visage, me murmura dans l’oreille droite : « Je t’aime si tu savais ! »

Au bout d’un sourire silencieux, j’ai répondu : « Et moi, je t’aime encore plus ! »

– Alors là, ai-je répondu, montre-moi que je n’ai pas mal fait le choix en te choisissant…

– C’est exactement ce que je veux te montrer ! Je vais déprogrammer ton mari de ta tête…

– C’est ça même ! C’est ce que je recherche ! Je veux que tu fasses de sorte qu’il n’ait plus aucune valeur devant moi.

– Allez, c’est parti !

Guy, s’allongeant sur moi, commença à me caresser les cheveux, les oreilles, le cou, le visage. Alors que ses mains traînaient dans mes cheveux, sa bouche et la mienne étaient collées. On se suçait les lèvres. Il suçait les miennes et moi aussi, je suçais les siennes. Nos salives s’entremêlaient ; nos langues également ! C’était simplement magnifique !

Ses mains, ayant longuement parcouru mes cheveux et quelques autres parties de ma tête, sont descendues sur mes seins. Se redressant légèrement, Guy avait saisi mes deux seins et les cognait l’un contre l’autre. Il les prenait par moment par les mamelons, ce qui intensifiait davantage le plaisir en moi. Oui, je sentais une grande douceur au plus profond de moi ; une douceur que je ne peux vraiment pas expliquer ou décrire.

Se courbant légèrement sur moi, Guy a attrapé le mamelon de mon sein droit dans sa bouche. Comme un bébé, il a commencé à me téter.

Non, c’était magnifique ! Les yeux fermés, je perdais le contrôle. Sa façon de me téter était simplement wouah ! Je ne sais vraiment pas comment l’expliquer. C’est comme on dit que le vrai propriétaire d’une chose ne reconnaît pas vraiment sa vraie valeur ; sauf autrui.

Xavier a eu la chance d’avoir une belle femme disposant de tous les atouts que recherchent les hommes mais malheureusement, il n’en prend pas soin.

Il faut que je l’avoue : Après mon mariage, Xavier m’a fait manger de repas copieux et en quelques semaines, mon poids a augmenté.

Oui, j’ai commencé par prendre du poids et ce changement a modifié presque toutes les parties de mon corps : mes seins en particulier ; mes fesses surtout.

J’étais devenue une géante femme, moi qui étais mince.

En effet, Guy, alors qu’il me suçait le sein droit, sa main droite parcourait mes cuisses.

Disons seulement que Guy maîtrisait le préliminaire de l’amour. Il n’est pas comme Xavier qui, à défaut de sa fatigue, me suce seulement les seins et dès que son pénis devient dur, il me l’enfourche dans le vagin.

Eh oui, c’est ce qu’il fait et je sais qu’il n’est pas seul ! Beaucoup d’hommes en sont pareils. Avant de baiser son épouse, même si on est incapable de la lécher, il faut quand même lui siroter les seins ; il faut les lui sucer correctement, c’est très important ! Et pas tout ! Il faut aussi également l’embrasser sur les lèvres. C’est le pire défaut de Xavier. Voyant que nous sommes déjà mariés, il trouve que ma salive n’a plus sa place dans sa bouche alors que moi, j’ai toujours rêvé d’avoir la sienne dans ma bouche.

Pourquoi avoir du dégoût à la salive de sa conjointe si on l’aime vraiment. Chaque fois que je lui demande de m’embrasser sur les lèvres et dans la bouche, il me répond sans pitié : « Ça, c’est pour les adolescents ; et nous, nous sommes déjà adultes ».

En quoi s’embrasser sur les lèvres et dans la bouche constitue un jeu d’adolescents ? Une question que je me suis toujours posée.

En tout cas, je ne raterai pas les belles opportunités lorsqu’elles me seront offertes.

Guy et moi avons longuement célébré nos lèvres, nos bouches et nos salives.

Oui, on s’était longuement embrassé dans la bouche. C’était magnifique.

Se tirant légèrement vers le bas, il a posé sa main droite sur mon slip et avec deux de ses doigts, il a attrapé mon vagin. J’ai senti une grande douceur au plus profond de mon sexe.

Non, en toute sincérité, Guy sait comment maîtriser la femme. Oui, il sait comment rendre une femme ivre de lui.

– Tu es magnifique, ai-je dit tout doucement pour l’encourager dans son entrain.

Eh oui, il fallait ça ! Il fallait de l’encouragement. Lorsque quelqu’un vous fait quelque chose que vous appréciez bien, ayez l’audace de l’encourager, si bien même, le féliciter. Cela lui donnera une autre endurance.

– Merci pour le compliment, m’a-t-il répondu, tu aime ça ?

– J’admire ça, je te le jure ! Je suis entièrement à toi. Mange-moi comme tu le peux !

– Ha ha ha ! Ne t’inquiète pas ! Je vais couper une grande part.

– Ha ha ha !

Et Guy, saisissant mon slip par les pans, le tira vers le bas et s’écria : « Wouah ! Qu’ils sont énormes, tes poils ! »

– C’est vrai ! N’aimes-tu pas les poils ? lui ai-je demandé.

– Bien sûr ! Regarde comme tes poils sont beaucoup on dirait les cheveux d’une brésilienne !

– C’est vrai ! C’est pour Xavier j’ai réservé ça ! Il aime tellement mes poils qu’il n’aime pas que je m’en débarrasse.

– Wouah ! Qu’est-ce que c’est beau !

– Merci !