CHAPITRE 3 : Oh, que je mouille !
Oui, il y avait de la peur sur le cœur de Guy. Ignorant sa peur, je me suis mise à lui caresser les cheveux. Ses mains, mobiles, ont commencé à répondre à mes gestes. Me parcourant de ses mains le dos, les jambes et quelques autres parties de mon corps à l’exception de mes seins et mes fesses, je voyais Guy venir peu à peu.
– As-tu souvent de la visite ? ai-je demandé tout bas.
– Euh…non ! Mais il y a le petit garçon du voisin qui vient de temps en temps me taquiner…
– Oh, ça suffit ! Ferme la porte et emmène-moi dans ton lit. Là-bas, je pense être mieux à l’aise.
– Il n’y a pas de souci !
Me levant de ses jambes, j’ai laissé Guy aller fermer la porte. De retour, il a allumé la lampe électrique qui a illuminé toute la pièce de sa belle lumière. Me tenant par la main, nous sommes allés dans sa chambre à coucher ; un espace bien orné avec de jolies moquettes.
– Wouah ! Quelle est belle, ta chambre !
– Merci !
Calmement, je me suis dirigée vers son lit. Me tournant, je me suis assise là-dedans. Guy, s’approchant de sa garde-robe, a enleve ses tenues et s’est retrouvé dans une petite culotte. Marchant, tout sourire, il s’est approché de moi.
– Alors, on dit quoi ? Parce que je suis prêt à t’aider dans ta situation !
– Je le sais ! Je sais que tu es prêt à me rendre ce service ! Au fait, je ne sais pas par où nous allons commencer. Est-ce que c’est par la pipe ou la lèche, je ne sais pas !
– Il faut choisir, toi-même ! Tout ce que je sais, tu ne seras pas déçue quel que soit le choix que tu feras.
– D’accord ! Dans ce cas, je choisis la pipe ! Donc c’est toi qui passes en premier !
– Ha ha ha ! Il n’y a pas de souci ! Mais…euh…je…
– Mais quoi ?
– Je crains que tu cries après l’avoir vu…
– Et pourquoi ? Ne t’es-tu pas circoncis ?
– Bien sûr !
– Et c’est quoi alors le problème ?
– C’est que…c’est…c’est très gros !
– Mais c’est ça que j’adore ! J’aime les gros pénis, moi !
– Tu adores les gros pénis ?
– Si ! J’en raffole ! J’aime les gros pénis ! Même celui de mon mari est bien gros.
– Vraiment ? Alors, c’est parti !
Descendant du lit, j’ai tourné mon dos à Guy et lui ai demandé de m’aider à tirer vers le bas, la fermeture de ma robe. J’ai enlevé ma robe et tout comme Guy, je me suis retrouvée dans mon petit slip et un soutien-gorge qui gardait mes seins debout.
– Wouah ! Comme ta poitrine est bien élevée !
– Merci ! J’espère que tu aimes les gros seins !
– J’en raffole !
– Ha ha ha ! Allez, enlève cette culotte pour que je voie ce qui est caché dedans.
Guy, éhonté, tira vers le bas sa culotte qui cachait sa partie intime.
Effectivement, il avait une grosse banane. La voyant, je me suis écrié « Haaaa ».
– Quoi ? m’a-t-il demandé.
– Je ne te croyais pas quand tu disais que tu avais un gros plantain !
– Ah, je vois…
– J’adore déjà la grosseur parce qu’elle fera de lourde tâche !
Longeant ma main, je l’ai attrapé. Calmement, j’ai commencé à le masser pour le rendre tendre et dur. Au bout de quelques secondes, le pénis de Guy a commencé par répondre à mes actions. En moins de deux minutes, le voilà devenir dur.
Levant légèrement mon regard vers celui de Guy, j’ai commencé à avaler sa grosse tige. J’ai commencé à le sucer comme un enfant suce un bonbon en bâton.
Je suçais le concombre de Guy avec une grande joie sur le cœur. Me tenant par la tête, le répétiteur de ma fille m’aidait à envoyer au plus profond de ma bouche, sa grosse bite.
Au début, il avait l’air timide. Mais lorsqu’il a constaté que j’étais sérieuse, il me faisait aimer davantage la pipe.
Plaçant ses deux mains dans mon dos, il a ouvert les agrafes de mon soutien-gorge et m’a ôté le cache-sein. Mes deux seins, courbés vers le bas, avaient commencé par aller de l’avant et en arrière. Les attrapant dans ses mains, Guy a commencé à les caresser. Les attrapant par les mamelons, j’ai commencé à me sentir au paradis.
Oui, mes seins étaient mes parties sensibles et sensuelles. Tout à coup, j’ai senti un liquide tomber dans mon slip.
Eh oui ! Ma soupe venait d’être mouillée.
***
À genoux devant lui, je lui bouffais le pénis.
Alors que j’avais la grosse bite de Guy dans ma bouche en train de la sucer, il avait saisi mes deux seins entre ses mains. Mes seins, joyeux dans ses mains, se laissaient caresser. La fellation, j’aimais beaucoup ça. Mais malheureusement, il n’aime pas ça. Il trouve que le sexe n’est pas fait pour la bouche mais l’un pour l’autre.
Comment je peux demander à mon homme de me laisser lui tailler la pipe et il va me l’empêcher ? Cela ne devrait pas être le cas parce que je ne lui ai pas demandé de me lécher parce que je sais très bien que beaucoup d’hommes ont peur de sucer le vagin de la femme.
En effet, j’ai taillé la pipe à Guy pendant une quinzaine de minutes. J’ai tellement dévoré sa verge que lui-même en était fier.
– Tu excelles bien, ma chér…non, ma chère ! a-t-il dit.
– Merci ! Maintenant, il est arrivé mon tour !
– Oui, tu le mérites ! Allez, viens t’allonger dans le lit.
Ignorant le temps qu’il faisait, je me suis dirigée vers le lit, suis montée dedans et me suis couchée sur le dos, exposant mes seins dont les mamelons étaient déjà devenus durs à cause des touchers répétés de Guy.
