CHAPITRE 4 : Les yeux rayonnants de la femme du voisin
– De même que moi ! Dans ce cas, je souhaiterais que vous me tutoyiez aussi prochainement.
– D’accord, il n’y a pas de souci. Alors, une autre question qui semblerait un peu bête !
– Allez-y, j’aime les questions bêtes, ai-je répondu.
Qui peut manquer de répondre aux questions bêtes de la femme d’un grand homme militaire ? Pas moi en tout cas.
La jeune femme m’a souri encore avant de se repositionner sur le divan.
– Peux-tu me dire ce qui retarde ton mariage ?
J’ai souri et lui ai retourné une phrase interrogative en disant : « Pourquoi tu m’as adressé une telle question s’il te plaît ? ».
– Parce que lorsque je suis entrée dans ta chambre, j’ai vu que tu as presque tout ce qu’il faut à un homme pour qu’il ait à côté de lui une femme. Mais là, tu as presque tout sauf la femme.
– C’est vrai, tu n’as pas tort. En réalité, je suis déjà prêt. C’est celle que je veux épouser qui n’est pas encore prête.
– Ce n’est pas vrai ! Doit-elle d’abord finir les études ?
– Sûrement oui ! Parce que c’est ce que son père lui a exigé.
– Et elle fait quelle classe ?
– La seconde !
– La seconde ? Et vous allez l’attendre jusqu’à ce qu’elle obtienne son baccalauréat et va faire au minimum trois ans sur le campus ?
– Tant qu’il y a l’amour, tout est possible !
– Hum ? Vous allez probablement attendre pendant cinq ans encore !
– C’est l’amour !
– Hum ? Vous m’étonnez vraiment !
– C’est ma nature. Je déteste trop la trahison sinon, je l’aurais remplacée depuis. Si je ne l’ai pas fait, c’est parce que je l’aime.
– C’est bien ! Pouvez-vous me permettre de vous poser une autre question stupide ?
– Avec plaisir ! Mais tu oublies qu’on devrait se tutoyer !
– Tu vas devoir prendre ça comme ça par moment parce que j’ai du mal à tutoyer les hommes ; et pas même seulement les hommes, presque tous ceux que je pressens être plus âgée que moi.
– C’est une très bonne éducation !
– Merci !
– Maintenant je t’écoute !
La jeune femme m’a fixé et m’a souri.
– Tu m’excuses beaucoup pour la question parce que j’aime beaucoup taquiner surtout quand j’apprécie quelqu’un.
– Vraiment ? Alors j’aime les taquineries !
– Merci ! Marisol est-elle encore vierge ?
J’ai souri avant de répondre d’un non.
– Est-ce toi qui lui as pris sa virginité ?
– Non ! Elle avait déjà connu un homme avant de me connaître. C’est cet homme qui lui a pris sa virginité.
– Je vois ! Et tu l’aimes et estimes l’épouser bien qu’elle ait perdu sa virginité avec un autre homme ?
– Bien sûr ! Je l’aime bien !
– C’est fantastique ! Et qu’est-ce que tu aimes le plus sur elle ?
Là, cette jeune femme que je trouvais calme et toujours silencieuse a commencé par poser des questions sensibles. Là, il me faut aussi lui accorder les réponses sensibles.
– J’aime tout sur elle.
– Comme quoi en particulier ?
– J’aime ses seins en particulier !
– Wouah ! On dirait que c’est presque tous les hommes qui adorent les seins de la femme !
– Vraiment ? En connais-tu quelqu’un d’autre qui adore les seins tout comme moi ?
– Bien sûr ! Mon mari aime quand je suis torse nu. Il aime trop ça !
– Wouah ! C’est bien ! Moi aussi, j’aime trop ça !
– Vraiment ?
– Je n’aime pas cacher mes impressions surtout quand j’apprécie quelqu’un.
– Donc tu m’apprécies comme je t’apprécie aussi ?
– Sans doute !
– Merci ! Donc tu seras très heureux de me voir torse nu ?
– Euh…ne me fais pas rêver s’il te plaît parce que je sais que cela ne serait pas possible !
– Si ! Si tu veux vraiment me regarder torse nu, j’enlèverai ma robe pour toi et tu me regarderas mais ce serait en soutif.
– D’accord, c’est bon ! Sinon j’aime beaucoup les seins. On dirait même que ma mère ne m’a pas bien nourri au lait quand j’étais bébé parce que j’aime trop sucer.
– Vraiment ? Mon chéri lui ne sait pas sucer les seins. Il aime seulement regarder mes seins et n’aime pas me les sucer.
– Hum ? Tu me permets de te poser une question s’il te plaît ?
– Avec plaisir !
J’ai poussé un petit sourire et…
– Tu aimes donc qu’on te suce les seins ?
– Hum ? Ça c’est une question bête, tu m’excuses beaucoup ! Y a-t-il une femme qui peut dire qu’elle n’aime pas qu’on lui suce les seins ? Même une vieille de deux cents ans est prête à donner ses seins fanés pour qu’on les suce. Nous les femmes, nous aimons beaucoup qu’on nous suce les seins.
– Merci ! Et pourtant je constate que beaucoup de jeunes filles en ville n’aiment pas qu’on leur touche les seins !
– C’est vrai ! Les seins chez la femme sont des objets de valeur. Sinon, dis-moi, serais-tu d’accord qu’une femme te touche les testicules en public ?
– Jamais ! Parce que je ne suis pas un woubi.
– Voilà ! C’est exactement la même chose. Mais si c’est en privé, nous sommes prêtes ; nous aimons beaucoup qu’on nous suce.
– D’accord ! Mais j’ai remarqué que depuis, tu ne suis pas la série pour laquelle tu es venue !
– Belle remarque ! C’est parce que cet épisode est déjà passé. C’est une rediffusion ils sont en train de…
