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CHAPITRE 5 : Un plat délicieux

– Je comprends déjà ! Mais dis, et s’il arrivait que ton mari revenait maintenant, ne serait-il pas fâché de te voir sortir de la chambre d’un autrui ?

– Non, il est actuellement en voyage. Il est parti pour deux mois.

– Quoi ? Mais c’est énorme !

– Tu me vois ça maintenant ? Il va me priver du sexe pendant deux mois soient soixante jours.

– Comprends-le puisqu’il est parti pour une raison professionnelle.

– C’est vrai, je n’ai pas le choix mais c’est quand même insupportable !

– Tu as raison ! Mais avec le temps, tu t’y habitueras.

– Je ne pense pas ! Sinon, il m’a déjà trop habituée au sexe.

– Vraiment ? Donc tu aimes le sexe ?

– J’aime trop le sexe ! Ou comment me trouves-tu ?

– Très belle et rayonnante !

– Super ! Sache que c’est le sexe qui me rend ainsi !

– Vraiment ? Les rapports sexuels rendent belles ?

– Va te renseigner, mon cher Mica ! Ce qui rend la femme éclatante et rayonnante ne dépasse pas le sexe de l’homme. Surtout quand elle tombe sur un homme qui la pile bien, tu la trouveras toujours belle.

À cette dernière phrase de ma compagne, j’ai esquissé un petit sourire. J’étais sur le point de lui répondre quand la porte a claqué et a laissé entrer une jeune fille en uniforme scolaire.

Je me suis redressé pour croiser son regard.

– Bonne arrivée, Marisol !

La nouvelle venue, au lieu d’une réponse, observait mon étrangère avec un regard hostile.

– Bonne arrivée, tata Marisol ! a dit la femme du voisin.

– Merci, bonjour !

Marisol, sans plus ajouter un mot, s’est dirigée vers la chambre à coucher.

– On dirait que votre petite amie n’est pas d’accord de nous trouver ensemble, a chuchoté Hermine.

– Évidemment ! C’est parce qu’elle ne sait pas qui tu es ! Ne t’inquiète pas, je vais lui laver le cerveau tout à l’heure.

– D’accord ! Dans ce cas, je vous cogne la paix. On est toujours ensemble encore que nous sommes dans la même cour.

– Évidemment !

La jeune femme s’est levée et s’est dirigée vers la sortie. Après son départ, j’ai rejoint Marisol dans la chambre. Couchée sur le dos, elle regardait le plafond.

– Bébé, qu’as-tu ?

Ma questionnée n’a pas répondu. Je me suis allongé à côté d’elle et dirigeant la paume de ma main droite vers sa joue, je lui ai demandé ce qui n’allait pas.

– Tu as commencé par me tromper, Michaël.

– Non ! Ne juge pas comme ça ! Cette jeune femme que tu as vue, c’est la femme du voisin. Leur télévision a rencontré un petit souci et elle est venue dans notre chambre pour suivre une série télévisée. Donc ne pense pas que je trompe.

Marisol a tourné son regard à mon adresse et m’offrant son sourire, m’a dit : « Je ne veux te partager avec quiconque ».

– Je veux que ta banane m’appartienne et pas à une autre femme.

– Ne t’inquiète pas ! Elle t’appartiendra uniquement pour toujours.

Marisol s’est levée et ouvrant les trois boutons de sa robe scolaire, l’a enlevée et la voilà en slip et en soutif !

Voilà ce que je disais. Je reste calme et on m’apporte le sexe.

Qui suis-je pour dire que je ne vais pas en manger ? Marisol peut être fille d’un gendarme ; je vais la pomper d’abord.

Marisol, j’aime trop ses seins. Même quand j’ai faim et que je vois le bout pointu de ses seins, je me rassasie immédiatement. Je ne sais pas pourquoi cela m’arrive souvent. Ce n’est ni la première fois ni la deuxième fois. Je ne suis jamais fatigué de son sexe. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je double et parfois même je triple encore. Si réellement le sexe fait du bien à la femme, je ne suis pas sûr que Marisol regretterait de m’avoir connu. Parce que je la baise bien. Mais j’ai un principe ! L’histoire où il faut enfourcher la bouche dans son vagin là, je ne le fais pas parce que la Bible n’a pas recommandé ça. J’ai même de la peine à connaître le genre d’odeur qui s’y dégage. Je ris et me moque très souvent de ces gros Imbéciles qui lèchent la femme. En tout cas, je ne suis personnellement pas dans ces énormités. Je peux faire tout à la femme sans la lèche. Et c’est pareil ! Je n’aime pas qu’on me taille la pipe. Se faire tailler la pipe selon moi, c’est de prendre de gros risques. Et s’il arrivait que la femme à qui j’ai confié toute ma vie oubliait que c’est mon pénis qui est dans sa bouche et à défaut d’un petit oubli, le croque comme elle a l’habitude de croquer la carotte, que vais-je dire ? Ou bien ses excuses panseront ma blessure ? Ou dans quel livre il est écrit de faire confiance à la femme ?

En tout cas, je n’ai pas encore vu ça depuis que je feuillette les livres.

En effet, Marisol, sans que je ne lui dise un mot, a enlevé sa tenue scolaire. Doucement, je me suis allongée sur elle et je l’ai fixée intensément du regard.

– Je t’aime, Marisol ! lui ai-je dit.

– Merci, moi aussi, je t’aime ! J’ai pensé à toi toute la nuit.

– Merci ! Je pense aussi à toi.

– Merci ! Qu’il n’arrive pas que tu me trahisse.

– Je ne te trahirai pas. Toi et moi, c’est pour la gare.

– Merci !

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