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Silence et baise-moi

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Pierreanstea
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Résumé

Comme tout le monde, j'ai aussi ma propre histoire. Je garde mon prénom parce que vous allez le découvrir très bientôt dans l'histoire. Je fais partie des filles qui, par hypocrisie, disent qu'elles n'aiment pas le sexe. Et effectivement, je n'aime pas le sexe. Mais j'en suis devenue accro depuis que mon beau-frère m'en a donné le goût. J'aime le sexe et je suis prête à passer plusieurs jours sans manger mais jamais, une heure sans me faire baiser. J'aime le sexe. Oui, j'aime le sexe. Lecture interdite aux -18ans.

SexeintimitéVoyoumauvais garçonles contraires s'attirentmature

CHAPITRE 1 : Une belle créature

Dans la vie, quand tu ne cherche pas de problème, ce sont les problèmes qui vous cherchent. Je suis conscient de cet ordre d’idée et c’est pourquoi je préfère chercher les problèmes que laisser les problèmes venir me chercher. Parce que quand on cherche soi-même les problèmes, ils ne pèsent pas beaucoup sur notre compte. Mais lorsque nous fuyons les problèmes et ils nous recherchent eux-mêmes, je vous jure que c’est le pire.

Bon, bref, c’est pour dire que moi, personnellement, j’aime les problèmes. Mais pas tous les problèmes.

On m’appelle Michaël. Je suis âgé de vingt-cinq ans seulement. Comme vous pouvez le savoir vous-mêmes, je suis encore célibataire. Qu’est-ce que je peux foutre avec une femme à cet âge ? Ah non, je ne suis pas encore prêt pour aller vendre l’une des parcelles de mon père pour doter une femme qui, pire, viendra manger pour moi inutilement. Mais cela ne veut pas dire que je n’ai pas de petite amie ! Ah non ! J’en ai une ; une qui vient et que je baise bien. On l’appelle Marisol. Cette jeune fille, elle est tellement fan de ma banane qu’elle abandonne même parfois les cours pour venir passer ses heures de cours dans ma chambre. Enfermés dans notre chambre que j’ai louée dans une grande cour, elle et moi baisons correctement. Parfois, de huit à dix heures, nous baisons jusqu’à deux fois ; parfois, nous triplons même ! Non, Marisol adore ma bite. Et moi aussi, j’admire tellement ses seins que lorsqu’elle entre dans ma chambre et enlève son uniforme scolaire et se met en soutif, mes yeux commencent à briller et mon cœur commence à sauter sur ma poitrine. Quand je la regarde également dans son slip, mon pénis commence à lever la tête.

Disons que cette jeune fille au teint clair me donne envie. Lorsque je la touche par la hanche, je vous jure que je suis très heureux. Marisol m’offre régulièrement son corps si bien que je me moque du mariage. Qui suis-je pour me marier là où tout devient cher de jour en jour. Même sans me marier, je vis d’une vie de couple. Dans ma chambre, il y a de la casserole ; une belle marmite ; des bols ; une poêle pour faire de l’omelette. Chaque mois, je fais du ravitaillement. Ce qui veut dire que dans ma chambre, il y a du riz cru ; de l’huile d’arachide ; des spaghettis ; des tomates en boîte ; du haricot ; du cube ; du piment en poudre et presque tout ce qu’il faut pour avoir un menu. J’ai aussi du lait, du café et du Milo. C’est même la raison pour laquelle Marisol vient régulièrement à la maison. Quand elle vient, nous baisons d’abord une fois. Ensuite, elle active le gaz et prépare un bon mets. Nous passons à table quand c’est cuit. Nous mangeons bien mais pas avec exagération parce que nous pensons au deuxième tour de notre baise. Ou bien quand le ventre est trop rempli, arrive-t-on à bien baiser ? Pour les expérimentés en baise, ils savent de quoi je parle.

Je me rappelle un jour, Marisol a tellement mangé que lorsque je l’ai prise au lit, en la baisant avec toutes mes énergies, j’entendais son ventre dire : « boum-boum-boum », parce qu’elle avait bu beaucoup d’eau. Puisque le ventre grouillait, je n’avais pas eu l’esprit tranquille de bien la pomper. Depuis ce jour, nous nous sommes entendus sur un point ; celui à ce qu’elle ne boive plus exagérément d’eau.

Bien, je vous ai déjà dit qui je suis et comment on m’appelle. En résumé, on m’appelle Michaël et j’ai vingt-cinq ans ; je suis célibataire qui ne manque de baiser. Je suis souvent calme chez moi quand la femme m’apporte le vagin. Pendant que certains hommes courent après les femmes avec des supplications, chez moi c’est le contraire. C’est calmement on m’apporte ça. Je rosse ça correctement et que je suis bien satisfait, on retourne ça et quelques jours plus tard, on me le ramène encore. Je suis plus que le fils du président. Ah oui ! N’est-ce pas derrière le fils du président que toutes les belles nanas courent ? Mais moi, un pauvre étudiant qui se débrouille, la femme m’apporte son joli corps et je le caresse correctement avant de le trouer.

J’ai oublié de vous donner ma localisation géographique.

J’ai loué dans une grande maison ; une maison qui compte au total dix portes. Chaque jour, chacun vaque à ses occupations. Je parle de mes colocataires bien sûr ! La plupart sont des célibataires bien sûr. Il y a au moins trois colocataires qui sont des enseignants. D’autres ont des boutiques dans la ville. Brièvement, presque six portes restent fermées toute la journée. La mienne, je la ferme volontairement. Je suis un étudiant mais je n’aime pas trop l’histoire du campus. J’y vais deux voire trois fois seulement par semaine. Je me concentre sur la rédaction de l’article de mes clients. Oui, je suis un rédacteur web.