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Chapitre 3

Un jeu dangereux

Épisode 3

Maryline me repoussa doucement, écarta sa main de ma puissante érection puis, tout en souriant, se souleva légèrement du banc et fit passer sa robe par-dessus sa tête.

Elle était nue devant moi.

— Oui, c’est ce morceau-là que je veux, dit-elle en faisant glisser la fermeture Eclair de ma braguette.

Elle prenait sa main et caressait, de haut en bas, de bas en haut, en un lent et ensorcelant va-et-vient mon sexe Jusqu’à ce que je ne puisse plus le supporter, et je la prend dans mes bras, avant de l’installer à califourchon sur moi. Mais au moment où l’extrémité de mon sexe caressait son bas ventre, Maryline le reprenait dans sa main pour le guider en elle

— Pas ici

— Si, ici

— Non... Dans mon lit.

Tout en la tenant serrée contre moi, je me leve et me débarrassa de mon

pantalon, puis je m’avance vers l’escalier tandis qu’elle enroulait ses jambes autour de ma taille.

— Les préservatifs sont dans ma valise.

— Je t’ai dit que nous n’en avions pas besoin.

Je pousse la porte d’un coup de pied et me dirige vers le lit où j’étend Maryline

— Je prends la pilule.

— C’est pour te protéger.

— Je n’ai jamais eu besoin de me protéger de toi.

Innocente.En même temps, ses paroles exacerbèrent mon désir. D’ordinaire, rien ne m’aurait empêché d’utiliser un préservatif. Mais avec Maryline ... Je brûlais de la pénétrer sans aucune barrière, de glisser nu dans sa chair nue.

— Maintenant, tu vas me faire l’amour

— Tu te sens nerveuse ?

— Je ne me sens jamais nerveuse avec toi.

Soudain, je redresse la tête, avant de me pencher vers son sein pour le suçoter, mais en évitant soigneusement le mamelon qui réclamait ses caresses. N’en pouvant plus, Maryline poussa une petite plainte et, lorsque j’aspire la pointe gonflée entre mes lèvres, elle se mit à gémir sans retenue.

Après avoir rendu hommage au sein jumeau avec la même ardeur, Je me me redresse et resta agenouillé à la regarder

Sa bouche était gonflée, ses seins humides, ses mamelons dressés et gonflés...

— Fabrice ...

— Ça sera peut-être douloureux...

— Tant mieux.

Je ris et me penche pour l’embrasser. A vrai dire, Je me sentais partagé : j’aurais voulu

embrasser chaque centimètre de ce corps délectable, goûter à son nectar de femme avec ma langue, pas seulement avec mes doigts ; je voulait la sentir jouir dans ma bouche... Mais par ailleurs, j’étais impatient de la pénétrer autant qu’elle était impatiente que je la prenne.

Plus tard... Je goûterait toute l’étendue de son corps plus tard. Une petite voix eut beau me susurrer que le temps nous était compté, j’étais certain que nous referions l’amour. Que ce n’était pas la fin de notre histoire.

— Fabrice...

— C’est le moment !

— Oui... Viens...

— Je veux dire que c’est le moment où tu peux obtenir tout ce que tu veux d’un homme. Pas après...

— Je m’en souviendrai...

Je m’enfonça en elle et elle eu un cri aigüe .

Doucement, je glisse un bras sous les reins.

Maryline ne savait pas ce qu’elle désirait, ni même ce qu’elle voulait dire,

mais quand je commençais à aller et venir en elle, toute pensée, toute souffrance disparurent. Parce qu’à chaque coup de reins je la possédais tout entière.

— Je ne te ferai pas de mal

— Fabrice , je...

— Laisse-toi aller...

Puis je donne un coup de reins vigoureux qui la fait basculer dans l’extase.

Eblouie, elle pousse un cri

— C’est toujours comme ça ?

— Non.

. —Ah bon ?

— Tu veux la vérité ? D’habitude, j’ai une sorte de crispation, ici.

Je lui prends la main et la pose sur mon plexus solaire.

— Pourquoi ?

— Je n’en sais rien. Tu n’as jamais ressenti ça ?

— Non.

— Dis-moi, tu as vraiment envie de travailler dans un cabinet ?

— Oui

— Comment réagirait ton père ?

— Tu veux dire : comment il réagira. Je ne sais pas... Tout le monde pensera sans doute que je m’en vais pour échapper à la honte d’avoir été plaquée par toi.

Elle rit doucement, puis reprit son sérieux :

— Je ne sais pas ce qu’en pensera mon père, mais de toute façon, je ne crois pas que je tiendrai compte de lui quand je prendrai ma décision... Je n’ai pas envie de rester ici . Le passé est trop lourd, ici...

Elle éprouvait les mêmes sentiments que moi .

— Je crois que mon père est embringué dans des affaires pas très claires, avoua-t-elle. Je l’aime, mais en même temps, je voudrais m’éloigner de lui. La vie qu’il mène ne m’intéresse pas.Mon père ne travaille pas, Il reste assis sur son tabouret de bar presque toute la journée et rentre tard. Il répète tout le temps qu’il doit se rendre à des rendez-vous, des réunions...

— Viens avec moi à Paris

— Partir ? Avec toi ?

— Si tu veux vraiment travailler , pourquoi ne pas poser ta candidature de là-bas ? Au début, je pourrais t’aider. Je suis copropriétaire d’une entreprise: je pourrais t’y faire embaucher avant que tu décroches le job de tes rêves...

Immobile, la tête toujours appuyée sur mo. torse, elle réfléchit à ma proposition.

— J’ai un appartement, Tu pourrais y vivre avec moi pendant quelque temps.

— Vivre avec toi ? Je ne sais pas si ça fonctionnerait...

— Pourquoi pas ?

— ce que nous venons de partager était fabuleux, vraiment... Mais je n’ai pas très envie de te voir rentrer avec une autre femme...

J’éclate de rire, Maryline bondit au bas du lit en réprimant à grand- peine son irritation.

— Je vais prendre une douche, dit-elle sans md regarder. Je dois aller à l’église...

Elle s’interrompt en voyant la tache de sang sur le drap.

— Oh...

— Je vais m’en occuper, ne t’inquiète pas. Personne n’en saura rien. Va prendre ta douche...

Quelques temps après elle sort de la salle bain

et ne regarde faire le lit

— C’est la première fois que tu fais un lit ?

— C’est le premier que je fais ici, oui, Maryline , j’ai un petit appartement, à Paris ...

elle me croyait très riche, alors que je ne l’étais pas. Mais je lui expliquerais tout cela plus tard. Pas maintenant. Parce que, avant d’aborder les affaires de famille, nous devrions d’abord parler de nous . De la possibilité d’un avenir commun loin d’assinie.

— Et tu te trompais, tout à l’heure, quand tu m’imaginais rentrant avec une autre femme, Je ne te ferais jamais une chose pareille. Et je n’apprécierais pas que tu vives avec moi et fréquentes un autre homme...

— Je ne comprends pas...

— Je veux dire que je ne souhaite pas rompre avec toi. Pour l’instant, je ne sais pas si j’ai envie de me marier, ni même de me fiancer, mais oui, tu pourrais vivre chez moi au début, et nous pourrions sortir ensemble, apprendre à nous connaître, loin de nos familles. Nous devons décider de nos vies, sans cette pression, ces attentes...

— Si nous sortons ensemble, tu es sûr que cela ne t’ennuiera pas que je cherche à travailler ?

— Maryline ... Demain, tu auras dix-neuf ans. Tu es donc absolument libre de vivre tes rêves et de travailler dans le domaine qui te plaît ! Mais en attendant, tu peux peut-être m’aider...

Elle obéit .

— Rien ne sent aussi bon qu’un drap ayant séché au soleil, tu ne trouves

pas ?

Je lui fais signe de s’approcher de moi

— Non, Il y a autre chose : toi.

Elle monte sur le lit et rampe vers moi

— Et toi

Quand elle se redresse devant moi, je me penche et m’empare de sa bouche.Je l’embrasse longtemps, lentement, savourant chaque instant de ce merveilleux baiser. Quand je me résous à détacher mes lèvres de celles de Maryline , le ciel se teintait d’orange et de pourpre. Une cloche sonnait dans le lointain, appelant les fidèles.

— Je vais descendre chercher ta robe, sinon tu vas être en retard à l’église.

— Je suis toujours en retard.

— Quand nous serons à paris , nous pourrons passer toute la journée...

Je n’achève pas ma phrase. La serviette s’ést dénouée et glissa sur le corps de Maryline , qui ne faisait rien pour la retenir. Et quand je reprit sa bouche, je sentais mon érection palpiter contre son ventre doux et chaud.

— Je voudrais t’embrasser là..., murmura-t-elle en écartant légèrement ses lèvres des miennes .

Lorsqu’elle penche la tête pour m’embrasser le ventre, puis descendit de plus en plus bas, je renonçais à lui rappeler qu’elle était censée aller à l’église.

— Comme ça ?

Doucement, elle promene sa bouche sur ma peau fine, tandis que Je l’encourageais en poussant des plaintes de plus en plus rauques.

— Oui... Plus profond...

— C’est le moment ? demanda Maryline en levant les yeux.

Elle sourit

— Pourquoi t’ai-je dit ça, bon sang ! Qu’est-ce que tu veux ?

— Que Andréa vienne avec nous à paris.

— Maryline ... Bon, d’accord... Mais d’abord...

— Oui, je sais..., m’interrompt Maryline en riant.

Je fermais les yeux. Les mains plaquées sur mes fesses, elle reprenait sa

torture exquise ;.. Pour moi, la fellation était l’acte sexuel le plus intime. Et Maryline , même si elle manquait d’expérience, s’y prenait avec un art qui me ravissait, m’enchantait, me procurant un plaisir que je n’avais encore jamais éprouvé.

Et lorsque je me laissa aller dans sa bouche, J’ai eu l’impression d’être transporté au paradis.

Une fois que je fu redescendu sur terre, je la prend dans mes bras et la serre contre moi.

— Cette fois, c’est moi qui vais te laver, . Et ensuite, j’irai voir ton père.

Mais dans l’immédiat... Elle était si excitée, si prête, que je l’allonge sur le lit et m’agenouille devant elle. Elle jouirait en quelques secondes, j’en suis certain. Son sexe était luisant, offert... Son clitoris rose foncé, gonflé...

Choquée et prête à s’envoler dans l’extase, Elle me regardais approcher mon visage de l’endroit le plus intime de sa féminité. Un petit rire nerveux lui échappe suivi d’un long gémissement

Je fouillais maintenant son sexe avec ma bouche, ma langue, mes doigts.

Pressentant qu’elle ne pourrait pas résister longtemps, elle creusa les reins en haletant.. Des instants de pur bonheur, exempts de toute honte.soudain, un vacarme épouvantable monta du rez-de-chaussée, suivi de pas lourds montant rapidement l’escalier. De pas nombreux.

L’instant d’après, la porte vola littéralement en éclats, des agents de police pénétrèrent à grand fracas dans la chambre et nous encerclèrent .

Je tire précipitamment le drap sur elle.

— Ne bougez pas ! ordonna l’un des policiers.

deux de ses collègues s’emparer de Moi, me plaque brutalement au sol et me passe les menottes.

— Tout va s’arranger, et surtout ne t’énerve pas,

. Laissez-la se rhabiller, bon sang !

Pour toute réponse, le policier lui lança la chemise sortie par moi avant l’arrivée de Maryline

— On n’est pas à l’église, ce soir ? demanda l’homme d’un ton menaçant , en la regardant l’enfiler maladroitement.

— Ne dis rien

Ils menottes aussi Maryline

— Pourquoi faites-vous ça ?

C’était de nos pères qu’il s’agissait. Pas de nous .

Après avoir goûté au bonheur parfait, nous nous retrouvions plongée en enfer.

Quelques instants plus tard, nous sommes poussés hors de la chambre, traînés dans l’escalier, puis évacués de la maison, devant laquelle attendaient un fourgon et une voiture. Massée de l’autre côté de la rue, toute la petite ville semblait être venue assister au spectacle.

— Je vais aller te chercher des vêtements et te les apporter ! cria Andrea

— pute...

J’entend certaines personnes le dirent même à voix haute.

— Alors, où est ton père, ce soir ? demanda le chef, assis à l’avant.

Maryline ne répond pas et tourna le visage vers la vitre.

La voiture passait devant l’hôtel, au moment où hyacinte en sortait, encadré par deux policiers et menotté lui aussi.

— Ah, dasylva père..., dit l’officier. Je me demande où est max ...

Quand nous prenons la petite rue où se trouve la boulangerie , nous sommes bientôt

arrêtés par des pompiers. La boutique était en flamme

— Vous êtes venue ici, cet après-midi, n’est-ce pas ? demanda le chef en se retournant vers Maryline

Elle hoche la tête

— Votre père était passé avant vous. Pour la troisième fois....

À suivre ...

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