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Chapitre 6

6

CHRISTIANA NGOY.

De toute la journée j'ai pas arrêté de pleurer, de penser à lui et la façon dont il m'a traité. j'ai peut-être un corps salle mais je ne suis pas une chose, j'ai un nom et une identité.

ma sœur était sorti je ne sais où, Agathe ne pas venu dans ma chambre peut-être qu'elle a peur de moi aussi...je me demande si elle n'a jamais soupçonné quelque chose entre mon géniteur et moi. elle travaillait pour nous pendant des années, comment elle n'a rien vu ? pourquoi ça serait de sa faute ? je suis là seule coupable dans cette histoire. j'ai donner le pouvoir à mon géniteur de profiter de moi.

une chose !

ça n'arrête pas de ce répété dans ma tête, il avait peut-être vu des choses qu'il ne devrait pas voir mais rien ne lui donne le droit de me traiter de cette façon.

de toute façon, pourquoi son opinion me dérange t'il autant ? jamais les injures envers moi m'ont affectée de cette manière.

Agathe : vous sortez encore ?

Moi : oui, dis a ma soeur que je fais un tour au bureau...si elle me cherche.

Agathe : d'accord mademoiselle, faite attention.

je m'arrête, je me rappelle encore des ses mots.

sa femme, contrairement à lui elle était très gentille mais j'ai tout gâcher avec ma mauvaise humeur. elle voulait juste m'aider. j'avais pris la décision de plus conduire mais je le ferai une fois que j'aurai dis ce que j'ai sur le coeur. c'est devant l'adresse que le docteur m'avait donné que j'ai arrêté ma voiture. je ne savais pas que ici à Kinshasa, il y avait aussi des belles maisons.

mon géniteur n'as rien comparer à ce que j'ai sous les yeux.

c'est une paradis sur terre !

- oui bonjour, en quoi puis-je vous aider mademoiselle dit-il en me regardant de la tête au pied.

Moi : voir monsieur...

je ne sais même pas comment il s'appelle, merde.

- il y a tellement des Monsieur dans cette endroit, le quel voulez-vous rencontrer ?

Moi : le blanc, l'arrogant !

il sourit et me laisse passer, il est vraiment intimidant comme gardien. en arrivant à la porte un autre homme mais le premier lui fait signe de me laisser entrer.

il m'ouvre la porte, j'entends des éclats de rire et beaucoup des voix. c'est en tremblant que je franchis la porte de l'autre côté.

ils me regardent tous, comme si j'étais une voleuse. l'arrogant ouvre ses yeux mais ne dis rien

Moi : je suis Christiana Ngoy, j'ai 24 ans... j'essuie mes larme mais continue de parler.

Moi : j'ai perdu ma mère lorsque j'avais dix ans... c'est peut-être pas grand chose mais pour moi c'était comme un choc, je ne pouvais pas pleurer parceque je devais m'occuper de ma petite sœur qui venait de naître. tu as vu des choses au quel je ne suis pas fière mais c'est ma vie, c'est mon choix. je suis venu te dire que je ne suis pas une chose, j'ai un nom...une identité. je suis peut-être maudite mais je ne suis pas une chose, je voulais que tu le saches.

Silence

un silence pesant, un silence dont tout le regard était fixée sur moi. je me suis retournée pour partir ce là que ma tête a commencé à chauffer. je l'ai tenue parceque c'est vraiment insupportable.

Maël : bonjour !

juste le visage de ce petit garçon et avant d'atterrir sur le sol j'ai senti ses bras sur le bas de mon dos. mes yeux s'est sont fermés automatiquement et plus rien.

JAMES KING MICHAEL

On était entrain de jouer lorsque je l'ai vu, début devant mes yeux entrain de pleurer. le premier réflexe était d'aller la voir et la mettre à la porte mais ma sœur m'a tenu la main.

Mia : non!

après avoir fini elle a voulu répartir c'est la que je l'ai vu. elle voulait tomber donc je suis allée pour l'aider. Dieu merci je suis arrivé à temps sinon on aurait eu de problème par sa faute. il n'avait pas de chambre libre donc j'ai dit la placer dans la mienne.

Moi : comment ils ont pu la laisser entrer dans cette maison putain...mon fils à vu cette maudite.

Zeyneb : ce qui cette fille ? pourquoi tu l'appelle comme ça ?

Mia : la fille qu'il avait sauvé, aujourd'hui encore elle était sur notre route ce matin...on a failli la percuté.

Abel : a croire qu'elle a un problème avec toi.

Kenny : elle est peut-être folle !

Emma : j'amène les enfants à l'étage

Rayan : c'est mieux et vous devriez y aller aussi.

Moi : elle n'est pas folle, comment vous pouvez dire ça alors qu'elle a dit comment elle s'appelait.

Abel : ah donc maintenant c'est notre faute !

Moi : j'ai pas dis ça !

Kenny : c'est ce que tu insinue !

Luxure : eh on se calme le gars, personne n'insinue rien. cherchons à savoir comment aider cette fille.

Moi : elle va juste rentrer chez elle dès qu'elle sera réveiller.

j'appelle T Donatien et le préviens de ne plus commettre cette erreur. elle va apporter la malédiction dans notre famille, voilà pour la première fois de ma vie j'ai faillit me prendre la tête avec mes frères.

CHRISTIANA NGOY

J'ouvre les yeux et constate que je ne suis pas dans chambre. ce lit est vraiment confortable, je sursaute lorsqu'il entre

- donc dans ta petite tête, tu as vraiment penser que j'avais quelque chose à faire avec ton identité ? que tu t'appelles saucisses, serpent, macaronis tout ce que je sais ce juste que tu es une chose... une femme maudite.

Moi pleure :

James : quand tu te regarde dans la glace...j'en doute fort que tu puisses te regarder malgré ce que tu fais.

Moi : c'est ma vie, j'ai rien à prouver à qui que ce soit !

James : tu es sûr ? sinon pourquoi tu es là ? pour que j'aie pitié de toi comme ça je t'épouserait et que tes péchés seront oublier ?

il éclate de rire, mon cœur saigne. j'ai mal qu'il me parle comme ça, qu'il me traite comme un moin que rien. je le suis déjà mais l'entendre d'une bouche d'un homme comme lui me fait mal.

James : ta place se trouve en enfer, debout et dégage de cette maison...tu as vraiment de la chance qu'on soit entouré sinon je t'aurais arracher ses yeux... imbéciles !

j'étais toujours assise, il est venu devant moi...en voulant me touché il s'est arrêtée comme si j'étais salle et que mon corps puais la merde.

James : une femme qui couche avec son père n'est pas une personne mais une chose, tu ne vaut rien.

la force de parler, j'ai longtemps été qualifié de femme impolie, de femme arrogant...de femme insupportable mais devant lui je n'arrive a rien. c'est peut-être parcequ'il m'avait vu ?

c'est peut-être parce-que j'ai honte ? le peu de fierté que j'avais il me l'a pris aussi. il venait de couper mes ailes avec ses paroles.

- oh tu es réveillé, comment tu vas maintenant.

sa femme, toujours aussi gentille... malgré ce qui s'était passé elle me parle toujours.

James criant : VENEZ DÉSINFECTÉ CETTE CHAMBRE IMMÉDIATEMENT.

Je baisse la tête en essuieant mes larme.

- je suis Mia, la sœur de James...je ne sais pas si tu rappelles de moi.

comment oublier une femme aussi belle, classe qu'elle ? elle parle tellement avec assurance, confiance et avec le sourire aux lèvres.

Mia : n'écoute pas ce qu'il dis, il est tout le temps en colère et personne ne sait pourquoi dit-elle en souriant.

Moi : c'est vraiment gentil de votre part mais je vais y aller.... désolé encore pour ce matin.

Mia : ne t'inquiètes pas, je comprends parfaitement !

elle était la seule à discuter avec moi, les autres membres me regardait bizarrement je cela me mettait mal à l'aise.

- c'est vraiment courageuse ce que tu as fait, tu ne dois jamais laisser quelqu'un piétiné ta dignité.

James : si elle en a une ?.

- chéri !

James : excuses moi mais vous pouvez aller dehors ? je ne supporte pas cette chose

Mia : c'est vraiment méchant de ta part de dire ça a une femme...je suis ta sœur et ça te plairait de voir quelqu'un me traité comme tu le fais ?

James : je le tuerait de mes propres mains, tu peux en être sûr.

Mia : alors laisse cette petite tranquille, elle t'a rien fait.

il m'a regardé avec les yeux d'un tueurs..

Mia et l'autre fille m'ont accompagné dehors

Emma : James ne se fâche jamais inutilement comme ça, il es peut-être difficile mais c'est un homme bien... qu'est-ce que tu as fait ?

Moi : je suis désolé, il faut que je parte merci encore pour votre gentillesse... je n'oublierai jamais ce que vous avez fait pour moi.

Mia : c'est pas grave si tu veux pas nous en parler... prends soin de toi et à bientôt mademoiselle Ngoy.

je lui ai souri gentiment, j'ai ouvert la portière de la voiture lorsque mon téléphone a vibré sur la poche de mon pantalon.

je me suis dit que c'est peut-être ma soeur mais non... c'était juste mon cauchemar que reprenait son boulot.

Messages : tu m'as tellement manqué mon amour... papa est de retour.

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