Chapitre 5

5

JAMES KING MICHAEL

j'ai vomi tout ce que j'avais manger sur la porte de sa chambre. dite moi que je rêve, que c'est pas ce que j'ai entendu.

Philippe : te revoilà, Abel m'a dit que tu étais ici....mec qu'est-ce que tu fais ?

non j'avais pas entendu, j'avais peut-être pas bien entendu. c'est... c'est vraiment ce qu'elle fait dans sa vie ? coucher avec son géniteur ?

pourquoi ?

Philippe : eh ça va ?

je l'écoute pas et cour vomir dans une poubelle qui se trouvait dans le couloir. j'arrêtais pas de vomir surtout en pensant à ce que je viens de voir.

Philippe : infirmière, s'il vous apporter moi un sérum pour stopper les vomissements.

- tout de suite docteur.

Philippe : qu'est-ce qui t'arrive ? t'as manger un truc mauvais ou quoi ?

a chaque fois que j'essaie de répondre c'est dans la poubelle que je me retrouvais.

Philippe : boit ça, ça va t'aider.

j'ai vidé le verre en un seconde, je me suis calmer une petite minute et c'était fini.

Philippe : ça va maintenant ? vous avez un organisme très bizarre enfaite. c'est vraiment super que vous vivez a l'étranger sinon

Moi : il faut que je parte, s'il te plait ne dis rien a mon frère.

Philippe : t'inquiètes pas, tu l'as quand-même vu ?

Moi : oui et c'était une erreur ! salut dis-je en partant.

Philippe : qu'est ce qui se passé ?

je ne réponds pas et part... c'est toujours comme ça lorsque j'arrive à me dire que oui James ça va, tout le monde ne pas comme Christine mais la réalité me rappelle a l'ordre. pourquoi ? pourquoi elle fait ça ?

je pourrais comprendre que son père est peut-être un homme méchant mais elle n'est pas une petite fille de dix ans...qui demande de la protection. j'ai passé la nuit dans la voiture et dehors de la maison, c'est par le coup a la portière que j'ai ouvert les yeux.

Maël : bonjour Papa !

Moi : bonjour mon chéri, ça va.

il me sourit, cela réchauffe mon cœur de voir mon fils.

Maël : oui ça va, et toi !

je touche ma poitrine en voyant sa tête de bébé bouger de gauche à droite. je pourrais tout donner pour le voir comme ça chaque jour, chaque semaine, chaque mois et chaque année sans jamais me fatiguer.

Maël : pourquoi tu as passé la nuit dehors ?

Moi : j'étais sortie prendre quelques choses et en rentrant la porte était fermée... j'ai pas voulu déranger oncle T Donatien.

Maël : d'accord !

Moi le portant : et toi, tu as passé une bonne nuit ?

Maël : oui, j'ai passé la nuit avec Tata Mimi après Muse est venu nous rejoindre après c'était Anaëlle.

Moi : donc vous avez passé la nuit dans la chambre d'autrui ? a déranger Tata et tonton.

il me sourit et ramène sa tête a gauche

Maël : eh bah tonton Lulu avait dit qu'on pouvait dormir avec lui. c'est Tata qui est venu nous déranger.

j'éclate de rire parce que c'est drôle ce qu'il raconte. carrément c'est Tata qui nous dérange, alors c'est son mari et sa chambre.

Anaëlle courant vers moi : Jéjé

cette petite ressemble trop à Kenny a croire que c'était le seul à faire l'amour ce jour là. elle a deux ans et c'est ma petite princesse. c'est son père qui a commencé à Jéjé et tout le monde m'appel comme ça dans la famille, même les enfants de deux ans sauf mon fils bien-sûr. je prends place sur le canapé et la porte sur me genou, elle ne sait pas encore parlé mais elle parle beaucoup a raconté des trucs incompréhensible.

Muse viens aussi ce joindre à nous. a elle deux ans aussi, contrairement à Anaëlle Muse peu parlé dire des trucs d'où on peut comprendre. petit a petit le salon s'était rempli, après avoir fini de prendre ma douche nous avons manger.

Rayan : les parents nous invite à passer la soirée chez eux. Abel irait directement là-bas.

Kenny : Oncle James est déjà de retour.

Moi : je ne pense pas, il m'aurait appeler s'il était venue.

je suis content d'avoir une famille merveilleuse.... comme ça je peux oublier de ce que j'avais vu la nuit dernière.

c'est une fille maudite, voilà pourquoi sa vie est une véritable misères. elle n'en vaut pas la peine surtout que je me souci d'une chose comme elle.

Rayan : ça va ? tu m'as l'air inquiét...je dirais en colère.

Moi : je vais bien, c'est juste le manque de sommeil mais ça va.

il me tapote l'épaule et s'en va, je soupire et par rejoindre tout le monde.

CHRISTIANA NGOY

je me sent mal, mal qu'il m'ait vu dans cette position. qu'est-ce qu'il va penser de moi maintenant ? il voulait juste m'aider mais je l'ai humilié de la pur façon.

c'est par son regard que je compris ce que je signifiait dans ce monde. un regard de dégoût, un regard de déceptions...un regard que je n'oublierai jamais.

mon géniteur était parti, pour combien de temps ? j'en ai aucune idée... quelque jours, quelque jours de tranquillité d'esprit. pour être honnête j'avais plus de force de continuer, j'étais à bout de force.

Simoni : ça t'arrive de téléphoner ? dire où tu es ?

Moi : je suis fatiguée, laisse moi me reposer....je t'en prie !

Simoni : je pense que tu ne réalise pas l'ampleur de ce qui se passe dans cette famille. tu as disparu pendant des semaines et je devrais te laisser tranquille ? tu me prends pour une idiote alors ?

Moi : j'ai jamais dit ça !

Simoni : je te rappelle que je suis ta sœur

Moi : je n'oublie rien, je veux bien que tu me laisse tranquille.

Simoni : Chris ? c'est moi je suis ta sœur ok? qu'est ce qui t'arrive bon sang ?

mes yeux se remplisse de larme, je ne pourrai lui dire que j'étais à l'hôpital a cause de mon père et que l'homme qui m'a sauvé la vie nous a vu entrain de coucher ensemble.

Simoni : tu sais quoi, reste là....reste dans ta solitude. peut-être que Owen avait raison, tu n'as pas de coeur.

oui, il avait raison. j'ai pas de coeur et je l'aurai jamais. j'ai honte de sortir dehors, me mettre encore en danger et le voir encore. pendant toute une semaine j'étais la fille la plus heureuse, mon géniteur avait disparu.

j'aimais le silence radio qu'il m'avait laissé.

Agathe : Mademoiselle il y a une jeune femme qui aimerait vous rencontrer.

Moi : oui fait la entré, je l'entendait !

elle est revenue accompagné de Blanche la comptable de mon entreprise.

Blanche : bonjour Madame !

Moi : donne moi ce le pourquoi tu es là.

elle sort les documents de son sac et me le donne.

Moi : ça serait tout, je vous appellerai demain pour pour ce que vous devez faire.

Blanche : c'est comme vous voulez.

je vérifie tout, je suis entrain de tout perdre si je ne réagit pas. ses gens travail biens lorsque je suis là...le chiffre d'affaires diminue le jour au jour. demain je dois reprendre mon travail, sauver la seul chose qui m'appartient.

....

- non c'est fou comme la mort te veux hein, tu es toujours obligé d'être sur mon chemin ?

il le dit avec tellement de dégoût, soutenir son regard pour moi serait comme une mort.

Moi : je suis désolé !

James : désolé, c'est toujours désolé que tu sais faire. écoute moi bien, si je te croise encore sur mon chemin je vais te f-r-a-p-p-e-r après je te tuerait... espèces de fille maudite.

- oh mon amour, c'est pas gentille ça!

j'essuie mes larme

- je suis désolé mademoiselle, excusé nous et s'il vous plait faites attention

Moi : je me suis déjà excusé, pourquoi vous m'insulter ? je ne vous ai rien demandé moi... laisser moi tranquille.

- oh!

James : qui tu viens de parler comme ça toi?

il ramène la fille derrière lui et me gifle, je touche ma joue...il me gifle encore. je reste la sans rien dire

Mia : arrête, ça suffit maintenant ! tu te raconte de ce que tu fais ? c'est une femme bon sang !

James : oui et? tu l'as entendu comment elle t'a parler ? cette chose je ne sais pas comment l'appeler.

Mia : ce bon, partons ! chacun a ses combats... au-revoir mademoiselle taché de faire plus attention à l'avenir.

une chose ? je suis une chose pour lui? pourquoi je me sent si mal ? c'est ce que je suis non?

une chose qui couche avec son père, c'est vraiment ce que je mérite comme nom.

le courage d'aller au travail n'y était plus, c'est dans un taxi que je suis rentrée chez moi.

une fille maudite ?

une chose ?

Moi : c'est ce que je mérite !

- vous m'avez parler ?

je ferme les yeux pour empêcher mes larme de couler.

Moi : non!