Une vie a deux

1

CHRISTIANA NGOY

Je déteste cette situation, ma petite sœur ? la petite fleur que ma mère m'a laissé sur les bras être en prison ? que je suis devenu folle ? c'est avec rage que j'entre dans son bureau. assise entrain de faire je ne sais quoi...il me regarde.

Mon géniteur : mon amour !

mon cœur se sert, je ferme les yeux pour ne pas craquer et avance vers lui.

Mon géniteur : tu m'as pas informé de ton arrivée, viens mon cœur fait moi un bisou.

Moi : libère ma sœur !

il me regarde un moment et éclate de rire.

Mon géniteur : je savais que tu allais venir, je pouvais le faire mais je t'attendais.

être ici me dégoûte, j'avais promis de plus mettre mes pieds ici mais pour ma sœur je serai capable de faire n'importe quoi. le lien de ses mauvaise chose suive ma petite sœur, c'est pas sa faute mais celle de notre géniteur.

Moi : tu m'avais promis d'arrêter, pourquoi tu fais ça ?

Mon géniteur : c'est pas ma faute si tu es revenu ici ! le plan était que tu disparaisse et celà pour toujours. tu sais très bien que je ne peux résister à ton corps... avance mon amour.

je suis tellement dégouté ! je suis habitué mais depuis le jour où j'ai pris connaissance que c'était mal ce qu'il me faisait... j'ai quitté la maison. j'ai travaillé tellement dur pour avoir mon entreprise, j'ai pas encore acquis assez de pouvoir pour le combattre mais j'y arriverai, un jour peut-être.

je m'avance près de lui et me déshabille, lentement en le regardant avec tellement de haine.

je te tuerai !

Mon géniteur : prend soin de moi mon bébé, papa adore quand tu t'occupes de lui.

mon père ! cet homme qui devrait prendre soin de nous, nous protéger se servait de moi pour ses propres intérêts. c'est avec les sang aux yeux que je m'occupe de mon père sexuellement.

Mon géniteur : libéré ma fille dans une minute, sinon vous aurez a faire a moi !

j'ai ramassé mon pantalon, je l'ai enfiler sans le quitter des yeux.

Mon géniteur : quoi? tu as besoin de quelque chose d'autre ?

Moi : libere juste ma sœur, et tu me feras plus jamais !

splash

je touche ma joue sans rien dire

Mon géniteur : comment tu ose me regarder dans les yeux et me parler sur ce ton ? lorsque j'ai appelé l'inspecteur tu n'as pas entendu ?

je finis et récupére mon sac, j'ai mal au cœur surtout au niveau de mon intimité. c'est toujours comme ça après chaque séance passé avec lui

je peux appeler ça séance non ?

Mon géniteur : dégage de ma vue, et attand ! n'oublie pas ce que tu me dois.

je sors enfin dehors et vomi tout ce que j'avais. je pourrais partir, partir loin de cette endroit de cette ville mais qui s'occupera de ma sœur ? qui prendra soin de mon entreprise ?

je me suis tellement battue !

- Mademoiselle ! bonjour !

Agathe

la gouvernante

- vous partez déjà ?

je ne dis rien et ouvre ma voiture

- s'il vous plait, j'ai besoin de vous. aider moi a trouver un autre travail s'il vous plait. monsieur me fait très peur et hier il m'a dit de choses étranges.

je pourrais accepter qu'il me fasse du mal mais pas a d'autres personnes. cet homme c'est un monstre sans cœur.

- s'il vous plait, il veux même pas me voir démissionner.

Moi : monte !

- pardon !

Moi : tu ne voulais pas partir d'ici ?

- bien-sûr, bien-sûr que oui !

elle ouvre la porte d'entrée et me laisse passer. je l'attends dehors une dizaine de minutes nous dégageons de la maison de mon père.

je venez de désobéir a ses ordres, je devais certainement le payer d'une manière ou d'une autre.

Messages : tu viens de prendre une autre personne a ta charge, tu me dois plus maintenant.

en relevant la tête c'est une femme qui pleure devant ma voiture.

Agathe : je pense que vous avez tué quelqu'un Mademoiselle !

génial !

il manquait plus que ça !

Agathe : ne descendait pas Mademoiselle, il vont vous tuez.

Moi : je ne suis pas une meurtrière et je ne recule devant rien pour assumer mes erreurs.

elle baisse la tête, en vouloir ouvrir la portière une grande foule s'est mise à nous jeter des pierres. je ne comprenais rien

- elle a tué mon enfant, cette femme viens de tué mon enfant.

elle pleurait beaucoup, j'avais pas fait ce qu'elle m'accusait.

- apporter de l'essence, nous allons la brûlé vif ici. c'est une sorcière, en plein jour comment tu peu tué quelqu'un juste comme ça.

je suis descendu

splash, j'ai atterri par terre tellement je m'y attendais pas.

ils ont commencé à me battre comme une vraie criminelle. tout était de sa faute, s'il m'avait pas écrit ces messages je serais chez moi assise tranquille, mais régarder moi.

mon père me frappait, tellement...mais aujourd'hui je viens de confirmer qu'il plaisantais.

du sang coulait de ma bouche, de mon nez et de mes oreilles.

Moi : je suis désolé, je vous donnerai tout ce que vous voulez. je vous en prie

Agathe : laisser la tranquille, tuez moi et laisser ma patronne tranquille.

a croire que c'était ma journée hahaha, j'avais tellement souhaité mourir mais je me demande si c'est vraiment le moment.

- OÙ EST L'ESSENCE ? NOUS DEVONS LA BRÛLÉ VIF. C'EST UNE FOLLE

Moi : je suis désolé !

les voix commençait à être loin, je ne voyais plus grand chose. j'ai vu m'a sœur pleurer, le visage de ma mère avec du sang partout entrain de pleurer... elle me donnait un bébé..

- ÇA SUFFIT, DÉGAGER DE LÀ IMMÉDIATEMENT. COMMENT VOUS POUVEZ ETRE SANS COEUR A CE POINT ? ET TOI ? J'AI DIS DE PLUS LA TOUCHER TU N'A PAS COMPRIS ?

mes yeux s'est sont fermés tout seul. la douleur disparaissait petit a petit jusqu'à ce que je ne sentent plus rien.

Chris avait perdu connaissance, l'homme regardait la foule avec tellement de rage, tellement de colère qu'il voulait tuez quelqu'un s'il avait le choix.

- AU LIEU D'AMENÉE L'ENFANT A L'HÔPITAL N'EST CE PAS C'EST TUÉ LA FEMME QUE VOUS CONNAISSEZ FAIRE. L'ENFANT RESPIRE VOUS AVEZ VÉRIFIER ?

La Mère de l'enfant : mon fils est mort , elle a tué mon enfant sniff sniff

- tait toi imbéciles, tu laisses ton fils joué sur l'autoroute après c'est pour venir pleurer. prend ton fils et va a l'hôpital.

- je te permet pas te parler comme ça a ma femme ok?

- que tu vas me faire quoi? si tu veux je peu même la gifle...tu vas rien me faire idiot.

Agathe : mademoiselle, réveiller vous... Mademoiselle s'il vous plait réveiller vous je vous en prie !

l'homme se retournant : pousser vous dit-il en regardant Agathe...nous devons l'amèner a l'hôpital

- et qui va payer le frais de l'hôpital pour mon fils ?

L'homme : moi peut-être ? DÉGAGÉ DE LÀ SI TU VEUX PAS TE RETROUVER À LA MORGUE.

il portait Chris jusqu'à la voiture qui était garé un peu loin.

Agathe : merci beaucoup monsieur, que Dieu vous bénisse abondamment.

- arrête de me remercier et monte dans la voiture... comment vous pouvez être aussi bête ? sortir de la voiture avec une tel foule.

Agathe : je ne suis que sa servante, elle voulait prendre ses responsabilités et amèner l'enfant à l'hôpital.

- eh bah réveille là, comme ça elle peut amener l'enfant a l'hôpital... n'importe quoi.

ils n'ont fait que quelques minutes avant d'arriver à l'hôpital.

Agathe : à l'aide, venez nous aider s'il vous plait.

Chris avait été prise en charge immédiatement, voyant la personne avec qui elle était.

- vous devriez appeler sa famille, vu que vous êtes personne pour elle.

Agathe se senti mal, elle baissant la tête : elle ne partage pas des bonnes relations avec son père et sa seul sœur est en prison.

- merde !

Agathe : vous pensez qu'elle va s'en sortir ?

il voulait répondre mais le médecin est apparu

Docteur : nous avons besoin du sang, tout de suite !

- et ce quoi le problème !

Docteur : le peu qu'on avait c'est fini et il nous faut du sang sinon nous allons la perdre.

Agathe : prenez mon sang, prenez mon sang monsieur.

Docteur : quel groupe sanguin, s'il vous plait ?

Agathe : B négatif.

Docteur : impossible, elle est O+

- tu peux prendre le mien !

Docteur : tu es sûr !

- oui!

- monsieur, nous sommes entrain de la perdre...venez vite !

Docteur : vas-y suis moi !

Chris suffoquait tellement, Dieu merci l'homme était là. ils ont fait la transfusion sanguine d'une corps a l'autre.

Docteur : c'est bon comme ça, tu risques de perdre connaissance...nous allons en chercher ailleurs.

- non! je vais bien, si ça peu l'aider vas-y prend encore.

Docteur : James !

- s'il te plait, je vais bien ! je t'assure.

...

il est sortie de la salle toute fatiguée, il voyait fou mais ça pouvait aller. c'est un king après tout.

Agathe : fait attention !

James : merci !

Agathe : alors ?

James : je ne sais pas, nous devons attendre encore un peu.

Agathe : merci beaucoup encore monsieur, Dieu va vous bénir ! vous êtes un homme bon.

James : vous pouvez me chercher un truc à manger ? je me sent pas bien...

Agathe : bien... bien-sûr !

elle est sortie en courant

son téléphone a sonné !

James : allô dit-il faiblement

- ÇA FAIT DEUX HEURES QU'ON ATTAND LES SAUCISSES IMBÉCILES.

il sourit sans rien dire

- MEC T'ES OÙ ? MA FEMME VEUX LES SAUCISSES PUTAIN.

James : je ne t'ai pas envoyé la mettre enceinte

- QUOI? VOUS AVEZ ENTENDU ?

Agathe : voilà ce que j'ai pu trouver monsieur

James : ça serait suffisant, Merci !

- Hein ? James King qui remercie quelqu'un c'est vraiment nouveau ça. vas-y raconte tu es où ?

James : longue histoire !

- IMBÉCILES, RAMÈNE LES SAUCISSES POUR MA FEMME TOUT DE SUITE.

James : je me suis perdue ! une fois que j'aurai retrouvé la route je reviendrai à la maison mais excuses moi Chez ma belle sœur préférée du mon entier

- nous allons arrivons là où tu es IMBÉCILES, attand c'est mon coup de poing que tu auras sur ta tronche...pour avoir fait attendre ma femme.

James souriant : je t'aime aussi mon frère !

puis il perdirent connaissance.