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La nuit des ombres

La nuit était calme, mais le silence de la maison pesait lourd. La lueur blafarde de la lune filtrait à travers les rideaux, illuminant faiblement la chambre de Lucie. Elle se serrait contre sa mère, qui, malgré ses efforts pour paraître calme, tremblait légèrement.

Soudain, des bruits de pas lourds résonnèrent dans le couloir. Lucie se figea, le cœur battant la chamade. Ma mère me regarda d’un air inquiet, mais elle se contenta de me serrer un peu plus fort contre elle, comme pour me protéger de ce qui allait arriver. Mais elle décida de sortir du placard .

— Ma mère : Ne bouge pas, Lucie. Reste tranquille, d’accord ?

J’hochais la tête sans un mot. Elle savait que sa mère ne voulait pas la terrifier, mais la peur grandissait en elle. Les hommes étaient de retour.

Dans le salon,Philippe, le père, se tenait dans l’ombre, observant l’agitation qui se passait au rez-de-chaussée. Il savait que les choses allaient dégénérer. Des bruits sourds, des éclats de voix. Il n’avait plus de contrôle sur la situation.

— Philippe (dans sa tête) : Je dois les protéger… mais je ne peux rien faire. Pas cette fois.

Le bruit des pas se rapprochait. Il entendit la porte de la chambre de Lucie s’ouvrir. Les hommes étaient là, dans la maison, prêts à tout pour obtenir ce qu’ils voulaient. Philippe se précipita vers la porte de la chambre de sa fille.

— Philippe : claire !

Claire, la mère de Lucie, tourna la tête en entendant son mari crier son prénom. Elle comprit immédiatement. Le danger était imminent. Elle se leva précipitamment, mais avant même de pouvoir réagir, la porte de la chambre s’ouvrit violemment.

Un des hommes, un grand type, s’avança. Il sourit de façon déplaisante en apercevant claire.

— L’homme : Alors, Madame… on a décidé de sortir de l’ombre, hein ?

—Philippe : Ne la touchez !

—L’homme : ta femme m’a toujours excité.

Claire tenta de se défendre, mais l’homme la poussa violemment contre le mur. Philippe, du fond du couloir, les regarda impuissant. Ses poings se serrèrent.

— Philippe : Laissez-la tranquille ! Vous n’avez pas le droit de faire ça !

— l’homme : Je vais te montrer comment on baise une femme.

Un autre homme s’approcha, plus menaçant. Il s’adressa à Philippe d’un ton froid.

— L’homme : Ne sois pas un héros, Philippe. Tu sais très bien que tu ne peux rien faire contre nous. On a ce que nous voulons.

—Philippe : laissez la tranquille je vous en supplie. Elle est enceinte.

À cet instant, Lucie, dans sa chambre, entendit les voix s’élever. Son cœur battait fort, et la peur la paralysait. Mais elle savait qu’elle avait envie de savoir ce qui se passe.Elle se glissa hors de son placard, les pieds nus, et se faufila discrètement vers la porte de sa chambre. Elle voulait voir, savoir ce qui se passait.

Mais avant qu’elle ne puisse ouvrir, elle aperçut son père traversant le hall en courant et sa mère se faire violer .

— Philippe : Lucie, non ! Retourne dans ta chambre !

Lucie s’arrêta, terrifiée. Mais son père arriva à la saisir par le bras avant qu’elle ne puisse bouger.

— Philippe : Il faut que tu restes cachée. Tout va bien se passer, d’accord ?

Lucie, malgré la peur, se laissa emmener vers le placard.Son père la poussa derrière le tas de vêtement où elle s’accroupit, se cachant dans l’ombre. Philippe, avec une grande peine dans les yeux, se tourna alors vers les hommes.

— Philippe : Je vous en prie, laissez ma femme et ma fille en paix. Je ferai tout ce que vous voulez, mais pas ça…

Un autre homme entra dans la pièce. Il était plus âgé, plus imposant, avec des cicatrices visibles sur son visage. Il s’arrêta devant Philippe et le fixa froidement.

— Homme âgé : Je crois que tu ne comprends pas, Philippe. Tu nous as assez frustrés. Maintenant, tu vas comprendre ce qu’il en coûte de nous défier.

Lucie, cachée dans le placard , entendait tout. Elle serra ses petites mains contre ses genoux, retenant ses larmes. Elle avait peur pour sa mère, pour son père, pour elle-même.

Soudain, un cri perça la nuit. Claire , sa mère, hurla de douleur. Lucie sursauta, ses mains se portèrent à sa bouche pour étouffer un cri.

— Lucie : Maman…

Son père et sa mère se faisaient torturer davantage. Du sang sortait de la bouche de Philippe.

Les hommes éclatèrent de rire, mais un autre cri de Philippe fit trembler les murs de la maison. Lucie sentit son cœur se briser. Elle avait du mal à respirer. Mais elle savait qu’elle ne pouvait pas bouger. Pas maintenant.

Les bruits de lutte se poursuivirent. Un silence de mort s’abattit dans la maison. Puis, tout à coup, un bruit de porte qui claque. Philippe, ensanglanté, apparut dans l’entrée de la chambre . Il s’effondra presque sur le sol, les mains tremblantes.

— Philippe : Lucie… claire … je… je suis désolé…

Il tenta de se redresser, mais il n’y arrivait pas. L’un des hommes entra à nouveau dans la pièce, suivi de deux autres. Leur regard se posa sur Lucie, qui était toujours cachée derrière le placard .

— Homme : Alors, c’est toi la petite dernière ?

Lucie se figea. Elle avait entendu des rumeurs à l’école, des histoires sur des gens comme eux. Mais rien ne l’avait préparée à ce moment.

— Lucie : Je… je veux juste ma maman…

— Philippe : Ne la touchez pas… (Il se releva difficilement.) Je vous en prie. Laissez ma famille en paix… ce n’est qu’une enfant.

—l’homme : Elle est bien mignonne aussi celle-là. Je veux bien la goûter aussi. Dit-il en ricanant

—Philippe : NONN

Le regard des hommes devint plus sombre. Le plus âgé fit un signe de la main, comme pour signifier qu’ils en avaient fini. Mais avant qu’ils ne s’éloignent, il se tourna une dernière fois vers Philippe.

— Homme âgé : Tu n’as pas idée de ce que tu viens de provoquer, Philippe. Tout a un prix…

L’homme lâcha la petite fille qui allait directement auprès de ses parents.

—homme âgé : Et vous bande d’idiots je vous ai demandé de lui faire peur pas d’abuser de sa femme…

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