Chapitre 3
CHAPITRE 3:LEÇON DE VIE
Nooooooon, c était le mari de MC qui à son bras avait accroché une petite fille avec qui il riait aux éclats, la fille était jeune on n’aurait dit qu’elle n’avait même pas trente ans. Ils avaient vraiment l’air de ne pas se gêner et croire qu’ils étaient seuls au monde, MC devint livide et resta bouche bée. Le couple alla s’asseoir, le mari jouait les galants, il tirait la chaise à la jeunette et elle s’assit, il alla s’asseoir à son tour, puis lui prit la main dans la sienne, les yeux dans les yeux à un moment il se redressa et l’embrassait sur la bouche.
J’étais tellement mal que je ne savais même pas quoi dire à ma copine, j’étais la à me plaindre de mon mari qui voulait déjà la couleur jaune quand elle-même vivait la même situation sans qu’on ne sache. J’avais peur de sa réaction , la femme la savait être sauvage hein, elle réagissait sans réfléchir face à se genre de situation.
Elle les observait dans un calme qui en disait long. Je n’avais plus d’appétit, le type ne regardait même pas autour de lui, il n’avait d’yeux que pour la minette la. Ils se levèrent, le gars tira la chaise, ils se dirigèrent au buffet , le type tenait le plat pendant que la petite se servait.
Mamaaaaaaa les hommes hein, elle entre temps montrait du doigt ce qu’elle voulait manger. Après il lui fit un autre bisou sur la joue, elle sourit et lui toucha la joue d’un geste tendre.
Je regardais la scène avec dégout, entre temps je guettais ma copine du coin de l’œil, le couple alla s’asseoir, même geste le type déposa son plat et tira la chaise de sa minette et s’assit à son tour.
MC se leva d’un bond, on dirait qu’elle avait le diable à ses trousses fonça sur eux et prit le plat de son mari le versa sur lui, il se leva surpris, il n’eut pas le temps de réagir qu’elle avait déjà bondit sur la minette qui n’avait même pas eu le temps de fuir. La tira violemment de sa chaise par les cheveux, moi j’ai juste eu le temps d’attraper la bouteille qu’on n’avait déposé sur la table 5min avant, pour qu’elle l’utilise pas, pendant ce temps le mari, vint arrêter sa femme qui était déchainer comme un lion, elle le projeta de sa main gauche, pour le dégager de son corps. Les serveurs vinrent à la rescousse, personne n’arrivait à enlever la main de MC des cheveux des la fille qui hurlait de douleur. Le mari, les serveurs, personne.Faut avouer que c’était d’abord une femme forte de corpulence, grande de taille et très imposante.
Je me mis à la supplier, pour qu’elle laisse la fille.
- Ma chérie, je t’en prie laisse la pardon c’est moi qui te le demande ma combi ?
- Non, elle et son malade la vont me sentir aujourd’hui, ils ont voulus le scandale non ? je vais leur servir ça sur une assiette en inox. Un chien, qui vient ou je suis avec une petite pisseuse ? Non Solange laisse moi ça. Qu’on se donne en spectacle, ils sauront à qui ils ont à faire.
En disant ça elle tirait toujours sur les cheveux de la fille oooh, wouaih kèèèèèh les brésiliennes si qu’on met la hein ? Mieux quand tu vas tchop (manger) avec le mari d’autrui, attache ça ooooh, on sait jamais sur qui tu peux tomber.
MC avait une force incroyable…
- Pardon ma sœur, laisse je t’en prie fait ça pour moi. Stp laisse la, je t’en supplie, elle me regarda. Je pus lire la douleur qu’elle ressentait sur son visage tellement c’était palpable, la pauvre. Mais elle fini par enlever sa main, des cheveux de la fille qui hurlait de douleur et ne demanda pas son reste, prit ses jambes à son cou le talon gauche était même quitté, mais elle quoi ?elle courrait pour échapper à la bastonnade de la femme en furie. Le sac même elle n’avait pas pris.
Le mari alors la honte pouvait le tuer, tout le monde le regardait, les femmes qui étaient la venaient consoler MC, le mari suppliât de lui pardonner, le restaurant était en ébullition, y’avait eu un sacré tourbillon.
- Solange on s’en va stp. Paye l’addition et je t’attends dehors. Le patron vint s’excuser auprès d’elles en leur offrant ce qu’elles avaient consommé, le mari tout penaud la suivait. J’ÉTAIS SOUS LE CHOC DE CE QUE JE VENAIS DE VIVRE EN DIRECT.
Ma chérie, était tellement en colère qu’elle marchait vite, elle ne parlait plus.Son mari à ses trousses essayant de la rattraper, pour s’expliquer je les observais ne sachant pas quoi faire, ni dire arrivé à l’extérieur, Mc ralenti et regarda autour d’elle comme ci elle cherchait quelque chose, je lui demandai si elle préférait rentrer avec son mari ou alors que j’aille la déposer.
Elle me dit de prendre le volant car elle n’était pas en état de conduire. Son mari vint me chuchoter à l’oreille de rester avec elle, elle risquait de commettre un impair. Qu’il était désolé de ce qui s’est passé. Je n’ai rien trouvé à lui dire tellement j’étais dégoutée.
MC resta, calme pendant tout le trajet jusqu'à chez moi. Je respectai son silence, j’imagine qu’elle avait une et mille choses dans la tête. J’étais aussi sous le choc, mais fallait bien lui parler. On arriva, à la maison elle me demanda si elle pouvait dormir dans la chambre ‘amis, je demandai qu’on arrange le lit et mette un peu d’ordre dans la chambre. Elle alla se coucher.
Je me suis mise à réfléchir. Entre temps mon mari n’était pas rentré à midi.
On n’avait un principe lui et moi, il devait manger chez lui tous les jours même s’il se passait quoi. Mes chères ne donnez jamais la peine de faire à manger pour venir trouver les plats remplies le lendemain j’ai horreur de ca.
Plus tard dans la soirée, MC s’est réveillée, elle n’a pas voulu me réveiller et est partie.
Comme je ne savais pas ou, et dans quel état d’esprit elle devait être, je me suis mise à l’appeler sans succès. Son mari m’a appelé pour me demander si elle allait bien, mais hélas je n’avais pas non plus de nouvelles.
Le soir Matthys est rentré comme à l’accoutumé depuis une semaine très fatigué, c’est le 1er mot qu’il prononçait en franchisant le seuil de la porte. Il courait à la douche et dodo. Mais ce soir la fallait qu’on se parle j’avais envie de lui relater ce que j’ai vécue au restaurant avec le mari de MC.
- Mon chéri ? en le secouant
- Hmmmmm !!!suis fatigué
- Dis-moi quand es ce que tu manges ?
- J’ai mangé avec des partenaires chérie désolé mais je suis vraiment fatigué.
- Non, j’ai besoin de te parler. C’est très important
- Ah bon ? il se dressa sur le lit, on dirait qu’il avait quelque chose à se reprocher. Oui, ma chérie que se passe-t-il ?
- J’ai vécue une scène aujourd’hui qui m’a traumatisé, tu sais M.OMGBA le mari de MC, était au restaurant aujourd’hui avec une femme, une jeune fille brune avec qui il ne cessait de se tripoter, malheureusement pour lui, nous étions sur place et c’était grave.MC a failli péter les plombs, je te jure que c’était pathétique, et tellement j’ai eu mal pour elle. C’était dégoutant, elle va mal et en ce moment même je ne sais même pas ou elle peut se trouver. Elle est partie d’ici sans me dire et son téléphone sonne sans succès. J’ai très peur pour elle.
- Seigneur, que me dis-tu ? marc a trompé sa femme ???!!!
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, et on l’a surpris au restaurant.
- J’imagine la souffrance de Mc, une femme si gentille mais un peu folle quand même. Je me souviens de la fois ou elle m’a vue au restaurant avec une partenaire, elle a foncée sur moi pour me demander qui étais-ce, je n’imagine même pas le scandale qu’il y’a pu avoir aujourd’hui au restaurant.
- Je ne te dis pas, c’était terrible.
- Mais quel est cet homme qui ne sait pas se caché ??? il avait pensé tout haut ou pas ? Tout compte fait j’ai bien entendue et je ne me suis pas gêné de faire les problèmes.Pourquoi tu dis ça ?donc toi tu te caches ?
- Mais non mon cœur, je le disais juste comme ca, qu’un homme qui respecte sa femme se cache. Cela ne veut pas dire je ne le fais aussi. Que vas-tu chercher ?
- Mais tu l’as dit toi-même.
- Non, ma chérie t’inquiète pas je suis de ceux qui ne permette pas ce genre de chose. Je t’aime mon amour et tu es ma femme je ne te tromperai pour rien au monde c’est un salaud OMGBA il devra tout faire pour regagner la confiance de sa femme. Nous les hommes.
Je n’arrivais pas à croire ce que j’entendais mon mari parlait si bien ce qui gonfla mon cœur de joie et remplie d’amour mes yeux. J’étais en joie, tellement que j'ai balayé du revers de la main toutes mes http://xn--apprhensions-eeb.il/ m’attira à lui dans un baiser fougueux, on s’embrassa en a perdre haleine. La nuit fut belle.
Deux jours après, je pus joindre MC, elle avait enfin rallumée son téléphone. Elle me rassura qu’elle allait bien, mais je savais qu’elle mentait elle avait besoin d’être seule, elle promit de passer me voir dans l’après-midi. Entre temps les affaires de mon mari prospéraient, il trouva des actionnaires qui investirent dans la boite.
Dans l’après –midi je pus joindre MC, et on s’est parlées elle était mal, mais était forte.
- Tu vas faire comment ?
- Non, mais tu veux que je fasse quoi ? c’est le mariage. Je ne vais pas quitter mon mari parce qu’il m’a trompé avec une autre, ma chérie les hommes sont tous pareils. Même si aujourd’hui il me promet mont et merveille demain il va recommencer. Ils sont comme ça des insatiables. Mais je vais le punir comme il se doit tu me fais confiance non ?
- Oui, ma chérie on rit de bon de cœur.
- Je vais aller me reposer à Bruxelles la semaine prochaine. Vacances proposé par monsieur mon mari, il veut que je ramène une voiture aussi, et que je profite du bon temps. Es ce que je vais dire non ?je vais bien en profiter me dit elle en faisant un clin d’œil.
- Hmmm !!!sois sage hein madame pas trop de folie aussi.
- Ah ! non je ne te promets rien. Une femme blessée n’a pas de retenue.
- Hein ?c’est encore quelle adage ça ?tu es folle. On éclata de rires. On papota encore pendant des heures et elle reparti.
UN mois plus tard je pus reprendre mes forces, je voulais me spécialiser en Droits des affaires, mais avec le bébé cela n’était pas très possible. J’envisageais de reprendre le boulot vu les relations de mon mari, et mon bagage intellectuel je pu décrocher un boulot à l’ambassade d’Italie. Ça se passait plutôt bien, j’avais de bonne relation avec tout le monde. C‘était pas le boulot idéal, mais bon j’avais UN BON SALAIRE.
Un mois passé, je suis allée chez mes parents. Mon père était ravi de me voir, et la seule enfant qui était chez mes parents était la dernière Michelle. Ma tante n’était pas la ce qui me lassait le champ libre de bien causer avec lui, lui parler à cœur ouvert de tout ce que j’avais dans mon esprit, nous avons toujours été très proches.
- Tu as bonne mine ma fille. Dit-il avec le sourire. Mais viens me voir plus souvent
- Tu as raison papa, je suis désolée de ne pas venir plus souvent. Mais les multiples occupations, me font souvent perdre la notion du temps. Sinon tu vas bien ?
- Oui, mais tu sais que la vieillesse gagne déjà mes vieux os, je me sens plus aussi en forme qu’il y’a 20ans. On rit de bon cœur. Et puis je m’ennuie à rester la à la maison. Il était déjà à la retraite.
- J’imagine papa, essaye de faire du sport, pour la santé, ton cœur aussi.
- Ok. Tu sais je voulais te parler de quelque chose. Je ne comprends pas cette histoire de démission et prendre toutes tes économies pour donner à ton mari et ouvrir votre propre affaire es tu sure qu’il le place bien ?
- Oui, papa c’est mon mari je ne vais pas le laisser seule, pourtant c’est notre gagne pain toi aussi.
- Ok je comprends, mais fais quand même quelque réserve de temps en temps maintenant que tu as un bon boulot à l’ambassade d’Italie. Ok ?
- Ok, j’ai compris papa.
On papota pendant des heures et je reparti à la maison.
Ne méprisez jamais la parole des vieilles personnes dans la vie. La vie était belle, j’avais la vie que j’aimais, je suis devenue même hautaine sans m’en rendre compte, je ne fréquentais pas les petits milieux alors. Mon mari n’aimait que je fréquente la basse classe comme lui-même disait, il n’allait pas à la messe même quand je lui demandais de nous accompagner le dimanche avec les enfants. Pendant les vacances. Il nous offrit des vacances de rêves avec les enfants au canada.
L’année qui suivait, nous sommes allés en France c’était super, les enfants étaient ravis. On les inscrit cette année la à Fustel de Coulanges. On n’avait un deuil dans la famille, le frère de papa était décédé. Toutes mes sœurs étaient la, ce deuil avait réuni la grande famille qui ce n’était pas revu depuis belles lurettes. Ma mère était particulièrement affectée, elle était très proche de son frère la.
Elle était chez moi, avec deux autres de mes tantes aussi que j’aimais beaucoup. Un soir mon mari, me dit
- Chérie, tes tantes sont de véritables villageoises, je ne comprends pas comment elles n’arrivent même pas à se laver. Tu ne peux pas leur montrer les bonnes habitudes ?
- Mais Matthys tu es grave, ce sont des vieilles femmes. Arrête tes grandeurs avec des vieilles.
- Grandeurs ???mais elles sont chez moi que je sache. Et je n’aime pas l’odeur qui se dégage je te préviens, je vais leur dire moi-même ce que je pense.
- Je t’interdis d’offenser mes tantes. Stp je vais m’en charger.
- Ok merci. J’y tiens vraiment
- Hum !!! tu es sadique
- Je ne le suis pas encore, si tu ne le fais pas je le ferai moi-même.
L’argent était monté à la tête de mon mari, il ne respectait personne, était désagréable avec les gens. Les employés le trouvaient très dur. Il était tellement beau, et avait de la carrure qu’il se moquait ouvertement des gens qui ne savaient pas s’habiller. J’avais déjà parlé tellement parler de son comportement odieux que je disais même plus rien.
Le deuil aussi douloureux qu’il pouvait être c’était bien passé. Tout le monde pu repartir sans problèmes. Mes tantes que mon mari avait insulté , leur avait donné une grosse enveloppe les mamans la ne chantaient que son nom.
MC avait arrangé les problèmes avec son mari, elle avait même accouchée.
Y’avait de la bonne ambiance. Un jour mon chéri oublia son téléphone à la maison ; j’avais pris l’habitude de ne pas fouiller dans le téléphone de mon mari. Comme j’avais le cœur fragile, je préférais ne rien fouiller pour ne pas avoir la crise cardiaque. C’était un Iphone, le hic avec les I PHONES vous savez ce que c’est ??? je vais vous dire...
Alors je sens un téléphone vibré sur le lit, ce jour la j’étais à la maison, je flânais sur le lit je tends la main c’était un message juste un petit message mais qui m’avait fait bondir du lit comme une lionne.
« MON AMOUR JE T’AIME AUSSI ».
Je n’arrivais pas encore à réaliser, pendant que j’étais encore entrain de vouloir bien lire le message le téléphone vibra encore un autre message atterri
« TU ES OU ? TU ME MANK »…
A MA PLACE VOUS AURIEZ FAIT QUOI ?
