
Résumé
J’étais jeune quand j’ai obtenue mon bac, je vivais chez mon oncle, qui était pour moi comme mon père, il avait des enfants mais j’étais tellement à l’aise que je ne me sentais pas exclue. On s’entendait super bien ses filles et moi (mes cousines). On décida donc d’aller fêter cet événement dans un restaurant, tonton jules ne nous laissait jamais sortir ainsi.
Chapitre 1
CHAPITRE I :LEÇON DE VIE
J’étais jeune quand j’ai obtenue mon bac, je vivais chez mon oncle, qui était pour moi comme mon père, il avait des enfants mais j’étais tellement à l’aise que je ne me sentais pas exclue. On s’entendait super bien ses filles et moi (mes cousines). On décida donc d’aller fêter cet événement dans un restaurant, tonton jules ne nous laissait jamais sortir ainsi.
Quand j’étais plus jeune il m’a pris chez sa sœur au village Germaine était sa cadette elle n’avait pas fait des études et n’avait pas les moyens de me payer les études. Tonton jules m’aimait bien car comme il disait souvent j’avais de l’intelligence dans la tête il me prit très jeune, j’avais 5ans quand on m’a ramené en ville, j’étais maigre et tonton jules m’a mise directement à la maternelle, petite section, on lui dit que j’étais très brave et que je devais aller en moyenne section.
Ainsi j’avais donc évolué et sauter des classe, jusqu’en classe de terminal ou j’avais la crainte de décevoir mon oncle alors je ne me consacrais qu’aux études, il fallait que je sois brave de chez brave. Pour l’occasion ma tante m’avait acheté une belle robe noir moulante j’étais surexcitée parce que j’étais jamais sortie pour même aller prendre un verre contrairement à mes copines qui s’en vantaient.
J’avais 19ans quand je pus obtenir mon bac, j’étais tellement fière de moi, je m’appelle SOLANGE MBENOU fille unique à ses parents, je ne connais pas mon père mais j’aime mon oncle comme mon père géniteur car il a pris soin de moi plus que personne dans ma vie.je l’aime il s’appelle JULES NJOCK un grand homme dans le cœur qui nous a éduqué dans la crainte de Dieu et nous a enseigné les bonnes manières et surtout d’être humble.
Il a 4 filles, toutes les NJOCK Maguy, Caroline, Flore et la jeune cadette qui avait le même âge que moi Michelle avec qui je m’entendais parfaitement. On s’aimait comme des jumelles et étions complices tellement on priait Dieu,que chez nous y’avait pas de discorde et de jalousie.
Ma tante elle par contre était une femme très sévère, on l’avait surnommé Thatcher, elle s’appelle Marie son mari l’appelait ohoooo MA, elle l’appelait Ohoooo PA on lapait (rires) même souvent, elle m’a pas porté dans son cœur mais vu le degré d’amour que mon oncle me portait, elle se pliait malgré elle à ses volontés de me voir heureuse chez eux.
Je savais surmonter beaucoup de choses. Un jour elle m’appela dans la chambre et me dit:
- Tu es désormais une femme, ça veut dire que tu dois aller en mariage je ne voudrais pas que tu restes ici toute ta vie tu vas aller à l’université et cherches toi un mari à cet âge les femmes ont déjà 2 enfants et un foyer.
- Ok ma tante j’ai compris. J’allais dire quoi ?
- Tu as compris j’espère ? Parce que moi je ne vais pas t’accepter ici toute la vie d’ailleurs après la fête de ton bac tu dois y penser sérieusement.
- J’ai compris ma tante. Je ne disais jamais à mon oncle ce que je subissais en apartheid avec sa femme.Elle me détestait c’est sure mais ne pouvait rien contre la volonté de mon père de me voir finir mes études chez lui. Parfois mes sœurs lui disaient qu’elle exagère mais bon, elle s’en fichait.
Elle m’avait donc payé une robe moulante, pour cette soirée que mon oncle avait organisé et vu qu'il lui avait donné les sous pour les habits obligé de me faire plaisir.
Nous étions tellement contentes de pouvoir sortir entre nous que je n’avais même pas remarqué, le regard triste de ma jumelle Michelle. Elle avait une mine défaite parce qu'elle elle n’avait pas eu son bac et cela me gênait terriblement. Elle était assise toute seule dans un coin et nous regardait nous apprêter.
- Coucou miche, (c’était son petit nom) pourquoi t’a l’air si triste ?
- Suis triste parce que j’ai échouée ce bac on devait le fêter ensemble, comment ai-je fait pour le rater ?suis dégoutée.
- Mais non, chérie tu vas l’avoir l’année prochaine t’es une grosse battante je t’en prie ne me fais pas ça je ne voudrai pas te voir si triste le jour ou je suis en joie. Fais moi plaisir stp ne me fais pas ça.
Elle se mit à pleurer, ce qui m’attrista au plus haut point car il est vrai qu’on avait cheminé ensemble, mais elle avait raté son BAC et cela nous avait causé un grand choc, car je n’arrivais pas à me réjouir entièrement.
Papa nous appela un soir, pour nous parler à nous toutes, il demanda de ne pas être triste pour l’échec de ma jumelle car elle était aussi brillante que moi et il lui demanda de ne pas être triste, la vie est ainsi faite. On pria et alla se coucher.
Mais hélas cela n’avait pas changé, miche pleurait tout le temps jusqu’au soir de la fête de ma réussite, c’était comme un rituel chez nous on festoyait toujours lorsque quelqu'un réussissait à un examen.
Papa nous avait donné de l’argent, c’est l’ainée Maguy qui tenait cet argent, c’était une grande sœur en or elle savait déjouée les parents, et nous couvrait dans nos bêtises lorsque nous étions découvertes.
On l’aimait toutes très fort. Après le restaurant avec les parents, elle décida de nous amener au cabaret et en boite. J’étais jamais allée en boite alors j’avais hâte de voir à quoi ça ressemblait plutôt bien menu, jolie (sans me vanter hein) j’avais le teint clair, pas jaune taxi ooooh mais clair avec des yeux marrons et de longs cheveux naturelle oui j’aime mes cheveux, j’avais jamais mi de greffe, ni de maquillage. Déjà que mon père n’acceptais pas cela. pendant qu’on s’apprêtait ma grande sœur nous maquillais, pour moi c’était nouveau et j’aimais bien me voir aussi changée et plus jolie. J’ai tenue mes cheveux en chignon et porté ma robe moulante et des talons, je découvrais tout çà, j’avais jamais porté des talons, c’était d’ailleurs pour ma grande sœur Maguy ce sont les talons que vous voulez voir?
Elle en avait ooooh, hum !!! J’avais même de la peine de marcher avec , tellement c’était haut et désagréable mais elle m’a dit que je devais m’habituer à être SWAG, moi-même je ne comprenais pas ce que voulait dire mais je me suis dit que ça voulait dire être belle.
Il était 19h et le restaurant était prévu à 20h, nous étions toutes très belles. La soirée s’annonçait chaude hein, mais y’avait une qui n’était pas très joviale. On n’a essayé de tout faire pour la rendre joyeuse elle essayait de rires, mais tu sentais qu’elle se forçait.
20h, pour le restaurant la PLAZZA avec le pater, mater et nous. Arrivés sur les lieux j’avais les yeux écarquillés de surprise c’était si beau, avec tous ces blancs je demandais bien d’où sortaient t’ils aussi nombreux, ou alors c’était juste une restaurant pour blancs ooooh.
On nous installa sur une longue table bien décorée, avec des bouquets de fleurs fallait passer aux commandes, heureusement on savait se tenir à table car mon oncle tenait absolument à ce que nous soyons bien appris.
Normal, il était un inspecteur du trésor et tenait à son image. Quand on m’a remis la carte j’ai moi guetté Maguy ooooh;que help ma sœur les plats que je lisais la étaient trop compliqué pour ma petite personne. Mon cerveau allait disjoncter Wandafull tu trouvais soit:
- les « blancs de poulets à la sauce blanche »
- les cuisses de grenouilles à l’ail ooooh
- Les échalotes à ci et ça hum !!!
Mince, Maguy était une habituée des restaurants elle nous racontais souvent ses sorties avec ces gars, donc elle pouvait seulement commander pour nous deux. Heureusement que j’étais assise près d’elle.
Les commandes passées, on attaqua le repas avec joie et la discussion battait son plein. Entre temps y’avait un monsieur d’un certain âge assis en face de nous qui nous regardait discrètement, il était avec des hommes d’un certains âge aussi, les gars avaient des vestes sur mesure grave seulement comme on dit bien sapé.
On chuchotait ma jumelle et moi en voyant leur regard discret sur nous. Le repas était tellement chaleureux et convivial puis on passa au dessert, j’ai pris une énorme glace j’étais de nature mince, donc parfois on me demandait ou je mettais la nourriture que je dosais.
Papa décida de nous amener écouter la musique, on alla au cabaret huppé de Yaoundé, YAOBAR la bas alors hein j’étais jamais entré oulalalala !!! C’était tellement beau et chic que je n’avais même pas honte de m’extasier. La grande sœur nous prenait des photos viens me voir tapé les posters ça amusait tout le monde y compris mon oncle.
On resta la jusqu'à minuit et papa nous déposa au Djeuga. A l’entrée tout le monde connaissait Maguy et Caroline mes grandes sœurs un pas par ci on les appelait les saluait, elles n’avaient pas grand écart d’âge Maguy avait 30ANS ET Caroline en avait 28. Les filles étaient connues, ce qui nous facilita l’entrée et même que le patron de la boite en personne lui était venue nous installer et nous offrir du champagne.
J’étais émerveillée par tant de lumières, et de la forte musique qui cassait le tympan, mais qui était bonne et me plaisait.je bougeais même seule sans m’en rendre compte, je suis allée sur la piste avec ma jumelle elle avait pris gout à la soirée donc on était dans les ambiances. On s’était assisse juste pour boire un peu, mais on dansait comme ci on nous avait vendues, c’était magnifique la soirée était trop bien.
On nous coupa la musique ça rythmée pour mettre le zouk vers 3h dis donc le patron est venu prendre Maguy et un autre monsieur caroline, puis je vis la main d’un monsieur plutôt beau qui me demandait gentiment si on pouvait aller danser, hein père ???Moi ci ???
- Heu !!! excusez moi je ne sais pas danser ce genre de musique désolé.
- Juste ce bouger un peu c’est pas compliqué je vais vous apprendre.
- J’ai pas envie de vous marcher dessus pardon, je ne danse pas (c’est quelle colle ça ?tu dis non, il insiste)
- Je vous en prie, je tiens à vous apprendre
- Tsuiiiiiiip, le type ci même comprend quelle langue.
- Ma sœur vas y, toi aussi tu vas encore danser ça ou ? m’encouragea Michelle.
- Ok allons-y. On alla danser, mince si on m’avait dit qu’il faut être collé ainsi à un homme pour danser j’allais dire non, il me collait tellement que je n’arrivais même pas à respirer .
Ekié c’est toujours la danse comme ça ? j’étais mal à l’aise jusqu'à, malgré le fait qu’il sentait tellement bon, je n'arrivais pas à suivre le rythme.
- Vous vous débrouillez pourtant bien mademoiselle
- Vous trouvez ? J’ai jamais dansé ça hein, donc les flatteries la iL faut laisser seulement.
- J’aime bien cette franchise vous vous appelez comment ?
- Je n’ai pas de nom
- Ah bon ?! mais c’est juste pour faire connaissance
- Je n’ai pas envie de faire connaissance monsieur, et si vous insistez même je vais vous plantez la.
- Désolé je vous en prie le prenez pas mal
- Dans ce cas dansons juste et après ce morceau je vais m’asseoir.
Ouf !!! il m’importunait plus. On pu danser calmement de temps en temps quand je perdais le pas, il me montrait comment faire c’était même devenu amusant et on se retrouva entrain de danser tous les morceaux comme la blague.
Je suis allée m’asseoir, et ma jumelle on reprit la piste en otage quand on lança le bikutsi. Jusqu'à 5h du matin, on n’avait les pieds en compote momooooo j’avais jamais eu autant mal aux pieds de ma vie j’avais même plus honte je les ai enlevé et je marchais , comme ça. On prit le taxi qui nous ramena à la maison. On n’a dormi comme pas possible.
Samedi matin le rituel voulait qu’on prie en famille à 8h, papa se chargeait de nous réveiller à chaque fois. Tellement on était fatigué, ce matin je n’ai pas pu me lever, il n’en fit pas cas.
Un mois passé, fallait penser à ce que j’allais faire de ma vie, je devais m’inscrire à l’université et je voulais faire droits des affaires. Ce que je fis, j’ai commencé les cours deux mois plus tard.
L’université c’était un autre monde, puisqu’on allait en civil, c’était les coupes d’habits que tu voulais voir ? Hum !!! Un jour un prof mi une fille dehors, la go se leva et tapa les pieds sur le sol lui-même n’avait pas parlé tellement ébahi, par ce manque de respect et elle lui répondit du tic au tac qu’avec ou sans lui elle allait réussir.
hum!!! ma 1ère semaine la bas était une expérience incroyable, c’est les insolents que tu voulais voir ? Et j’avais comme ça pour trois ans?Je vais m’en sortir ? Hum !!! Mon oncle décida de me faire prendre une chambre directement aux alentours. Ou alors de la faire partager avec un colloque. J’étais bien contente car j’allais être indépendante et j’allais être et apprendre à me battre seule.
On trouva vite une chambre, dans une cité avec une douche cuisine, juste ce qu’il fallait. On l’équipa de tout lit, réchaud à gaz, table d’étude et moquette. J’avais droit à 50mille d’argent de poche chaque mois.je me devais d’être rationnelle c’est la alors que ma vie de jeune femme débutait.
Faut avouer que vivre chez les parents et vivre sa vie seule n’est pas tout à fait la même chose.la vie n’était pas rose de chez rose lorsqu’on était seule , on était face à son destin, à sa vie , ses ambitions, on se devait soit de réussir ou d'échouer et moi ma devise était de réussir.
Mes parents avaient mi assez de moyens pour m’offrir le meilleur; à moi maintenant de prouver que j’étais digne de confiance.
J’ai donc commencé la vie de fille libre, j’avais des comptes à rendre en fin d’année, la 1ère année se passa bien, j’ai tout validée et j’allais en deuxième année j’avais déjà 20ans et jusqu’ici je n’avais pas de petit ami j’avais une peur bleu des hommes. J’ai vue les copines souffrir en amour du coup je repoussais les hommes avec une force incroyable.
Pendant les vacances je suis allée voir ma mère au village, j’aimais cet air pure, nous étions du Nyong éKelle plus précisément de Makak . c’était facile d’y arriver. J’ai acheté les provisions à ma mère, elle était si seule. J’aimais passer quelques temps avec elle.
Un jour nous rentrions du champ, je me suis lavée et je suis allée en ville chercher du pain, juste quand je voulais traverser une grosse Prado a failli m’écraser.Tellement il roulait vite d’où pouvait bien sortir ce genre de personne ? Mince mon cœur battait à mille à l’heure, qui pouvait être aussi fou de rouler comme ça dans une petite ville comme la notre ? il alla s’arrêter en crissant des roues, tout le monde se retourna. Il fit marche arrière juste à ma hauteur, c’était un homme pas très vieux, entre 30-40 ans très élégant dans la veste, il desserra sa ceinture et sorti du véhicule, moi j’étais intriguée de voir celui qui avait failli m' ôter la vie. Il fit le tour de sa voiture et vint me trouver.
- Excusez moi madame, je suis désolé ça va ? vous n’avez rien ?
- Moi : non, non plus de peur que de mal ça va mais j’ai failli y passer. Vous roulez si vite, ici c’est une petite ville monsieur pourquoi aller si vite?
- C’est vrai j’ai rendez vous avec le maire et je suis hyper en retard. Vraiment désolé. Écoutez je n’ai vraiment pas le temps tenez ceci, il mit les mains dans ses poches et sorti des billets neufs une liasse, j’eus un mouvement de recul.
- Mais, monsieur pour qui me prenez-vous ? je n’en veux pas de votre argent
- C’est pour aller à l’hôpital vous soignez ou alors vérifiez si vous n’avez rien je vous en prie ne refusez pas je serai plus rassuré. Vous êtes ? ou habitez-vous ?
- Je m’appelle Solange MBENOUN, je suis venue voir ma mère ici je vis à Yaoundé elle est d’ailleurs toute seule. Je dois y aller je voulais lancer un sprint le type m’a attrapé par le bras une fois et m’a stoppé
- Hé, doucement n’oubliez pas l’argent. J’ai pris l’argent es ce que j’en fabrique j’ai même pas compter hein, j’ai seulement dit que Dieu est grand j’étais même foiré jusqu'à.
- Merci, monsieur
- Appelez-moi Mathieu Balla, je vous dépose ?
- Ok, je voulais acheter du pain. Je voulais plus taper 2km à pieds, ça allait même me faciliter la tache pensai-je tout bas.
- Ok allons-y.
Dans la voiture, je le guettais du coin de l’œil, il sortait d’où ? Bel homme bien mi juste qu’il était imposant hein le genre qui devait même battre sa femme. On dirait qu’il senti que je le dévisageais il me regarda et souris.
- Alors tu te plais ici ?
- Oui, c’est mon village donc je dois m’y plaire.ça va je n’ai pas de soucis.
- Ok. Tu repars quand à la civilisation ? demanda t il avec le sourire
- En principe après demain. Je dois reprendre les cours. Bientôt faut que j’aille m’apprêter.
- Ah ! quel coïncidence on peut repartir ensemble alors, moi aussi je repars après demain, ça me fera de la compagnie. Tu veux bien ?
- Hum !!!je ne pense pas que ce soit une bonne idée, je ne vous connais pas. Le type était même déjà passé au tutoiement sans me demander mon avis ooooh. Vraiment les gens de la ville la .tsuip
- Oui je sais, mais je ne mords pas je t’assure, juste avoir un peu de compagnie.
- Hum !!!nooooo ; je préfère prendre mon train tranquillement.
- Stp, Solange je viendrai te prendre. Et puis on peut se tutoyer hein, c’est plus convivial. je promets de bien me tenir et être un gentleman la je vais même aller saluer ta mère pour la rassurer, je vais loger chez le maire elle pourra après se renseigner
- Ok.
- Voila.
On entra, il allait dire bonjour à maman elle était tellement surprise de voir un homme de cet envergure venir avec moi la saluer quelle demanda qui était t- il? on lui expliqua les circonstances dans lesquelles on c’était croisé elle comprit et le remercia pour m’avoir déposé et l’argent pour l’hôpital.
Bonjour mes chers, je n’ai pas de connexion depuis un moment voila pourquoi, y’a pas de suite. Nouvelle année, nouvelle histoire avec tous ses rebondissements. Je vais intituler mon histoire de LEÇON DE VIE. Mes chers dans la vie, n’envions pas, soyons simples et prions toujours Dieu pour que le diable n’est pas d’emprise sur nous.
Je vais résumer mon histoire. J’ai connue un homme, qui m’a tout montré pour qui je pouvais mourir et pour qui j’ai tout sacrifié, il m’a tout donné je l’idolâtrais, j’avais changée…
Je vous laisse découvrir la suite je suis ravie d’avoir mes fidèles, lecteurs à mes cotés et je vous embrasse tous.
