Chapitre 2

CHAPITRE 2: LEÇON DE VIE

Le lendemain, maman et moi étions assises devant la télé quand mon téléphone sonna, dring dring... c'était ma camarade et voisine de chambre à l'université.

- Hé la go c'est comment?

- suis la ooooh, ma chère je look la tv, et toi?

- Je voulais savoir si je peux d'abord t'emprunter la robe jaune avec des fleurs , tu sais que mon gars la est back non? je voudrai l'épater ce soir stp ma chérie.

Hum!!! ma voisine la avait toujours un gars à épater, je ne savais même plus combien de gars elle avait à la fin.Quand elle me dit "tu sais que mon gars la est back" je ne vois même pas de qui elle parle. la fille aimait vivre, elle allait en boite oooh, sortait avec les boss, je me demandais chaque fois comment elle supportait? elle m'a carrément dit de ne pas la juger car elle même payait ses études. J'ai plus jamais perdue ma langue.

- OK Sandra, vas y. Elle avait mes clés bien évidemment.Mais je suis sure qu'elle c'était déjà servie.

- Merci, ma chérie je t'en vaudrais ça, tu es ma sœur vraiment au faite tu back quand non?

- Demain ma chérie

- OK, je te wait.

Je suis restée pensive, face à la vie de ma voisine, ça devait pas être facile pour elle de faire tout ça pour payer soit même ses études.Fallait vraiment profiter du soutient des parents et ne pas les décevoir.Ça me boostait à être brave et terminer mes études car l'opportunité que m'offrait mon oncle était unique fallait pas la gâcher.

Ma mère, me regardait le lendemain, avec des yeux de peine à chaque fois que je partais elle pleurait.

- Ma fille, tu es devenue une femme, soit sage.Ne suit pas les hommes, prends soin de toi avec tout ce que j'entends dans ta ville la pardon, ne rentre pas tard.Évite la mauvaise compagnie de l'université de Soa. On entend trop de choses venant des jeunes la bas.

- Oui, maman t'en fais pas jusqu'ici je suis sage non?

t'inquiète pas maman chérie,et arrête de pleurer je suis vivante ékié. elle se mit à parler le patois.En disant qu'elle me bénissais.

A 11heures pille, le monsieur à la grosse voiture freinait devant notre cour, maman me regardait avec de gros yeux et me chuchota à l'oreille de faire attention.J'ai répondue sur le même ton.

- T'en fais pas promis maman. On s'est embrasser fort.

Mathieu descendit de la voiture et vint saluer maman, puis la rassurer en lui promettant de l'appeler à l'arrivée, il prit son numéro de téléphone et on prit la route.

Mama c'est la ou les vrais choses vont commencer dans ma vie.ouvrez bien les yeux pour lire hein.Ma vie a été un compte de fée, comme un jardin féerique, un rêve, une illusion...

Depuis le jour la on se quittait plus Mathieu et moi c'est la joie de vivre qui m'animait.

le type la m'appelait tous les jours il était célibataire, vivait seul et cherchait l’âme sœur, moi j'étais jeune j'avais pas d'expérience donc je ne savais pas s'il mentait ou disait vrai.

Mon manque de savoir distinguer le bon du mauvais gars faisait que je fuyais même les hommes.J'avais peur d'eux. Mais lui avait particulièrement avait un charme fou, il savait me faire rires,était aux petits soins, ne me harcelais pas car il comprenait que je ne voulais pas et n'était pas encore prête dans une relation.Il était gentil, attentionné, prévenant, doux, enfin il a su prendre mon cœur tous les jours.Il aimait venir discuter avec moi et on pouvait y passer des heures, chaque jour on apprenait à se connaitre, il m'embrassait souvent mais ma timidité faisait que parfois je refusais catégoriquement.

Je pus ainsi avoir ma licence un an après, Mathieu était devenu plus qu'un ami, il avait déjà le titre de petit ami.Après ma licence il promis de fêter ça dignement en même temps que mon anniversaire le 02 juin. On invita mes sœurs au restaurant, il m'avait offert toute une garde robe dans les grands magasins de la ville disant qu'il faudrait pas que sa petite amie soit mal fringuée, je pus donc choisir une belle robe de soir longue pour l’occasion, on alla à Elig- Essono au restaurant cabaret qui bougeait en ce moment. La soirée était belle, ma jumelle avait obtenue son bac et était en 2ème année à la catho (université catholique).

Maguy notre grande sœur vivait désormais en Angleterre et avait accouchée, caroline c 'était marié à un diplomate gabonais et était aller chez son mari.Flore vivait avec Michelle et les parents.

Mathieu avait attendue jusqu’à ma licence, pour me laisser le temps de murir comme il disait, j'ai jamais vue un homme qui attend plus d'un an sans demander que "how mamie on do ou pas?"rires mais le mien avait attendu, ce qui me mit en confiance parfaite avec lui.on s'est amusés comme des folles ça faisait longtemps qu'on c'était pas retrouvé ainsi en famille. Caroline était absente.

Maguy était venue montrer le bébé aux parents, elle était donc des nôtres à cette soirée.Vers deux heures, on décida de rentrer, il remis une enveloppe à Maguy pour la suite de la soirée.

-Maguy: petite sœur faut assurer hein, c'est un bon gars.

- Moi : loooooool, t'es folle grand sœur, elle était comme çà notre grande sœur, de l'humour à gogo.

- Ok, dis bien que je suis folle, on rit de bon cœur.

Puis on monta dans la voiture, j'avais le cœur qui battait la chamade, j'ai même pas osé demandé ou on allait c'était évident puisqu'il avait pris la route de chez lui hum!!! je devais fuir jusqu’à quand?le moment était arrivé d'assumer et rembourser tout ce que j'ai mangé depuis plus d'un an la.n 'es ce pas on part.

Mathieu habitait, à titi garage, un bel appartement que j'avais pris la peine de décoré avec gout.

- Ça va? pas trop fatigué?

- non ça va. yeuuuuuuuch façon qu'il demandait la hein hum!!!

- OK, tes sœurs sont sympa, j'aime la complicité qui vous lient.

- Oui on s'aime beaucoup.

On arriva, le gardien vint ouvrir, Mathieu gara la voiture et on se dirigea vers le salon.

- Je te sers quelque chose?fort, léger, sans alcool?

- Un martini, stp et des glaçons.

- OK chéri.

Entre temps j'enlevais mes chaussures, et massa légèrement mes pieds, je me suis couchée sur le ventre sur le canapé, Mathieu me regardait longuement et vint s'asseoir près de moi.

- T'es si belle, tu sais je t'ai attendu dans ma vie, tu es la femme qu'il me faut intelligente, propre, belle ,gracieuse, tu sais je t'aime.

-oooh! Mathys, c'est ainsi que je l'appelais merci, je suis émue d'entendre ça.

Y'avait un écart de 10ans, j'avais 22ans et lui en avais 32anstrès mature et responsable. Il avait crée sa propre boite qui marchait pas mal.

Il m'embrassa en me tenant le menton, j'eus même pas la force de refuser, il le faisait tendrement , délicatement et de temps en temps quand je voulais fermer ma bouche il l'ouvrait avec le bout de sa langue.la j'ai passer les bras autour de son cou, il m'a attiré contre lui je me suis laissée faire, c'était pas désagréable du tout, au contraire ça me procurait une chaleur sur tout mon corps de femme vierge.

Il dégrafa mes brettelles fines et ôta ma robe, me porta en me chuchotant des mots doux comme pour m'encourager et me rassurer.On alla dans la chambre ou il me déposa galamment sur le lit, tout en me regardant dans les yeux histoire de me dire c'est encore le moment de dire NON.

je l'ai encouragé , en prenant sa tête entre mes mains, et pris possession de sa bouche un peu maladroitement, mais il n'avait pas l'air de détester, j'ai regardé les films non? alors j'ai appris dans le tas.

- Ma belle, je vais te montrer, ce que aimer en vrai, aimer ton corps, le sentir, entre mes mains, te sentir vibrer, je vais t'apprendre comment un homme rend une femme FEMME, combien s'unir est une sensation. merveilleuse, douce et sensationnelle. le veux tu?

- Oui, je le veux.

Il me déshabilla, avec douceur, me prit les tétons les suça je tremblais me demandant intérieurement si c'était ça sentir bon quand on te touchait.J'aimais ce qu'il faisait, je ressentais qu'il m'aimait par la douceur des ses gestes il savait que j'étais vierge. c'est pourquoi il était si délicat, il ne voulait pas me faire mal.

- Je vais légèrement écarté tes pieds pour pouvoir te caresser la chatte de ma langue OK?tu verras c'est aussi doux que de la soie.

Laisses toi faire, ma chérie, tu es si belle...

- merci...hmmm!!!

Il écartait, mes pieds me prit les lèvres, et me chatouilla avec sa langue, c 'était délicieux mes pieds tremblaient face à cette caresse si douce, il léchait et moi je gémissais je ne savais quoi faire de mes mains.il attrapa les cuisses de ses deux mains les referma sur sa tête, histoire de coincer sa tête sur mon minou, il me suça bien, tellement c 'était bon, je me mi à gémir je sentais un plaisir inexplicable monter en moi, et en même temps une chaleur incontrôlable.puis un liquide couler qu'il bu et moi qui criiiiiiiait de plaisir "je savais maintenant ce qu'on appelait " JOUIR"

Il alla dans le tiroir, prit une capote et me montra comment l'enfiler c 'était bizarre, j'avais honte et était très gêné, il le su mais il me prit la tête et me demanda de le regarder dans les yeux pendant que j'enfilais la capote.

-N'ai pas peur, ni honte de ce qui se passe , je suis l'homme de ta vie , soit confiante et dis toi que en amour rien n'est sale, je t'aime et je veux que tu sois mienne, que tu apprennes les choses de la vie, ce qui rend heureux un couple.Tu n'as pas à te sentir gêné OK? caresse moi les tétons.

ce que je fis

- Mets les dans ta bouche et suce les ce que je fis. il poussa un cri de satisfaction.oui vas y chérie , continue, doucement, doucement je l'avais mordu malheureusement avec force. il me guida et pendant ce temps, il se coucha sur moi de tout son poids et écarta mes pieds puis s'introduit avec douceur, j'étais mouillée du coup je ne ressenti pas grand chose juste comme un picotement qui dura pas, il se mit à bouger doucement, doucement ensuite un peu plus jusqu’à ce qu'il me demanda de bouger à mon tour, genre comme si je faisais une danse des fesses ce que je fis, qui fini par l'achever et moi avec dans un tourbillon de feu de l'amour.

On sombra dans le plus profond sommeil, mama donc ça faisait dormir comme ça?

Tout alla vite, on programma le mariage un an après, un mariage de rêve, pompeux, les parents étaient contents, ma mère aux anges,sa famille aussi.

Un an plus tôt, je pus obtenir mon doctorat j'avais déjà fait une année j'ai trouvé du travail, aux ADC je touchais 500milles, j'avais une belle vie, j'étais enceinte et avait eu mon 1er enfant un garçon, c'était la joie total, je suis allée accouchée en France et j'ai passé 2 mois la bas chez la tante de Mathieu.

Deux ans plus tard, j'avais une fille c'était la joie totale, j'ai déposer ma démission pour ouvrir une grosse boite avec mari, on n'a utiliser toutes mes économies, la vie était belle, je ne trainais plus avec n'importe qui, il n'aimais pas. Fallait être de la classe des grands, on continuait de s'aimer, j'allais faire les courses en France. je pus ouvrir une boutique de vêtements avec salon.

Un soir, mon mari revient très fatigué, il a quand même eu le temps de me regarder du coin de l’œil, il s'est exclamé

- Mais SOSO chérie(c'était comme ça qu'il m'appelait) tu ne trouves pas que tu as trop noircie? la mode est à la jaune en ce moment.

J'avais pas compris

- A la jaune veut dire quoi?

- ça veut dire qu'on aime les femmes brunes la dehors maintenant...

HEIN père???yes ooooooooh...

Je vous embrasse...vous connaissez déjà non?

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