chapitre 9
J'étais avec mes potes pour une affaire de règlement de compte. Le mec est ligoté sur une chaise, ruban à la bouche, autour des cheville et poignet. Il me lance un regard de mépris et j'avance vers lui avant de lui tirer les cheveux.
Moi: mon pognon vite! Ou je bute ta fille!
Fillette: papa j'ai peur( en pleure)
Mec: hum..hummm!!
Moi: donne moi le marteau XCX
XCX: tient!( sourire sadique)
Je récupère le marteau et je lui enlève le ruban qui emprisonnait ses mains, il tente de me donner un coup de point mais mes hommes le maitrisent très fort, je lui prend une main que je dépose sur la table en face de lui puis commence à lui bousiller les doigts.
Mec: HUM HUM HUMMM !! ( Les yeux écarquillés)
Fillette : laissez mon papa, s'il vous plaît ( hurlant de peur)
Je suis sadique oui, mais pas avec les mômes car ils sont innocents cependant je me dois d'agir ainsi devant mes hommes pour garder mon image de chef cruel et sans cœur, il faut qu'ils comprennent que je ne suis pas faible ni lache et que je suis capable de tout.
Moi: fermez moi la gueule à cette putain de môme !! ( en colère)
Il scotch la bouche de la gamine qui se débattait avec force, l'un de mes hommes lui donne une grosse baffe, j'avais envie de lui faire regretté ce geste mais je contrôle ma colère, c'est les désagréments du métiers et j'y peux absolument rien. Je fini de bousiller les doigts de ce fdp puis m'avance vers sa fille. Je dépose mon arme sur sa tempe et menace de lui faire explosé la cervelle sous les yeux de son géniteur.
Moi: alors? On ne veut toujours pas me rendre mon argent?( regard fixé sur lui)
Mec: hum..hum
Moi: je ne comprends pas ce que tu dis!( avec un rire moqueur)
Mec: hummmmm!!( avec rage)
Moi: Souley! Enlève lui ce scotch !
Mec: je vais vous payer votre putain de fric mais ne faites pas de mal à ma petite fille!( en pleure)
Moi: ça s'appelle des paroles en l'air ( en chargeant l'arme puis le dépose à nouveau sur la tempe de la fillette)
Mec: NON!!! S'il vous plait, pitié !
Fillette: hum hummm!!
Moi: pognon, vie sauve!( regard sérieux)
Mec: d'accord, d'accord ! Je..j'ai dans mon..mon compte en banque la somme qu'il faut, je vais..je vais retirer l'argent et je vais vous le donner!
Moi: pourquoi ne pas l'avoir fait depuis, tu pensais pouvoir nous échapper, nous berner. Tu nous prenez pour des con c'est ça ? ( en colère)
Mec: non non non!( en panique)
Moi: mes hommes vont te suivre et te surveiller, tu as intérêt à ne pas aller voir la police, ta fille reste avec nous. Si tu tente quoi que se soit, on la bute!
Mec: d'accord, je ne compte pas aller voir les flics!
Moi: sage décision ! Libérez le et soyez en permanence avec lui veuillez à ce qu'il ne nous échappe pas avant de nous rendre notre fric!
Mes hommes: oui chef !! ( ils s'en vont)
Je suis seule dans la pièce avec la fille, elle fuyait mon regard, de la sueur recouvrait son visage. Je m'avance vers elle, ce qui la fait paniquée.
Moi: eh reste tranquille je ne te ferai rien!( lui caressant la joue puis enlève son ruban)
Fillette: AU SECOURS PAPAAA( En panique)
Moi: chut! Calme toi, regarde je n'ai rien sur moi, je vais pas te faire du mal!
Fillette: vous avez frapper mon papa( en pleure)
Moi: ton papa est un méchant, il nous doit de l'argent c'est pourquoi il a été frapper, il t'a mit en danger car ça aurait été mon chef tu serais déjà morte!
Fillette : vous êtes méchant, très très méchant garçon ! ( regard de mépris)
Moi: ( rigole) j'accepte oui, mais si tu te comporte bien, je vais être très gentil avec toi !
Fillette : promis?
Moi: promis!
Fillette : d'accord, je vais être sage mais je veux voir mon papa! Et s'il vous plaît ne le tuer pas!( regard triste)
Moi: t'inquiète pas, ton père dès qu'il nous aura donner notre argent sera libérer ainsi que toi. J'avais prévu de le tuer mais pour toi je le laisserai en vie!
Fillette: merci!
Je la détache et l'amène au salon, je lui allume la télé et lui donne de quoi se remplir le ventre. Elle me fait penser à mon petit frère Hamza qui est à l'hôpital, il souffre de la maladie appelée cancer, le plus grave en plus car elle s'est attaquée à son cœur de champion qui résiste toujours. Si je me suis lancé dans ce business c'est en grande partie pour lui, pour assurer ses frais d'hospitalisation qui coûtent la peau des fesses. Cela fait une semaine que je ne suis pas parti le voir car j'aime pas le découvrir couché sur son lit d'hôpital branché à des machines.
