CHAPITRE 4 : Hermine me montre volontairement ses jolis seins
Au lieu de commencer à manger le repas que m’a apporté Hermine, je l’ai ignoré sur la table. Je ne suis pas du genre qui s’agite sur tout. Ce repas qu’elle a apporté, bien que j’aie faim, c’est ensemble qu’elle et moi allons le manger.
Caler dans mon divan, je réalisais des films pornos. Tantôt je me voyais en train de soulever la jambe d’Hermine et en train de la baiser entre les jambes. Tantôt je me voyais en train de la prendre à la levrette. Tantôt je me voyais couché et cette femme du voisin était couchée sur moi et me faisait du massage. Tous ces scénarios m’excitaient et par surprise, je me suis surpris en train de bander grave.
Ha, c’est la première fois que cela m’arrive. La première fois où en pensant à la nudité de la femme, je bande.
Sans supporter, j’ai attrapé mon zizi avec la main gauche et je lui ai dit tout doucement : « Calmos, si ce plat nous est vraiment destiné, nous allons le manger. Donc va doucement ».
Je faisais cette promesse à mon bangala lorsque la sonnerie a retenti. Qui serait-ce selon vous ? Je n’ai pas souvent de visites. Tout d’abord, je suis sans amis. Je n’aime pas les amis parce que c’est à force de se faire d’amis qu’on finit mal. Or, je ne veux pas finir mal.
– Entrez ! ai-je lancé vers la porte.
Doucement, la jeune nana s’est glissée dans mon salon comme un serpent. Elle s’est dirigée vers moi. Très rapidement, je me suis redressé. La nouvelle venue a tourné sa tête vers la table à manger et a fait un constat.
– Dis-moi, tu n’as pas mangé le repas ?
J’ai souri et ai répondu : « Pas encore ! »
– Alors, qu’attends-tu ?
– Je t’attends bien sûr !
– Et pourquoi ?
– Je veux que tu me montres comment tu manges !
– Hi hi Hi ! Tu es trop comique, toi ! Comment vais-je te montrer comment je mange ? N’est-ce pas chacun avec son rythme de manger ?
– C’est vrai ! Mais je sais que toi, tu auras un rythme spécial !
– Hum ? Et pourquoi ?
– Parce que tu es mignonne !
– Merci ! N’oublie pas que tu es aussi mignon !
– Merci pour le compliment !
– Tu le prends en compliment ?
– Euh…non !
Ensemble, nous avons éclaté de rire.
– Je ne savais pas que tu étais si simple et sympathique ! s’est exclamé ma compagne.
– Vraiment ?
– Je te jure ! Je te prenais pour quelqu’un à caractère compliqué !
– Et maintenant que tu m’as abordé ?
– Je te trouve que tu es sympathique et loyal !
– Merci ! J’aime quand on me gave de compliments !
– Ce ne sont pas des compliments ! Je t’admire, honnêtement.
– D’accord, merci ! Je t’admire aussi !
– Merci ! Alors, permets-tu qu’on passe à table ? Puisque c’est autour du repas que les bonnes paroles sortent.
– Vraiment ? Allons donc !
Ma compagne et moi nous sommes levés rapidement et on s’est dirigés vers la table à manger.
Confortablement assis le long d’une chaise, Hermine a soulevé le torchon et a mis à exposition le mets.
Sur la table, Hermine a saisi une fourchette. Avec la fourchette, il m’a fait avaler une gorgée de son spaghetti.
– Wouah ! Que c’est appétissant !
– Merci ! a-t-elle répondu.
Sans plus attendre, nous avons commencé par manger. Autour de cette table, Hermine jouait au rôle que devrait jouer normalement Marisol. Marisol, depuis tous ces mois que nous mangeons ensemble, ne m’a jamais fait ce plaisir. C’est chacun qui mange dans son assiette.
– Alors parle-moi un peu de tes principes ! s’est exclamé Hermine d’un ton sérieux.
J’ai pris une petite pause et ai répondu posément : « Je n’ai aucun principe ».
– Hum ? Aucun principe ? Qui est sans principe sur cette terre ? Même le fou en a, même si ce n’est-ce qu’un seul.
– C’est vrai ! Personnellement, j’ai tout, sauf le mensonge et l’humiliation !
– Wouah ! C’est quand même bien ! Pour l’honneur de notre amitié, je promets de ne jamais te mentir ni t’humilier.
– Ça me fera énormément plaisir ! Sinon, je n’ai que ces deux principes. Et toi, quels sont les tiens ?
Hermine m’a regardé et a souri silencieusement.
– Réponds-moi ! Ou bien tu n’as aucun principe ?
– Bien sûr !
– Allez Parle-moi !
– Ok ! En fait, je n’ai pas de principe mais j’ai un défaut !
– Un défaut ?
– Si !
– Lequel ?
– Je suis trop jalouse !
– Hum ? Trop jalouse ?
– Si ! J’ai fait tout possible pour corriger cela, sans succès.
– La jalousie est presque le défaut de la plupart des femmes !
– C’est vrai ! Mais la dose est trop dans mon sang…
– Ha ha ha ! Donc dans ton sang, circule la plus grande quantité de jalousie ?!
– Je te jure ! Voilà pourquoi je n’aime pas trop m’afficher en public.
– Ne t’inquiète pas, ma chère ; je vais t’accepter telle que tu es !
– Merci beaucoup ! Merci infiniment. Merci de m’avoir comprise.
Nous avons continué à manger lorsqu’une question m’est arrivée à l’esprit.
– Dis-moi, et comment tu arrives à gérer ta vie de sexe avec ton chéri vu qu’il est dans l’armée et n’a pas presque du temps libre. Ou bien vous arrivez à vous comprendre ?
– Où ? Je ne souhaite à aucune femme de faire l’erreur de tomber amoureuse d’un homme du genre. Je te dis, parfois, il m’arrive de me masturber avant d’avoir la paix dans la tête lorsque l’envie sexuelle devient trop. Je te jure que c’est difficile pour moi mais je ne peux rien. Voilà maintenant, il est parti en mission. C’est après deux mois qu’il sera de retour. C’est comme ça je vais rester jusqu’à il va revenir. Plusieurs fois déjà, j’ai déjà regretté d’être ensemble avec lui. Si seulement je pouvais renoncer à notre mariage, je le ferais. Mais malheureusement, je ne veux pas le quitter. Il m’a fait asseoir plusieurs fois et m’a dit qu’il n’a pas le pouvoir de rejeter les migrations. Je l’ai compris après tout. Mais sincèrement, côté sexe, je souffre trop ! Si tu vas dans ma chambre maintenant, dans mon petit tiroir, tu verras un concombre là. C’est depuis hier que je l’ai acheté. Ce soir maintenant, ça va commencer.
En écoutant cette belle rose, j’ai eu pitié d’elle.
– Et qu’est-ce que cela te coûte d’avoir un gentleman pour souvent te satisfaire ?
– C’est une belle question, mon cher Mica. Mais pour t’être honnête, je ne sais comment en trouver ! Sinon cela me plaît bien ! Dieu n’a pas collé le nom de Rach sur mon vagin. Je suis donc libre de l’offrir à qui je veux.
À cette phrase, mon cœur a tiqué et j’ai entrouvert la bouche sans m’en rendre compte.
– Tu es sérieuse ?
– Je te jure ! Si je peux trouver quelqu’un qui va bien me piler, je te jure que je serai très reconnaissante envers une telle personne.
À cette phrase, j’ai regardé le ciel et j’ai regardé la terre. Je me suis regardé et ai ensuite regardé ma voisine. J’ai soupiré profondément et j’ai encore levé les yeux vers le ciel.
– Seigneur, permets-moi de pécher s’il te plaît, ai-je dit tout bas.
– Tu me parles ? a rétorqué ma compagne.
– Euh…non ! Sinon, comment serais-tu si je disais que j’allais jouer le rôle de ce don Juan dont tu rêves ?
– Je te serai très reconnaissante, mon cher Mica !
– Tu es sérieuse ?
– Je te le jure ! Je suis une femme qui n’aime pas cacher ses impressions. Tout ce que je te dis me va droit au cœur. Si tu peux me prendre comme maîtresse, je te jure que je serai très reconnaissante envers toi.
J’ai souri silencieusement et ai dit :
– À partir d’aujourd’hui, considère-toi comme ma maîtresse.
Hermine, enthousiaste, s’est levée de sa place et est venue collée la peau lisse et claire de son corps contre le mien. En me faisant un petit baiser, sa poitrine a croisé la mienne et j’ai senti un frisson glacial me parcourir tout le corps. Mon cœur a commencé par sauter sur ma poitrine et je me sentais hors de moi-même.
Se maintenant debout, Hermine a déboutonné les trois premiers boutons de sa robe, à compter du haut vers le bas, et m’a montré ses deux jolis seins sans soutif.
– Tu aimes ça ? m’a-t-elle demandé, silencieusement.
Oh non, mon cœur s’est mis à battre à la chamade. C’était incroyable ! Ses seins étaient deux fois plus gros que ceux de Marisol.
En voyant ses seins, j’ai ouvert la bouche et ai bavé sans en rendre compte.
– Hé ? Ce sont ces bonnes choses que ton mari laisse pour aller en mission ? me suis-je écrié.
J’ai prononcé ces mots sans m’en rendre compte.
– J’aime trop les seins ! ai-je répondu.
– Apprête-toi pour ce soir, parce que ça va chauffer ! m’a dit Hermine en remettant ses boutons.
Oh mon Dieu ! Si seulement je pouvais avancer le temps pour vivre cette soirée paradisiaque.
