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CHAPITRE 5 : Une nuit inoubliable

Sous mes yeux et sous mon envie, Hermine est repartie s’asseoir.

– Alors, dis-moi, as-tu connu de déception amoureuse dans ta vie une fois, m’a-t-elle demandé.

– Euh…oui ! Mais je ne peux pas dire que c’est une déception parce que moi-même, je m’apprêtais à rompre avec Micheline, mon ex-petite amie. C’est une fille qui aime beaucoup l’argent. Non seulement elle aime l’argent, mais aussi le luxe. Lorsque je l’ai évaluée, j’ai vu que le mieux serait de rompre un jour avec elle et heureusement pour moi, un jour, je l’ai vue enceinte.

– Vraiment ?

– Si !

– Et c’est toi qui en es l’auteur ?

– Non ! Parce que toutes les fois, je me protège et malheureusement, je ne sais d’où elle allée choppé sa grossesse.

J’ai vu Hermine pencher la tête de côté. Elle l’a secouée plusieurs fois avant de pousser un petit sourire.

– Est-ce que tout va bien ? lui ai-je demandé.

– Oui, ça va ! Sinon, tu aimes les préservatifs ?

– Oui ! Puisque je ne suis pas encore prêt pour le mariage, il me faut des préservatifs !

– Peux-tu me dire la raison pour laquelle tu renonces au mariage ?

J’ai souri et ai répondu sans réfléchir :

– Parce que je ne suis pas encore prêt !

Hermine a tourné la tête et a observé toute ma chambre.

– En quoi tu n’es pas encore prêt ?

– Je veux avoir beaucoup de moyens financiers avant de m’engager dans un tel projet.

– D’accord, c’est une bonne idée ! Mais tu sais ? Personnellement, je n’aime pas les préservatifs !

– Vraiment ?

– Je suis sérieuse ! Le préservatif est fait pour les gamins et gamines. Alors, es-tu gamin, toi ?

– Non !

– Et pourquoi te comportes-tu comme un gamin ?

– Parce que j’ai peur bien sûr ! Le père de Marisol est un gendarme. Imagine si jamais je mets enceinte cette fille, je serai cuit dans ses mains. Voilà pourquoi j’ai plein de préservatifs dans ma chambre.

Hermine a acquiescé et a répondu :

– Je comprends ! Avec moi, pas la peine parce que je ne mange jamais la banane et sa peau.

J’ai éclaté de rire.

– Non, je suis sérieuse ! Quand la peau touche la peau, le goût est différent. Mais quand une peau est protégée et empêche le contact direct de l’autre, le goût n’est pas comme cela se doit. J’aime sentir le contact direct de la peau de mon partenaire lorsqu’il me baise. C’est en ce temps que je suis heureuse !

– Dans ce cas, il n’y a pas de problème ! Comme c’est toi, je ne crains rien ! Mais dis-moi une chose : et s’il arrivait que tu tombais enceinte, que ferais-tu ?

– Si je tombais enceinte ? Mais je vais le garder ! Ne suis-je pas sous le toit d’un homme ?

– Évidemment !

– Et alors ? Où est le problème ?

– D’accord, il n’y a pas de problème !

– Alors, dis-moi, quelles sont les positions que tu adores au cours des rapports sexuels ?

Cette question m’a paru très étrange et très difficile à répondre parce que je ne connais absolument le nom d’aucune position ; si ce n’est pas seulement la levrette.

– En dehors de la levrette, je connais aucun autre nom, ai-je répondu.

– Ah, je vois ! Je vais te citer les noms et leurs significations. Ça peut aller ?

– Bien sûr !

– Ok ! Il y a la position Missionnaire. C’est l’une des plus classiques, où une personne est sur le dos et l’autre au-dessus. C’est intime et permet un contact visuel.

– Wouah ! J’aime trop cette position. Je l’adopte le plus souvent avec Marisol surtout quand je suis fatigué de monter sur elle.

– Moi aussi, j’aime et adore trop cette position ! Avec cette position, mon vagin avale toute la longueur du pénis de l’homme qui me baise. En dehors de cette position, il y a également celle qu’on appelle Cowgirl. C’est un nom anglais. Je ne sais pas ce que ça veut dire exactement parce que je déteste l’anglais. Dans cette position, une personne est allongée tandis que l’autre est assise ou à genoux au-dessus. Cela permet à la personne du dessus de contrôler le rythme et l’angle. As-tu une fois adopté cette position ?

– Non !

– Je vais te l’apprendre ! C’est une très bonne position. En plus de ces deux positions, il y a celle Doggy style. C’est une position où une personne est à quatre pattes et l’autre est derrière. Elle peut offrir une sensation de profondeur très agréable.

– Oui, je connais ça ! N’est-ce pas ça la levrette ?

– Exactement ! J’aime trop cette position. Je l’aime tellement que, quand je pense à ça, l’envie m’absorbe.

– Moi aussi, j’aime cette position !

Hermine m’a souri et a continué.

– En plus de ces trois positions, il y a celle qu’on appelle Spooning.

– Spooning ?

– Oui ! Au cours de cette position, les deux partenaires sont allongés sur le côté, l’un derrière l’autre. C’est très intime et confortable, parfait pour les moments doux.

– Wouah ! Ce serait génial !

– Plus que génial, mon chéri ! J’aime trop cette position ! Elle est souvent fantastique !

– Avec toi, j’apprendrai beaucoup de choses sûrement !

– Il n’y a pas de problème, mon cher Mica ! J’aime le sexe mais malheureusement, je ne suis pas tombé sur un fan du sexe.

– Ne t’inquiète pas, je serai là pour toi !

– Merci ! Une cinquième position que j’aime aussi ; L’Andromaque. C’est une position qui est semblable à la cowgirl, mais avec une légère variation dans l’angle ou la posture pour plus de confort.

– Hum ? Je ne sais comment te l’expliquer mais avec le temps, je vais te la faire découvrir.

– Ça me fera plaisir !

– Une sixième position : la chaise. Au cours de cette position, une personne est assise sur une chaise pendant que l’autre s’assoit sur elle. Cela permet d’avoir un contact physique rapproché tout en ajoutant une touche d’originalité. Ce sont les six positions que j’aime plus.

– Wouah ! De très belles positions ! Je m’impatiente de les découvrir avec toi.

– Ne t’inquiète pas du tout ! Et une autre chose ? Tiens-tu bien au lit ?

– Euh…je ne comprends pas !

– Combien de minutes fais-tu environ avant de jouir ?

– Parfois dix minutes et d’autres fois, moins de dix.

– Quoi ? Nous allons travailler cela ! J’ai un produit que tu boiras toutes les dix minutes avant nos actes sexuels. C’est un très bon produit qui traite l’éjaculation précoce. Je sais que tu vas l’aimer. Non seulement ça traite l’éjaculation précoce mais ça donne aussi d’énergie.

– Wouah ! C’est magnifique alors !

– Ne t’inquiète pas ! Nous allons manger l’amour comme on veut !

– Wouah ! Je m’impatiente !

– Ne t’inquiète pas ! Sinon, aimes-tu le cunnilingus ?

– Euh…je ne l’ai jamais fait.

– Et pourquoi ?

– Je n’apprécie pas ça trop !

– Oh, mon Dieu ! Voilà que moi, j’aime trop ça !

– Il n’y a pas de problème ! Avec toi, je vais l’apprendre !

– Merci ! Je te ferai aussi la fellation. Même si les femmes ont l’habitude de te le faire, tu vas trouver pour moi plus excitant et plus particulier.

– Wouah ! Tu m’excites et je bande !

– Ha ha ha ! À tout à l’heure ! Laisse-moi aller faire rapidement la cuisine.

Hermine s’est levée et pour me prouver qu’elle était sérieuse, elle s’est approchée de moi et m’a fait un baiser sur les joues. Ses lèvres étaient tièdes et fraîches à la fois.

En tournant les reins et ses jolies montagnes de derrière, elle s’est avancée vers la porte et l’a ouverte.

Bien que la jeune femme soit partie, je continuais de regarder la même direction, en rêvant.

J’ai poussé un soupir et ai réalisé que dans la vie, il y a de bonnes choses et lorsqu’on ne les cherche pas, on ne les découvre jamais. Marisol était l’amour de mes rêves, pensais-je mais là, Dieu vient non seulement de me montrer celle qui mérite mon cœur mais aussi, me l’a présentée en même temps. Qui suis-je pour ne pas être reconnaissant envers Dieu ?

J’ai tourné mon regard à l’adresse de l’horloge murale et ai lu dix-sept heures quarante-cinq minutes. Une désolation profonde m’a submergé parce que je me croyais à dix-neuf heures et malheureusement, il n’était même pas encore dix-huit heures.

J’ai poussé un soupir de désolation et me suis levé vers la chambre à coucher. J’ai enfilé un pantalon et un tee-shirt. Je me suis retourné au salon et ai sorti ma moto. J’ai fermé la porte à la clé et ai démarré la moto. Je l’ai gazée à plusieurs reprises afin d’attirer l’attention de ma nouvelle femme. Ah oui, elle est aussi ma femme.

Je gazais la moto encore lorsque tout à coup, j’ai vu ma jolie et belle femme sortir de la chambre. Elle arrivait sous la véranda à peine lorsque tout à coup, l’un des colocataires est entré dans la cour. Et puisqu’on devrait aller en secret, Hermine m’a fait un signe d’yeux et je lui ai fait un signe de tête en retour. J’ai mis la vitesse et suis sorti de la cour. Je suis allé me balader un peu, le temps que le crépuscule tombe. Je me suis ensuite rendu dans une buvette où on vend du lapin braisé. J’en ai acheté deux. J’ai repris ma moto et ai repris le chemin du retour. Au lieu de filer, je suis en train de conduire doucement. J’allais doucement parce que je ne voulais plus rentrer et m’impatienter longtemps avant que tout ne soit prêt.

De retour à la maison, j’ai encore gazé plusieurs fois afin de prouver à Hermine que son mari est déjà de retour.

Je suis entré dans la chambre en abandonnant la moto sous la véranda.

Je suis allé directement sous la douche et ai pris une bonne douche.

De retour au salon, j’ai allumé la télévision. J’ai mis une chaîne de musique parce que je suis trop fan de la musique.

Je suivais une belle musique lorsque j’ai vu entrer une silhouette.

– Excuse-moi s’il te plaît !

– Et pourquoi ? ai-je demandé, surpris.

– Pour le fait que je suis rentrée sans klaxonner…

– Oh, ce n’est pas la peine ! Considère ici comme ta deuxième chambre ! Ou ne suis-je pas ton mari ?

Hermine m’a souri et a répondu : « Bien sûr que oui ! »

– Et pourquoi klaxonner avant d’entrer !

– Merci pour la considération ! Alors dis-moi, où étais-tu allé ?

– Je suis allé acheter du rôti.

– Du rôti ?

– Oui ! Du rôti !

– Donc tu veux me pourrir ce soir !

– Ha ha ha ! Tu adores ça n’est-ce pas ?

– Bien sûr ! Je pensais que tu étais allé voir l’une de tes maîtresses et je boudais déjà.

– Hum ? Comment je peux avoir une jolie nana comme toi et aller rencontrer encore une autre ?

– C’est ça qui m’a étonnée. Dans ce cas, je reviens ! J’ai déjà fini la cuisine. Il ne me reste qu’à me doucher. À tout à l’heure !

– À tout à l’heure mon amour.

La jeune demoiselle s’est dirigée vers la sortie tout en tournant sa jolie hanche.

Oh, on dirait qu’il y a de l’élastique dans sa hanche. En la voyant partir, je n’arrêtais pas de bander.

La télévision allumée, je ne voyais visiblement pas ce qui se passait. Toutes mes idées étaient ailleurs. Toutes mes idées étaient sur Hermine. De temps en temps, l’image de ses jolis seins qu’elle m’a fait voir n’arrêtait de réapparaître dans mon esprit. Tant que je ne les ai pas encore touchés, je ne suis pas encore libre dans mes pensées.

J’étais au cœur de mes imaginations lorsque tout à coup, Hermine est entrée dans la chambre avec une robe de nuit qui, de travers, je voyais la couleur blanche de son slip. En regardant sa poitrine, j’ai vu que tout était clair. La rondeur de ses seins et la partie bien noire de ses mamelons.

Elle s’est dirigée vers la table à manger et a posé là-dessus, le plateau qu’elle a apporté. Elle l’a abandonné et s’est approché de moi.

– Veux-tu encore aller en ville ?

– Non !

– Dans ce cas, fais entrer la moto nous allons fermer la porte et aller dans notre monde à deux.

J’ai sauté du divan et très rapidement, je me suis dirigé vers la porte. Je l’ai poussée et vite vite, j’ai traîné la moto dans la chambre. Après l’avoir garée, je me suis retourné pour aller verrouiller la porte. Je me suis dirigé vers les divans et me suis assis sur l’un. Hermine, debout, s’est dirigée vers moi et est venue s’asseoir sur mes jambes. Elle a mis un parfum qui sent bon.

– Comment me trouves-tu ?

– Rayonnante et sublime !

– Merci ! Je suis prête à croquer n’est-ce pas ?

– Bien sûr !

Doucement, Hermine a commencé par me caresser la tête. Rapprochant sa tête vers la mienne, elle m’a fait un baiser avant de s’emparer de ma lèvre du haut.

Ses mains, petit à petit, ont commencé par parcourir mon corps. Dans ma culotte, j’ai commencé par sentir mon pénis bander.

Entre nous, nous avons commencé une douce caresse. Je ne sais quel bonbon Hermine a sucé avant de venir et sa bouche dégageait une magnifique haleine.

On se suçait doucement les lèvres et les langues. J’étais tellement pressé de découvrir ses seins et de les tenir entre mes mains que j’ai descendu mes mains vers son sein gauche et l’ai pesé dans ma main. Il était aussi lourd que mon cœur a sauté. Mon pénis est tellement devenu dur qu’il cognait les fesses d’Hermine. Je sais qu’elle le sentait mais puisque nous ne sommes pas encore arrivés à l’étape de penser aux sexes, elle faisait semblant de ne rien constater.

Je lui caressais les seins quand soudain, elle a mis une pause aux attouchements et a enlevé sa robe.

Son teint clair brillait à la lueur de la lumière et mon cœur battait à trombe.

Vous ne pouvez pas comprendre mes émotions même si je vous les décris. En tout cas, mon cœur battait vu que les émotions étaient intenses.

– Il est temps que tu me fasses le cunnilingus ! m’a-t-elle chuchoté.

Qui suis-je pour refuser ? Encore que c’est une femme qui prend bien soin d’elle. Ah oui, Hermine est toujours propre !

Doucement, elle a enlevé son slip et s’est couchée sur le divan. Hermine, en voyant la surface de son vagin, on dirait qu’elle a fraîchement taillé ses poils. Ils étaient nombreux mais étaient d’une taille très jolie. J’ai passé ma main droite là-dessus et j’ai senti quelque chose au fond de moi.

J’ai rapproché ma tête et avec mon nez, j’ai tenté de sentir d’abord l’odeur et là, un parfum suave a embaumé mon nez. La seule odeur de ce parfum donnait l’envie de la sucer.

J’ai longé ma langue et l’ai introduite dans son trou vaginal.

Oh non, que c’est cool !

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