Bibliothèque
Français
Chapitres
Paramètres

CHAPITRE 3 : Le plat délicieux d’Hermine

Marisol, j’aime trop ses seins. Même quand j’ai faim et que je vois le bout pointu de ses seins, je me rassasie immédiatement. Je ne sais pas pourquoi cela m’arrive souvent. Ce n’est ni la première fois ni la deuxième fois. Je ne suis jamais fatigué de son sexe. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je double et parfois même je triple encore. Si réellement le sexe fait du bien à la femme, je ne suis pas sûr que Marisol regretterait de m’avoir connu. Parce que je la baise bien. Mais j’ai un principe ! L’histoire où il faut enfourcher la bouche dans son vagin là, je ne le fais pas parce que la Bible n’a pas recommandé ça. J’ai même de la peine à connaître le genre d’odeur qui s’y dégage. Je ris et me moque très souvent de ces gros Imbéciles qui lèchent la femme. En tout cas, je ne suis personnellement pas dans ces énormités. Je peux faire tout à la femme sans la lèche. Et c’est pareil ! Je n’aime pas qu’on me taille la pipe. Se faire tailler la pipe selon moi, c’est de prendre de gros risques. Et s’il arrivait que la femme à qui j’ai confié toute ma vie oubliait que c’est mon pénis qui est dans sa bouche et à défaut d’un petit oubli, le croque comme elle a l’habitude de croquer la carotte, que vais-je dire ? Ou bien ses excuses panseront ma blessure ? Ou dans quel livre il est écrit de faire confiance à la femme ?

En tout cas, je n’ai pas encore vu ça depuis que je feuillette les livres.

En effet, Marisol, sans que je ne lui dise un mot, a enlevé sa tenue scolaire. Doucement, je me suis allongée sur elle et je l’ai fixée intensément du regard.

– Je t’aime, Marisol ! lui ai-je dit.

– Merci, moi aussi, je t’aime ! J’ai pensé à toi toute la nuit.

– Merci ! Je pense aussi à toi.

– Merci ! Qu’il n’arrive pas que tu me trahisse.

– Je ne te trahirai pas. Toi et moi, c’est pour la gare.

– Merci !

Et comme vous le savez, il faut parfois ces petites et tendres phrases pour adoucir le cœur de la femme.

Calmement, j’ai commencé par lui toucher son beau visage. J’ai rapproché mes lèvres des siennes et tout doucement, nous avons fermé nos yeux respectifs. Ouvrant légèrement les bouches, nous nous sommes attrapés les lèvres. Des yeux fermés, on a commencé à se sucer les lèvres comme on suce du chocolat. Nos mains, ne pouvant rester tranquille, se baladaient sur nos corps respectifs. Pendant que ma main droite parcourait le long de sa poitrine et de son ventre, les deux mains de Marisol me parcouraient le dos et s’arrêtaient de temps en temps sur mes fesses noires.

Pendant dix minutes environ, nous nous sommes bien sucé les lèvres et les langues.

Enfin, je suis venu à la partie qui m’excite davantage ; les jolis seins de Marisol.

Doucement, j’ai dégrafé son soutien-gorge et ai laissé s’exposer ses deux jolis seins.

J’aime et adore trop les seins de Marisol parce que tous les jours, il y a une boule dans chacun des seins qui retiennent ses seins debout et même sans soutien-gorge, on trouve que ses seins sont encore bien debout. Certains imaginerait même qu’elle est encore vierge ; c’est-à-dire qu’elle ne se fait pas encore caressé par des hommes. Alors que moi, je lui suce bien les seins et les traite comme je veux et nonobstant, ils sont toujours debout ; debout comme un arbre.

Le sein droit de Marisol calé dans ma bouche, je l’ai bien sucé. Le mamelon s’est mis en érection comme mon pénis l’est dans ma culotte.

Pendant ce temps, ma deuxième main caressait son deuxième sein ; celui du côté droite. Après avoir bien et correctement sucé le sein gauche, j’ai attrapé aussi celui droit et ai commence à le sucer. Marisol faisait des mouvements qui prouvaient qu’elle sentait quelque chose de sentimental.

Après avoir correctement sucé tous les deux seins, je me suis mis à genoux entre ses jambes et attrapant ses deux seins, je les unissais et les cognais l’un contre l’autre. Les femmes aiment ça ! Elles aiment que leurs seins se croisent et se tapent. C’est ce que je lui ai fait. J’ai bien tapé les deux seins ensemble et je mets quelquefois ma tête au milieu des deux seins pour me couvrir la tête avec.

En réalité, Marisol a de gros seins ; ce que j’aime d’ailleurs. Je n’aime pas les femmes qui ont de petits seins. Les gros seins m’excitent que les petits. Quand je vois une femme qui a de petits seins, aucune envie ne se réveille en moi. Mais quand les seins sont gros, je jure ; immédiatement je perds le contrôle. Quand je vais en ville et vois les femmes qui ont de gros seins, je commence à faire des films au fond de ma tête. C’est ma nature.

En effet, après m’être bien amusé avec les seins de Marisol, j’ai enlevé ma culotte et mon gros pénis qui faisait la tête depuis quelques minutes, je l’ai dirigé dans la fente de Marisol. Je le fais entrer légèrement et le ressors ; je le fais encore entrer et le ressors ; je le fais entrer une troisième fois et le ressors. Une dernière fois quand j’essaie de le faire entrer, ça passe facilement grâce au lubrifiant naturel qui venait d’asperger tout le vagin de Marisol.

Et là, c’est la baise.

“Ah ! Ah ! Ah ! Vas-y ! Vas-y chéri ! Vas-y ! Continue ! Vas-y ! J’aime ça ! Vas-y comme ça ! Continue ! Continue de me baiser ! Continue bébé ! Baise-moi ! Vas-y ! Continue de le faire comme ça ! Vas-y encore ! Ne t’arrête pas s’il te plaît ! Oh God ! Fuck me bébé ! Vas-y encore ! Continue de me faire ça ! Baise-moi mon amour ! J’aime ton bangala ! Vas-y seulement ! ”

J’aime trop les mots de Marisol au cours de notre ébat sexuel. Elle me joue de très belles mélodies ; des mélodies très intéressantes ; des mélodies entendues nulle part.

Mes deux mains serrant ses reins, je la baisais sans arrêt. Je la tapais avec mon pénis. Je la tapais et la tapais encore. Mon pénis, au plus profond d’elle, lui faisait beaucoup de bien. Elle le manifestait à travers sa mélodie qui n’arrêtait de pimenter l’amour.

“Ah ! J’aime ça ! Baise-moi plus fort ; fais-moi oublier la vie ; continue de me faire oublier la vie ; continue de me baiser ; baise-moi de toutes tes forces ; enfonce toute ta baguette au plus profond de moi ; fais-moi jouir bébé ! Continue de me faire jouir ! J’aime ça bébé ! J’aime ça, je te jure ! Vas-y !”

J’aime trop le son de Marisol. Par sa fente, je l’ai bien baisée. Je l’ai fait lever et l’ai prise à la levrette. Dans cette position, je l’ai pénétrée par derrière ; pas par anus parce que je n’aime pas l’anus ; l’anus est fait pour les matières fécales et pas pour le sexe.

Par derrière, je la pompais comme on pompe un vélo. Je vais et je reviens ; je vais encore et reviens encore sans me fatiguer. En bas, les seins de Marisol se balançaient. Ils allaient de l’avant et revenaient en arrière. Les seins semblaient la peser et par moment, elle les attrapait pour se faciliter l’équilibre. Et puisque je suis trop gentil, je les ai attrapés de côté et les maintenant dans mes mains, je les caressais.

Par derrière, je continuais de baiser encore Marisol lorsque soudain, j’ai senti une vibration naître dans toute mon âme et très vite, j’ai retiré mon gros pénis de sa Jessica et ai vidé le liquide par terre.

Ah oui ! Je l’ai vidé par terre parce que c’est à force de le vider dans le pot de Marisol que plus tard, on viendra me dire qu’on a manqué les règles.

Je me suis allongé sur les carreaux afin de récupérer une partie de mes énergies.

J’aime trop la femme ! En elle, se trouve le plus grand plaisir.

Marisol, en moins de cinq minutes, s’est précipitée sous la douche.

Quelques minutes plus tard, elle a reporté son uniforme.

Je dois vite rentrer parce que j’ai une évaluation dans quelques heures.

– D’accord, regarde à côté de mon ordinateur et prends cinq cents francs là pour ton taxi.

– D’accord ! À demain !

– Oui, à demain !

Marisol s’est précipitée vers le salon. Je me suis levé à mon tour. J’ai pris ma serviette que j’ai nouée au rein. Je suis venu au salon puis vers la sortie pour aller voir si Marisol est déjà partie. À ma grande surprise, je l’ai vue debout devant une véranda en train de parler avec Hermine, la femme du voisin.

Ne sachant de quoi elles parlaient, je me suis retourné et me suis dirigé à la salle de bain. J’ai pris une douche fraîche et suis revenu au salon, en serviette. Cette fois, au lieu d’allumer la télévision, j’ai juste allumé la radio.

Pas plus que quelques minutes, j’ai entendu quelqu’un toquer.

– C’est qui ? Entrez s’il vous plaît ?

J’ai vu le rideau bouger et une silhouette est entrée. C’est Hermine, la femme du voisin.

Elle est venue cette fois avec un plateau couvert de torchon. Toute souriante, elle m’a souhaité bonne assise.

– Merci ! C’est à moi le plat ?

– Bien sûr ! J’espère que tu aimes le repas des Blancs ! Sinon, j’ai fait de la salade !

– Wouah ! De la salade !

– Oui ! J’espère que tu aimes ça ?

– J’adore trop ça !

– Merci ! Sois en train de manger, je reviens !

– Tu vas quelque part ?

– Non, je veux aller me doucher et porter la belle robe que mon chéri m’a achetée il y a quelques semaines et que je n’ai jamais portée.

– D’accord ! Dans ce cas, je vais attendre ton retour et nous allons ensemble manger le repas.

– Vraiment ?

– Oui, je ne suis pas pressé.

– D’accord ! C’est comme tu veux ! Je reviens tout à l’heure !

– D’accord !

– Ou bien tu vas m’accompagner ? a-t-elle demandé en pouffant de rire.

– Hé ? Tu veux me tuer comme ça !

– Et comment ?

– Tu sais déjà ce que je veux dire !

– D’accord, c’est entendu ! À tout à l’heure !

Ainsi, LA FEMME DU VOISIN est ressortie de ma chambre avec son pagne noué à la taille.

Cette femme a commencé par me donner une envie incontrôlable. En tout cas, si elle fait mistake, je vais la baiser seulement, un point c’est tout !

Téléchargez l'application maintenant pour recevoir la récompense
Scannez le code QR pour télécharger l'application Hinovel.