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Résumé
Bonjour ou Bonsoir ☺️ cela dépendra de l'heure à laquelle vous lirez mes histoires car je vous en propose deux : 1. j'aurai son argent 2. l'épouse idéale Deux oeuvres avec des styles qui se complete et se fusionner à la perfection. j'aurai son argent qui a un style romantique et sensuelle suivi de l'épouse ideale qui a un style romantique, sensuelle avec une touche d'édification -------- j'aurai son argent « Quand la vie refuse de vous faire des cadeaux, il faut parfois se les offrir soi-même. » Kethia Oketshu est une jeune femme d'une beauté envoûtante, dotée d'un corps sublime qui attire les regards et éveille les désirs. Éprouvée par la pauvreté, elle sent le poids du désespoir peser sur ses épaules. Dans un moment de désespoir, elle choiside s'engager sur un chemin périlleux, un chemin où la morale se brouille et où l'ombre du danger rôde. Son choix ? Devenir une arnaqueuse redoutable, prête à tout pour atteindre ses objectifs. Mais le destin lui réserve un coup de théâtre : la personne qu'elle avait prévu de dépouiller devient son époux, l'amour de sa vie, celui qui a illuminé ses jours sombres. Dans cette lutte intérieure, les émotions s'entrechoquent. Parviendra-t-elle à mener à bien sa mission initiale, celle de le dépouiller de tous ses biens, tout en préservant l'amour qu'elle commence à ressentir pour lui ? L'angoisse monte, le cœur palpite, et le suspense devient insoutenable. Les choix qu'elle fera auront des répercussions bien au-delà de ce qu'elle aurait pu imaginer. Nous ne tarderons pas à découvrir les conséquences dévastatrices de ses décisions dans cette histoire haletante. ------ # L'ÉPOUSE IDÉALE Jean-Luc, un entrepreneur hors pair, était en quête de celle qui pourrait véritablement compléter sa vie. Cependant, cette recherche s'est révélée pénible, en grande partie à cause de son statut. Que devra-t-il faire pour enfin trouver celle qui se fera appeler "chair de sa chair, os de ses os" ?
UN JEU INSOUCIANT
**#J'AURAI SON ARGENT**
**#CHAPITRE 01**
**KETHIA OKETSHU**
Tout a commencé comme un jeu insouciant à l'orphelinat. Nous, des enfants perdus, avions pris l'habitude de duper les passants au coin de la rue, nous faisant passer pour des âmes malfamées, fragiles et vulnérables. Les âmes sensibles étaient touchées par notre comédie, une mise en scène si convaincante qu'elle frôlait la réalité. Nous jouions la carte de la détresse, feignant d'être sérieuses pour éveiller le côté maternel et la corde sensible de toutes nos victimes, savourant chaque instant de cette manipulation.
Je me souviens de cette époque où l’on me surnommait "la petite chatte". Vous vous demandez peut-être pourquoi ce nom, ou d'où je tirais une telle dénomination ? Eh bien ! Ce surnom est né d'un incident marquant, lorsque, après un plan qui avait failli tourner au désastre, j'ai réussi à retourner la situation grâce à mes yeux pétillants, comme des revolvers prêts à tirer.
~10 ANS EN ARRIÈRE~
« Es-tu vraiment sûre que nous allons réussir à arnaquer ce couple ? » questionnai-je, une angoisse sourde me nouant le ventre.
« Petite, regarde le talent que j'ai, » répondit Kees, le plus âgé de notre bande, affichant un sourire confiant qui masquait à peine son arrogance.
Moi, la benjamine, celle que l'on considérait comme la peureuse, j’étais reléguée derrière, chargée de ne pas compromettre notre plan. Ironiquement, c'était celle qu'ils prenaient pour l'élément faible qui allait les tirer du bourbier dans lequel ils s'étaient enfoncés.
« Alors, ce sont vous les petits voyous qui escroquent les pauvres gens ? » intervint un agent de police, son regard perçant nous scrutant, conscient de nos magouilles.
« Non, vieux, ce n'est pas nous, » répondit courageusement Kees, le cœur battant, tentant de défendre notre bande.
« Tu ne m'auras pas cette fois, je vous embarque, jeunes. Euh, Tod, viens prendre ces vauriens. »
« Monsieur l'agent, je vous assure que vous vous trompez ! » s'écria Kees, désespéré, la peur d'être arrêté se lisant sur son visage.
Les autres commençaient déjà à paniquer, une vague de terreur envahissant notre petit groupe. Moi, je regardais la scène de loin, paralysée par l'angoisse, jusqu'à ce qu'une idée audacieuse me traverse l'esprit.
Je scrutai les alentours et aperçus une boîte de peinture noire. Dans un élan de détermination, je couvris mon visage de ce noir, espérant échapper aux regards inquisiteurs. Puis, je pris un petit bâton et imitai la démarche d'une vieille femme, accablée par la vie, tout en avançant vers eux, pleurant à chaudes larmes, le cœur battant de frayeur.
« Kees, tu n'as toujours pas trouvé l'argent pour mon opération ? » dis-je, ma voix tremblante, comme si ma vie en dépendait.
Les agents de police et ma bande semblaient perdus, leurs visages trahissant l'incompréhension. À cet instant, je savais que mon déguisement fonctionnait, mais l'adrénaline me faisait trembler.
« Kees, j'ai froid et j'ai faim, » ajoutai-je, redoublant mes pleurs, espérant que l'empathie les submergerait.
Tandis que l'agent de police était distrait, discutant avec son collègue, je fis un clin d'œil à Kees pour qu'il joue le jeu. Par chance, il comprit immédiatement, et l'instant de tension était palpable. C'est ainsi que, dans un crescendo d'émotions, nous parvînmes à duper les agents et ce couple de riches, leur dérobant tout ce qu'ils avaient sur eux ce jour-là.
Ce jour-là, je fus officiellement initiée à la bande de pickpockets de l'orphelinat Christ Roi, recevant le titre de "la chatte". Et j’en étais fière, terriblement fière, mais une part de moi savait que cette fierté pourrait me mener à ma perte.
À SUIVRE...