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chapitre 2

PVD Hanna

Depuis ce matin, Mathéo n'a pas cessé de me flatter. Il veut aller à une exposition artistique ce soir et il compte m'amener avec lui pour que je choisis le plus beau tableau pour son nouveau bureau de travail.

Je l'ai accompagnée de force dans ce magasin de vêtements si non, je devrais être entrain d'étudier. Je suis en master 2, je prépare ma thèse.

Mathéo : je dois te trouver la plus belle des robes.

Hanna : Matt arrête ! Nous avons déjà retourner toute cette ville juste pour une robe.

Mathéo : Oui parce que nous cherchons quelque chose de parfaite pour toi.

Hanna : parfaite !

Mathéo : Oui

Hanna : Matt s'il te plaît.

J'arrête de marcher. Il se retourne et marche jusqu'à moi. Il me tient pas la main.

Mathéo : tu es parfaite ma chérie. Belle comme de l'eau de rose. Fluide comme l'eau de pluie.

Hanna: Hum, Matt!

Mathéo : Allez peut-être que tu as des défauts mais c'est rien comparer à ta beauté.

Je souris. Avec lui, je me sens toujours à l'aise et je peux faire des caprices...

Mathéo : j'adore également ce magnifique sourire.

Hanna : Ça mérite, un merci ?!

Mathéo : Il illumine mes journées.

Je souris.

Hanna : Ouais merci !

Mathéo : C'est pas la blague ! chaque secondes passés près de toi est un merveilleux souvenir pour moi.

Il se touche la poitrine. Je lui donne un petit tape sur l'épaule. Je commence à marcher. Il est derrière moi et dit des choses vraiment romantique.

Hanna : Matt, j'ai compris.

Mathéo : laisses- moi te la chanter encore et encore que, tu es trop belle...

Il me contourne en courant sur ses jambes. Je reste fixe. Il s'incline derrière moi.

Mathéo : Fille au magnifiques yeux verts.

Moi : nom d'un orange exposé à la vue de Hanna. Dis-je.

Mathéo se redresse de moi. J'ai les yeux fixés sur les étagères du comptoirs. La bouche grandement ouverte et des yeux qui brillent de joie.

Mathéo : Hum?? Quoi !

Moi : voilà des oranges ! Je les veux. Dis-je.

Mathéo : bien-sûr, tu peux les avoir.

Hanna : Suis -moi.

Je le tiens par le bras et court. Nous arrivons face aux oranges. Ils sont loin en haut, j'essaie de sauter pour les atteindre. Mathéo se moquent de moi.

Hanna : aller Matt, un coup de main. Arrête de te moquer...

Mathéo : continue de sauter. Allez un peu d'effort, tu y arriveras.

J'essaie rien. Lorsque je veux me fâcher, Mathéo vient pour m'aider mais il n'arrive pas. Il ne fait que 1, 67 c'était déjà raté. J'étais plus grande de taille.

Hanna : Brommm... Il faut quelqu'un de plus grand que nous.

Il était collé très proche de moi. Je tourne la tête vers lui et l'on se regarde. Il se laissait un peu emporter.

Hanna: trouve une solution Mathéo. Je les veux ces oranges.

Mathéo : attend moi ici, je vais aller chercher une chaise.

Hanna : okay.

Il s'en va.

Je reste, je suis agacée or mes doigts frôlaient déjà le paquet, je décide de continuer quand soudain, une main se pose contre la mienne. La poitrine de l'homme s'écrase contre mon dos. Je bascule vers l'avant et dépose ma seconde main sur les cerises.

Immédiatement, je ferme mes yeux lorsque je sens sa respiration chaude au niveau de mon cou. Cette personne m'écrase littéralement avec son poids. Des vagues d'émotions parcours mon corps. Mon cœur bat la chamade quant il défile lentement ses gros doigts pour entrelacer les miens.

Mais son parfum... Ce parfum a quelque chose de familiale mais c'est n'était pas le parfum de Mathéo. Je tourne légèrement la tête et lorsque j'assimile parfaitement l'odeur du parfum, j'écarte les yeux dans l'incroyable.

C'était lui, c'est mon ex mari ! Des millions de papillons explosent dans mon estomac.

Ahmed : il te faut un homme grand pour s'occuper de toi. Sais-tu pourquoi ?

Hanna : umm...je respire juste en mordillant sur ma lèvre inférieure.

Son aura et sa présence me font ressentir des choses dont, j'ai renoncé il ya plusieurs mois.

Ahmed : Tu es une fille avec un tas de problèmes plus grand que le mont Fako.

Il garde silence. Il respire lentement près de mon oreille. Je divague à chaque fois qu'il respire ou expire.

~~~~

PVD Ahmed

Je l'ai vu de loin, belle comme la lune. Oui, très belle. Je suis jaloux de l'inconnu qui tenait sa main. Cet homme essaie de me voler mon ex et, même si je sois conscient que tout soit fini entre nous, je me suis dis toute même :

Moi : bon sang Ahmed, cette fille était la tienne et non la sienne.

J'ai ordonné à mon garde personnel de me conduire à elle. Quand j'arrive, elle fait quoi? Elle papote avec cet inconnu. J'ai été triste à un moment envoyant à quel point, ils jouaient tous les deux. Je me cachait derrière eux juste pour les espionner.

Après son départ, je suis sorti de ma cachette. Au début, je voulais lui gronder et l'humilier ici et devant tout ce monde fou qui entre et sorte. Je voulais le faire à cause de son style vestimentaire qui ne représente pas son statut mais j'ai été charmé par sa beauté que, j'ai oublié de la gronder.

Les oranges sont ses fruits préférés, je le sais. Elle essayait désespérément de les atteindre, je n'ai pas pu resté indifférent. Je marche lentement jusqu'à elle.

J'aurais pu prendre simplement la boîte et la lui donner mais il ya quelques choses qui m'empêche de le faire: son parfum irrésistible. J'avoue, il m'a manqué.

Bon tient ! J'ignorais même que j'adorais déjà son parfum corporel et que, je pouvais l'identifier parmis tant d'autres car, lorsque je suis arrivé, je ne l'ai pas vu toute suite, c'est son parfum qui m'a conduit à elle.

Je dépose ma main contre la sienne. J' entrelace nos doigts. Notre contact tonique me fait plaisir. Je retrouve quelque chose qui m'a manqué depuis son départ... l'envie d'une femme. J'ai juste envie de l'embrasser ici et maintenant.

Ses cheveux naturels m'ont manqué, sa peau, son corps, son odeur et sa façon de respirer quand elle est sous mon contrôle. Oui ! Tout d'elle me manque. Maintenant que j'ai laissé ma faiblesse pour elle prendre le dessus, je veux juste rester à cette position et la caresser tout le reste de la soirée.

Hanna : um...

Moi : Chuuuu... ai-je murmuré les yeux fermés.

Mes lèvres heurtant un peu le bout de son oreille. Je me laisse écraser encore plus sur elle. J'ai des vagues d'émotions qui parcourent mon corps à cause de la chaleur que notre contact corporel crée entre nous.

Hanna : qui êtes vous? Lâchez- moi.

Je sais pertinemment qu'elle fait semblant de n'avoir pas encore sus qui je suis.

Ahmed : tu es mienne. Ne te laisse pas toucher n'importe comment. Je glousse tendrement mais jalousement.

Je l'écrase toujours avec mon torse. J'ouvre les yeux et regarde sa nuque. Je lève la main droite et écarte un peu ses cheveux. Je dépose un léger bisou sur son cou qui l'a fait frissonner.

Ahmed : Même loin de moi, tu restes mienne donc, je t'interdis toutes fréquentations avec d'autres hommes.

Dis-je jaloux de son nouveau mec. Elle respire bruyamment et moi également. J'entendais qu'elle me dise quelque chose. Pendant ce temps, je renifle encore un peu plus son odeur corporelle. J'ai des désirs érotiques au milieu d'un magasin de vêtements. C'est si doux.

Hanna : non, lâche- moi.

Elle me repousse. Je la laisse partir. Elle se retourne et me fait face. Je la regarde. Elle tient les étages et s'incline sur les fruits. Elle respire bruyamment en me faisant face.

Je lui regarde dans les yeux. Elle est devenue plus belle, plus sexy. Sa poitrine légèrement exposée m'attire dangereusement. Je ne sais pas me retenir devant cette fille.

Je l'approche lentement...

Elle vision mon visage lorsque je deviens trop proche. Son regard calle sur mes lèvres. Je m'incline vers sa poitrine. Elle ferme les yeux et crispe nerveusement ses doigts contre les paquets en plastique des fruits de cerises noires autour du comptoirs.

Ahmed : as-tu besoin de ces oranges.

Sans même regarder l'endroit, je les décroche pour elle. Je les lui présente. Elle ouvre ses yeux. Elle porte un regard sur les fruits. Elle ne répond pas.

Ahmed : si tu as besoin de bonnes choses, entoure toi de ceux qui peuvent te l'ouvrir ainsi tu arrêteras de souffrir.

Brusquement, elle me repousse contre la poitrine. Elle me fait nerveusement face.

Hanna : je n'ai pas besoin de vous. Vous n'êtes non plus la bonne personne pour moi.

Ahmed : ah ah !! Ai-je ris. Est-il mieux ? Il n'est même pas de taille...

Hanna : vous non plus, vous n'êtes plus de taille monsieur Ahmed.

Ahmed : alors tu n'as pas oublié mon nom !

Elle me fixe nerveusement. Je vois son stupide petit ami arriver avec une chaise à main. Je vole Hanna par le bras et la ramène de l'autre côté des étagères d'où, il ne pourra la retrouver.

Hanna : que faites-vous monsieur Ahmed ? Avez-vous perdu la tête !

Là n'était pas mon objectif de la laisser parler. Je ferme sa bouche et la conduire lentement hors delà.

Mathéo : Hanna !! Où es-tu.

Hanna : [ étouffée ] Matt...

Elle se bat à répondre lorsque l'homme l'appelle mais j'ai bien condamné sa bouche avec ma main. Je l'entraîne de force vers la partie des vêtements pour femmes.

Ahmed : Chuuuu taie toi maintenant. Ai-je supplié avec un visage suppliant.

Hanna : lâche moi, qu'est ce qui vous prend ?

Ahmed : il faut qu'on parle.

Hanna: je n'en ai pas envie !

Ahmed : tu n'as pas le choix.

Hanna : vous ne comprenez pas encore les choses ? Je n'ai plus rien à faire avec vous.

Ahmed : écoute...

Hanna : enlevez vos mains sur moi si non, je vais crier.

J'obéis et l'on se regarde.

Je veux encore la regarder. Je n'arrive pas à croire que je l'ai laissé partir aussi facilement à cause de mes bêtises. Elle se retourne pour partir lorsque son petit chien continue d' aboyer son nom.

Je l'ai retenu par le bras.

Hanna : quoi encore ? Voulez-vous vraiment que je crie?

Ahmed : non attend, j'ai.

Hanna : quoi !!

Elle demande.

Sa beauté me tut alors, je me laisse abattre. Je la retire jusqu'à ma poitrine. Elle s'écrase sur mon torse. Je savais qu'elle allait crier mais j' anticipe les choses en laissant écraser lourdement mes lèvres contre les siennes.

J'avale fièrement ses cris. Elle me frappe nerveusement par les bras. Mais j'insiste ! Si elle ne veut pas me donner un baisé, je vais le lui arracher aujourd'hui.

Soudainement, elle me mord sur les lèvres.

Ahmed : aïe ! Ai-je pleuré.

Hanna : vous l'avez bien mérité !

Je la regarde .

Hanna : Que les choses soient claire entre nous, cette marque te rappellera que, je ne suis plus tienne.

Dit- elle les mâchoires serrées.

Après celà, elle s'en va en courant. Je restes incliné au milieu de plusieurs vêtements. Je suce mon sang et curieusement, j'adore cette marque qu'elle a laissé sur moi. Ce qui me prouve que, je ne vais pas l'oublier pendant toute cette soirée.

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