Chapitre 3
3
CHRISTIANA NGOY
Oui, bien-sûr que j'irai le voir, j'irai le voir pour payé ma dette. j'avais juste fait quatre jours à l'hôpital et imaginer si je faisais un mois ?
il tuerait ma soeur voir même Agathe aussi.
Simoni : en tout cas Papa m'étonne beaucoup,il montre le visage d'une personne qui nous aime pas mais regarde il t'a même donner Agathe.
Moi : oui!
Simoni : oui? tu pourrais au moins être reconnaissante non ? en plus il m'a sorti de prison pendant que toi, ma grande sœur passait du beau temps je ne sais où.
Moi : je suis fatiguée, tu peu sortir de ma chambre,...s'il te plait !
ça serait bien comme ça, je me sacrifie et c'est moi qu'on traite de je ne sais quoi.
Simoni : c'est toujours comme ça avec toi, qu'est-ce que tu as ? tu t'es enfin trouvé un gars ? regarde comme ton visage est devenu rouge.
Moi : déjà, j'ai pas besoin d'être rassurée en couple pour prendre soin de moi et aussi je me mettrai jamais avec un gars comme tu dis...je veux juste que tu me laisse tranquille, que tu sortes de ma chambre ce tout.
je mal que ma sœur pense que j'ai oublié quel était en prison et que je passais du bon temps sans me soucier d'elle.
je suis fatiguée mais il faut que je me prépare pour aller le voir.
Agathe : venez manger au moins quelques choses Mademoiselle... j'ai fait une soupe chaude juste pour vous.
Moi : non, merci !
Simoni : je te laisse tranquille mais demain tu me dois des explications.
je me suis laissée tombé sur mon lit, l'envie de vivre m'y ai plus. surtout lorsque ma sœur tiens de tel propos. qui pourrait vouloir d'une femme comme moi? une femme qui couche avec son père ?
qui dans ce monde serait fou ? moi-même je serai incapable de le faire, je me sentirai coupable pour ça... voilà pourquoi je reste dans coin.
je suis peut-être froide ou impolie mais c'est comme ça, c'est ma vie....la vie que j'ai choisi.
Agathe : vous sortez ? il se fait tard Mademoiselle
Moi : mêle toi de ce qui te regarde, tu n'es pas ma mère.
Agathe : je suis désolé, excusé moi !
j'ouvre la porte et sort finalement de la maison, il est 20h pour gagné du temps et éviter les embouteillages.
c'est avec le coeur battant que j'arrive chez mon géniteur...il a un nouveau portiers, il a l'air d'être une Lélé ( un double sim) il m'a sourit en bougeant les mains comme une femme.
- bienvenue mademoiselle, monsieur vous attend dans son bureau.
je le dépasse sans rien dire et entre dans la chambre.
Mon géniteur : une chose que j'aime chez toi c'est l'effet que tu respectes l'heure. tu es tellement ponctuelle, dynamique comme femme mon amour.
je ne dis rien et prends place sur son lit
Mon géniteur : qu'est ce tu as au visage mon bébé, qui a osé levé la main sur toi comme ça.
silence
Mon géniteur : mais je te parle !
Moi : le contrat n'a jamais été qu'on se raconte nos vies.... j'ai rien à te dire et pareille pour toi.
splash.
Mon géniteur : c'est a moi que tu parle comme ça? attend je dois vérifier quelques choses... peut-être que tu me trompes avec un autre homme...je te tuerait si tu ose faire une chose pareille, tu m'appartient...tu es à moi !
il disait tout cela en déchirant mes vêtements. j'étais restée Immobile... j'avais trop mal pour me faire f-r-a-p-p-e-r encore.
je regardais le plafond pendant que mon père me donnait des coups de reins sans arrêté. je me sentais tellement mal, tellement dégouté.
Mon géniteur : tu me dois du respect, n'oublie pas qui je suis pour toi....tu dormiras avec moi aujourd'hui, tu m'as vraiment manqué.
...
quand je me suis réveillée, il n'était pas la. je me suis donc habillé et partir... c'est vraiment injuste...je ne mérite pas ça.
Mon géniteur : tu ne pensais pas quand-même partir sans me dire au revoir quand-même ?
Silence
Mon : peu importe, j'ai un voyage d'affaires a Londres pour deux semaines... j'aimerais que tu m'accompagne.
Moi : désolé mais j'ai trop de choses à faire...mon entreprise est actuellement dans une phase de....
splash
Moi : je risque de perdre mon entreprise si j'effectue un voyage en ce moment
splash.
Moi continuant : ça serait tout pour moi aujourd'hui.
Mon géniteur criant : IMBÉCILES, COMMENT TU OSE ME RÉPONDRE COMME ÇA ? JE SUIS TON PÈRE, UNE FOLLE COMME ÇA...ATTEND TU VAS RESTER ICI AVEC MOI JUSQU'À CE QUE NOUS IRONS À LONDRES.
Moi : tu n'as pas le droit dis-je tout bas
Mon géniteur : J'AI LE DROIT, J'AI LE DROIT ET BEAUCOUP D'AUTRES CHOSES. TU M'APPARTIENT ET JE FERAIT CE QUE JE VEUX AVEC TOI. TU NE SORTIRAI PLUS DE CETTE CHAMBRE JUSQU'À NOUVELLE ORDRE.
MOI : TU ME FAIT PAS PEUR OK ? ESSAIS SEULEMENT DE FERMÉ CETTE PORTE...JE DIRAIS TOUT ET CE TU FAIT.
ma tête s'est cogné au mur. mon cœur a vibré comme si on m'avait coupé quelque chose.
du sang !
Mon géniteur : je veux pas te tué mais je peux te voir souffrir si tu ne veux pas écouté ce que je dis.
il avait aussi commencer à battre, ses chaussures était tellement piquant que mon ventre saignait énormément.
Moi : je suis désolé, désolé....je...je suis désolé
Mon géniteur : J'AI RIEN ENTENDU, VAS-Y RÉPÈTE ENCORE
Moi : je suis désolé, je te demande pardon....je ferai tout ce que tu me demande.
Mon géniteur : j'aime bien ça !
il s'est assise et m'as embrassé en plein bouche le sourire aux lèvres.
Mon géniteur : je t'aime tellement !
c'est comme ça que je suis traité a chaque fois que j'essaie de lui désobéir. a chaque fois que j'essaie de trouver un issue de secours.... tout me retombe dessus.
je suis restée comme ça pendant deux jours, je pouvais entendre mon téléphone sonner mais j'avais pas la force de me lever.
Mon géniteur : je t'ai amené un médecin chéri !
le docteur de mon sauveur, il me regarde en ouvrant grandement ses yeux. je souris automatiquement Parc que je serai sauver ou peut-être pas
Philippe : laisser nous seul monsieur.
Mon géniteur : ah non, j'aimerais être là pour lui tenir la main.
Philippe : vous voulez me dicté mon travail peut-être ?
Mon géniteur : non!
Philippe : bien, Merci !
c'est la première fois que quelqu'un lui parle avec tant d'assurance...avec tellement d'audace... aucune peur.
Philippe : Chris !
Moi : aide moi, sort moi de cette endroit....je t'en prie !
Philippe : qu'est-ce que tu fais ici ? c'est ton mari ?
Moi : sort moi juste de cette endroit,il va me tué.
Philippe : d'accord, d'accord ! attend moi j'arrive.
il est revenu avec mon géniteur qui me regardait bizarrement.
Philippe : votre femme doit aller à l'hôpital, vous m'avez pas dit qu'elle était aussi mal en point. j'ai rien sur moi qui peu l'aidé et si nous perdons plus de temps elle va mourir.
entendre ses paroles mon père est devenu comme un fou... Philippe m'a porté jusqu'à la voiture...sa voiture.
Philippe : je vous tiendrai au courant de son évolution monsieur Ngoy, vous pouvez venir si vous le voulez.
j'ai fermé les yeux, j'étais en sécurité maintenant. je ne sais pas ce qui s'est passé mais c'est sur un lit d'hôpital que me suis réveillée.
Philippe : bonjour !
Moi : Docteur !
Philippe : comment ça va, tu te sens mieux maintenant ?
Moi : assez bien pour te remercier.
Philippe : je ne vais pas te juger ou te demander pourquoi tu es marié à cet homme qui pourrait être ton père... c'est ton choix hein loin de moi l'idée de te juger mais pourquoi ?
Moi : je ne sais pas !
Philippe : tu peux essayer, s'il te plait ! j'aimerais comprendre et je ne veux pas avoir des problème avec lui.
je ne savais pas quoi dire, surtout pas que c'est mon père et aussi l'homme qui me viole.
- eh mec ça fait longtemps qu'on t'attends là.
Philippe : j'arrive ok ?
je fais oui de la tête et il est parti. cette famille m'a assez aider comme ça. je ne veux pas qu'ils leurs arrive quelque par ma faute
Moi : je dois y aller, partir de cette endroit.
