Chapitre 4
Titre : un plaisir incontrôlable *"
Après leur moment d'intimité, Elena se recroquevilla légèrement dans les draps de Lucas, profitant du calme après cette vague de sensations. Cependant, très vite, elle sentit une faim croissante se manifester, la ramenant à la réalité. Elle jeta un regard amusé à Lucas, qui souriait aussi, conscient du vide qui se faisait sentir.
— J'ai une petite faim, dit-elle en passant doucement ses doigts dans ses cheveux. On dirait que la soirée m'a épuisée.
Lucas se redressa sur un coude, amusé.
— Ils ont fini toute la nourriture en bas... Je peux aller te chercher une pizza si tu veux. Il y a un restaurant pas loin, je ne serai pas long.
Elena, toujours joueuse, lui lança un regard séducteur.
— Tu as intérêt à ne pas tarder, sinon je pourrais mourir de faim.
Lucas éclata de rire, puis enfila rapidement un t-shirt avant de lui déposer un baiser sur le front.
— Ne t'inquiète pas, je fais au plus vite, dit-il en quittant la pièce.
Elena se retrouva seule dans la chambre. Le silence qui régnait autour d'elle laissait place à ses pensées vagabondes. Elle laissa échapper un soupir en se calant dans les coussins. Le temps semblait s'étirer, chaque minute paraissant plus longue que la précédente. Ses doigts glissaient sur le tissu du lit, et elle commençait à s'impatienter.
Elle regarda l'horloge : une demi-heure s'était écoulée. Où était-il passé ? Se demandant s'il s'était attardé quelque part, elle commença à s'agiter. Son ventre grondait, et elle avait hâte qu'il revienne avec cette pizza tant attendue.
Alors qu'elle était sur le point de lui envoyer un message, des coups secs frappèrent à la porte. Le son résonna dans la chambre, brisant le silence pesant. Pensant que Lucas était enfin de retour, Elena se leva d'un bond, son corps encore enveloppé dans l'excitation de la soirée. Dans la hâte, elle n’avait pas pris la peine de se rhabiller, restant en string, sa poitrine complètement découverte, oubliant totalement ce détail. Elle sourit en imaginant Lucas avec un sourire d’excuse à la porte, la pizza à la main.
Elle ouvrit la porte d’un geste rapide, prête à le taquiner, mais ce n’était pas lui.
Devant elle se tenait un homme qu'elle n'avait jamais vu. Il était grand, musclé, ses yeux gris perçants la fixant avec une surprise évidente. Son débardeur noir moulait ses épaules larges, laissant voir chaque ligne de ses muscles parfaitement définis. Il semblait figé sur place, ses yeux déviant brièvement de son visage pour se poser, malgré lui, sur sa poitrine découverte. Elena, tout aussi surprise, resta muette, le souffle coupé par cette apparition inattendue.
Leurs regards se croisèrent, et pendant un instant, le silence s'étira entre eux, lourd et électrisant. Aucun des deux ne savait comment réagir. Elena sentit son cœur battre plus fort dans sa poitrine, à la fois par embarras et par une étrange tension qui montait en elle.
L'homme, visiblement déconcerté, tenta de reprendre ses esprits. Il avala difficilement sa salive, sa voix hésitante brisant enfin le silence.
— Euh… bonsoir, je... je suis venu voir Lucas. Est-ce qu'il est là ?
Sa voix était profonde, mais tremblante, comme s’il essayait de garder son calme malgré la situation. Elena, toujours figée sur le seuil, réalisa soudainement qu'elle se tenait là, pratiquement nue, devant un inconnu. Son visage s’empourpra alors qu'elle croisait rapidement ses bras devant sa poitrine, tentant maladroitement de couvrir ce qu’elle pouvait.
— Oh... je... Lucas n'est pas encore rentré, balbutia-t-elle, cherchant ses mots. Il est parti chercher quelque chose à manger.
L'homme, visiblement gêné, baissa un instant les yeux, mais ne put s'empêcher de jeter un coup d’œil furtif vers elle à chaque fois qu'il relevait la tête. Il se racla la gorge, essayant de reprendre contenance.
— Je... je suis vraiment désolé, je ne voulais pas... interrompre. J'ai frappé, je pensais qu'il serait là.
Elena, malgré son embarras, ressentit une étrange tension entre eux. Il était clair que cet homme, avec sa carrure imposante et ses yeux gris perçants, ne la laissait pas indifférente. Elle tenta de se détendre un peu, esquissant un sourire timide.
— Ce n'est pas grave, je ne m'attendais pas à avoir de la visite, répondit-elle d’une voix légèrement tremblante.
Il y eut un nouveau silence, plus court cette fois, mais chargé d’une tension palpable. L’homme, toujours aussi nerveux, sembla chercher une excuse pour partir.
— Je... je vais l'attendre dehors, c'est mieux, je crois, dit-il en se reculant d’un pas vers le couloir, visiblement encore troublé par ce qu'il venait de voir.
— Non, attendez, intervint Elena, surprise par sa propre audace. Vous pouvez... vous pouvez attendre ici si vous voulez. Il ne devrait pas être long.
Elle le dit presque malgré elle, réalisant qu'elle ne voulait pas se retrouver seule à nouveau, pas maintenant. Le regard de l’homme se fit hésitant, mais il finit par acquiescer lentement.
— Si ça ne vous dérange pas...
Elena lui ouvrit la porte en grand, tout en resserrant ses bras autour de sa poitrine pour maintenir une certaine pudeur. Lorsqu’il entra, l’atmosphère de la chambre sembla changer, comme si leur rencontre accidentelle avait modifié quelque chose dans l’air. Ils échangèrent un regard furtif, chacun encore légèrement perturbé par cette étrange situation.
— Je m’appelle Damien, finit-il par dire, tentant d’alléger l'atmosphère.
Elena sourit légèrement.
— Moi, c’est Elena, répondit-elle, sentant une chaleur étrange monter en elle, une curiosité non dissimulée.
Ils restèrent là, debout, se regardant brièvement, tandis que la soirée continuait dehors, les bruits lointains de la fête se mêlant au silence tendu de la pièce.
Après avoir installé Damien, Elena s'efforça de garder la conversation légère. Elle discutait de banalités, tentant de faire disparaître l'étrange malaise qui flottait encore dans l'air. Pourtant, dans toute cette situation, elle avait oublié un détail important : elle ne s'était toujours pas changée. Elle était encore vêtue de son string, sa poitrine à peine dissimulée par ses bras, mais elle semblait étrangement indifférente à ce fait, comme si la présence de Damien brouillait ses pensées.
Damien, assis sur le canapé, essayait visiblement de ne pas se laisser distraire, mais son regard trahissait l'agitation intérieure qu'il tentait de cacher. Son regard glissait par moments vers Elena, incapable de détourner les yeux plus de quelques secondes. Il avait beau se forcer à se concentrer sur la discussion, l'aura sensuelle d'Elena occupait tout l'espace.
Elena continuait de parler, sa voix douce et légèrement rieuse remplissant la pièce. Mais elle sentait quelque chose d’étrange s’opérer en elle. Peut-être était-ce l'intensité de la soirée, la chaleur de la chambre, ou même le regard de Damien qui lui donnait cette sensation électrisante. Elle ne pouvait plus ignorer ce courant invisible qui la poussait vers lui.
À un moment donné, sans trop réfléchir, ses pas la rapprochèrent de lui. Elle oublia qu’il était l’ami de Lucas, qu’il n’était là que pour attendre son retour. Ses pensées devinrent plus confuses, comme si une attirance irrésistible la guidait malgré elle.
Elle se retrouva debout juste devant Damien, ses yeux plongés dans les siens. Lui, toujours assis, semblait pétrifié, ne sachant pas vraiment quoi faire. Il la regarda, à la fois troublé et désarmé par son audace. Il ouvrit la bouche pour dire quelque chose, peut-être pour essayer de rappeler la raison, mais aucun mot n'en sortit.
Soudain, sans prévenir, Elena se pencha vers lui, ses lèvres frôlant les siennes avant de l'embrasser sur le champ. Le baiser fut doux au début, presque hésitant, mais il devint rapidement plus profond, plus passionné. Elle sentit son souffle s'accélérer alors qu'elle se laissait aller à ce moment interdit, ses mains effleurant doucement les épaules de Damien.
Damien, figé par la surprise, ne réagit pas immédiatement. Mais la chaleur de son baiser, l'envie palpable qui émanait d'elle, le fit céder. Ses mains, d’abord hésitantes, vinrent se poser sur les hanches d'Elena, comme pour répondre à cette soudaine proximité. Il n'avait pas prévu cela, mais le désir grandissant dans l'air était irrésistible.
Leurs baisers devinrent plus intenses, comme si la tension qui avait flotté entre eux depuis le début explosait enfin. Elena se laissa glisser à côté de lui sur le canapé, son corps effleurant le sien, sentant chaque muscle sous ses doigts, le cœur battant à tout rompre. C'était comme si tout le reste du monde disparaissait autour d'eux, la fête en bas, la chambre de Lucas, et même Lucas lui-même.
Damien se retira un instant, ses yeux cherchant ceux d'Elena, comme pour s’assurer qu'elle réalisait ce qui était en train de se passer. Mais elle ne dit rien, ses lèvres venant à nouveau se poser sur les siennes, comme une réponse silencieuse. Leurs corps étaient maintenant proches, enlacés dans ce moment de désir brûlant.
Le silence régnait dans l'appartement, seulement rompu par la respiration de plus en plus accélérée d'Elena et Damien. Sur le canapé, leurs corps s’étaient rapprochés presque naturellement, comme si l’attraction entre eux était irrésistible. Les mains de Damien parcouraient la peau d’Elena avec une douceur attentive, chaque caresse déclenchant une onde de frissons qui la traversait. Elle ferma les yeux, se laissant emporter par la chaleur de l’instant.
Leurs lèvres se retrouvaient, tantôt avides, tantôt délicates, tandis que leurs souffles s’accordaient dans une symphonie silencieuse. Chaque contact était une promesse, un moment suspendu dans le temps. Elena sentait le poids réconfortant de Damien contre elle, une proximité qui la remplissait d’un mélange d'excitation et de sérénité. Ses doigts s'enroulaient dans ses cheveux, ses gestes devenant plus pressants, comme s’ils voulaient graver cet instant dans la mémoire.
Le monde extérieur semblait s’effacer, ne laissant place qu’à eux, à leurs gestes, à leurs regards. La lumière tamisée jouait sur leurs silhouettes, accentuant la douceur de leurs mouvements. Le canapé, lieu banal du quotidien, se transformait en refuge intime où chaque baiser, chaque souffle, devenait une déclaration silencieuse.
Damien a descend son pantalon pour laissé son érections à l'extérieur, Elena était déjà mouillées ensuite l'introduction était facile et excitant.
Il l'a pris en kamasutra, plus précisément en levrettes et commence par la secouer avec des vas et vient violant, Elena avait complètement oublié où elle se trouvait : dans la chambre de Lucas.
Elle gémissait telle fort qu'on pouvait l'entendre dans le couloir, visiblement elle n'avait pas autant crier dans et frémir dans les bras de Lucas.
Damien était brutal et necessiteux et c'était tout ce que Elena désirait: du Sexe intense et brutal, des coups de hanches qui la feraient planer et Damien lui procurait se plaisir un un bout de temps.
Damien de son côté ne s'arrête pas, continuant à secoué Elena sans pitié, mais son accélération le trahis en chemin, il explosa comme un tonnerre.
Il gicla tout son liquide à l'intérieur d'Elena, avant de reprendre son souffle. On entendait que des cœurs battre à l'unisson après ce moment. Tous deux satisfaits de ce moment qui n'avait pas tellement duré mais qui était rempli d'extase suprême.
_Tu as été génial, dit Damien amusant
_Toi aussi Damien. Mais faut que tu t'en aille avant que Lucas ne revienne, vas-y fil.
_D'accord j'espère qu'on pourra se revoir et qu'on...
_Oui tu peux rêver, mais je te promet rien, pourquoi pas. Dit Elena en se mordant les lèvres.
Puis Damien s'en alla heureux du moment passer avec Elena.
