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6 et 7

#morte_vivante

Chapitre 6

Arnold : on va prendre ma voiture,donc inutile que tu démarre la tienne.

Moi: okay.

Une fois tout 2 près (Nelson et Arnold ) ils ne m'ont pas géré ; ils dans leurs coquons pas moyen d'en faire partie ( j'avoue j'étais jalouse).

Ils n'ont même pas fait allusion à ma dernière valise (alors que je me suis mise en bombe exprès pour qu'il me trouve la plus Belle)

Arnold : tu es très beau Nelson ; digne héritier de papa.

Nelson lui en mode tintin ; balance les mains et la tête comme un lézard ( j'avais le sum)

Moi: uh uh,uh uh uh( forçant la toux)

Arnold : ah tu es prête,on y va alors.

Il avait porté son fils sur son dos jusques dans la voiture ; le plus drôle dans l'histoire est qu'il avait installé son fils sur le siège avant près de lui.

J'étais scandalisée ; je suis un pot de fleur ici? Je ne vais pas me taire sur ça?.

Moi: vous jouez à quoi ? Nelson c'est ta femme pour s'asseoir à l'avant ?

Arnold : tu vas t'y habitué ; Nelson était là avant toi ; et rien ne dois le brusquer pour qu'il garde le goût de la vie.

C'est malgré moi que je suis entrée à l'arrière de la voiture ; une fois le compteur démarré c'était lancé.

La route était longue ; nous nous sommes rendus à Yaoundé ( il ne m'avait pas donné le nom du lieu encore moins la ville).

Sur la route je voyais Arnold caressé les cuisses atrophiées de Sont fils sans gêne.

J'avais même plus la force de ma plaindre ; je n'avais encore rien vue avec leurs liens.

Une fois devant le lieu de réception ; je pouvais admiré la beauté de l'édifice. Nelson semblait être dans son élément (c'est pas la première fois qu'il vient ici, ça ce voit à l'accueil)

Hôtesses : bonsoir messieurs ; soyez une fois de plus les bienvenue,la fratrie vous attends.

J'étais comme invisible au yeux de tous ; j'étais déjà à bout mais je ne laissait rien transparaître.

La salle dégageait une énergie obscure , j'avais la chaire de poule ; la table était disposé comme celle des chevaliers,une seule table au centre et des chaises qui n'en finissent pas autours.

Chacun avait son nom devant son siège ; ce qui me surprenait c'est que tout les enfants des invités étaient dans le même état que Nelson ( paraplégique, soit ayant effrayantes anomalies )

Et ces enfants occupaient les places de choix ; des milliers de questions le trotine le cerveau.

Place au présentation et autres ; j'ai fait la découverte de quelques cousins de mon mari( Gustave et Jean Bosco)

Bosco: désolé notre femme; le travail est prenant c'est pourquoi ...

#morte_vivante

Chapitre 7

Bosco : désolé d'avoir manqué le mariage ; mais nous allons nous rattraper ,tu vas aimer.

Gustave : olala ma belle sœur ; Arnold c'est mon goût ici net net.

Moi: arrêté de me flatter vous deux ; c'est vos enfants ?

Ils semblaient gênés d'admettre leurs liens de parenté avec leurs fils.

Bosco : oui oui la maladie héréditaire est dans notre famille.

Moi: donc même vos amis sont touchés ? C'est une drôle de coïncidence ou quoi ?

Gustave : non on ce retrouve pour partager ensemble des moments et faire en sorte que nos enfants soient proches pour vaincre la maladie.

Moi: très bonne initiative ; moi qui pensais que...

Bosco : pensais que quoi? Tu as trop d'imagination Rosie.

La soirée c'était bien terminée,nous avons repris la route à 3 h du matin; sur le tronçon Yaoundé_douala notre voiture avait eu une panne sèche, mon mari c'est déplacé pour chercher un peu de carburant.

Je suis sortie de la voiture pour vidangé ma vessie dans la brousse de boumyebel; j'entre un peu profond et je me pense pour me libéré quand je sens un toucher sur ma fesse droite.c'est le cris de Tarzan que je lance dans la nuit.

Moi: c'est qui ,qui m'a toucher ? Seigneur.

Je ne pouvais même plus me retenir ; les urines dégoulinant de mes cuisses.

Vieux père : tu dois fuir,tu dois t'en aller très vite ; ne remonte plus dans cette voiture.

Moi: qui êtes vous ;vous me faites peur . Laisser moi partir

Il me barre la route ; mais voyant que j'étais décidé à rentré dans la voiture,il libéra le chemin.

Vieux père :tu vas le regretter une fois dans ton cercueil.

Je courrais le marathon pour regarder la voiture ; je voyais Nelson qui n'avait pas pour habitude d'être expressifs du visage sourire ?.

Ne me préoccupant pas de ce qui lui fait rire dans un endroit aussi vite et terrifiant ; je me suis enfermée dans la voiture regardant dans tout les sens.

Le vieux est venu jusque près de la voiture pour me dire un dernier mot

Vieux : mes condoléances jeunes croqueuses d'or.

Je voyais le visage de Nelson durcir de colère ; et là Arnold comme alerté est venu en renfort.

Arnold : ça vas chérie? Tu n'as pas eu mal? Il t'a fait quelque chose de mal.

Moi: non ça vas t'inquiète ; partons vite d'ici

Il avait chassé le monsieur en question ; avant de remplir le réservoir.

Et bim nous avons repris la route pour chez nous.

Une fois à la maison c'est comme un oeuf qu'arnold m'avait tenu toute la journée.

Arnold : qu'es ce qui c'est passé dans la brousse?

Moi: rien je te dis ; tu me gonfle

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