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Morte vivante

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Yacinte
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Résumé

Je m'appelle Rosie adjara ;fille de Ibrahim Boubacar et Adja Diallo ; âgée de 20 ans issue d'une fratrie de 12 enfants,je suis là 3 ieme née(10 filles). Avec un père fort au fesses et un pays aussi corsé ; je peux vous dire que j'ai bû la pauvreté en vraie. Depuis petite je me balade avec le maïs grillé sur la tête de quartier en quartier, à la recherche d'un petit riz sauté le soir venu. Mes grandes sœurs ousseni et Adama sont mariés avec des hommes ayant pratiquement l'âge de notre père ( 65ans; alors qu'elles n'ont même pas encore 25 ans ). J'étais très délinquante c'est ce qui m'avais fait évité le mariage forcé ; de plus c'est moi et ma mère qui rapportons de l'argent pour la popote et la pension des derniers. Mon entrée dans le groupe de prostitution c'est fait facilement; c'est le job de référence qui ne nécessite pas un grand fond de capital ni un niveau intellectuel élevé. Moi j'y suis entrée à cause de la famine ; le simple fait de voir mes 7 petites sœurs pleurés la famine, m'avait jeter dans ça; au fur et à mesure j'ai trouvé dans le piment un espoir de voir le jour (briss). Chaque soir,je dis bien chaque soir ; je suis dehors pour une recette de 5000f max.

réincarnationcontre-attquedominantpossessifles contraires s'attirentvrai amourmatureromantiquefantasia

1

#morte_vivante

Chapitre 1

Anaïs : regarde la voiture là ; massah je ferais tout pour en avoir une.

Moi: même entrée dans la wish?

Brenda : C'EST quelqu'un ici ? Tu ne sais même pas ce que tu dis.

Anaïs: vous n'avez pas bu la pauvreté comme moi; je vous comprends, vous avez le petit cœur.

Moi: tu crois vouloir devenir riche plus que qui? Tu crois que je fais la bordel parceque ça me plaît ?

En effet je suis bordel à temps perdu ; mais suivant aussi une formation en tant qu'esthéticienne.

Je m'appelle Rosie adjara ;fille de Ibrahim Boubacar et Adja Diallo ; âgée de 20 ans issue d'une fratrie de 12 enfants,je suis là 3 ieme née(10 filles).

Avec un père fort au fesses et un pays aussi corsé ; je peux vous dire que j'ai bû la pauvreté en vraie.

Depuis petite je me balade avec le maïs grillé sur la tête de quartier en quartier, à la recherche d'un petit riz sauté le soir venu.

Mes grandes sœurs ousseni et Adama sont mariés avec des hommes ayant pratiquement l'âge de notre père ( 65ans; alors qu'elles n'ont même pas encore 25 ans ).

J'étais très délinquante c'est ce qui m'avais fait évité le mariage forcé ; de plus c'est moi et ma mère qui rapportons de l'argent pour la popote et la pension des derniers.

Mon entrée dans le groupe de prostitution c'est fait facilement; c'est le job de référence qui ne nécessite pas un grand fond de capital ni un niveau intellectuel élevé.

Moi j'y suis entrée à cause de la famine ; le simple fait de voir mes 7 petites sœurs pleurés la famine, m'avait jeter dans ça; au fur et à mesure j'ai trouvé dans le piment un espoir de voir le jour (briss).

Chaque soir,je dis bien chaque soir ; je suis dehors pour une recette de 5000f max.

C'est vrai rien ne justifie mon choix;mais une fois confronté à cette vie, vous comprendrez pourquoi il ne faut pas jugé les gens sont dedans.

Moi: maman je vais au travail ! Fermé la porte ci à clés ; faut pas que le propriétaire sache que vous êtes là.

Maman : tu n'as même pas 500f là,on va boire le gari avec.

Moi:?je n'ai que 500 pour tenir, Mais prenez ;je vais me débrouiller.

Ma mère avait finit par attrapé l'anémie sévère à force de passer son h24 près d'un feu ardant pour faire cuire le maïs.

C'est le ventre vide que j'ai fait la pute ; Dieu merci l'année est bientôt finie,je vais cassé ma réunion et j'espère me lancé dans un business fructueux pour sortir ma famille de la misère.

Au lieu d'être un pilier, mon vieux est plutôt celui qui me vole mes recettes pour dilapider le tout dans les bars .