2 et 3
#morte_vivante
Chapitre 2
Cette nuit comme toute les autres, j'étais en place pour chercher un client ; c'est ainsi qu'une voiture pas possible gare devant moi; les vitres teintées descendent pour laissé entrevoir un véhicule avec un tableau de bord haute technologie.
C'est pas une voiture de Babylone ; c'est du bon.
Monsieur : c'est combien la nuit ?
Moi:(réfléchissant comment le soutiré un max )50 mil.
Monsieur : je te donne 100 mil.
J'en croyais pas mes oreilles ; toute une nuit pour 100 mil francs? J'avais pris peur,mais de l'autre côté j'avais besoin d'argent ; alors j'avais embarquer dans la voiture.
Étant à l'arrière lui à l'avant ; je le voyais me dévisager, j'étais mal à l'aise.
Le compteur c'est arrêté net devant un hôtel 5 étoiles ; un endroit où seule les grandes personnalités peuvent accéder.
Monsieur : par ici s'il vous plaît.
Je le suivait seulement sans piper mot. Je m'attendais à passer la nuit avec celui qui m'avait conduit ; mais non ,il n'était que le chauffeur du client en question.
Monsieur :boss c'est votre style ?
X: parfait ; mademoiselle prenez place. On vous a déjà dit que vous êtes magnifique?
Moi: oui oui merci.
Le monsieur était assis sur sa table avec une très belle femme ; je me demande bien qui elle est.
X:bon tu prends quelques choses avant qu'on monte ?
Moi: un cocktail s'il vous plaît.
Il avait fait signe et l'on m'avait pris ma commande ; j'avalais le jus là comme le remède,car quelque chose louche dans cette histoire.
Après avoir fini ; c'est au bras du monsieur qu'on avait rejoint la chambre, bien évidemment suivi par la femme qui l'accompagne.
Une fois dans la chambre présidentielle; le jeu pouvait commencer.
X: met toi à l'aise ; comment on te prénomme ?
Moi:chat tigre !
X: j'ai pas demandé ton nom de scène ; mais ton petit prénom, moi par exemple je m'appelle Nicolas.
Moi: Rosie
X: voilà bonne fille; elle c'est Estelle notre invité au jeu. On va passer un super moment tu vas aimer.
Je sentais que j'allais regretter d'être venue ici.
La femme en question était très calme , limite muette; j'avais enlever mes vêtements pour qu'il fasse sa chose vite mais non , Nicolas avait d'autres projets pour moi.
Nicolas : tu as déjà fait ça avec une femme ?
Moi:? femme ?non non.
Nicolas : ça tombe bien, Estelle est là pour ça. Pour le cash t'inquiète pas tu vas jouir de 500 mil cette nuit.
J'avais mal compris ou bien? ca résoudra toute mes dettes de riz , tapioca,et garnitures au quartier. Mais es-ce je vais tenir ?
#morte_vivante
Chapitre 3
Nicolas : j'ai quelques tenues sexys pour pimenter l'entrevue ; veuillez les portés mes toutes belles.
J'avais pris ma part et j'avais porté sans stress ; la femme à côté aussi.
Nicolas : venez par là ; je sens qu'on va bien s'amuser aujourd'hui.
Estelle qui semblait timide m'avait plaqué comme une joueuse de Rudy ; avant de ce servir à sa guise.
Je me suis sentie comme violé et abusé ( c'est vrai que je l'ai cherché,mais me faire violé par une lesbienne n'était pas le deal).
À 5 h j'avais déjà reçu ma paye ; et c'est toute sale que j'ai quitté l'hôtel.
De toute la journée je n'avais pas ouvert la bouche; ma mère n'était pas contente de ce que je fais comme boulot, mais ne pouvais rien m'offrir de mieux.
Vers 17h j'ai décidé de parlé pour éviter que ma mère n'angoisse d'avantage.
Moi: t'inquiète ma'a c'était juste la fatigue.
Maman : eehhh seigneur ; si seulement tu m'avais offert une bonne vie, mes enfants n'auraient pas à hypothéqué leurs vies pour me nourrir.
Moi: ne pleure pas maman ; dieu nous a abandonné depuis longtemps. Samira viens,prend les 4 mil ci tu payes nôtres dettes de riz chez le maguida.
J'avais géré la maison avec mes fesses ( pas question de déboursé un francs pour le loyer).
J'avais manqué O2 soirs le travail ; le 3 ieme soir je me rends et la même voiture était venue me proposer une autre nuit pour cette fois 1 million.
Les autres filles me jalouse alors que c'était du sale ( femme femme ?)
Vous connaissez la suite ; les détails me tues rien qu'à y penser.
En 1 mois j'avais déjà amassé assez d'argent pour sortir de la prostitution ; mais comme on dit souvent