Chapitre 6

Chapitre 6: Une Nuit Inattendue

LE POINT DE VUE DE SAMUEL

Le silence de la chambre contrastait avec l’énergie de la soirée. J’étais assis sur le lit d’Isabelle, une couverture sur les genoux, tandis qu’Elodie était partie se rafraîchir dans la salle de BAIN. L’ambiance était étrange. Je n’avais pas prévu de finir la nuit ici. Mais voir son agacement lorsqu’elle avait découvert l’absence de sa sœur… Je ne savais pas pourquoi, mais j’avais ressenti une envie soudaine de l’aider.

Je laissai échapper un soupir et balaya la pièce du regard. L’endroit était spacieux, bien rangé, avec une touche féminine qui correspondait parfaitement à l’image d’Elodie. Un lit immaculé, une coiffeuse sur laquelle étaient posés quelques produits de beauté, et une légère fragrance de vanille qui flottait dans l’air.

Tout ici portait sa marque.

Je me passai une main dans les cheveux. Pourquoi est-ce que j’avais accepté ça ? Ce n’était pas mon genre. D’habitude, je ne faisais pas ce genre de geste, surtout pour une fille que je venais à peine de rencontrer. Mais Elodie… Il y avait quelque chose chez elle.

Un mélange de douceur et de force. Elle était différente.

La porte de la salle de bain s’ouvrit, et elle réapparut, vêtue d’un simple short et d’un débardeur en coton. Ses cheveux légèrement humides retombaient en cascade sur ses épaules, et son visage, sans maquillage, semblait plus fragile, plus naturel. Elle me sourit doucement.

— Merci encore d’être resté.

Je lui rendis son sourire.

— C’est rien. Après tout, je suis bien installé.

Elle lâcha un petit rire avant d’aller vers son propre lit.

— Bonne nuit, Samuel.

Je m’allongeai sur le lit de sa sœur, me demandant comment une simple soirée avait pu prendre cette tournure. Et surtout, pourquoi je n’avais aucune envie de partir. Je fixais l’écran de mon téléphone, les yeux mi-clos, faisant mine d’être absorbé par une conversation ou une vidéo. Mais en réalité, mon esprit était ailleurs. Dans cette chambre. Avec elle.

L’image d’Elodie sous la douche me hantait. Elle n’avait pas fermé la porte. Était-ce un oubli ou une invitation silencieuse ? J’avais lutté contre l’envie de tourner la tête, de jeter un coup d’œil furtif. La tentation était là, brûlante, mais je m’étais forcé à rester figé, le regard rivé sur mon écran.

Maintenant, la pièce était plongée dans l’obscurité, à l’exception de la lumière bleutée de mon téléphone. Elodie avait éteint la sienne, mais moi, je n’en avais pas encore envie.

Je me retournai sur le côté, lui tournant le dos, cherchant une position plus confortable.

Puis, soudain, je la sentis. Une présence. Proche.

Un frisson remonta le long de ma colonne vertébrale alors que l’air se chargeait d’une tension inexplicable. Je sentis son souffle, léger, juste derrière moi. Mon corps se raidit, mes doigts se crispèrent légèrement sur mon téléphone.

Elle s’était approchée. Pourquoi ? Je fermai les yeux un instant, cherchant à calmer mon esprit en ébullition. Mon cœur battait plus vite. Devais-je dire quelque chose ? Me retourner ? Ou bien…

Attendre.

Attendre de voir jusqu’où elle oserait aller.

LE POINT DE VUE D'ELODIE

Je glissai doucement sous la couverture de Samuel, sentant la chaleur de son corps malgré le froid ambiant. Mes mouvements étaient mesurés, presque imperceptibles, pour ne pas perturber son sommeil. Je pouvais sentir sa respiration régulière et sa poitrine se soulever sous la couverture. Je restais un instant là, accrochée à ce silence, écoutant ses battements de cœur, un peu comme une mélodie familière.

Je fermai les yeux un moment, appréciant la proximité de son corps, puis, d’un geste lent, ma main se glissa sur son épaule nue, caressant doucement sa peau. Il se tourna légèrement vers moi, ses yeux à moitié ouverts, captant la lueur de son téléphone allumé. Je vis son regard se poser sur moi, mais avant qu’il ne puisse dire quoi que ce soit, je plaçai un doigt sur mes lèvres et murmurai un "shhh", signifiant qu’il n’avait pas besoin de parler. Il semblait vouloir réagir, mais je sentais qu’il comprenait le message sans que j’aie à expliquer davantage.

Je pris une inspiration discrète avant de glisser ma jambe autour de lui. J’eus un léger frisson en sentant la pression de son érection contre mes fesses . Peu à peu, je me retrouvai au-dessus de lui, assise, dominant sa silhouette dans l’ombre de la chambre. Il ne bougea pas, mais je pouvais voir l’effet que cela avait sur lui, ses muscles se tendant sous mes caresses . La position, cette proximité... tout en moi frissonnait, mais d'une excitation à peine contenue. Samuel n’avait aucune idée de ce qui se passait dans mon esprit, mais il ressentait sans doute la même tension, ce mélange de désir et de non-dits qui flottait dans l’air. Il était à ma merci, et moi, j’étais bien décidée à faire durer cet instant.

Je m'abaisse lentement vers Samuel, mes lèvres frôlant les siennes, à peine un souffle entre nous. Je sens son souffle se précipiter, son corps réagissant déjà à cette proximité. Avant qu'il ne puisse vraiment répondre, je retire mes lèvres, juste un instant, pour l'éloigner de ce moment, comme une promesse suspendue. Je le regarde, un sourire discret aux coins des lèvres, appréciant l'incertitude dans son regard. J’avais toujours aimé cette sensation de laisser un homme en attente, de le rendre fou de désir sans qu’il ne sache vraiment ce qui allait suivre.

Je pose une main sur son torse, ma peau effleurant la sienne, sentant la chaleur brûlante de son corps sous mes doigts. J'embrasse la ligne de ses muscles, traçant des cercles lents avec mes doigts, le caressant de manière presque hypnotique. Je remarque la manière dont sa peau frissonne, comme s'il était sous mon contrôle, tout en étant à la merci de ce que j'avais décidé de faire. Ses muscles se tendent sous mes caresses, et je laisse mon regard plonger dans le sien, m’amusant de l'effet que j'ai sur lui.

Puis, je m'abaisse à nouveau, cette fois pour reprendre ce baiser que j'avais interrompu. Mes lèvres se posent doucement sur les siennes, mais cette fois-ci, je me permets de le savourer pleinement. Le goût de sa peau, la douceur de ses lèvres, tout est encore plus intense maintenant que j’ai capté son désir. Il répond enfin, avec plus d'empressement, comme s'il avait attendu ce moment. Mais je savais qu'il en voulait plus, et j'avais l'intention de lui donner ce qu'il attendait… mais à ma manière, lentement, au rythme de mes envies.

Une fois que je l'ai senti prêt. J'ai retiré mon strings et mon soutiens-gorge d'un geste lent faisant frôler mes cheveux. Ensuite je m'abaisse pour élever sa ceinture en tirant sa fermeture pour rencontrer sa queue dure et enragé. Il était visiblement impatient de me pénétré. Toujours assise au dessus de lui, je prélève une quantité de salive que je passe entre ma vulve ensuite le reste sur la circonférence tendu de Samuel. Je me redresse en m'assoie lentement sur sa queue, et lorsque je l'ai senti en profondeur de moi. J'ai gémis. « ahh... Putains !! »

Je ne savais pas qu'il me ferait temps mal et bien à la fois.

Je me suis mise à déhanché sur son érections. J'allais et je remontais ma mais était posée sur son torse et mes fesses claquaient « pka... pka... pka... pka... » contre lui. Son visage était humide et je me lèches les lèvres à cause du plaisir enivrant qui me parcourait. Je faisais des tour circulaire sur lui. J'incline m'a tête en arrière pour prendre du souffle parce que j'étais en manque.

Il m'a valser sur le côté pour prendre le dessus sur moi. Attrapant mes jambes en l'air. Puis il me donne des coups de fessées pendants qu'il me pilait. Pendant un instant j'ai senti mes jambes trembler sans que je puisse prendre le contrôle. Il me secouait littéralement.

Et pendant je cherchais à respirer et que je n'arrivais pas, pendant que je cherchais à reprendre ma tête et que je me perdais encore plus, un grognements d'animal sortit de sa gorge « ahhh ouuhhh ouaihh » et je sus qu'il avait atteint son apogée.

Il se s'inclina sur moi. Et ma poitrine se soulève à un rythme frénétique.