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03

Chapitre 3: Cydonie

Ma petite soeur: je ne comprends pas, comment tu peux aimer aller prendre un verre en terrasse toute seule.

Moi: pour la simple et bonne raison que tu es parfois invivable et que j’ai besoin de boire et de décompresser toute seule

Je lui tire la langue en souriant, elle fait de même.

Moi(en sortant de notre studio): bisou à plus tard

Nanou: bye !

Trente minutes plus tard, j’étais assise dans un petit pub du centre ville de Lyon. Il n’y avais pas grand monde d’ailleurs. Mais vingts minutes après, un grand baraqué avec une touffe de cheveux énorme et métisse vint s’asseoir sur la table en face de moi sans me lâcher du regard. Je n’étais pas du genre à détourner les yeux lorsqu’on me fixait, alors de mon côté, je le fixais intensément aussi.

Une serveuse vint à sa table lui demander ce qu’il prenait de la carte et alors qu’elle s’en alla, il se leva, se dirigea en ma direction et s’adressa à moi

Lui: excusez-moi, je sais pas si vous allez partager mon avis…

Moi: quoi donc ?

Lui: mais je trouve ça dommage de se manger ainsi du regard à distance, du coup ça vous dérange si je suis à un mettre de vous et que l’on continue ?

J’éclate de rire en ramenant une mèche de mon tissage derrière mon oreille droite.

Moi: prenez place.

Lui(en tirant la chaise): super, merci

Il s’assit avec tant d’engouement qu’un énorme sourire resta greffé sur mes lèvres.

Lui(en souriant et en me fixant toujours dans le blanc des yeux): comment allez vous aujourd’hui ?

Moi: ça va, impeccable et vous ?

Lui: idem, impeccable et paisible mais pour tout vous dire, maintenant que je suis assis en face de vous, cette journée est un peu plus radieuse.

Je souris, il pose ses bras sur la table, se penche légèrement vers moi et rajoute

Lui(un tantinet sérieux et avec une voix suave): vous avez un sourire magnifique.

Je n’ai pas répondu, je me suis mise aussi à le regarder intensément.

Moi: je peux être honnête avec vous ?

Lui(il se redresse): je n’en attends pas moins de votre part

Moi: j’ai horreur des compliments

Lui(en faisant une grimace): aie, my bad !!!

Moi: je vous pardonne pour cette fois ci car vous l’ignoriez

Lui: « cette fois- ci » ? donc ça veut dire que nous sommes amenés à nous revoir ?

Moi: si vous ne me refaite aucun compliment, ça se pourrait ….

Lui: je peux également être (il pose une main sur sa poitrine) sincère ?

J’opine du chef,

Lui: la plus part du temps, je dis ce que je pense

Moi: bien

Lui: à haute et intelligible voix

Moi: ok

Lui: vous me permettez au moins cela ?

Moi: bien sur, allez y

Lui: je me très trouve beau, j’aime beaucoup mon sourire et mon teint…. Rholalala, je le trouve radieux et splendide !!!!

Puis j’éclate de rire ….

J’avais compris la tournure de ses phrases. En effet, voulant me faire des compliments mais au risque de m’offusquer il préférait parler de ce qu’il appréciait chez moi en parlant de lui. Je dois dire que j’appréciais son personnage : drôle, marrant, habile dans sa manière de parler et surtout naturel.

Lui: je suis sincère

Moi(avec un large sourire): et je n’en doute point

Lui: tant pis si je passe pour un narcissique

Moi : ce n’est pas le cas

Lui: tant mieux. vous habitez dans le coin ?

Moi: champvert et vous ?

Lui: dans le 4ième arrondissement , vous deviez rencontré quelqu’un ici ?

Moi: non du tout, pourquoi ?

Lui: rien de particulier si ce n’est curieux de vous voir assise toute seule je dois avouer

Moi: je peux vous retourner la remarque dans ce cas

Lui: vous marquez un point, demandez-moi ce que vous voulez à présent

Moi: hahaha, et si je n’ai rien à vous demander ?

Lui: ça m’attristerait car ça voudrait dire que je ne vous intéresse pas

Moi: si c’était le cas, vous ne seriez pas assis en face de moi et nous n’aurions pas cet échange

Il arqua un sourcil et ses yeux se mirent à scintiller

Lui: pufffff, c’est fous ça, qu’est-ce que j’aime le son de ma voix et discuter avec moi-même

Moi: krkrkrkr, à cette allure vous allez tomber amoureux de vous !

Lui: alors là, vous ne croyez pas si bien dire.

Nous éclatons de rire ensemble et toujours ses yeux plongés dans les miens et inversement. Nous étions détendu tous les deux et l’atmosphère qu’il avait créé depuis sa présence était agréable. Moi qui avait horreur d’être abordée en rue et qui rembarrait toujours ceux qui avaient le malheur de s’approcher. Il m’avait mise à l’aise. Je dirais même que je n’avais pas envie que ça s’arrête.

C’est ainsi que nous avons discuté pendant deux heures de temps puis le lendemain il m’invita au cinéma sauf que je me suis ramenée avec deux heures de retard.

Moi(quand j’arrive à sa rencontre): navrée, vraiment navrée marque Marc, ma soeur a fait n’importe quoi avec la machine à lavée, j’ai du appeler un dépanneur, le temps de gérer ça et de venir jusqu’ici… je te jure c’était galère

Lui: mais tu es venue

Moi: oui.

Lui: c’est l’essentiel. On y va le deuxième séance commence dans 30 minutes ?

Moi: yeah

Et nous sommes allées voir…. SamSam au cinéma. Oui le dessin animé Samsam, le plus petit des grands héros. Il m’avait dit être tombé sur ça un jour devant sa télé et avait apprécié ce vaillant petit héros de l’espace qui tenait tête au harassant Marchel Premier cha majesté incontesté. Ensuite petit restaurant et il me raccompagna chez moi. En milieu de semaine, il m’invita à prendre un verre juste après le boulot.

Il avait 30 ans, j’en avais 25. Il était comptable et moi aussi. Il avait deux petits frères, un père et une mère. Moi j’avais une petite soeur avec qui j’étais en collocation ainsi qu’un père vivant qui vivait au bled (Sénégal).

Après ce rencard du mercredi, il me proposa de le rejoindre avec sa bande au villacottage pour un week-end. Il s’agissait d’un site avec des cottages et des villas privées dans lequel on pouvait se faire des bails entre amis. Nous étions 8, 5 garçons pour quatre filles. Et une fois de plus, j’ai passé un excellent moment, avec lui, entourée de ses plus proches amis et des compagnes de trois d’entre eux.

Ce que je ne savais pas à ce moment, c’est qu’avant que ça ne devienne sérieux entre nous, il voulait que je côtoie son entourage et observer comment je me comportais avec eux mais aussi avec lui en leur présence. Mais au delà de ça, de mon côté, Marc m’est apparue avec une personnalité encore plus belle.

Cynthia, cousine de Léa qui était la copine à son ami Léo, se foula la cheville le samedi soir, lors de notre dernière soirée. Ils voulaient rentrer sur Lyon et ajourner le week-end à quelque heures près mais Marc s’est dévoué pour accompagner la blessée dans l’hôpital le plus proche afin qu’elle soit prise en charge et que ses amis continuent de faire la fête. Tous les garçons voulaient y aller avec lui et les filles voulaient suivent leur petit copain, ce qui revenait au même. Écourter le week-end. Alors Marc s’en tint et décida d’y aller tout seul quand même.

Bien évidement, je partis avec lui, mais son sens du sacrifice à ce moment là me frappa et des sentiments naquirent.

Nous nous fréquentions depuis deux mois maintenant mais il n’y avait rien d’officiel. Pas une fois, il n’avait tenté de m’embrasser et encore moins d’aller loin. Mais il y avait énormément d’attirance entre nous. On se contentait de se voir, de se parler au téléphone et de s’embêter… surtout lui. Puis un week-end ma petite soeur prenait ses 19 ans et elle avait réquisitionner l’appartement pour chiller avec ses amies. Du coup elle me mit à la porte.

Moi: et s’il te plaît, je me dois de prendre mes dispositions pour jeudi soir, car le vendredi après les cours elles arrivent toutes et je n’aurais plus accès à l’appartement.

Lui: hahaha mais pourquoi tu paniques, nous ne sommes que mardi, il te reste encore demain soir pour y réfléchir très sérieusement

Moi: lol, mais j’ai déjà contacté une amie…. Je dors chez elle jusqu’à samedi, son mec arrive le soir alors je dois me démerder pour trouver où dormir dans la nuit du samedi

Lui: je peux te laisser tout mon appartement pour le week-end et aller crécher chez des amis si tu veux. Ça ne me dérange nullement.

Moi: c’est sympa mais je ne veux pas te chasser de chez toi à cause des caprices de ma soeur.

Lui: et moi te laisser en plan pour le week-end

Moi: tu vas être sage si j’accepte ?

Nous parlions par video sur whatssap, je le voyais de profil sur l’écran, il regardait la télé et parlait en même temps avec moi. Mais après ma question; il a tourné le visage dans ma direction, m’a fixé 5 secondes, puis regarda droit de vent lui.

Lui(soulevant son marcel comme s’il y avait une poussière dessus): et si je n’ai pas envie ?

Moi: je posais juste une question

Lui: comme je te pose la mienne

Moi: et depuis quand tu réponds à une question par une question ?

Il tourne encore le visage vers moi, mieux il prends son téléphone et le met direct en face de son visage

Lui: ça dépend de toi….

Moi:

Lui: tout dépend de toi

Moi:

Lui: si tu veux que je sois sage je le serai… mais si tu souhaites le contraire

Il place une main derrière sa tête

Moi: si je souhaites le contraire ?

Lui: ça peut se négocier, je ne veux pas me vendre moins chère

J’éclate de rire….. qu’est-ce qu’il peut être bête des fois

> le week-end en question <

le vendredi, il passe me chercher au boulot, et d’un commun accord on décide de faire à manger du coup nous allons faire des courses. Ce sera Tacos ce soir. Puis nous arrivons chez lui. C’est la première fois que j’arrivais dans sa tanière. Et il était plus que bordélique

Moi: t’aurai au moins pu faire l’effort

Lui: je t’assure que c’est rangé là

Moi: lol, je peux prendre une douche avant de commencer ?

Lui: mettez-vous à votre aise mademoiselle Cyd.

J’ai filé à la douche et à mon retour, la planche de travail était prête ! Il coupait les condiments et moi je m’attaquais à la viande.

>>> Une heure plus tard

Moi: hahaha, c’est faux

Lui:je te jure et mon père dit à ma mère : « ben ça leur fait une expérience Sylvie, au moins on sait qu’ils ne sont pas homo »

Moi: Kia Kia Kia Kia

Lui: ma mère voulait les trucider tous les trois non…. Nous 4 y compris moi car elle n’a pas compris pourquoi mes petits frère se tapaient la même nana dans une des chambres dans sa maison tandis que moi j’étais au salon.

Il aimait me parlait de sa famille. A chaque échange que nous avions, il me racontait toujours une anecdote familiale et terminait par dire : « si un jour tu les rencontres ….. ». J’aimais passer du temps avec cet homme et même s’il n’y avait jamais eu de rapprochement, l’attraction physique était palpable entre nous !

On termine de manger, on nettoie sa cuisine. Puis place au jeux. C’était une de ses activités préférées en plus des jeux vidéo, il aimait les jeux de carte et de société. C’était un vrai féru. Et il en avait de toute sortes chez lui et en jouait parfois avec ses deux petits frères sur whatssap. Ce soir là, On commença par jouer au Monopoly puis au Uno. Il était une heure du matin quand on décida d’aller dormir. Il s’était installer au salon pour me laisser sa chambre.

Le lendemain matin, nous fîmes un footing ensemble, on fit la cuisine pour manger le midi. Après quoi c’était repos

Lui: je suis désolé mais il me faut toujours une demi-heure de repos après le repas surtout quand je suis chez moi et que c’est le week-end

Moi: ne t’en fais pas, je comprends, tu peux t’installer dans ta chambre pour mieux te reposer moi pendant ce temps je vais regarder les feuilletons de TF1

Lui: à toute …

Moi: ok

Puis il disparut dans le couloir mais me rappela deux minutes après depuis la chambre

Lui: Cyyyyydooniiiie ?

Moi(en arrivant): yeah ?

Il indexe le lit où il y avait étalé un string à moi

Moi(en allant le prendre): oup’s

Lui(tout sourire): mais je t’en prie

Moi: et ne crois surtout pas que j’ai fais ça exprès hein

Je le prends

Lui: et pourquoi (il s’allonge sur le lit) penserais-je une telle chose venait de toi ?

Il est allongé sur le dos et passe une main derrière sa tête et l’autre la pose sur son torse

Moi(me tenant toujours debout devant le lit):

Lui: hein pourquoi ?

Moi:

Lui: qu’es-ce qu’il y a ?

Moi:

Lui: tu as perdu ta langue ?

Moi: non

Lui: bah alors… pourquoi ne réponds tu pas à mes questions ?

Moi: peut être parce qu’il y a autre chose qui me trotte dans la tête

Lui: et quelle est t’elle ?

Moi: ne préférais-tu pas plutôt que je te montre

Lui: à toi d’en juger. Si tu estimes que le message passerait mieux par la vue que par l’ouïe, tu as toute mon attention.

Moi: par contre, j’hésite car je ne sais pas si c’est une bonne idée

Lui: d’après qui ? Toi ou moi ?

Moi: un peu des deux

Lui: mais encore ?

Moi: ça me gêne de me tenir autant

Lui: je t’ai dis que tu étais ici chez toi Cyd (il passe les deux mains sous sa tête cette fois ci) alors ne te gêne de rien entre ses quatre murs.

Moi: tu es sure de toi ?

Lui: aussi sûre (il ferme les yeux deux secondes) aussi sûre que je m’appelle Marc et que je suis né un 8 janvier 1988

Moi: ok…. Dans ce cas

J’ai jeté mon string par terre, je suis montée sur le lit à quatre patte en avançant vers et sur lui. Il ne changea pas de posture et l’expression de son visage ne changea pas également. Comme si mon élan ne l’étonnait pas. J’avance toujours, je suis au niveau de ses jambes, de son bassin, son ventre, torse puis enfin j’arrive au niveau de son visage.

Ses mains soutenaient encore sa tête, ses yeux accrochés aux miens

Moi: si ce que je fais te gêne prévient moi…. Et je m’arrête de suite

Il pouffa tout en ayant un sourire accroché au coin des lèvres. C’est la seule réaction qu’il eut. Je me suis donc penchée un peu plus pour l’embrasser …. J’ai déposé mes lèvres sur lui, aucune réaction de sa part, puis un smack, rien, un autre mais plus prononce, toujours rien. Le mec avait même les yeux ouverts. Et alors que je m’apprêtais à approfondir notre baiser, le lit se mit à vibrer.

On a été surpris et interrompus. Et alors que je souhaitais me redresser, son bras quitta sa nuque d’une rapidité pour me rattraper par l’avant-bras,

Lui: ne.bouge.pas

C’était clairement un ordre. Je me suis exécutée. Toujours au dessus de lui et lui en dessous de moi, il prit son portable qui était dans la poche de son bermuda et coupa l’appel

Moi: tu ne regardes même pas qui t’appelle ?

Lui: ça peut et ça va attendre !

Moi: mais il peut être important

Lui: et moi je ne suis pas disposé à répondre, alors il ou elle va attendre que je le sois.

Sur le même ton autoritaire. Et toujours sans regarder son portable, je l’ai vus maintenir sur une touche pour l’éteindre. Bon, je sais pas trop qui j’ai réveillé mais il n’avait plus rien à voir avec le Marc que je connaissais depuis d’un peu plus de deux mois. Il posa le portable sur le chevet et cette même main, je la sentis sur ma fesse gauche.

Il la caressa de par et d’autre et dis

Lui: alors c’était tout ?

Ce qui m’amusa

Moi(tout sourire): bien sûr (sur ses lèvres) que non

J’ai saisi ses lèvres, nous nous sommes embrassés, sensuellement, j’eux la très nette impression que ce baiser il le désirait autant que moi. Sa main souleva enfin une partie de ma robe puis il eut un contacte direct avec ma fesse. Il s’y agrippa, la fessa et la passa dans la fente.

Lui: ficelle ? C’est que madame ne joue pas dans la dentelle !!!

Moi: évidemment

Je me suis levée et tenue debout sur le lit au dessus de lui, j’ai retiré ma robe en me suis retrouvé avec mon bout de ficelle poitrine en l’air.

Lui: la vue est géniiiiiiiale

J’ai voulus me remettre comme avant, mais il me saisit par le bas du dos et bloqua mon entrejambe devant son visage. Il s’est agrippé à mes fesses et juste avec ses dents et sa langue, mais vraiment juste avec ça. Il parvint à décaler mon string et à avoir accès à mon entre.

La prouesse me mis en émoi, je me suis appuyée sur le mur une première fois et ensuite sur la tête de lit pendant qu’il dégustait clitoris, lèvres et intérieur de ma cave. Au bout d’une minute, je bougeais le bassin et lui me faisait l’amour avec sa langue. Il me serrait fort contre son visage. Au bout de 5 minutes, je décide de passer un cran au dessus. Je tourne juste et descends à mon tour pour m’occuper de lui.

=> Position 69

Je retire son bas, caresse son beau membre à travers son boxer puis retire ce dernier, et la majesté se dressa devant mon visage. Je le mis en bouche tout de suite. Le gland, le corps…. Je fis un énorme effort pour que tout rentre, sans grand succès mais j’y étais presque. Après cette gorge profonde, je me servis de sa pré-semence comme lubrifiant pour que ma main glisse sur l’entièreté de sa verge aisément, puis je la remis en bouche, touchait ses boules en même temps. Le mouvement de ma bouche étai plus rythmé et cadencé.

soudain, j’entendis le bruit d’un paquet qui se déchire, il mit un préservatif et toujours au dessus de lui . Dos tourné, torse tourné devant mais visage tourné vers lui, main posé sur ses genoux.

=> CowGirl

j’avais le contrôle, du rythme, de la fréquence donc du plaisir. Au tout début, je comptais faire rentrer son pénis en moi, centimètre par centimètre en m’assaillant sur lui avec lenteur. Il voulait me tenir par les hanches

Moi: nope ….. contrôla !!!

Lui(en souriant):ok, go pretty girl !!!!!

Quand la fusion eut lieu, et que son membre commença a rentré, j’eus un petit moment d’hésitation car il me fallait encaisser sa verge mais pas question de perdre la face. Sa majesté continuée son bout de chemin et arrivé tout en moi, j’ai soupiré d’aise.

Moi: awww

Lui d’ailleurs avec un « hum » à peine audible mais assez pour que j’entende. Puis j’ai commencé à remuer le bassin, juste ça. Je me suis penchée un peu plus et j’ai tenu ses chevilles. Je tournais, encore et encore et encore et encore mes reins. J’ai plié mes jambes, mis les mains sur la tête et j’ai continué à débouler mes hanches avec plus d’entrain

Lui: hummm

Je me devais d’honorer mon ethnie, une punu se devait de tourner les reins convenablement !

Ensuite je me suis tenue à quattre pâtes et cette fois si, je montais et descendais, je contractais mon périnée pour qu’il ait constamment cette sensation « serrer » et pour finir, je bougeais les fesses vites et bien, car il avait la vie sur ça et je savais par expérience que c’était excitant.

Lui: damn… oh yes

Il me donna une fessée, ce qui me donna de l’entrain pour continuer à le chevaucher. Puis il se mit à bouger son bassin et c’est moi qui commença à gémir. Je me suis allongée sur lui, il souleva mes jambes et il me tannait, violent.

=>L’union du crabe.

j’allais jouir et lui aussi je pense

Lui(se parlant tout seule): non pas encore, pas maintenant.

On s’est mis début, nous sommes sortis du lit, je ne savais pas trop ce qu’il voulait faire, mais il se mit net derrière prêt, je me suis automatiquement penchée sur le lit.

Lui: tient toi fermement dessus

Moi: ok

Il fit rentré sa queue, me souleva une jambe, du coup je le sentais à la perfection. Bien au fond, je me sentais bien, il me faisait du bien, il me donna une énième fessée puis il prit mon autre jambe, me tint par le bassin et me tannait.

=> La grande Ourse

Moi: awww……awwww….awww….awwwwwwwww !!

Lui: aww !

Nous jouâmes presque au même moment. Il posa mes pieds délicatement au sol, et pendant qu’il retira son préservatif et alla le jeter dans les toilettes, je me suis allongée sur le lit, à bout de souffle. Lorsque je fais monter la paire de drap sur moi, il revient dans la chambre

Lui: ça va ?

Moi: impeccable et toi ?

Lui: j’ai sommeil

On rigole ensemble

Lui: et vider en même temps

Il s’allonge près de moi

Moi: c’est peu de le dire, on vient de faire l’amour mais t’a aimé ?

Il se rapproche de moi, soulève ma tête, pose son bras et moi je viens déposer ma tête dessus. Il soupire un coup en regardant le plafond puis tourne le visage vers moi

Lui: je confirme tu es une vrai punu (ethnie du Sud du Gabon, reconnu pour avoir une population au coup de rein inégalable)

Je rigole à grand éclat. C’est peut de le dire car mon rire résonne dans la pièce. Mon visage c’était détourné de lui le temps de mon éclat et lorsque mes yeux tombèrent à nouveaux sur le sien. Il me regarda comme il ne l’avait jamais fait auparavant. Il déposé sa main disponible sur ma nuque, rapprocha ma tête de sa bouche et me donna un baiser sur le front. Ensuite cola nos fronts ! Et me dis

Lui: j’espère que tu sais que t’es à moi maintenant.

Ce moment marqua donc le début de notre relation. Une relation équilibrée et saine. Car Marc était du genre grand deconneur, titillant mais à la fois autoritaire qui n’aimait pas trop que je fasse le contraire de ce qu’il me disait. Comme par exemple fréquenter une collègue de travail que j’affectionnais tout particulièrement. Jasmine(pas notre héroïne). Il me disait à chaque fois « cette meuf, je ne la sens pas ». Mais aussi, Marc me poussait à me dépasser. Avant de le connaître, j’étais une fille assez routinière, puis il me fit connaitre sa bande, un week-end sur trois nous étions dans une autre ville que Lyon. Au travail, avant, je me contentais des tâches qu’on me donnait, puis il me poussa à « oser » et aujourd’hui, les retours de ma supérieurs hiérarchiques, de l’audace dont je faisais preuve, ont commencé a faire échos à mon N+4. C’est à dire au directeur du cabinet.

Il était à la fois un petit copain, un frère, mon pote, mon meilleur ami car je me confiais énormément à lui. La moindre crainte, inquiétude. Il me soutenait, quand mon père est tombé malade et que je devais aller au Sénégal, il a non seulement payé mon billet d’avion allé et retour, mais il a pris soin de ma petite soeur pendant trois semaines. J’avais un salaire, donc un revenu tous les mois mais il prenait soin de moi, payait certaines de mes factures, me faisait les courses chaque moi et le plus surprenant. C’est qu’après un an de relation il me présenta à ses parents puis l’année scolaire qui suivit, il m’aida à payer une partie de la scolarité de ma petite soeur.

Nous avions des prises de bec, des tensions comme dans tous les couples. Il me soûlait dès qu’il me prenait la tête si je n’obéissais pas à une recommandation et me gavait aussi quand il jouait au têtu avec moi. Mais au combien je l’aimais cet homme. Nous allions nous mariez, je ne savais pas très bien quand mais étant donné que ces parents étaient très religieux, je savais qu’il allait faire les choses en bonne et due forme avec moi. J’étais heureuse à ses côtés et lui auprès de moi.

Puis vint son affectation à Paris, je n’aimais pas trop cette ville, voir pas du tout. Et j’étais plus qu’agacer de quitter mon travail, ma petite soeur et cette ville tendre à mon coeur. Mais c’était aussi ça la vie de couple, tout quitter pour l’homme qu’on aime.

J’ai donc décidé de profiter au maximum de ma ville chérie avant de partir. Trois fois par semaine je sortais avec des collègue de travail pour aller prendre un verre, surtout avec Jasmine qui était toujours partante. Il m’arrivait aussi d’aller en boîte avec ma soeur et ses copines, juste pour profiter.

Ce qui n’était pas du goût de Marc, et créait des tensions entre nous. Mais je n’avais pas envie d’être résonner, ni compréhensive et encore moins censée alors je continuais de sortir mais cette fois ci en cachette, en mentant. De toutes les façons il ne saura rien. On partira à Paris, ni vus ni connue et je m’assurerai toujours de garder mes virées nocturnes secrètes .

>>>> 3 mois plus tard

Docteur: vous êtes bien enceinte madame

Moi: docteur retirer-moi cette chose !!!!

>>>> Deux semaines plus tard

Nanou: désolée grande soeur, sniiiffff je ne savais pas qu’il n’était pas au courant que tu étais enceinte

Moi(tremblante): il est où ?

Nanou: dans ta chambre

Moi: ok, sors un moment…. Va chez une de tes amies et tant que je ne t’ai pas dis de revenir, ne remets les pieds ici

Il acquiesce pour dire oui. Et ce n’est qu’après qu’elle soit partie que j’ai enjambé le pas pour aller le rejoindre dans la chambre mais il vint à moi.

Marc: j’ai pas envie de discuter dans l’état actuel où je me trouve. Ça vaut mieux pour toi comme pour moi

Moi:

Marc: je vais juste te poser une question et tu as tout interêt à me répondre avec la plus grande sincérité dont tu fais preuve !

Moi:

Marc: est-ce qu’on se comprends ?

Je dis oui de la tête

Marc: il était de moi ?

Moi: je me….je me…je me…je

Marc: PARLE CYDONIE !

J’ai tremblé, non je n’avais pas la force

Moi: snifff…. Oui il est de toi

Je me suis écroulée de pleur,

Moi: je te demande pardon

Marc: mais alors pourquoi avoir fait une chose pareille ?

Moi(les larmes aux yeux): je te demande tellement pardon Marc…. sniiiiiffff, pardon, pour tout…..

Marc: pourquoi ??? bon sang ????? Pourquoi ???

Moi: le déménagement…. Paris….tout ça, ce bébé n’arrivait pas au bon moment.

Il eut un silence. Et je me suis mise à pleurer de plus belle. Lorsqu’il sortit de l’appartement, il n’était plus le même, notre relation n’avais plus la même intensité. À chaque fois qu’il me demandait « pourquoi », je n’avais pas la force de lui dire la vérité alors je sortais un ramassis de mensonges. Qu’il y croyait ou pas, ça n’avait pas d’importance, mais je n’avais pas la force de lui dire la vérité. En tout cas pas encore.

Puis il est partit à Paris et mon homme me manquait énormément. Je me rendais compte combien de fois il donnait un sens à ma vie, que je ne voulais pas le perdre. Et que j’ai tout gâché

Moi: sniiiifff, je t’aime tellement, je ne veux pas te perdre

Lui:

Moi: vraiment, je ne le veux pas. Tout ce qu’on a construit. sniiiiiif, je m’en veux de l’avoir détruit à cause d’une connerie or à ce moment je pensais bien faire. Mais bae, personne n’est parfait et je m’en veux cruellement pour ce que j’ai fait. On aura d’autres enfants ! on en aura d’autres bébé pour peu qu’on se redonne une chance.

Lui: je t’aime aussi Cyd, tu es ma femme, oui. Mais j’ai encore besoin de temps.

Moi: tu me promets qu’il n’y a personne d’autre que moi ?

Lui: Cyd ….

Moi: ok, ok…. Je retire ce que j’ai dis. Dans ce cas je te souhaite une bonne soirée. Tu me rappelles ?

Lui: si j’en ressens le besoin.

Moi: tu me fais ça dur bébé.

Lui: bonne nuit Cyd

Moi: bonne nuit, love you

Un mois après je n’avais toujours pas reçu d’appel ou de message de sa part, alors le week-end je pris un train direction Paris. Je n’en pouvais plus de cette situation, de cette distance. Il devait et pouvait me pardonner et je comptais bien y arriver ! Ce week-end en tout cas. J’arrive à la Gare de Lyon sur Paris, il est 22 heures. Je cherche mon portable que je ne trouve pas, mon porte-monnaie que je ne trouve pas non plus….on me les avait voler.

Sur le coup je me mets à pleurer, car je me sentais non seulement comme une merde mais il était tard pour prendre un train pour rentrer chez moi et je n’avais aucun moyen de payer un hôtel pour la nuit et même un taxi pour m’y rendre. Ni mon téléphone pour voir si un de mes contacts connaissait quelqu’un qui pouvait m’héberger jusqu’à demain et l’idée de refaire toutes mes pièces que contenaient mon porte-monnaie, ainsi que ma carte de crédit dans les mains d’un malfrat qui avait le temps de l’utiliser etc. Ça faisait bcp sur le coup. Je m’assis sur un banc et j’ai pleuré tout en me lamentant.

Voix au dessus de moi: mademoiselle, vous allez bien ?

Je bouge la tête pour dire non

Lui: que vous arrive t-il ?

Je pleure encore plus

J’entends des mouvements de sac puis d’un paquet et il me tendit un mouchoir

Lui: tenez

Je le pris mais ne l’utilisa pas, je ne fis que pleurer

Lui: dans quelle mesure je peux vous aidez ?

J’ai enfin levé ma tête et il s’agissait d’un jeune homme, le bleu de ses yeux me frappa direct car on aurait dit l’océan.

Moi(j’utilise enfin son mouchoir): je me suis faite voler portable et porte-feuille

Lui(en faisant la grimace): ouch

Moi; je vis sur Lyon, et je suis bloquée à Paris sans possibilité de rentrer chez moi et même de contacter l’amis que je suis voir

Lui(il sortir son portable): vous avez son numéro, on va le contacter pour le prévenir que vous êtes arrivée mais que ….

Moi(le coupant): il sait pas que j’arrive, c’était censé être une surprise qui se transforme en cauchemar total pour moi et pour répondre à votre question, non je ne l’ai pas mémorisé

Lui: hummm c’est pas grave, vous savez où il vit ?

Je dis oui de la tête, ensuite

Moi: eh merde…. Son adresse était enregistré dans mon portable ! Lui non plus je ne l’avais pas enregistré et comme je ne suis pas du coin ben pas facile. putain ! Je suis dans la merde

J’ai les larmes qui me montent encore

Lui: du calme… du calme, ne vous affolez pas, il y a une solution à tout problème et de toutes les façons, je ne vais pas vous laissez tomber.

Moi: sniiiiiiffff

Lui: je peux vous prendre un hôtel pour dormir cette nuit et vous prendre le prochain train pour Lyon aussi.

Son geste m’a tellement secouée que je me suis arrêtée de pleurer

Moi: vous feriez ça ?

Lui: oui, bien sûr. Comme je le disais, je vais pas vous abandonner comme ça

Moi: alors que vous ne me connaissez pas ?

Lui: si j’étais dans votre situation j’aurais aimé qu’on me vienne en aide, alors (il hausse les épaules tout sourire- il eut des fossettes qui apparaissèrent-): dite vous simplement que je suis votre bon samaritain

Moi: vous ne connaissez même pas mon prénom

Lui(en tendant sa main): Moi c’est Maxime et vous ?

Comming soon

Chapitre 5 : Maxime Milieu

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