02
Marc
Moi(m’adressant violemment à lui): tenir la porte à une femme, la courtoisie qui s’impose pour ne pas passer avant elle, la galanterie toussa, toussa, tu connais oùùù ?
Lui(sur un ton calme en regardant devant lui): oui bien sûr que je connais mais elle est exclusivement réservée aux femmes ……
Il s’arrête, tourne la tête vers moi, me dévisage et rajoute
Lui: et non aux sauvageonnes et impolies comme toi.
Moi: pufffff, je ne réponds pas aux personnes que je qualifie de stupide.
Lui: et ben crois le ou non, de nous deux le moins roublard c’est bien toi.
Moi: parce tu penses que c’est malin de mépriser une femme ? Franchement honte à toi
Lui: non, la malpolie c’est toi une fois de plus parce que TU PENSES avoir le monopole de la répartie et tu es assez bête de croire que tu vas être insolente envers les gens et puis on va te regarder parce que quand tu mets les habits ça se bombe un peu derrière.
Grâce pousse un bref éclat de rire, avant de mettre sa main devant la bouche.
Lui: c’est pas ta faute, ceux qui sont montés sur toi t’ont donnée trop de confiance. Ce que je peux te donner comme conseil, c’est de te trouver un homme bien ! Qui va te dresser parce qu’à ton stade, il est trop tard pour parler d'éducation.
Moi: tu as vus que je ressemble à un animal, peut être ?
Lui(de manière détaché): quand tu ouvres la bouche, on peut t’assimiler à une espèce bien particulière, oui. (me souriant de manière narquoise cette fois ci) Tu veux que je te dise laquelle ?
Moi(m’approchant de lui): mais tu te fous même de la gueule de qui, toi là….
Grâce est venue se mettre devant moi
Elle: Jasmine, stp, c’est bon. On monte !
J’avais les nerfs, mais vraiment ! J’avais envie de lui jeter mon portable au visage. Si on pouvait tuer quelqu’un juste en le regardant. Son enterrement se serait déroulé à la fin de la semaine. Le pire c’est qu’il affichait un sourire mesquin et exaspérant.
Moi: toi je te croise quelque part, change de trottoir seulement
Est-ce qu’il m’a même répondue ? Son téléphone à sonner et en décrochant, sa mine et sa voix avaient complètement changé. Il était devenu très sérieux.
Lui: allô ?
Grâce et moi on montent au deuxième étage, et mes nerfs sont tendus. Faut vraiment pas qu’un autre branleur m’exaspère ce soir, sinon je vais exploser.
On arrive devant sa porte, qui était entrouverte et l’on est accueillis par l’hôte
Clément: hey les filles bienvenue (en me regardant) wahouuuu Jasmine, tu es canon dans cette robe
Moi: hum
Grâce: elle voulait dire « merci » (lui tendant la main) moi c’est Grâce sa pote
Clément: enchanté grâce, Clément, son collègue de bureau
Grâce: enchantée.
> Marc <
Elle(au téléphone): on peut discuter ?
Moi: Cyd , pas maintenant, pas ce soir.
Cyd: pourquoi j’ai l’impression que c’est jamais le moment avec toi Marc ? Ça fait des mois que je te cours après
Moi: peut être parce que tu as fauté et que ça me reste toujours en travers de la gorge.
Cyd: et je me suis excusée Marc, à mainte reprises
Moi: je te signale que je réponds à tes messages, à tes appels. Or rien ne m’y oblige.
Cyd: Tu veux dire que tu ne m’as pas pardonnée même après que je t’ai laissé respiré ces 3 semaines?
Moi: je veux dire que la pilule n’est pas encore passée depuis ta trahison, ce qui veut dire il y a 4 mois. Oui !
Cyd: qu’est-ce qu’il faut que je fasse pour que se soit le cas ?
Moi: Cyd, j’ai dis pas ce soir….
Elle: mais le sujet a déjà été lancé autant le terminé.
moi:
Ell: stp bébé
Moi(après avoir soupiré): bon …. ne quitte pas. Je rentre dans l’ascenseur. Et le temps que j’arrive chez moi.
J’appel ce dernier, je rentre, j’arrive au 4ième. Je rentre chez moi. Je dépose les petites courses que j’avais faites chez l’épicier. Puis je vais à mon balcon
Moi: Allô ?
Cyd: je suis là
Moi: à quoi tu t’attendais sérieusement ?
Cyd: honnêtement ?
Moi: oui très honnêtement,
Elle: bah à ce que tu me pardonnes !
Moi:
Elle: J’entends bien, il te faut du temps pour digérer ce que j’ai fais. Mais bae, ça fait 4 mois là. Depuis fin février, il y a cette distance entre nous et je me meures. Ça fait trois semaines que je n’ai aucunes nouvelles de toi. Tu m’as demandée de respecter le break que tu imposes mais c’est trop dur. Trop dur pour moi de ne pas te parler, de ne plus te voir, de ne plus avoir ton corps contre le mien.
Moi:
Elle: bébé, ça devient bcp trop compliquée à tous les points, je te jure car je me rends compte que je t’aime.
Moi:
Elle: tu es l’homme de ma vie. Je te supplie considère les bons moments que nous avons passé au détriment de ma faute. Si tu m’aimes …..
Moi:
Elle: pardonne-moi et reviens-moi, je t’en prie.
Moi: ce qui me dérange quand je t’entends parler, c’est que tu ne mesures ni la gravité de ton geste, ni la peine que ça m’a causé Cyd.
Elle:
Moi: j’ai été muté à Paris, on avait ce projet là de venir s’y installer ensemble. Comment as-tu pu être au courant de ta grossesse sans me le dire puis de tuer mon enfant sous prétexte qu’il allait nous déranger durant notre déménagement.
Elle: encore une fois, je m’excuse d’avoir avorter, sans te dire que j’attendais un enfant, sans te parler de cette décision que j’avais prise. Mais pour la énième fois, je pensais vraiment bien faire.
Moi: Cyd ton explication est bien trop légère pour être acceptable.
Elle: et pourtant c’est la seule raison que j’ai a te donner alors ne balais pas deux ans de relation sérieuse construit et bâti sur l’amour véritable. Je sais que tu es allé voir ailleurs pendant ce break, mais ça m’est égale. Tout ce qui compte c’est que je quitte Lyon pour venir te rejoindre sur paris. Tu me manques à mourir. Dis seulement un mot et je claque tout pour te rejoindre dans la semaine. Tu me manques trop mon amour.
Moi: il est beaucoup trop tôt. C’est beaucoup trop tôt pour moi.
Elle: sniiiifff, je t’aime tellement, je ne veux pas te perdre
Moi:
Elle: vraiment, je ne le veux pas. Tout ce qu’on a construit. sniiiiiif, je m’en veux de l’avoir détruit à cause d’une connerie or à ce moment je pensais bien faire. Mais bae, personne n’est parfait et je m’en veux cruellement pour ce que j’ai fait. On aura d’autres enfants ! on en aura d’autres bébé pour peu qu’on se redonne une chance.
Moi: je t’aime aussi Cyd, tu es ma femme, oui. Mais j’ai encore besoin de temps.
Elle: tu me promets qu’il n’y a personne d’autre que moi ?
Moi: Cyd ….
Elle: ok, ok…. Je retire ce que j’ai dis. Dans ce cas je te souhaite une bonne soirée. Tu me rappelles ?
Moi: si j’en ressens le besoin.
elle: tu me fais ça dur bébé.
Moi: bonne nuit Cyd
Elle: bonne nuit, love you
Puis j’ai appuyé sur l’écran de mon Samsung, au niveau du rouge. Ça a coupé, et j’ai observé les multiples lumières qui ornaient l’horizon. Puis il eut une légère brise qui me poussa à fermer les yeux.
Ma petite femme… Cydonie. Dire qu’elle ne me manquait pas serait me mentir. Avant son énorme gourde, son avortement. C’était ma femme. Pas encore légalement, mais il était prévu que je fasse ma demande après notre aménagement ensemble sur Paris.
Elle était ma femme, même si elle ne portait pas encore mon nom, dans ma tête elle était ma femme parce que mon être entier c’était résolu à la protéger, à veiller sur elle, d’assurer ses besoins, de prendre soin de sa vie et de m’assurer qu’elle ne manque de rien. D’autres part, elle était ma femme car elle me gardait en équilibre, elle était ma petite maman, ma pote, une amie avec une oreille très attentive à l’homme et parfois au petit garçon que je pouvais être tout en étant aussi l’épaule sur laquelle je pouvais me reposer en tout temps.
Ma femme car elle était l’unique partenaire qui avait réussis à se faire à mon entièreté. C’est à dire à un Marc-titilleux-et-sarcastique mais aussi au Marc-bienveillant-et-sympathique…. Elle était… oui elle était…tout ça dans mon coeur et à mes yeux.
Mais dorénavant ! Elle n’était plus que la femme qui m’a empêché de devenir père.
Je soupire quand à cette triste constatation, j’ouvre mes yeux puis un bruit sourd vient rompre ce bref instant d’évasion. Ça se passait au deuxième étage de l’immeuble : c’était sans doute la crémaillère du nouveau voisin. Je n’avais pas prévu de m’y éterniser, juste faire acte de présence. Cependant après ce coup de fil de Cyd, je n’avais pas la tête à boire et à socialiser.
Je descends quand même jusqu’à chez Clément que je trouve à l’entrée.
Lui(avec un faux accent africain): Yo mon poto, c’est comment ?
Moi: Clément stp parle comme clément
Ma phrase l’amuse
Clément: désolé, c’était pas méchant
Lui: je sais bien, tranquille « poto »
Clément: super, vas-y rentre
Lui: justement, je venais te dire merci pour l’invitation mais je vais pas pourvoir l’honorer
Clément: pourquoi ?
Lui: franchement claqué et j’ai la tête bourré d’autres trucs
Clément: man il y a des meufs… aie aie… tu vas rater quelque chose, c’est moi qui te le dit.
Lui: si ce n’est que ça, tu sais….
Clément: ok, j’ai compris c’est peine perdu pour te convaincre
Lui: exact, mais pour me rattraper, comme tu as l’air d’un mec super cool. La semaine prochaine, invite deux de tes meilleurs potes, moi j’invite ma bande et on se fait un chill posé chez moi, devant FiFA, qu’est-ce t’en dis ?
Il me tends sa main
Clément: check…. On fait ça
Moi: super
On se colle les épaules
Moi: passe une bonne soirée
Lui: merci allez on se capte.
Puis je fais demi tour, ascenseur et hop chez moi. Je vais prendre une douche et je me prépare une petite salade, histoire de manger léger ce soir. Ensuite je vais dans ma chambre, je me pose sur le lit, j’allume ma télé qui est toujours câblée sur BeInSport. Je prends mon tel pour jouer à Uno, jusqu’à ce que mes paupières deviennent lourdes.
Je fais la prière du Je Vous salue Maris afin que la Sainte vierge me protège ainsi que les miens. J’envoie un message à ma mère depuis le Gabon. Ensuite je m’en dors assez vite.
Le lendemain matin, c’est footing pendant une heure ensuite je me dépêche de rentrer pour ressortir afin d’assister à la messe de 10h à 12h. Et à 13 h tapante, elle m’appelle.
Moi: Madame OPIANGUA
Maman: monsieur OPIANGUA
Elle faisait ça, tout le temps. M’appeler une heure après la fin de la messe, pour échanger sur le prêche du prête. Elle tenait à ce que Dieu ait une place dans ma vie et pour cela, elle voulait s’assurer, que j’aille aux messes mais surtout que je comprenne ce dont il était question. Ça me faisait du bien de l’entendre une fois par semaine. On restait au téléphone, ainsi, une à deux heures via whatssap.
Nous vivions tous en France, elle, papa et mes deux petits frères, il y a dix ans. Mais après le décès de mon grand-père. Père de ma mère. Elle décida de retourner s’installer au Gabon pour rester auprès de sa mère.
Cette femme et le sens du sacrifice !!!!
Papa se voyait mal vivre loin de son épouse alors il l’a suivit, ils ont embarqué mes deux petits frères qui étaient au collège et ont suivis le programme scolaire dans un établissent français au Gabon. Jusqu’à l’obtention de leur bac, puis ils sont partie pour le Canada tous les deux. Moi qui était déjà à l’université, je me devais de vivre loin de mes parents pour mes études supérieurs car le faire au Gabon aurait était me tirer une balle dans le pied.
Mais chaque année, à Noel, on se voit. Le Noel dernier nous étions tous au Canada, chez Corentin et Olivier. celui d’avant en France chez moi et celui d’avant encore au Gabon et les deux années d’avant consécutivement ici en France, chez Moi. En dépit de se voir une fois par an, les réseaux sociaux nous aidaient à se parler, se voir constamment. On voulait garder cette union familiale malgré que nous n’étions pas sur les mêmes continents.
Je discute avec ma mère jusqu’à ce que j’arrive chez moi, puis je mange et m’octroie une petite sieste comme après chaque repas.
Je suis Marc OPIANGUA. 33 ans, né de Franc OPIANGUA et de Sylvie MINIER épouse OPIANGUA. Ma mère est franco-gabonaise. Mon grand père était un pétrolier français immigré au Gabon où il rencontra ma grand-mère gabonaise myénè (*ethnie gabonaise) et askip ce fut le grand amour entre eux. Au point où mon grand père, Jean-Yves MINIER, s’est définitivement installé au Gabon à Port-Gentil or il avait une mission qui était censée durer 6 mois.
J’ai deux petits frères de 22 et 23 ans, Olivier et Corentin OPIANGUA, l’un fait du sport étude en Tennis et l’autre droit international. Pour ma part, je suis Audit comptable, de base, j’ai fais des études d’analyste financier. Mais j’ai effectué un stage de fin d’école dans un grand cabinet à Lyon dans laquelle je suis resté 3 ans plus en CDI puis un chasseur de tête m’a contacté car au sein du service comptable de SAFRAN France, qui avait son siège Europe à Paris, il recherchait un profil comme le mien. J’ai passé des tests et après les avoir réussis, depuis Mars dernier je me suis installée sur Paris. Sans ma femme.
Cyd FAME, française d’origine sénégalo-Gabonaise, 27 ans, comptable comme moi. Ensemble depuis deux ans. Nous nous sommes rencontrés en terrasse. Elle prenait un café et moi aussi. Sur le moment j’ai trouvé ça dommage de le boire chacun dans son coin. Alors je lui ai gentiment demandée si je pouvais m’installer avec elle puis mon humour et sa bonne humeur on fait le reste. Comme dans toutes relations, notre couple traversait des marrées hautes et basses. Mais nous avions toujours su appréhender chacune d’elles et ensemble.
Mais sa grossesse puis son avortement, Je le vivais comme une trahison à mon encontre. Moi son partenaire de vie.
Les enfants, nous en parlions. Elle en voulait et moi aussi. Il était convenu qu’on se marie pour avoir nos enfants deux ans après. Mais de là à avortement à cause d’un déménagement ? Car d’après elle, cette grossesse n’était pas la bienvenue et allait gâcher trop de chose, notamment notre aménagement sur Paris, le boulot qu’elle devait chercher ici et surtout nous n’étions ni fiancés, ni mariés. Je n’arrivais pas à comprendre l’explication qui était censée justifier son geste.
Alors, à ce moment là, je lui ai sorti les bons de commande passés pour lui faire faire sa bague de fiançailles à Anvers, en Belgique, une ville reconnue comme étant la capitale du diamant pour lui offrir quelque chose de spéciale, concernant la situation financière, il va s’en dire que je devais tout prendre en charge, le temps de la grossesse et les premiers mois du bébé. En tout cas j’étais prêt pour le nouveau boulot, le changement de ville, l’adaptation, prêt pour elle, pour nous, pour le mariage, vivre ensemble sur paris, et bien évidemment accueillir un enfant même dans ces conditions, qui n’étaient pas si terrible que ça, pas au point d’avorter en tout cas.
Ce qui me pousse à m’interroger sur les réelles motivations de sa décision prise seulette. Et malgré tout ce que j’éprouve encore pour elle, je ne me résoudrais pas à redémarrer notre relation, tant qu’il y aura ce soupçon, qui me laisse tant perplexe.
>>>>> Une semaine plus tard
L’on se tape dans les mains, ensuite on se cogne les épaules
Moi: nous n’attentions que toi.
Christ: i’am là
Il rentre dans l’appartement.
Moi: alors Christ, je te présente mes deux potes qui vivent sur Lyon et qui sont spécialement venue à Paris ce week-end pour m’aider à mettre la raclée au PSG à Fifa,
Mes potes Léo et Timéo: ALLEZ L’OL !!!!!!!!!
Les parisiens rouspètent
Moi(amusé): Léo et Timéo
Les gas: salut
Chris(en allant les checker): salut
Moi: les gas, voici, une belle personne que Paris m’a donné l’occasion de rencontrer Chris… ensuite voici Clément mon tout nouveau voisin et ses deux amis Rémi et Béranger
Ils se checkent à leur tour puis
Moi: il y a tout ce qui peut donner envie sur (je pointe du doigt) cette table.
Chris: merci
Moi: ensuite viens t’asseoir et regarde comment L’OL met la fessée au PSG
Il se rus sur la table. c’était un buffet sur lequel, il y avait à boire et à manger.
>>>> Une heure plus tard
Chris(jetant la manette): mais non ….
Timéo: 4-1
Chris: c’est pas possible
Moi: si, on est bon, qu’est-ce que tu veux ?
Clément: l’OL ne peut battre le PSG que sur FIFA
On éclate de rire !
Puis clément manipule son téléphone, Léo y voit je ne sais quoi et crie
Léo: oulalala ….. canon, c’est ta meuf ?
Clément: non, c’est une collègue de travail
Moi(après avoir avalé une gorgé de ma bière): qui ça ?
Il tourne son téléphone, me montre une photo de miss Sauvageonne.
Moi: ha, elle !
Léo(me regardant): tu la connais ?
Moi(me levant du canapé pour aller aux toilettes): non, du tout !
Chris(dans mon dos): moi si… c’est une proche amie de ….
Je n’entends pas la suite car je suis dans les toilettes, deux minutes quand je reviens retrouver les gas
Clément: si tu veux la gérer, je peux t’arranger le coup
Béranger: elle était à ta soirée la semaine dernière, si ?
Clément: tu t’en souviens
Béranger: tu sais les belles femmes ne me passent pas inaperçu
Léo: franchement, elle est belle mais c’est pas ma came, j’ai un penchant pour les asiat’.
Rémi: moi aussi, les asiat’ …. Je - les - adore !!!!!
Timéo(en écarquillant les yeux): ben…. Moi aussi
Moi: lol
Béranger: moi je les aime brunes
Clément: pourvu qu’elles aient deux trous, ça me convient
Et là on se marre tous.
Chris: bon les gas moi je suis marié alors je dirai que la plus belle femme du monde c’est mon épouse et toi Marc ?
Je porte ma bière à la bouche puis
Moi: j’ai pas de type de femme en particulier
Clément: arrête poto, tout le monde en a
Moi: pas moi… ,
Béranger: sérieux, même pas un type ?
Moi: non….. il n’y a pas un type de femme qui me fait effet plus que l’autre ! Ce qui retient mon attention en premier chez une femme c’est son éloquence et sa répartie
Rémi: et si tu l’as vois sans avoir l’occasion de l’entendre?
Moi: alors je dirais : sa posture
Chris: « posture » ? Même pas ses fesses ?
Moi: non, c’est pas quelque chose qui me botte : les fesses. Une femme sans forme peut être un meilleur coup qu’une femme avec. Si je prends un simple exemple : - Les Asia’t -en grande majorité elles sont plates comme des taules pourtant c’est la came de nombreux mecs dont trois ici présents.
Léo(éclaté de rire): non mais toi… tu as vraiment le dont de cassé les gens wesh, krkrkr…. C’est quoi ça : « plates comme des taules »
Moi: non mais je le dis avec aucun sarcasme, c’est juste un constat. Et pour prendre un autre exemple sur mes expériences, j’ai déjà touché des Asia’t aux fesses plates qui étaient plus bonnes qu’une africaine aux fessiers imposants.
Rémi: en réalité, il marque un point
Moi: raison pour laquelle, le physique m’importe peu. Et lorsqu’elles sont insolentes ces femmes aux grosses fesses! Alors là. c’est pire !
Christ: krkrkrkr, je sais à qui tu penses précisément !
Moi: oui je pense bien à celle à qui tu penses, mais bon… elle ne mérite même pas qu’on s’attarde sur son cas.
Chris: krkrkrkr, t’es méchant, elle est sympa dans le fond, je te promet
Moi: oh je te crois. Ça montre juste qu’elle souffre bien de pathologie ! Et tu sais, je pense que les sociopathes devraient être enfermés et non se balader en société comme elle.
Chris: krkrkrkr
Moi: bref, revenant à l’essentiel, il y a un truc que j’aime particulièrement, c’est les femmes qui arrivent à retenir l’attention par une gestuelle, un regard profond, un sourire, un mouvement du cheveux ! Et quand elles ouvrent la bouche et qu’elles te sortent des phrases bien construites sans aucune faute et avec douceur. Je suis capable de jouir sur le coup.
Ils éclatent tous de rire
Moi(souriant): la beauté est éphémère les gas, celles que je viens de décrire sont de vraies femmes.
Rémi: néanmoins si la fille ne te plait pas un temps soit peu physiquement, se sera dur de la toucher quand même
Moi: c’est sur qu’il faut une attraction physique mais quand celle ci n’est motivée que par le derche. Puff, je ne vois pas la différence entre nous et les chiens.
Rémi: quand on t’entend, on sait tout de suite que tu maîtrises le sujet. Mais bon, pour un coup d’un soir je vais pas remarquer la gestuelle de la nana juste pour la ken.
Léo: ça c’est vrai !
Moi: non mais soyons clair, on parle bien de femmes…. Pas de plan cul
Chris: ne me regarde pas type, moi je suis casé.
On éclate
Moi: bon assez parler de femmes et si on jouait au poker ?
>>> Une heure et demi plus tard
Béranger : putain j’ai encore perdue à la partie de poker, non j’abdique…. Les mecs de Lyon sont fort !!!
Moi: mouahhhahaha, redis le for sure !
Clément: mais toi tu deviens parisien étant donné que tu vis know ici
Moi: non mec, mon corps est ici mais mon coeur est pour Lyon !
Léo: Bon les parisiens si vous voulez on peut passer à quelque chose de plus light comme le UNO
Moi: pour peu qu’ils réussissent à nous battre aussi, krkrkrkrkrkrk
Ensuite nous sommes passés au UNO avec des parties de jeu qui sont allées jusqu’à une heure du matin. On s’est posé un coup, sans rien faire juste en mode causerie ensuite Clément a proposé de fumé de la chicha, ils étaient tous chaud sauf moins mais ça ne me dérangeait pas qu’ils se mettent à l’aise. Alors clément est allé cherché tout ce qu’il faut pour chez lui, ensuite est remonté à la maison. Vers les 03 heures on a rejoué à la playstation et c’est dans les environs de 05 heures du matin que clément, Béranger et Rémi sont rentrés.
Timéo : bon les gas, on vous à taper à domicile…. Si vous voulez une revanche, se sera à vous de venir sur Lyon cette fois-ci .
Clément: oui, idée très interessante et à réaliser.
Béranger : par contre il faut qu’il ait de la nana cette fois
Moi: ça vous distraira davantage, vaut mieux pas.
Béranger: au contraire ! ça aura tout l’effet inverse, crois-moi
Moi: quand vous voulez….
Clément: en tout cas, merci les gas et tout spécialement à toi Marc. Franchement sympas, bonne ambiance, grosse rigolade, à boire et à manger à gogo ! Franchement au top cette soirée
Béranger(son pote): ouais, je confirme ! Très bonne ambiance.
Christ(me tapant sur l’épaule): on l’appelle monsieur ambiance… vous vous passez une bonne soirée, rempli de fous rire ! Marc est votre gas sûr !
Léo: moi qui le connais depuis la première année de faculté, je confirme les dire de Christ
Marc(en regardant Christ): loleuh…..(en regardant les potes à Clément) de rien …. Ce fut génial de vous avoir à la maison aussi
Béranger: et bon retour sur Lyon Léo et Timéo
Rémi: ouais bon retour chez vous
Eux: merci et à la prochaine !
Léo(en me regardant): on compte sur toi pour organiser la soirée sur Lyon
Moi: clément et moi on le fera de concert pour voir les disponibilités de tout le monde
Béranger: Ok, Super ! allez tchaouuuu
Rémi: tchaouuu
Moi: bye les gas
Ça fait 4 mois que je n’avais pas remis pied à Lyon. Ce sera l’occasion de revoir la ville de mon coeur.
Comming soon
Chapitre 4 : Cydonie Fame
