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Chapitre 12 : Il vaut mieux la laisser épouser un cochon que Théophile !

Après un vol de deux heures, Vivian Loisy retourne finalement à La Cité Y.

En respirant le bon air ici, elle a le sentiment différent et sa mauvaise humeur a déjà disparu.

Et en outre, elle va bientôt rencontrer Dianthe, cette petite fille vivante lui fait toujours plaisir. À la pensée de sa chérie, tous les soucis vont partir.

Quand elle vient de sortir de l'allée en poussant son chariot à bagages, elle voit sa mignonne portant une pancarte avec la mention « Bienvenue à la maison, la mère la plus belle, la plus mignonne et la plus capable ». Ce comportement gentil la rend tellement touchée qu’elle ne sait s’il faut rire ou pleurer.

— Maman ! Je suis là ! 

Dianthe s’écrie tout en faisant signe de la main avec un grand sourire.

Et au milieu de la foule, Céline Lechat, qui porte Dianthe dans ses bras, se tient dans une position bien visible tout en souriant aussi doucement.

Aujourd'hui c’est le week-end, donc elles sont venues pour l’accueillir à l’aéroport.

Vivian presse le pas vers son amie pour prendre sa fille de ses bras et puis elle donne une bise à sa mignonne tout en l’embrassant étroitement.

— Céline, merci beaucoup. 

Après le moment sympa, Vivian a le loisir de remercier Céline d'avoir pris soin de sa fille ces derniers jours.

— Vivian, pas besoin de me remercier parce que nous avons une relation tellement intime. Au reste, Dianthe, je la connais depuis qu’elle est née, elle est aussi ma petite fille, c’est mon devoir d’en prendre soin. 

Céline dit, qui donne un regard aimable sur Dianthe.

À ces mots, elle prend le bagage de Vivian et Vivian tient Dianthe dans ses bras. Ces trois femmes s’avancent vers le parking tout en bavardant et riant.

— Allons, nous allons rentrer à la maison. 

Vivian dit.

Dans le parking, Céline conduit la voiture, la mère et la fille sont montées à l’arrière.

Il est vers midi, à cause d’un embouteillage, elles ont dû changer de plan et aller manger d'abord avant de rentrer chez eux.

Au restaurant qui s’appelle Frees Life.

Céline et Vivian choisissent de s’asseoir près de la fenêtre.

— Maman, comme on dit souvent qu’un jour sans le voir me semble trois automnes, vous me manquez bien ! 

Dianthe se serre familièrement contre sa mère.

Est-ce que ce proverbe peut-il utiliser comme ça ?

Vivian passe sa main légèrement sur la bonne joue de sa fille et lui sourit.

— Dès que mon travail est achevé, je suis de retour en avion tout de suite. Puisque tu me manques aussi, mon chouchou. 

— Maman, vous avez travaillé dur, voilà, c’est ma récompense pour vous. 

Dianthe prend une sucette en forme de papillon de son petit sac de panda à Vivian, les yeux noirs et naïfs brillent.

— Maman n’est pas pénible grâce à toi, ma petite chérie. 

Dit Vivian, comme dans son esprit, sa fille est sa plus grande motivation et son plus grand réconfort.

Pendant ces cinq dernières années, elle vive en tête-à-tête avec sa fille. Dianthe était malade il y a trois ans, à ce moment-là, elle était presque aux portes de la mort, néanmoins, en tant que mère, Vivian n’avait rien, sans parler de la sauver. Elle était sur le point de craquer, quand elle a rencontré M. Muller. Cet homme lui a donné un contrat de mariage avec une période de trois ans ainsi qu’un chèque d’un million de yuans.

Pour gagner l’argent et sauver la vie à sa petite fille, Vivian a vendu son mariage à cet homme étrange volontiers.

Heureusement, ce mariage inconnu ne la dérange pas et leur vie reste aussi inchangée.

Maintenant, le délai de trois ans approchera, elle va bientôt aussi se retirer de ce mariage et atteindre sa vraie liberté.

Seulement, elle a reçu un message de M. Muller hier soir, un paragraphe très étrange :

— Mme.Loisy, veuillez-vous suivre l’esprit du contrat s’il vous plaît, comme vous êtes une femme mariée, vous devez toujours vous rappeler votre identité tout en se retenant et respectant la vertu fidèle. 

Pourquoi n'est-elle pas fidèle ?

Ce paragraphe ne peut être considéré qu’une pure calomnie ! Elle est tellement en colère contre ça !

— Mais je pense que vous peinez beaucoup. Alors je dois régler les problèmes majeurs de votre vie avant de grandir pour épouser mon Frère Siméon. 

Dianthe lui dit, ses paroles sérieuses presque font Céline et Vivian étouffer par le thé.

— Haha, notre petite Dianthe s'inquiète beaucoup de votre mariage. 

Céline lui sourit tout en prenant un mouchoir pour essuyer les coins de ses lèvres.

Vivian ne dit rien, fait semblant de ne pas le comprendre et continue à prendre du thé.

— Maman, où est les photos du bel oncle que je vous ai demandé de prendre hier soir ? Montrez-les-moi et laissez-moi les choisir pour vous.  Dianthe empoigne son bras avec insistance.

— Il n'y a pas de bel oncle, seulement d’un oncle étrange. 

Vivian lui tend le téléphone et classe Théophile Laval parmi les personnes les plus beaux.  

— Je n’ai osé que faire une courte vidéo dans le coin. 

À ce moment-là, elle utilisait simplement son téléphone portable pour tourner la foule au loin rapidement dans la salle de banquet afin d’accomplir la tâche assignée par sa fifille.

Mais maintenant, elle est de retour à la Cité Y, pourquoi elle pense encore à ce diable!

Vivian fronce légèrement les sourcils, elle se sent très « honteuse » à propos de son comportement.

— Vivian, avez-vous vraiment l'intention de rester célibataire comme ça ? 

Céline jette un coup d'œil sur Dianthe, qui est déjà plongée dans le choix du mari de sa mère et lui demande à voix basse.

— En fait, ça c'est plutôt bien. 

Vivian lui répond calmement, il n'y a aucune trace de désir de l’amour sur son visage paisible.

— Ne peux-tu pas laisser tomber les choses précédentes ? 

Céline parle bien sûr d’Honoré Rives.

Elle ne veut pas rouvrir les plaies de son amie, mais elle ne veut pas non plus que son amie soit abandonnée à des blessures précédentes, et qu’elle n’ose pas ouvrir son cœur pour rechercher son propre bonheur.

Vivian reste silencieuse, frottant sa tasse de thé et puis elle avoue lentement :

— Oui, je ne le peux pas. 

— Vivian, Dianthe est déjà grande maintenant, les choses précédentes sont déjà passées, il ne faut pas que t’abandonnes le bonheur à cause d’un ou deux racailles... Cela n’en vaut pas la peine. 

Ce que Céline craint, c’est que Vivian évite l’amour à cause de ces racailles.

— Céline, tu as tort. Cinq ans se sont déjà écoulés, maintenant je veux laisser ces personnes qui m’ont blessée ressentir ma douleur jadis et je vais reprendre tout ce qui devrait m’appartenir, donc il est encore trop tôt pour en parler. 

Dit Vivian serrant la tasse à thé, ses yeux sont empreints de haine, sans aucune tendresse quand elle fait face à sa fille.

Céline étend sa main et la pose sur le revers de la main de Vivian, son regard affectif est plein de sympathie pour elle.

Elle a vu soi-même toutes les souffrances que son amie a subies au fil des ans.

Honoré Rives, Romane Loisy et même les parents de ces deux ne sont pas dignes de la pitié !

— Quand vas-tu retourner à la Cité H ?

Céline lui demande.

— Cette année est le 80e anniversaire de ma grand-mère, donc c’est le bon moment pour moi de rentrer.

Vivian lui répond.

— J’espère que tu peux faire ce que tu veux sans scrupule, et je vais soigner bien Dianthe pour toi. 

Céline lui dit, ce qu’elle peut faire est de réduire les soucis de ses arrières pour Vivian.

Vivian serre la main de Céline fermement, toutes les reconnaissances ainsi que les compréhensions infinies se reflètent totalement dans le serrement des mains de ces deux amies.

Après que les plats sont posés sur la table, elles mettent de côté des ennuis et commencent à manger.

Tout à coup Dianthe s’approche de Vivian en tenant à la main son portable et lui dit :

— Maman, je pense que ce bel oncle est pas mal. 

Vivian regarde cette photo et sa figure change immédiatement de couleur.

Parce que, c’est Théophile qui Dianthe lui indique. Il est entouré des gens voulant parler avec lui.

Il est le point focal du public avec son charme et son caractère personnel exceptionnel.

— Il est déjà marié. 

Vivian lui dit en inventant une excuse.

Si Théophile sait qu'il a une fille ? Va-t-il lutter contre elle pour gagner le droit de garde de Dianthe?

Elle n’espère que Théophile ne le sait jamais. Ainsi, Dianthe peut demeurer près d’elle pour jamais.

— Quel dommage ! Puisque je l’ai distingué en un coup d’œil. 

Dit Dianthe tout en faisant une moue boudeuse.

— Et voilà, ma petite mignonne, il faut bien manger. 

Vivian lui dit et puis confisque le portable de Dianthe tout en lui donnant une aile de poulet au miel.

Il vaut mieux la laisser épouser un cochon que Théophile.

Après leur repas, quand Vivian veut payer l’addition, le serveur lui dit qu’il y a un homme qui l’a déjà payé et vient de partir.

Vivian tourne la tête, elle ne voit que devant la porte vitrée, une grande silhouette monte sur une Mercedes noire.

Elle veut le rattraper, mais seulement voit la moitié de son visage... mais ce demi-visage l'a franchement surprise !

Qu’est-ce qui se passe ! Pourquoi c’est lui ? !

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