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Chapitre 2 : Les Premières Étincelles

Le lendemain matin, Éloïse se réveilla avec une énergie qu’elle n’avait pas ressentie depuis longtemps. Elle enfila une robe légère et descendit à la cuisine, où elle prépara un petit déjeuner simple. Le soleil inondait la pièce, et elle décida de manger sur le balcon, profitant de la vue sur l’océan.

Alors qu’elle sirotait son café, son regard fut attiré par un mouvement sur la plage. C’était Liam. Il marchait lentement, les yeux fixés sur l’horizon, comme s’il cherchait quelque chose. Éloïse sentit son cœur battre plus vite. Elle hésita un instant, puis se leva et descendit à sa rencontre.

Quand elle arriva sur la plage, Liam était assis sur un rocher, son carnet à la main. Il leva les yeux à son approche et lui adressa un sourire. « Bonjour, Éloïse.

— Bonjour, Liam, répondit-elle en s’approchant. Vous êtes déjà au travail ?

— J’essaie, dit-il en fermant son carnet. Mais parfois, les mots ne viennent pas. »

Elle hocha la tête, comprenant parfaitement ce qu’il ressentait. « Je sais ce que c’est. L’inspiration est une drôle de chose. »

Ils restèrent un moment silencieux, à regarder l’océan. Puis Liam se tourna vers elle. « Vous avez des projets pour aujourd’hui ?

— Pas vraiment, répondit-elle en souriant. Pourquoi ?

— Je me disais que nous pourrions explorer les environs. Il paraît qu’il y a une grotte magnifique un peu plus loin sur la côte. »

Éloïse sentit une excitation grandir en elle. L’idée de découvrir quelque chose de nouveau, en compagnie de Liam, lui plaisait. « D’accord. Allons-y. »

Ils se mirent en marche, suivant le littoral. La conversation était fluide, comme s’ils se connaissaient depuis toujours. Liam parlait de ses voyages, de ses livres, de ses rêves. Éloïse, de son côté, partageait ses souvenirs d’enfance, ses inspirations artistiques, ses doutes. Ils riaient, échangeaient des regards complices, et à chaque instant, la connexion entre eux semblait se renforcer.

Quand ils arrivèrent à la grotte, ils furent émerveillés par sa beauté. Les parois rocheuses étaient sculptées par le temps et les éléments, formant des motifs complexes et fascinants. La lumière du soleil pénétrait à travers des fissures, créant des jeux d’ombre et de lumière qui semblaient presque magiques.

« C’est incroyable, murmura Éloïse, les yeux écarquillés.

— Oui, répondit Liam en la regardant. Incroyable. »

Mais il ne regardait pas la grotte. Il regardait Éloïse. Elle sentit son souffle se bloquer dans sa gorge, son cœur battre plus vite. Ils étaient si proches qu’elle pouvait sentir la chaleur de son corps, l’intensité de son regard.

« Éloïse… », commença-t-il, sa voix presque un murmure.

Elle leva les yeux vers lui, et dans cet instant, tout sembla s’arrêter. Le monde autour d’eux disparut, ne laissant que leur présence, leur connexion, leur désir.

Le nom d’Éloïse, prononcé par Liam, résonna dans la grotte comme une mélodie douce et envoûtante. Elle sentit un frisson lui parcourir l’échine, et son cœur battit plus fort, comme s’il voulait s’échapper de sa poitrine. Le regard de Liam était intense, presque brûlant, et elle se sentit incapable de détourner les yeux.

« Liam… », murmura-t-elle à son tour, son nom glissant sur ses lèvres comme une prière.

Il fit un pas vers elle, réduisant encore la distance qui les séparait. Sa main se leva lentement, comme s’il hésitait, puis il effleura doucement sa joue. La chaleur de ses doigts contre sa peau la fit frémir, et elle ferma les yeux un instant, savourant la sensation.

« Tu es si belle, murmura-t-il, sa voix empreinte d’une émotion qu’il ne cherchait plus à cacher. »

Éloïse rouvrit les yeux, son regard plongeant dans le sien. Elle vit dans ses yeux une vulnérabilité qu’elle n’avait pas remarquée auparavant, comme s’il lui offrait une partie de lui-même qu’il gardait habituellement cachée. Elle sentit une boule se former dans sa gorge, mais elle ne voulait pas rompre ce moment. Pas maintenant.

« Liam, je… », commença-t-elle, mais les mots lui manquèrent. Comment pouvait-elle exprimer ce qu’elle ressentait, cette tempête d’émotions qui la submergeait ?

Il sembla comprendre, car il sourit légèrement, un sourire qui faisait danser des ombres sur son visage. « Tu n’as pas besoin de parler, dit-il doucement. Je comprends. »

Ils restèrent ainsi un moment, à se regarder, à se découvrir, à se sentir. Puis Liam inclina légèrement la tête, et Éloïse sentit son souffle chaud sur sa peau. Elle ferma les yeux, et leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser doux, presque timide au début, mais qui s’intensifia rapidement.

Le monde autour d’eux sembla disparaître, ne laissant que leur présence, leur connexion, leur désir. Le baiser était passionné, envoûtant, comme si tout ce qu’ils avaient refoulé jusqu’à présent se libérait enfin. Éloïse sentit ses mains se poser sur les épaules de Liam, puis glisser dans ses cheveux, tandis que ses bras l’enlaçaient, la rapprochant de lui.

Quand ils se séparèrent enfin, ils restèrent un moment à se regarder, haletants, comme s’ils réalisaient à peine ce qui venait de se passer. Éloïse sentit ses joues s’embraser, mais elle ne regrettait rien. Au contraire, elle se sentait vivante, plus vivante qu’elle ne l’avait été depuis longtemps.

« Éloïse… », commença Liam, mais elle posa un doigt sur ses lèvres, l’empêchant de parler.

« Pas maintenant, murmura-t-elle. Juste… reste avec moi. »

Il hocha la tête, un sourire tendre sur les lèvres, et ils s’assirent sur le sable, à l’entrée de la grotte, regardant l’océan. Le silence entre eux était confortable, complice, comme s’ils n’avaient plus besoin de mots pour se comprendre.

Le nom d’Éloïse, prononcé par Liam, résonna dans la grotte comme une mélodie douce et envoûtante. Elle sentit un frisson lui parcourir l’échine, et son cœur battit plus fort, comme s’il voulait s’échapper de sa poitrine. Le regard de Liam était intense, presque brûlant, et elle se sentit incapable de détourner les yeux.

« Liam… », murmura-t-elle à son tour, son nom glissant sur ses lèvres comme une prière.

Il fit un pas vers elle, réduisant encore la distance qui les séparait. Sa main se leva lentement, comme s’il hésitait, puis il effleura doucement sa joue. La chaleur de ses doigts contre sa peau la fit frémir, et elle ferma les yeux un instant, savourant la sensation.

« Tu es si belle, murmura-t-il, sa voix empreinte d’une émotion qu’il ne cherchait plus à cacher. »

Éloïse rouvrit les yeux, son regard plongeant dans le sien. Elle vit dans ses yeux une vulnérabilité qu’elle n’avait pas remarquée auparavant, comme s’il lui offrait une partie de lui-même qu’il gardait habituellement cachée. Elle sentit une boule se former dans sa gorge, mais elle ne voulait pas rompre ce moment. Pas maintenant.

« Liam, je… », commença-t-elle, mais les mots lui manquèrent. Comment pouvait-elle exprimer ce qu’elle ressentait, cette tempête d’émotions qui la submergeait ?

Il sembla comprendre, car il sourit légèrement, un sourire qui faisait danser des ombres sur son visage. « Tu n’as pas besoin de parler, dit-il doucement. Je comprends. »

Ils restèrent ainsi un moment, à se regarder, à se découvrir, à se sentir. Puis Liam inclina légèrement la tête, et Éloïse sentit son souffle chaud sur sa peau. Elle ferma les yeux, et leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser doux, presque timide au début, mais qui s’intensifia rapidement.

Le monde autour d’eux sembla disparaître, ne laissant que leur présence, leur connexion, leur désir. Le baiser était passionné, envoûtant, comme si tout ce qu’ils avaient refoulé jusqu’à présent se libérait enfin. Éloïse sentit ses mains se poser sur les épaules de Liam, puis glisser dans ses cheveux, tandis que ses bras l’enlaçaient, la rapprochant de lui.

Quand ils se séparèrent enfin, ils restèrent un moment à se regarder, haletants, comme s’ils réalisaient à peine ce qui venait de se passer. Éloïse sentit ses joues s’embraser, mais elle ne regrettait rien. Au contraire, elle se sentait vivante, plus vivante qu’elle ne l’avait été depuis longtemps.

« Éloïse… », commença Liam, mais elle posa un doigt sur ses lèvres, l’empêchant de parler.

« Pas maintenant, murmura-t-elle. Juste… reste avec moi. »

Il hocha la tête, un sourire tendre sur les lèvres, et ils s’assirent sur le sable, à l’entrée de la grotte, regardant l’océan. Le silence entre eux était confortable, complice, comme s’ils n’avaient plus besoin de mots pour se comprendre.

Les jours qui suivirent, Éloïse et Liam passèrent de plus en plus de temps ensemble. Ils explorèrent la côte, découvrant des endroits cachés, partageant des histoires, des rires, des silences. Chaque moment passé ensemble semblait renforcer leur connexion, et la tension entre eux devenait de plus en plus palpable.

Un soir, alors que le soleil se couchait, ils se retrouvèrent sur la plage, assis côte à côte, regardant les vagues. Éloïse se sentait en paix, comme si elle avait enfin trouvé sa place dans le monde. Elle tourna la tête vers Liam, qui semblait perdu dans ses pensées.

« À quoi penses-tu ? demanda-t-elle doucement.

— À toi, répondit-il sans hésiter. À nous. »

Elle sentit son cœur battre plus vite. « Et qu’est-ce que tu en penses ?

— Que je ne veux pas que ça s’arrête, dit-il en la regardant. Que je ne veux pas te perdre. »

Éloïse sentit une boule se former dans sa gorge. Elle ne voulait pas non plus le perdre. Mais elle savait que leurs vies étaient compliquées, que leurs passés les hantaient encore. « Et si on fuyait ensemble ? dit-elle, à moitié sérieuse, à moitié en plaisantant.

— Où irions-nous ? demanda-t-il en souriant.

— N’importe où, répondit-elle. Tant que c’est avec toi. »

Liam la regarda un moment, puis il prit sa main dans la sienne. « Alors partons

Le nom d’Éloïse, prononcé par Liam, résonna dans la grotte comme une mélodie douce et envoûtante. Elle sentit un frisson lui parcourir l’échine, et son cœur battit plus fort, comme s’il voulait s’échapper de sa poitrine. Le regard de Liam était intense, presque brûlant, et elle se sentit incapable de détourner les yeux.

« Liam… », murmura-t-elle à son tour, son nom glissant sur ses lèvres comme une prière.

Il fit un pas vers elle, réduisant encore la distance qui les séparait. Sa main se leva lentement, comme s’il hésitait, puis il effleura doucement sa joue. La chaleur de ses doigts contre sa peau la fit frémir, et elle ferma les yeux un instant, savourant la sensation.

« Tu es si belle, murmura-t-il, sa voix empreinte d’une émotion qu’il ne cherchait plus à cacher. »

Éloïse rouvrit les yeux, son regard plongeant dans le sien. Elle vit dans ses yeux une vulnérabilité qu’elle n’avait pas remarquée auparavant, comme s’il lui offrait une partie de lui-même qu’il gardait habituellement cachée. Elle sentit une boule se former dans sa gorge, mais elle ne voulait pas rompre ce moment. Pas maintenant.

« Liam, je… », commença-t-elle, mais les mots lui manquèrent. Comment pouvait-elle exprimer ce qu’elle ressentait, cette tempête d’émotions qui la submergeait ?

Il sembla comprendre, car il sourit légèrement, un sourire qui faisait danser des ombres sur son visage. « Tu n’as pas besoin de parler, dit-il doucement. Je comprends. »

Ils restèrent ainsi un moment, à se regarder, à se découvrir, à se sentir. Puis Liam inclina légèrement la tête, et Éloïse sentit son souffle chaud sur sa peau. Elle ferma les yeux, et leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser doux, presque timide au début, mais qui s’intensifia rapidement.

Le monde autour d’eux sembla disparaître, ne laissant que leur présence, leur connexion, leur désir. Le baiser était passionné, envoûtant, comme si tout ce qu’ils avaient refoulé jusqu’à présent se libérait enfin. Éloïse sentit ses mains se poser sur les épaules de Liam, puis glisser dans ses cheveux, tandis que ses bras l’enlaçaient, la rapprochant de lui.

Quand ils se séparèrent enfin, ils restèrent un moment à se regarder, haletants, comme s’ils réalisaient à peine ce qui venait de se passer. Éloïse sentit ses joues s’embraser, mais elle ne regrettait rien. Au contraire, elle se sentait vivante, plus vivante qu’elle ne l’avait été depuis longtemps.

« Éloïse… », commença Liam, mais elle posa un doigt sur ses lèvres, l’empêchant de parler.

« Pas maintenant, murmura-t-elle. Juste… reste avec moi. »

Il hocha la tête, un sourire tendre sur les lèvres, et ils s’assirent sur le sable, à l’entrée de la grotte, regardant l’océan. Le silence entre eux était confortable, complice, comme s’ils n’avaient plus besoin de mots pour se comprendre.

Les jours qui suivirent, Éloïse et Liam passèrent de plus en plus de temps ensemble. Ils explorèrent la côte, découvrant des endroits cachés, partageant des histoires, des rires, des silences. Chaque moment passé ensemble semblait renforcer leur connexion, et la tension entre eux devenait de plus en plus palpable.

Un soir, alors que le soleil se couchait, ils se retrouvèrent sur la plage, assis côte à côte, regardant les vagues. Éloïse se sentait en paix, comme si elle avait enfin trouvé sa place dans le monde. Elle tourna la tête vers Liam, qui semblait perdu dans ses pensées.

« À quoi penses-tu ? demanda-t-elle doucement.

— À toi, répondit-il sans hésiter. À nous. »

Elle sentit son cœur battre plus vite. « Et qu’est-ce que tu en penses ?

— Que je ne veux pas que ça s’arrête, dit-il en la regardant. Que je ne veux pas te perdre. »

Éloïse sentit une boule se former dans sa gorge. Elle ne voulait pas non plus le perdre. Mais elle savait que leurs vies étaient compliquées, que leurs passés les hantaient encore. « Et si on fuyait ensemble ? dit-elle, à moitié sérieuse, à moitié en plaisantant.

— Où irions-nous ? demanda-t-il en souriant.

— N’importe où, répondit-elle. Tant que c’est avec toi. »

Liam la regarda un moment, puis il prit sa main dans la sienne. « Alors partons. »

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