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Par ailleurs en plus du minimum syndical de propreté que j’exige et d’une poitrine bien généreuse. Lorsque je me rapproche d’une fille, je ne me contente pas de vouloir la baiser plus tard, je m’intéresse de prime abord à elle. A ce qu’elle est, à ce qui la fascine car je peux avoir en face de moi ma futur madame Mbala. Et c’est d’ailleurs au cours de notre discussions que le me décide de l’emmener au restaurant de la baiser après ou de l’emmener au restaurant de la baiser puis de la ramener au restaurant. Et pour cela, elle devait avoir un minimum de culture, c’était rédhibitoire.
Et la demoiselle en face de moi me semblait pas très fufute. Et malheureusement, bien assez pour je n’ai même plus envie de connaître son nom.
« C’est ton jumeau ? » Pourquoi poser la question alors que tu voies très bien que nous avons le même visage.... rhalalala !
Moi(à mon frère en occultant la question de DamePasTrèsFutée à côté): tu disais ?
Lui(amusé): aurait tu des préservatifs à me passer ?
Moi(souriant): ça y est? tu conclues ?
Lui: ce n’est pas loin, oui.
Elle: Oh my God your language is so beautiful which one is it? (Oh mon Dieu, votre langue est trop belle, c’est du quoi ?)
Oooook, la c’est carrément le ponpon....
Ne pas le comprendre ou le parler, je veux bien! Mais de là à ne pas reconnaître le français ? Une langue parlée par 274 millions de personnes sur la planète. C’est a-bu-sé !
Je la regarde abasourdi, ce qui amuse Alaël-loïs
Moi(?): non mais ne ris pas !
Comprenant que je n’irais pas loin avec elle
Lui: et pourtant elle a de bon gros obus.
Moi: oui mais rien dans la tête, du moins pas très roublarde alors non merci !
Elle: You are so cute with that pitch. I love it!!! (awww, vous êtes tellement mignon avec votre accent )
Moi(?) Elang (ton c.u.l en langue Fang)
Alaël-Loïs(?): krkrkrkr
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Nous sommes dans un Uber, direction chez elle, et depuis 5 minutes l’on se délecte de nos babines. Elle a une haleine fraîche et franchement j’adore. Lorsque je passe ma main dans ses cheveux, je suis encore agréablement surpris de la texture de sa chevelure qui sente bon la vanille.
Soroya, approché à la soirée de tout à l’heure après avoir rembarré l’autre là avec son « ohhh vous êtes trop mignon avec votre accent »
Je met un terme au baiser et je la saisi par les mâchoires. Elle veut capture mes lèvres mais je joue un peu en l’évitant. Elle sourit et je souris à mon tour. Je vais me nicher dans son cou et je commence à le lécher partout
Elle(gémissant): awww
Je continue ainsi jusqu’à ce que la voiture s’arrête. Je remercie le chauffeur puis l’on descend. Une fois on traverse la porte de son appartement, elle se jette sur ma braguette. Elle me surprend mais dans tout le bon sens du terme. Elle se met à humer à l’endroit même où se trouve ma bosse preuve de mon excitation et à travers le jean, elle caresse mes attributs. Une chose aussi que j’aime chez une femme, qu’elle ose oser. Les mijorées ça va deux secondes mais c’est toujours bien d’avoir une partenaire qui s’est prendre son pieds.
Ensuite, elle décide de descendre la braguette de mon jean et sort ma verge à travers elle.
Soraya : ayi màma, muito interessante !
Elle se donne une biffle ( gifle + bite), puis amène ma queue vers son cou, pour la faire descendre au début de sa poitrine. Je frémis, elle le remarque et ça elle sourit coquinement. Je soupire d’aise, alors qu’elle vient d’englober mon membre dans sa bouche tout en malaxant mes roubignoles.
Moi(la tenant par les cheveux): Damn it
Elle lape ma queue comme une pro et arrive à me faire une gorge profonde malgré la longueur et la largeur de celui ci
Moi: yeah... baby i like that
Elle bave sur moi comme j’aime, elle se biffle encore une fois avant de reprendre ma verge en bouche puis elle le lâche et pars me sucer les boules.
Moi(tête en arrière): oh yeah, yeah.
Elle les suces un moment, retire enfin le bout de tissu qu’elle appelle top pour me dévoiler une poitrine bien voluptueuse et généreuse. Elle n’était peut-être pas naturelle mais ça avait au moins le mérite de ne pas être des figues.
Silliconés, tombés, vergeturés, ce qui m’intéressait était une bonne grosse paire d’obus. (Planant) pourvu que je puisse m’y glisser, comme en ce moment! Bon Dieu que c’est bon , ( je fais des cas et viens entre sa poitrine et je gémis)
Elle(serrant ses seins sur ma queue): you like ?
Moi: oh yeah, i like that.
Après avoir pris mon pied. L’on passe sur son canapé. Je m’apprête à découvrir si elle faisait parti de la catégorie : fort obus, belle, futée mais salle ou belle, futée et propre. Je me positionne face à son nombril. Je parsème son ventre de baiser puis je soulève sa jupe et là mon sourie s’élargit car je découvre un très beau string tanga blanc en dentelle. Je suis tellement ravi que pour la récompenser, je décide de sucer son entrejambe jusqu’à ce qu’elle n’en peut plus. Et 30 minutes plus tard elle pleure de jouissance pour la troisième fois. Ensuite on passe au chose sérieuse et je la défonce sérieusement la techat
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C’est au alentour de 07h que je rentre à l’appartement. Je trouve Armelika et Mommy occupées en cuisine pour préparer le petit déjeuner
Moi: coucou
Armelika : salut
Mom(boudant) :
Je me dirige vers elle et je lui donne un baisé bien prononcé sur la joue
Moi: femme of my life soyez salué
Elle : avec toutes les prières et les supplications que je fais à Jesus-Christ de Nazareth pour vous afin qu’IL vous bénisse tous, vous protège, vous garde.... hummm, toutes mes prières se gâtent à cause des femmes avec lesquelles vous couchez partout-partout là.
Moi:
Elle: tu sens tellement la femme
Moi: si à mon âge je ne sentais pas la femme, tu ne crois pas qu’il y aurait matière à s’inquiéter ?
Elle: sentir la femme c’est bien mais sentir SA femme c’est mieux.
Moi(après un autre baisé sur sa joue): ok mommy, je vais prendre une douche pour retirer cette odeur de femme que tu sens sur moi.
Elle: mstimmm
Je fais un clin d’œil à Armelika qui reste amusée. En allant à la douche, je remarque que la personne qui est passé avant moi n’avait pas nettoyé et essuyé les goutes qui restaient accrochées à la vitre de la douche, alors maniaque de mon état. J’ai passé un coup.
Oui j’avais horreur du tartre, de la poussière, des mauvaises odeurs, du désordre, des taches. Bref, de tout ce qui rendait une maison impropre. Alors je mettais un point d’honneur à ce que mon chez moi soit impeccable. Des toilettes à la salle de bain en passant par la terrasse et bien évidemment par la cuisine et le salon.
En dehors de ça, je détestais le mari de ma sœur : Guy-Orphée qui fit des avances à mère jusqu’à la peloter il y a 8 ans de cela alors que cette femme venait de perdre son mari. Puis il a jeté son dévolu sur ma cadette et lui a fait un enfant un an plus tard alors qu’elle était mineur et qu’elle venait d’avoir son baccalauréat. Du coup pendant deux ans, elle a arrêté ses études supérieures pour les reprendre et les finir en licence, trouver un travail et « s’occuper de son foyer », je n’étais pas du tout d’accord sur ce choix de vie et elle sur mon avis à propos de son choix de vie.
Quand je suis venue à Sacramento, ils étaient fiancé car Guy-Orphée avait demandé la main de Yaëlle à maman. J’ai beau eu appeler pour ne pas que se mariage se fasse.... menacer ce pédophile malheureusement aujourd’hui ça fait 5 ans que ma sœur porte son nom. Dès qu’elle a obtenu la majorité, elle est allée épouser l’homme qui a presque violer sa mère.
Pufff, rien que d’y penser, j’ai envie de lui casser la gueule.
En dehors de cet énergumène, ses deux fils aînés me sortent par les ports également : Guy- Paul et Guy- Manu, deux branleurs et deux tête de con. Mais bon, les chiens ne font pas des chats. Néanmoins, je deviens acerbe et vindicatif seulement quand il s’agit d’eux, en dehors de ça je suis quelqu’un de très jovial et de souriant. J’aime le sport que je pratique 6 fois par semaine, la bonne bouffe et par dessus toute ma famille. Ma mère Vicky, ma sœur aînée Armelika née d’une relation extra-conjugale de mon père il y a 28 ans. Ma mère l’a prise à la maison et l’a élevée comme si elle l’avait fait. Nous avons grandi ensemble et je ne fais aucune différence entre elle ou ma cadette de petite sœur Yaëlle-Emmanuella, 22 ans, que j’aime énormément également. J’adore mon neveu Guy-Keith que j’ai laissé au Gabon, il n’avait que deux ans. Il me manque et j’ai hâte de le retrouver. Et bien évidemment, cet autre partie de moi, ma moitié, mon autre moi, mon alter-égo, compère, partenaire, associé et bras droit. Ce double de moi. On a beau avoir des goûts, des idées, des envies différents mais l’on se complète. Tout ce que je ne suis pas il le devient et tout ce qu’il n’est pas je le deviens à mon tour.
Moi Aloïs-Laël et lui Alaël- Loïs. 25 ans et en parfaite santé, grâce à Dieu.
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Quand Alaël-loïs rentre il est 15 heures passé et après avoir reçu un savon de sa mère
Maman( quand il est rentré): je dis hein, tu sors et ce n’est qu’à cette heure ci que tu rentres tandis que ton autre frère est à la maison depuis. Ça fait deux ans on ne s’est pas vu mais depuis que je suis ici il n’y a que la semaine dernière où l’on a passé 24 heures ensemble. Depuis le début de celle ci, je ne vous vois que le matin, l’après midi et le soir qu’en éclaire ! Comme les go que vous allez fourrer sont plus importantes que moi.
On l’a écouté et promis de changer d’attitude pour le reste de son séjour ici puis nous sommes allés à la salle de sport
Alaël-Loïs(soulevant un altère): tu t’es décidé ?
Moi: nooooooon (essoufflé) pas encore
Je viens de terminer de faire mes 70 pompes. Je reste assis part terre, le temps de reprendre mon souffle.
Lui: tu hésites ?
Moi: il y a matière à, car d’un côté soit, je m’installe ici avec toi et le reste de la famille je les vois une fois sur deux.
Lui:
Moi: sois je rentre et c’est toi que je verrais une fois sur deux.
Lui: choix Cornélien
Moi: il n’y a pas moyen que tu descendes avec moi ?
Lui: je suis lié à des contrats ici au auxquels je ne peux déroger.
Moi: tu parles des officieux ou de Zara, H&M et consort ?
Lui: je parle des officiels, donc oui, Zara, H&M et depuis peu dans ce « consort « il y a eu Kooples avec qui j’ai signé pour un partenariat.
Moi(agréablement): wooo, Kooples ? Pourquoi tu n’as rien dit ?
Lui: j’ai passé ça sous silence car rien ne valait l’obtention de ton MBA, en tout cas pour le moment.
Mon frère posait pour des marques de vêtement depuis 6 ans qu’il s’était installé ici, 3 ans après la disparition de notre père. Il a été remarqué sur Instagram et une marque l’avait proposé un contrat de 3 ans et depuis 6 ans il travail pour H&M, entre temps il pose aussi pour Zara, Bocage, Sandro et maintenant Kooples ! Il gagne suffisamment bien sa vie pour ne pas vouloir descendre au Gabon. En tout cas pas pour le moment, comme il me le fait comprendre. Lui aussi après sa licence, il a arrêté ses études.
Quand tu viens d’avoir ton diplôme en droit mais qu’avant de rentrer en Mastèr une grande enseigne te contacte et te propose d’être logé nourrit aux États-Unis avec un salaire avoisinant les 30 millions de franc cfa par mois. Ton choix est vite fait !
Moi: okay, Armé et maman sont encore là pour deux semaines. Je me donne un mois pour me décider à rentrer ou pas.
Lui: peu importe lequel tu fais. Pense d’abord à toi et à tes objectifs personnels !
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Lui: viens l’on se fait un dernier selfie avant de prendre la route !
Moi:ok
Il lève son bras, je souris, pas lui. Puis en un clic sur son téléphone. Il nous prends en selfie.
>>>> A l’aéroport
Lui: bon ben.... tu fais un excellent voyage
Moi: prends soin de toi
Lui: idem pour toi.
Moi: toujours
Lui: sois cool avec ta petite. Papa lui manque, il nous manque à tous alors quand tu descends ne soit pas un tyran avec elle.
Moi: je ne vais l’être qu’avec son imbécile de mari !
Lui: ça revient au même, mais soit. Toi c’est moi et moi c’est toi. Tu deviens le seul homme de la famille sur place alors be cool, avec tout le monde, ok ?
Moi: je vais essayer.
Lui: viens par là
On se fait une accolade où il me tape dans le dos et je fais de même dans le sien. Puis il me prends par la nuque et colle mon front contre le siens
Lui: see you next time broda
Moi: see you next time broda !
>>>>> Au Gabon
Maman(criant et pleurant): arrête Aloïs-laël .... arrête de te battre
Yaëlle: il va tué mon mari oh.... appelez la police, il va tuer mon mari
Guy-Keith: papa.... sniffff papa
Armelika: Lo.... arrête ça s’il te plaît
Ni les cris et les pleurs de ma mère, mes sœurs et mon neveu ne m’empêchaient de lui défoncer sa gueule de rat
Moi(au dessus de lui): qu’est-ce que tu (un coup) me disait (un autre coup) au téléphone il y a 5 ans ( un autre coup) « fils de pute » « connard » .... (un autre coup de poing) n’est ce pas ?
Le visage ensanglanté, il ne paraît ni ne me rendait les coups que je lui donnais.
Lorsque je suis arrivé hier soir à Libreville, maman a organisé un brunch le lendemain dimanche chez elle, mais dès que j’ai aperçu son visage, je n’ai pas pu m’empêcher de lui mettre mon poing dans la figure. Et j’ai encore de la ressource pour ça.
Moi(l’empoignant): répète toutes les injures que tu me disais au téléphone..... comme tu pensais qu’on allait jamais se recroiser. RÉPÈTE ....... SALLE VIOLEUR et PEDOPHILE.
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