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Chapitre 7 Vous allez payer !

— Mathéo ! Je vais envoyer mon grand-père à l'hôpital. Appelle la police et bloque la ville. Nous devons trouver le tueur ! Alors je vais tuer ce type !

Sarah a rugi de colère.

Elle avait l'air faible, mais en fait, elle a grandi dans une famille de militaires et a appris à se battre quand elle était jeune. Maintenant, elle avait le visage enflammé de colère.

Mais Mathéo s'est déjà calmé.

Il a constaté que bien que Gilles fût dans le coma, sa respiration était régulière comme s'il dormait.

Il se souvenait des paroles de Travis avant de partir.

Hésitant un moment, il a dit :

— Mlle Sarah, cet homme n'est pas simple. Il sait que j'ai appris les Dix-huit tapes du dragon et que Maître Gilles s'est blessé en apprenant les vieux Sept Poings Forts. Il vient aussi de nord ?

Sarah était stupéfaite, elle a demandé :

— Alors pourquoi nous a-t-il demandé d'aller à la famille Lozier six heures plus tard ?

— Est-ce qu'il...

Mathéo avait une idée, mais il n'osait pas en parler.

— Mlle Sarah, il ne faut pas que quelqu'un d'autre le sache. Renvoyons Maître Gilles chez nous et parlons-en plus tard.

Sarah a acquiescé, mais elle a insisté :

— Je jure que je tuerai ce type si mon grand-père est vraiment blessé !

...

Travis a poussé le fauteuil roulant et a promené Chloé dans le parc. Avec la plante Yuzhu, il ne semblait pas avoir à s'inquiéter de l'état mental de Chloé.

Il a décidé d'aller au marché aux antiquités pour acheter du bon santal blanc, qui était utile pour le sommeil de Chloé.

Il s’est rendu dans le plus grand marché aux antiquités de la Ville Vibolsa.

Il n'était pressé d'aller dans aucun magasin. Au lieu de cela, il est allé voir les vendeurs sur le bord de la route.

Les bonnes choses ne se trouvaient peut-être pas dans les magasins mais chez les vendeurs à l’extérieur.

— Travis Thévenot ?

Il a soudainement entendu quelqu'un appeler son nom. Il s'est arrêté et s'est retourné.

— Travis ! C'est vraiment toi ! Tu n’es pas mort ! Quand es-tu revenu ?

C'était un jeune homme habillé luxueusement.

Il avait une coupe de cheveux à la mode et portait une montre en or. Dans ses bras se trouvait une femme coquette.

Travis a froncé les sourcils.

Il se souvenait de cet homme. Il s’appelait Denis Lozier.

Il était aussi un membre de la famille Lozier, mais il n'était pas de la lignée directe.

Après la nuit qu'il avait passée avec Chloé, cette dernière avait insisté pour l'épouser. Toute la famille Lozier s’était opposé à eux, sauf Denis.

A cette époque-là, Denis a travaillé pour Mila. Mila était gentille avec lui car il était de la famille Lozier.

Denis avait toujours flatté Chloé et Mila.

Cinq ans plus tard, Mila a déjà perdu son entreprise, mais Denis semblait vivre une meilleure vie.

Travis a cligné les yeux.

— M. Denis, c'est l’homme qui a épousé la plus belle femme il y a cinq ans ? Il aime tellement sa femme même si elle est déjà devenue inconsciente. Beau gosse, penses-tu que Chloé puisse se relever ?

La femme coquette a prononcé des propos acérés.

Elle n'avait été pas comparable à Chloé dans le passé ; mais maintenant, la femme la plus belle est devenue handicapée.

Elle a marché de façon coquette exprès.

Beaucoup d'hommes ont été attirés par sa silhouette sexy, ils ne pouvaient s’empêcher de la regarder.

Denis a ri. Il a tenu la taille de la femme et a dit avec complaisance :

— Travis, je te présent : c'est ma secrétaire. Si elle te plaît, tu peux l'avoir. Mais tu dois me donner le brevet de la Pommade Chloé de ta femme.

Travis a cligné les yeux :

— Tu connais aussi la Pommade Chloé ?

Denis a ricané :

— Mathis ne l'aurait pas su si je ne lui ai pas fait de rapport. Maintenant je suis le directeur général adjoint de l'entreprise de Mathis. Il veut obtenir la Pommade Chloé et il l'obtiendra.

La secrétaire lui a dit avec intension :

— M. Denis, vous devez plaisanter. Je n'irai pas avec un tel raté. Ce n'est pas un partenaire commercial important.

Denis l'a grondée :

— Tu auras 250 000 euros si tu peux obtenir la formule de la Pommade Chloé.

— Vraiment ?

Les yeux de la secrétaire se sont illuminés. Elle s’est dirigée vers Travis et a tenté de le séduire :

— Beau gosse, tu as une femme handicapée. Si je te plais, je peux te rendre service.

Puis elle a fait un clin d'œil à Travis.

Cependant, il s'est contenté de ricaner :

— Tu n’es pas qualifié pour te comparer à Chloé.

Il a agité la main négligemment.

Un vent violent a soufflé.

La secrétaire a fait un pas en arrière et a failli tomber. Elle a pâli d’effroi et a dit à Denis :

— M. Denis, vous devez le regarder. Il est féroce envers moi. Je ne ferai pas cette tâche.

Mais Denis n’a pas parlé. Elle a demandé avec curiosité :

— M. Denis, qu'est-ce qui ne va pas ? S'il vous plaît, dites quelque chose !

Les gens autour ont éclaté de rire.

Un vendeur lui a tendu un miroir et lui a dit :

— Regardez-vous.

La secrétaire s'est regardée dans le miroir. Son faux nez et son faux menton sont tombés.

Son visage était si horrible.

— Ah !

Elle a couvert son visage et s'est enfuie.

Les gens se sont tous moqués d'elle.

Quelqu'un lui a gentiment rappelé :

— Où avez-vous fait l’opération esthétique ? N'oubliez pas de leur demander une compensation.

D’autre personne a dit :

— Quel mauvais hôpital.

— Tu lui as fait quelque chose ?

Denis était embarrassé. Il s’est précipité vers Travis et lui a demandé avec colère.

Travis l'a regardé et a dit :

— Vous tous de la famille Lozier allez payer !

Puis il a ignoré Denis et a demandé au vendeur à côté :

— Laissez-moi regarder ce tableau.

Aux yeux de Denis, Travis devrait être comme un chien qu'il pourrait facilement intimider.

Cependant, il avait peur des yeux aiguisés de Travis.

Ils étaient comme des yeux de la mort.

Ce devait être son illusion !

— Comment peux-tu faire payer la famille Lozier ? Bien. Il y aura un banquet familial quelques heures plus tard. Nous t’attendrons !

Après avoir dit cela, il a hurlé au vendeur :

— Quel tableau ? Laissez-moi voir ! Si c'est vraiment précieux, je l'achèterai à un prix élevé !

De toute évidence, il voulait prendre le tableau.

Il voulait prendre tout ce que Travis aimait.

Travis ne se souciait pas du tout. Il a juste gardé un sourire froid.

Le vendeur a donné à Denis le tableau avec précaution et a dit :

— C'est un trésor de mon ancêtre. Mais je vais leur faire honte car je suis pauvre et je vais le vendre. Maintenant, je veux juste l'aider à trouver un bon propriétaire. Seule la personne qui connaît sa valeur peut l'acheter. Je ne le vendrai à personne d'autre, quel que soit le prix que vous payez.

Denis était séduit. Il s'est empressé de dire :

— Ne vous inquiétez pas. Mon grand-père aime surtout les tableaux.

Il pourrait être en mesure de satisfaire Severin avec le tableau. Cela déciderait de sa position dans la famille Lozier.

Par conséquent, il a été très prudent quand il a ouvert le rouleau de tableau.

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