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Chapitre7

CHAPITRE 7 LEÇON DE VIE

Couché sur le torse de mon mari, les yeux dans le vide je n'entendis même pas ce qu'il me disait, une heure plus tard.

- chérie tu dors?il glissa sa main sur ma cuisse,ses doigts se frayèrent un chemin entre mes cuisses et entreprirent de frôler le fin coton de ma culotte que j'avais Rémi une heure avant,ce qui me fit sursauter

- ouiiiiiiiiiiii, répondis-je d'une voix sourde.savourant ce jeu qu'il faisait de a main.Soudain sa main revint titiller l'intérieur de mes jambes, me faisant basculer dans un état second.IL se mit à caresser mes hanches et mon dos de son autre main,sans cesser de tourmenter la chair de mes cuisses je ressentis toute suite une vague chaleur se répandait dans mon bas-ventre.tremblante, je sentis une turgescence presser contre mon cul. Les doigts quittèrent mes jambes pour se faufiler sous ma culotte et s'enfoncer en moi, coulissant sans difficulté dans les plis lubrifiés de mon sexe. Je tentai d'étouffer un cri de plaisir en vain, j'étais toujours couché dos tourné à mon mari et lui me collait son sexe sur les fesses et me pelotait de ses mains.

Les doigts, qui me pénétraient profondément me faisaient bien trop d'effet.

Tout à coup, il fit glisser ma culotte le long de mes jambes. Je gémis violemment, et écartait mes jambes pour mieux le sentir en moi et savourer avec délice les bonheur que me procurait ses doigts dans ma croute bien lubrifié.Lorsqu'il fit glisser mon slip le long de mes jambes ,je ne protestai pas, me contentant de l'enjamber lorsqu'elle tomba sur le lit.Les doigts continuèrent l'exploration. puis mathis souleva mes fesses et colla son impressionnante érection le long de ma raie.

Son pouce qui avait massé mon clitoris, se dirigea alors vers mon trou arrière. Choquée, je sursautai,et le retira doucement facon de lui signifier que j'étais pas prete pour une sodomie.Je n'avais pas envisagé qu'un homme puisse s'intéresser à cette partiede mon anatomie.Il me chuchota doucement à m'oreille

- Laisses toi aller mon coeur je serai très délicat,et je voudrais te faire découvrir d'autre sensation juste un doigt

- Non chéri désolé

- ok

Des lèvres se posa sur ma nuque, chacune de mes respirations avait désormais des allures de gémissement et je soulevais les hanches dans un besoin éperdu d'être prise.Il eut beau m'agacer tous les sens de ses doigts, il réussit à retarder l'arrivée de mon orgasme.un maitre à la matière mon mari.qui savait comme personne alterner excitation et frustration, souffler le chaud et le froid ce qui me rendait dingue, avant même que je ne comprenne ce qui se passait, une langue humide vint lécher les recoins de la partie la plus intime de mon corps. Lorsqu'elle s’enfonça dans mes intérieurs ruisselants de plaisir,je poussai un cri de bonheur, aussitôt suivi d'un second alimenté par les caresses prodiguées par mon chéri, doigts devant langue en bas ce mélange me fis perdre la raison. Je jouis bruyamment sans parvenir à contrôler les cambrures de mon corps, insouciant, des rayures que j'infligiais au corps de mon chéri.

L'instant d'après, mon mari glissa sa longue queue entre mes fesses.Ses doigts élargirent le passage avant d'être soudain remplacés par sa verge épaisse qui me pénétra. De son bras puissant, glissé sous mon ventre, Mathys me souleva afin de mieux s'enfoncer en moi, et je geignis.puis il se retira, revint en moi,Détendant et électrifiant mes chairs tendres.Étant ENCORE en plein dedans de mon orgasme , je haletais et pressais mon cul contre lui avec frénésie.

- Chérie QUE TU ES BONNE

- ouiiiii? tu aimes ça

- j'adooore.

Ses puissant va et vient m'obligeaient à m'accrocher sur le rebord du lit. Tout à coup il saisit ma nuque et tira ma tete en arrière pour l"ppuyer contre mon épaule. J'arrivai à peine à respirer , mais un second orgasme me submergea et je hurlais ma jouissance.

Je baissai la tête, épuisée. ses dents me mordillaient ma nuque puis descendaient le long de la courbe de mes épaules. la douceur de ses lèvres contrastait avec la brutalité de ses coups de boutoir et j'adorais ca. Comme j'adorais qu'il m'impose son rythme et qu'il ait le http://xn--contrle-x0a.il/ émit un grognement , frissonna ses vas et vient s’accélèrent et il jouit en moi dans un cri de bonheur.Il me coucha sur le lit délicatement et s'allongea sur moi.Ensemble , nous reprîmes notre souffle.

- Chéri, tu vas me tuer ce weekend.

- Oui , c'est le but nom.

Ainsi se déroula tout notre séjour, c'était divin. on ne pensa pas au boulot, à rien juste de prendre du bon temps en couple.j'étais heureuse et chassa toute mes http://xn--apprhensions-eeb.il/ avait reconquis mon cœur...

Deux mois plus tard; il m’annonça que les affaires ne donnait plus. les partenaires voulaient plus investir il allait sombrer, on essayait de sa battre pour pas que ca arrive. Mathys travaillait jour et nuit. pour finir un an après on était obligé de fermer. vendre le capital et moi de démissionner une fois plus. avec les primes la on rassembla tous cette argent et, j'allais encore voir mon oncle pour lui demander de l'aide mathys voulait ouvrir une compagnie d'assurance avec moi comme DGA.

J'étais plutôt partante pour cette affaire. on se mit au travail, cherchant des partenaires, pour avoir le capital, les locaux, le nom on bossait dur pour y parvenir et ca déteignait sur nos enfants qui nous voyait vraiment très peu. Maman , meme se plaignait de ne pas me voir. c'était infernal. on réussi à ouvrir notre agence d’abord très timide, les début étaient difficile mais on s'accrochait.

Les amis avec qui on trainait nous avait lâché, car il n'avait plus de moyens pour jouir ensemble de joies de la vie.

Maman venait souvent nous voir en apportant des vivres du village c'était dure très dur. je dus partir de plusieurs associations ou j'étais par manque d'argent.J'avais vendu trois voitures pour pouvoir survivre.

C'était dur...

BISOUS à tous

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