CHAPITRE 1 : La femme du voisin me regarde
Dans la vie, quand tu ne cherche pas de problème, ce sont les problèmes qui vous cherchent. Je suis conscient de cet ordre d’idée et c’est pourquoi je préfère chercher les problèmes que laisser les problèmes venir me chercher. Parce que quand on cherche soi-même les problèmes, ils ne pèsent pas beaucoup sur notre compte. Mais lorsque nous fuyons les problèmes et ils nous recherchent eux-mêmes, je vous jure que c’est le pire.
Bon, bref, c’est pour dire que moi, personnellement, j’aime les problèmes. Mais pas tous les problèmes.
On m’appelle Michaël. Je suis âgé de vingt-cinq ans seulement. Comme vous pouvez le savoir vous-mêmes, je suis encore célibataire. Qu’est-ce que je peux foutre avec une femme à cet âge ? Ah non, je ne suis pas encore prêt pour aller vendre l’une des parcelles de mon père pour doter une femme qui, pire, viendra manger pour moi inutilement. Mais cela ne veut pas dire que je n’ai pas de petite amie ! Ah non ! J’en ai une ; une qui vient et que je baise bien. On l’appelle Marisol. Cette jeune fille, elle est tellement fan de ma banane qu’elle abandonne même parfois les cours pour venir passer ses heures de cours dans ma chambre. Enfermés dans notre chambre que j’ai louée dans une grande cour, elle et moi baisons correctement. Parfois, de huit à dix heures, nous baisons jusqu’à deux fois ; parfois, nous triplons même ! Non, Marisol adore ma bite. Et moi aussi, j’admire tellement ses seins que lorsqu’elle entre dans ma chambre et enlève son uniforme scolaire et se met en soutif, mes yeux commencent à briller et mon cœur commence à sauter sur ma poitrine. Quand je la regarde également dans son slip, mon pénis commence à lever la tête.
Disons que cette jeune fille au teint clair me donne envie. Lorsque je la touche par la hanche, je vous jure que je suis très heureux. Marisol m’offre régulièrement son corps si bien que je me moque du mariage. Qui suis-je pour me marier là où tout devient cher de jour en jour. Même sans me marier, je vis d’une vie de couple. Dans ma chambre, il y a de la casserole ; une belle marmite ; des bols ; une poêle pour faire de l’omelette. Chaque mois, je fais du ravitaillement. Ce qui veut dire que dans ma chambre, il y a du riz cru ; de l’huile d’arachide ; des spaghettis ; des tomates en boîte ; du haricot ; du cube ; du piment en poudre et presque tout ce qu’il faut pour avoir un menu. J’ai aussi du lait, du café et du Milo. C’est même la raison pour laquelle Marisol vient régulièrement à la maison. Quand elle vient, nous baisons d’abord une fois. Ensuite, elle active le gaz et prépare un bon mets. Nous passons à table quand c’est cuit. Nous mangeons bien mais pas avec exagération parce que nous pensons au deuxième tour de notre baise. Ou bien quand le ventre est trop rempli, arrive-t-on à bien baiser ? Pour les expérimentés en baise, ils savent de quoi je parle.
Je me rappelle un jour, Marisol a tellement mangé que lorsque je l’ai prise au lit, en la baisant avec toutes mes énergies, j’entendais son ventre dire : « boum-boum-boum », parce qu’elle avait bu beaucoup d’eau. Puisque le ventre grouillait, je n’avais pas eu l’esprit tranquille de bien la pomper. Depuis ce jour, nous nous sommes entendus sur un point ; celui à ce qu’elle ne boive plus exagérément d’eau.
Bien, je vous ai déjà dit qui je suis et comment on m’appelle. En résumé, on m’appelle Michaël et j’ai vingt-cinq ans ; je suis célibataire qui ne manque de baiser. Je suis souvent calme chez moi quand la femme m’apporte le vagin. Pendant que certains hommes courent après les femmes avec des supplications, chez moi c’est le contraire. C’est calmement on m’apporte ça. Je rosse ça correctement et que je suis bien satisfait, on retourne ça et quelques jours plus tard, on me le ramène encore. Je suis plus que le fils du président. Ah oui ! N’est-ce pas derrière le fils du président que toutes les belles nanas courent ? Mais moi, un pauvre étudiant qui se débrouille, la femme m’apporte son joli corps et je le caresse correctement avant de le trouer.
J’ai oublié de vous donner ma localisation géographique.
J’ai loué dans une grande maison ; une maison qui compte au total dix portes. Chaque jour, chacun vaque à ses occupations. Je parle de mes colocataires bien sûr ! La plupart sont des célibataires bien sûr. Il y a au moins trois colocataires qui sont des enseignants. D’autres ont des boutiques dans la ville. Brièvement, presque six portes restent fermées toute la journée. La mienne, je la ferme volontairement. Je suis un étudiant mais je n’aime pas trop l’histoire du campus. J’y vais deux voire trois fois seulement par semaine. Je me concentre sur la rédaction de l’article de mes clients. Oui, je suis un rédacteur web. Avec mon ordinateur et mon téléphone, je travaille mon cerveau et je gagne mon pain quotidien. Parfois je me fais 30.000f par jour et parfois au-delà ! Ce qui fait que je ne me plains pas. Mon loyer s’élève à 20.000f le mois. Je le paie sans gratter la tête parce que j’ai de l’argent.
Quand je veux sortir, je m’habille bien ! J’ai des chaussures en pagaille. Des jeans, n’en parlons pas. J’ai de jolies lunettes et de jolis bracelets. Les montres-bracelets, j’en ai assez. J’ai également des casquettes et quand je les porte, je suis plus qu’un célèbre artiste.
J’aime tellement la propreté que je garde ma chambre toujours propre. Dans mon salon, il y a les divans ; un géant écran plasma ; un ventilateur et un appareil de sonorisation. Il y a aussi une moquette bien jolie. J’ai également deux grande armoires qui souhaitent la bienvenue à quiconque qui entre dans mon salon.
Disons que je suis frais, point.
Quand je sors de ma chambre, je fais tellement le sérieux que je n’aime dire même bonjour à personne parce que je sais au plus profond de moi que j’ai presque tout et rien ne peut jamais me manquer jusqu’à ce que j’aille frapper à la porte de quelqu’un. J’ai l’argent et avec l’argent, je peux tout avoir.
Dans la maison, il y a une femme ronde ; non, elle a forme Coca-Cola. Si vous la voyez, non, vous serez aussi fan d’elle. Je suis tombé fan d’elle mais attention ! C’est la femme d’un militaire. C’est surtout la fonction de son mari qui a déprogrammé mon fan. Moins-un avec un monsieur qui est du service militaire, ta vie est foutue. Pour cela, même quand je la vois et que mon cœur saute et vibre à la fois, j’essaie de ne pas la voir. Mais voilà depuis trois jours, je constate que cette belle nana qui est sous le toit d’un militaire me regarde.
Ce matin encore, je suis sorti de la chambre par exprès pour aller au WC, la voilà debout sous la véranda en train de me regarder. Comme d’habitude, j’ai baissé ma tête parce que je peux avoir de problème avec tout le monde excepté un militaire.
– Bonjour tonton, ai-je entendu.
J’ai tourné la tête et mon regard a croisé celui de cette jeune femme à la forme Coca-Cola. Autour de ses lèvres, il y avait un sourire silencieux et rayonnant.
– Bonjour madame, ai-je répondu.
La jeune femme n’a pas arrêté de me sourire. J’ai continué mon chemin vers les WC. J’ai ouvert la porte de l’un et me suis glissé dedans. J’ai fait mon besoin et je suis ressorti. À ma grande surprise, j’ai croisé la jeune femme avec son bouloir calé dans la main gauche et qui se dirigeait vers les WC. Sur le point de se surpasser, elle m’a souri et m’a dit : « Vous n’êtes pas sorti aujourd’hui ? »
Je me suis arrêté et lui ai répondu : « Mais je ne suis pas dans la chambre ! »
– C’est vrai ! Je demandais si vous n’êtes pas allé en ville aujourd’hui.
– Ah d’accord ! Je vais y aller mais ce sera dans l’après-midi.
– Ah d’accord ! Mais dites-moi, toutes les chaînes de votre canal plus travaillent ?
– Bien sûr !
– C’est étonnant que chez moi, toutes les chaînes ne soient pas fonctionnelles.
– Ou bien vous n’avez pas renouvelé l’abonnement ?
– Si ! Avant-hier tout près là !
– Et pourquoi ce dérapage !
– Je ne sais pas ! Sinon, il y a une série que je n’aime pas rater et vu que la chaîne sur laquelle je suis cette série fait parties des chaînes qui ne fonctionnent pas, je suis sûre que je raterai cette série aujourd’hui.
– Vraiment ? Et vous connaissez le nom de la chaîne ?
– Bien sûr !
– D’accord, et elle est déjà passée ?
– Pas encore ! Elle commence à dix heures et il n’est que neuf heures actuellement.
– Ah d’accord ! Dans ce cas, si ça ne vous dérange pas, vous pouvez venir la suivre sur mon écran téléviseur.
– Vraiment, merci ! Je ne sais comment vous remercier, tonton ! Un instant, j’irai rapidement à la selle et au retour, je vais rapidement me laver et venir.
– Il n’y a pas de souci, madame…
– Exception ! Je suis mademoiselle…
– Au temps pour moi ! Sinon vous êtes mariée !
– Évidemment ! Mais je n’ai pas encore d’enfants ! Donc je suis encore jeune !
– C’est vrai ! ai-je répondu tout sourire. À tout à l’heure !
– Oui, à tout de suite !
Et sur le visage de la mademoiselle mariée, je lisais une profonde joie.
Qui suis-je pour refuser d’allumer la télévision à une belle femme comme ça ?
Je me suis dirigé vers ma chambre. Rapidement j’ai regardé ce que je dois placer ou déplacer pour que ma chambre soit bien appréciée. Ensuite, j’ai pris du déodorant et j’ai parfumé toute la chambre. Du salon jusqu’à la chambre à coucher. J’ai disposé chaque chose à sa place.
Rapidement, je suis allé me laver aussi et me suis bien habillé. J’ai allumé l’appareil de sonorisation et j’ai mis une douce musique. J’ai légèrement mis le volume parce qu’il faut que lorsque la sonnerie va retentir, je puisse l’entendre.
Je suis dans la chambre lorsque la sonnerie a retenti tout à coup. J’ai levé les yeux vers ma montre murale et j’ai vu : 10h00.
C’est LA FEMME DU VOISIN, pas deux.
