#Chapitre 5️⃣

A 6h30 min du matin, le réveil de mon téléphone me fit émerger de mon sommeil léger. Je n'ai jamais été aussi surexcité de me réveiller depuis déjà 2 ans.

C'est en m'etirant que je rejoignis la douche et a peine ai-je eu le temps d'en sortir que j'entendis toquer a la porte. Vu que j'avais mis ma peignoir sur moi , je dis a la personne d'entrer.

- bonjour mon chéri. Fit Ami en entrant avec un plateau de petit déjeuner.

- bonjour bébé. Comment sais-tu que je sais-tu que je suis debout.

- je ne le savais pas mais il fallait que je profite de ce moment pour t'amèner le petit déjeuner. M'embrassa t-elle après m'avoir posé le plateau pour prendre l'autre d'hier soir.

- merci beaucoup. Tu es un ange .je dois aller passer un entretien d'embauche c'est pourquoi je me suis levé aussitôt.

- ah d'accord. Je te souhaite bonne chance alors. Repond t-elle avec un sourire soutenu.

Elle était sur le point de monter les escaliers quand je l'attrapais par le bras pour l'embrasser. Bah quoi ? Il fallait que je reste crédible.

- je t'aime Ami. Je n'arrive pas a croire que désormais toi et moi sommes en couple.

T'imagine même pas comme je suis heureux. Fis je rangeant une touffe de ses longs cheveux derrière son oreille.

- xa me fait beaucoup plaisir mon amour. Je t'aime. Passe une bonne journée

- A toi aussi ! Répondis-je en l'embrassant sur le front avant de la prendre dans mes bras.

CONSCIENCE : A noter : aucun détail ne doit être négligé. Aucun.

Quand elle s'en alla , je pris mon petit déjeuner avant de m'habiller en un costume noir élégant, je me vaporise devant le miroir, le résultat était a coupé le souffle. Malgré la grande table de mon Smoking, il moulait carrément tous mes biceps et ressortait ma carrure parfaite.

Je pris mon sac a main de travail pour y fourrer mon CV et l'ensemble des copies de diplômes que j'ai acquis .

Cependant au moment de sortir, je me rappelais que je n'avais même pas un sou en poche et l'entreprise est 40 minutes de marche ve qui veut clairement dire que je serais en retard.

Je dépose donc mon sac pour monter à l'étage pensant que Ami pourrait me financer.

- salut ! Ou est Ami ? Demandais-je a Dada, la femme de ménage .

- elle est marché ! Me répond t-elle sèchement de son accent anglais.

- pourquoi vous êtes tous méchantes avec moi?

- nous sommes méchantes . La patronne nous a donné une ordre te concernant, c'est ce que j'essaie de...de... d'appliquer.

- D'accord. Je suis ravie que ce ne soit pas volontaire. Est-ce que je...je...peux te parler en privée ? Profitais je de l'absence de son amie .

- nous sommes seuls. Déclara t-elle.

- je sais mais on peut nous surprendre à tout moment.

- bon...ok... dit-elle en levant pour la première fois son regard sur moi.

Elle prit énormément de temps avant de détacher son regard sur moi. Façon ça ne me surprend pas qu'elle ait autant de mal a cacher le fait que elle me regarde en me détaillant de haut en bas. Sans vouloir être méchant, elle ne me semble pas être une fille difficile a avoir de un par son comportement et de deux de part sa façon de parler. Après je peux bien me tromper hein car c'est juste mon avis.

- tu me suis? Souriais je face a sa réaction.

- D'accord.

Je l'emmenais jusque dans ma chambre avant de fermer a tour de rôle.

- Qu'est-ce que tu fais ? Questionne t-elle de façon choquée.

- ose dire que ce que je ressens pour toi n'est pas réciproque Dada? Fis je en la propulsant légèrement sur le mur avant de me coller a elle pour poser mes mains sur sa taille.

- tu ressens quelque chose pour... pour moi...?

- oui chérie . C'est exactement ce que je viens de dire. J'en ai marre d'attendre et de cacher ce que je ressens pour toi. J'en peux plus, ca devient beaucoup trop difficile de te voir sans t'approcher et sans te prendre dans mes bras. Expliquais je en lui faisant une série des bisous des son cou.

- c'est vrai ? S'émerveilla t-elle.

- oui. Tu veux que je te le montre?

- hum. Souria t-elle.

Je pris ça comme un feu vert raison pour laquelle je l'embrassais immédiatement après. Contrairement à Ami qui était très douce, patiente et réticente , Dada ne rata pas de temps a vouloir m'enlever mon costume.

- Wow. Wow. Wow. Attends. Fis je en l'arrêtant.

- quoi ? Demande-t-elle comme si elle ne comprenait rien.

- Qu'est-ce que tu fais comme ca? Clignais je des yeux.

- je...je...

- tu es vierge? La coupais-je dans son bégaiement.

- Bien-sûr que non. Dit-elle comme une évidence.

- D'accord. Je vois . Je comprends. Fis je sans grande surprise en hochant la tête.

- Qu'est-ce que tu as?

- je suis un peu déçu mais bon cava. Mentis-je en me détachant d'elle pour m'asseoir sur le lit.

- pourquoi ?

C'est en levant les yeux sur elle que je ne pu m'empêcher d'affirmer qu'elle était vraiment très belle physiquement.

Une forme a faire dompter n'importe quel homme. Finalement je crois que je suis vraiment déçu de ne pas être le premier à goûter à ça.

- Bah tu sais je me disais que... que... tu étais vierge et que je serais le premier homme mais là quand tu m'apprends que ce n'est Pas le cas, ca me fait mal car je te désire tellement que je ne sais pas si je pourrais passer au dessus du fait que tu aies un homme avant moi.

- Momo c'est peut-etre parce que de là où je viens , la virginité ne compte pas plus qu'un chewing-gum enfin je veux dire particulièrement dans la famille où je vis . Raison pour laquelle notre vision des choses est assez différente . C'est quand je suis venu au Cameroun que j'ai compris qu'en réalité la meilleure chose était de la garde pour mon mari mais le mal est déjà fait. Hausse t-elle les épaules. So, I am sorry.

- tu es d'où ?

- Au Nigeria, de Lagos.

- Ah je comprends mieux pourquoi tu es si magnifique et que tu as ce beau accent. Souriais je ravi. Viens ! Lui tendis je la main qu'elle saisissa immédiatement avant de s'asseoir sur mon genou.

Elle passe son bras derrière ma nuque avant de me regarder.

Je sens que la vie belle avec cette femme. Je le sens.

- depuis quand tu es au Cameroun ? Tu peux me parler un peu de toi et pourquoi tu es venue ici?

- eh bien je suis ici depuis déjà 5 ans , je suis venue au Cameroun avec ma mère car elle s'est mariée a un homme Camerounais . Mon vrai non c'est Damond Okeke et j'ai 22 ans .

- pourquoi tu travailles ici en tant que ménagère ?

'- ah ça c'est seulement temporaire, je vais arrêter très bientôt.

- et avec d'homme tu as...

- ne me pose pas cette question. Me coupa t-elle.

- je veux juste savoir.

- je l'ai fait qu'avec mes copains . J'en ai eu 3

- putain !!!! Fis je en cachant mon visage.

sincèrement ca commence a me faire vraiment mal , ce n'est plus de la comédie car Dada me plaît beaucoup. En dehors de la raison pour laquelle je veux la draguer , j'aimerais vraiment avoir du sérieux avec elle enfin pour l'instant car Ami aussi j'aimerais du sérieux... bon c'est mieux si j'arrête de penser car apparemment je ne dis que du n'importe quoi.

- quoi ? Rigola t-elle en enlevant ma main de mon visage.

Très beau sourire.

- tu as couché avec 3 hommes mais tu es sérieuse ?

- oui malheureusement . Avoua t-elle tout d'un coup avec une once de honte.

- alors je serais le dernier enfin si j'arrive a accepter que 3 hommes t'ont touchés . Soupirais je.

- le dernier tu dis?

- oui Dada, le dernier.

- alors tu veux réellement que l'on se mari toi et moi ?

- quoi...euh... oui Bien-sûr que l'on se mari . Me rattrapais je aussitôt. Cependant je veux que tu saches que tu es a moi a partir d'aujourd'hui et dès l'instant même où je te parle , D'accord?

- tu ne demandes pas si je suis célibataire ?

- je m'en fou . Avouais-je. Sache que tu es a moi que tu sois célibataire ou en couple. Je te vois avec un autre je le tue puis toi je te kidnappe . Tu es a moi et tu es moi et tu es mon Damond a moi seul. Il ya pas de place pour un autre.

Elle sourit après mon monologue.

CONSCIENCE : les femmes aiment un homme autoritaire, possessif et jaloux.

- so , on est en couple ? Me demande t-elle en me tendant son petit doigt.

- En couple. Enlacais je ce dernier puis je l'embrassais avant de la faire lever de mon genou.

- j'ai un entretien a passer ! Lui dis-je en me mettant debout pour arranger mes habits et ma cravate devant le miroir après avoir regarder l'heure qui affichait 7h25 min.

- ah mais c'est super. Se réjouit elle.

- oui au fait j'aimerais que notre relation reste secrète dans cette maison. Tu ne le dis même pas aux autres ménagères D'accord ?

- oui je ne vais pas te demander pourquoi car je te comprends. Il ya ton père , ta belle-mère et puis ménagères qui répètent tous a la patronne.

Je souriais ardemment en remarquant que Ami n'avait elle aussi rien dit de ma relation avec elle. Ca sera plus facile de les duper si elles se taisent à l'unanimité concernant mon sujet.

- bien, tu es compréhensive j'adore ça.

- merci.

- est-ce que je peu avoir un billet de 2000f pour le taxi s'il te plaît. Je te rembourserais si Bien-sûr je suis embauché et que je reçois mon salaire In Sha Allah.

- Bien-sûr que oui. Dit-elle en sortant de son jean , un porte-monnaie avant de me tendre un billet de 5000. Je te l'offre. Ajoute t-elle.

- je te revaudrais ça bébé. Lui fis je un baiser sur le front. Je n'arrive pas a croire que désormais toi et moi sommes en couple.

T'imagines même pas comme je suis heureux. Répétais je la même phrase que j'avais dit a Ami. Jr t'aime tellement.

- I love you too. Bon il faut que jy ailles avant que l'on ne se doute encore plus de mon absence. Avant ton retour j'essayerais de faire le ménage dans ta chambre.

- sans que personne ne te voit hein ?

- comptes sur moi. Me fit t-elle un clin d'œil.

- bonne journée ma chérie. Lançais je pendant qu'elle sortait de ma chambre sur la pointe des pieds.

J'ai la cuisinière et j'ai la femme de ménage , il ne me manque plus que la lingère ensuite une fois que j'aurais reçu mon salaire, que j'aurais gagné le respect dans cette maison, je les enverrais tous les trois chier puis je me trouverais d'autres proies proies.

En tout cas ça dépend du temps et du climat donc on verra ce que l'avenir me réserve !

- bon assez perdu du temps ! Soufflais je en prenant mon sac pour sortir de la maison a toute vitesse. Heureusement pour moi je trouvais aussitôt un taxi et en moins de 20 minutes, j'étais déjà devant l'entreprise. En sortant du véhicule , je repassais ma main sur mon costume pour parfaite d'avantage mon habillement.

Ni une , ni deux j'entrais dans la magnifique entreprise Commercial et Industrielle du Camerounaise. Mon premier impression fut la haute sécurité qui y régnait, il y a avait plusieurs gardes à l'entrée ainsi qu'un nombre indéfini de caméra. J'imagine donc que j'aurais un salaire remarquable si je fais du bon travail.

- bonjour !

- bonjour Monsieur ! Me dit la secrétaire qui m'a été indiqué.

- est-ce que je peux parler a la directrice

- vous avez un rendez-vous ? Questionna t-elle de façon séduisante.

- oui en quelques sortes. Répondis-je froidement.

- votre nom ? Demanda t-elle ensuite en comprenant que je suis pas dupe .

- Momo Diop.

- D'accord. Je vais appeler ma patronne ! Fit elle en composant le sur le téléphone fixe pendant que je scrutais la pièce. Vous pouvez y allez

- merci .

Sanq me faire prier j'allais toquer devant la porte.

- entrez!

C'était une femme de grande taille et elle était imposante physiquement grâce a ses jolies courbes sans oublier sa peau d'or éclatante ainsi que son très jolie visage parsemé de maquillage simple qui lui allait a ravir. J'étais estomaqué car elle était tout a fait mon genre de femme. Cependant faut pas oublier ce pour quoi je suis là et malgré mon faible pour elle , je n'allais pas le lui montrer enfin maintenant.

- bonjour ! Dis-je d'un ton superbement professionnel.

- bonjour asseyez-vous!

- Merci bien.

- mon oncle m'a parlé de vous hier soir. Il m'a dit que vous pouvez faire un bon boulot au sein de mon entreprise .

- c'est exact! Hochais je la tête.

- je peux voir votre CV?

- Bien-sûr. Lui tendis je ce dernier.

- hum meilleur de sa classe et meilleur de sa promotion. Je dois avouer que je me demande comment pouvez vous avoir un CV pareil sans que les entreprises ne vous dispute.

- je vous remercie pour votre compliment madame .

- c'est mademoiselle Ndiaye. Lorsque mon père était en vie c'est moi qui 'occupait le poste de DG de cette entreprise et maintenant qu'il est décédé...

Elle pris une pause comme pour éviter de pleurer avant de souffler.

- maintenant qu'il est décédé, je...je...suis dans son bureau ,celui du PDG . Ca fait déjà des jours et des jours que je cherche une personne apte a occuper mon ancien poste mais aucun d'entre eux n'est en mesure pour ca.

- vous sous-entendez que je vais occuper le poste de directeur Général ?

- oui , tous laisse croire que vous avez les compétences, ou je me trompe ?

- pas du tout mademoiselle Diop.

- ok néanmoins vous allez passer un stage de une semaine.

- mais je n'ai pas besoin de faire un stage, j'en suis capable, j'en suis capable, je...

- vous.allez.faire.un.stage.d'une.semaine. prononça t-elle mot pour mot de façon radicale.

- D'accord .

- et que ce soit la dernière fois que vous me coupez la parole. Est-ce bien clair?

- oui très clair. Rétorquais je.

- bien, je disais que vous allez passer un stage ou plutôt un test afin que je vois la façon dont vous allee travailler dans cette entreprise. Une fois a la fin de semaine In Sha Allah, je prendrais la décision soit de vous prendre soit de vous rejeter. Tout repose dans vos mains monsieur Diop.

- je me soumets a votre entière décision mademoiselle Ndiaye .

Elle hocha la tête en appelant sa secrétaire par le biais de son téléphone fixe posé sur sa table pour lui dire de venir.

- Fama montre a monsieur Diop le bureau de DG et explique lui ce qu'il a à faire. Il y est pour un stage d'une semaine dont je me chargerais personnellement de vérifier le fonctionnement.

- tout de suite mademoiselle . Veuillez me suivre monsieur s'il vous plaît. Me dit la secrétaire .

- je vous suis.

Elle m'amena jusque dans un bureau super spacieux avec une autre pièce dedans me servant très certainement de magasin ou de bibliothèque à dossier .

- tout a été nettoyé ce matin. Dit-elle lorsque elle me vit toucher la chaise pour voir s'il y avait de la poussière vu que je ne supporte pas la saleté.

- D'accord. Et que sont ces dossiers ?

- ce sont des dossiers a traiter aujourd'hui pour convaincre l'entreprise de la Camerounaise de l'automobile de coopèrer avec nois concernant notre projet d'officialiser notre commerce international .

La réunion se tiendra au plus tard avant la fin de la semaine.

- si je comprends tout à été prévu pour moi.

- oui. Je serais pas loin si vous avez besoin de moi ou si vous avez une question.

- merci mais ça sera tout. Posais je mon sac.

- voulez-vous du café ou du thé.

- non , j'ai déjà pris mon petit déjeuner. Merci quand même.

- A la pause. Ca vous dit si l'on déjeune ensemble ? Force t-elle toujours.

- écoutez moi mademoiselle je ne sais pas ce que vous avez derrière la tête mais je tenais à vous dire que j'ai passé deux ans à chômer avant d'obtenir un poste comme celui ci.

Et D'ailleurs je ne l'ai pas encore obtenu car voyez vous je suis en stage. Tout mon avenir et ma vie dépend de ce travail alors je ne vais sûrement pas faire le con en jouant un jeu de séduction maintenant que je suis si près du but D'accord ?

- ah ça oui je le comprends. Raison pour laquelle je vous propose de déjeuner ensemble pendant la pause. Vous savez on est libre pendant ce moment là.

- bon bah d'accord alors. J'accepte votre invitation.

- cool a tout a l'heure. Passez une bonne journée

- a vous aussi.

Une fois sein, je me mis aussitôt a travailler sans réfléchir. Je réfléchissais a fond pour donner le meilleur résultat de moi même comme je l'avais toujours fait aux études. Comme j'avais l'habitude de le faire, je fis trois exemples puis je pris le meilleur avec de le perfectionner d'avantage.

Je réfléchissais , je faisais des vas et viens puis je gommais et j'écrivais : telle était mon fonctionnement et pourtant je le faisais avec grand plaisir malgré que cela soit fatiguant.

Il fallait que je me démarque aujourd'hui même de part mon professionnalisme et de mon intelligence

- xa fait déjà 20 minutes qu'on a prit une pause.

- je suis désolé mais je ne pourrais pas déjeuner avec vous aujourd'hui.

- mais pourquoi?

- j'ai troo de chose a faire et a refaire. Fis je en levant la tête sur elle, vu sa déception j'essayais de me rattraper même si a vrai dire cette femme ne me plaisait pas du tout bien qu'elle soit charmante. Mais cependant je vous promets un dernier un de ses jours.

- sérieux ?

- oui. Dis-je simplement.

- D'accord. J'attendrais . Repond t-elle en sortant puis elle entra a nouveau avant de membrasser profitant de ma stupéfaction.

Non mais je rêve !! Il va vraiment falloir que je lui trouve un copain a celle-là.

- stop ! Larretais je. Mais qu'est-ce qui vous arrive enfin ? Vous êtes dans mon bureau , vous ne pouvez pas vous permettre ce genre de chose. Nous risquons tous les deux notre poste.

- je...je...suis... désolée.

- sortez s'il vous plaît !!

- je...

- je veux que vous sortiez de mon bureau ! Commençais je a m'énerver.

Deux heures plus tard j'avais enfin terminer de rédiger les dossiers. Je regardais la montre et vit que cela affichait 16 heures , je me levais donc pour montrer à mademoiselle NDIAYE ce que j'avais fait aujourd'hui lorsque j'entendis toquer a la porte.

- entrez !

- la secrétaire m'a fait savoir que vous n'êtes pas sorti pour la pause déjeuner.

Elle était vraiment superbe cette femme je veux dire au delà de son caractère merdique d'où je me demandais si elle était vraiment comme ca ou c'est seulement pour le travail parceque je n'aime pas du tout ce genre de comportement surtout quand il s'agit d'une femme. Bref elle portait une jupe tailleur rouge et un chemisier blanc avec des escarpins noirs. Elle était a coupé le souffle , sans oublier sa jolie perruque qui oui arrivait jusqu'à la taille et qui lui donnait un air rebelle.

- oui il fait que je termine cela. Je ne suis pas du genre a aller prendre un verre quand j'ai un travail a faire. Expliquais je.

- je vois ça. Où en êtes vous ?demande t-elle en croisant les bras.

Mamamia !! Hurlais je au fond de moi.

- je viens de les terminer. J'étais sur le point de vous les amener d'ailleurs .

- c'est pas nécessaire, faites les envoyer directement à l'entreprise de l'automobile Camerounaise et on verra s'ils répondront.

- j'ai l'impression que vous n'êtes pas convaincu de mes compétences

- xa fait déjà 2 fois qu'on leur envoie une demande de coopération donc ils ont jamais répondu. Dit elle de façon déçue.

- jamais deux sans trois.

- j'espère que se sera la bonne. Vous descendrez du travail a 18 heures au même tire que tous le monde tant que vous serez en stage.

Lassé d'entendre ces même paroles, je ne lui répondais pas car a la fin ca devenait agaçant donc je sortais du bureau pour expédier les dossiers la laissant seul. Ceci étant fait, je retournais dans mon bureau et heureusement qu'elle n'y était pas.

Puis comme je n'avais rien a faire, je décidais d'aller prendre un café en bas et je fus surpris de voir Issa entrer dans l'entreprise tenant à la main un bouquet de fleurs de Ivs blanc et rouge. Je cachais de façon à ce qu'il ne me voit pas avant de le suivre et je fus surpris de le voir entrer dans le bureau de mademoiselle Ndiaye sans toquer. Ce qui me fit penser qu'ils doivent être assez proches

A suivre...