Chapitre 15 L’opération a bien réussi
— Papa, ne leur parle plus. Tu appelles le commandant du district de police pour les faire partir.
Maxime était très arrogant.
Fabrice et Maxime pensaient que ces gens, comme Thaddée, n’étaient que des soldats ordinaires.
— D’accord, je vais l’appeler tout de suite.
Fabrice a pris le téléphone, et puis il a appelé le commandant, M. René.
Après que Thaddée et Evrard aient vu cette situation, ils étaient tous les deux sarcastiques.
L'appel est connecté immédiatement.
— Allô, c’est de la part de qui ?
Une voix majestueuse est venue du téléphone.
Fabrice l’a flatté et lui a dit en souriant :
— M. René, je suis Fabrice de la famille Mazet. J'ai amené mon fils à l'hôpital pour consulter le médecin, mais je ne m'attendais pas à ce que l’hôpital N°1 de la Ville de Mer soit fermé, et certains soldats nous ont arrêtés. Est- ce que vous pouvez lui demander de partir ?
— Fabrice Mazet ? C’est qui ? je ne connais pas.
Après avoir parlé, il a raccroché le téléphone directement.
Le téléphone a été raccroché, Fabrice s’était figé en pensant :
« Qu'est-ce qui s'est passé ? »
Evrard a dit avec un sourire :
— Qu'est-ce que M. René t’a dit ?
Face à sa question, Fabrice a soudainement rougi :
— Evrard, ne sois pas trop fier. Allez, battez-le ! a dit Fabrice avec colère, et puis plusieurs gardes du corps de la famille Mazet se sont approchés.
Maxime avait l'air arrogant :
— Brisez les jambes de ce gendre inutile de notre famille Mazet. Je veux qu'il s'agenouille devant moi.
Evrard n'a pas pu s'empêcher de secouer la tête, en pensant :
« Fabrice et Maxime sont fous. Ne savent-ils pas que les soldats ici m'obéissent ? Ils veulent me battre ici, ils sont très imprudents. »
Puis, il a dit à Thaddée :
— Punisse ces personnes de la famille Mazet, et casse leurs jambes, ensuite les jette dehors.
A ces mots, Evrard s'est retourné et est parti. Il ne voulait vraiment pas être dérangé par Fabrice et son fils.
— D’accord !
Thaddée a hoché la tête et a regardé Fabrice et son fils avec un regard féroce :
— Vous osez être insolents avec Général. Allez, cassez leurs jambes, et les jetez dehors !
— Oui !
Des dizaines de soldats armés de pied en cap se sont précipités des environs.
Voyant cette situation, Fabrice et Maxime restaient stupéfaits. Ils pensaient qu'il n'y avait qu'un ou deux soldats, mais ils ne s'attendaient pas à autant de soldats.
……
— Général, je les ai punis selon vos ordres.
Après un certain temps, Thaddée est revenu pour rendre compte de cette situation.
Evrard a hoché la tête :
— D’accord. Va dire aux soldats de renforcer la surveillance de l'hôpital, je ne veux plus que quelqu’un dérange l'opération de ma fille.
— Oui.
Thaddée a hoché la tête, et puis il a fait tout ce que Général lui avait ordonné.
Bientôt, la surveillance de l'hôpital a été renforcée et personne n'a été autorisé à entrer.
— Evrard, qu'est-ce qui s'est passé ?
Après le retour d’Evrard, Clélie lui a demandé avec curiosité.
Evrard a souri et a dit :
— Rien de grave ! Certaines personnes voulaient nous déranger, mais tout va bien maintenant.
Clélie a froncé les sourcils en disant :
— Il me semble entendre la voix de mon oncle.
— Ne pense à rien d'autre, il faut attendre la fin de l’opération de Josée.
Clélie a hoché la tête et n'a pas continué à demander.
Deux heures plus tard, la porte de la salle d'opération a été ouverte. Et Josée était allongée sur le lit d'hôpital qui a été poussé par plusieurs infirmières.
— Josée, tu vas bien ?
Evrard s'est approché du lit d’hôpital, a regardé Josée qui était pâle et lui a demandé.
Josée a souri faiblement :
— Papa, je vais bien, je suis courageuse, je n'ai pas pleuré !
Evrard a tenu la main de sa fille et a dit :
— Je sais que tu es la plus courageuse.
— Ma fille, c'est tout à cause de moi, je t’ai fait souffrir.
Voyant la figure pâle de sa fille, Clélie a pleuré très tristement.
— Maman, ne pleure plus, je n'ai pas pleuré, donc tu ne peux pas pleurer.
Josée a regardé Clélie et a souri en disant.
— D’accord !
Clélie a hoché la tête et a cessé de pleurer.
Ensuite, Josée est entrée dans la salle VIP, et Clélie l’a également suivie.
— Dr Porthos, comment va ma fille ?
Evrard a regardé Porthos et lui a demandé.
Porthos a essuyé la sueur de son front, puis a dit avec un sourire :
— M. Evrard, l'opération a réussi et votre fille peut recouvrer la santé après une période de repos.
Evrard était soulagé après écouter ce qu’il avait dit.
Il a dit avec reconnaissance :
—Dr Porthos, merci beaucoup !
— De rien, je suis médecin et c'est mon travail. En ce qui concerne le prochain traitement de votre fille, je demanderai à huit médecins et à douze infirmières de s'occuper d'elle 24 heures sur 24.
— Très bien, merci beaucoup, je n'oublierai pas cette faveur.
En entendant ce qu’Evrard a dit, Porthos était très heureux.
Evrard a dit à Thaddée qui se tenait à côté de lui :
— J'ai besoin de soldats pour garder la salle VIP 24h sur 24. Je resterai aux côtés de ma fille jusqu'à ce qu'elle se rétablisse.
— Oui !
Thaddée a hoché la tête, puis il est parti.
En un clin d'œil, sept jours se sont écoulés.
C'était l'heure du banquet de Phil, C'était aussi le dernier jour des sept jours qu’Evrard a donnés à la famille Mazet !
