Ma première expérience de baise
J'étais présente de corps mais dans ma tête, c'était autre chose. Oui, je me rappelais encore des histoires que nous a racontées Lydia au sujet du proviseur. De toute ma vie, je n'avais jamais fait l'amour. Oui, je n'ai jamais fait cette expérience-là parce que je me suis toujours promis que je n'allais faire l'amour qu'après le mariage. Mais comme vous pouvez le savoir, c'est le temps qui change le rêve de l'homme. On peut projeter de vouloir faire quelque chose dans le futur mais à cause d'une simple chose, on laisse tomber ce rêve. Nous étions dans notre troisième mois de rentrée scolaire. Ce qui voulait dire qu'on avait encore six autres mois voire sept pour finir l'année. Aussi, nous étions encore à quelques semaines du premier trimestre. Les élèves qui allaient avoir une moyenne en-dessous de onze savaient déjà ce qui les attendait avec ce farfelu de proviseur. Dans le lycée, il était le seul à donner la correction aux élèves. J'avais même oublié de vous le présenter. C'est un monsieur élancé ; il n'est pas trop mince. Autour de ses lèvres, il y a des moustaches et quelques petites barbes. Disons que c'est un beau gars en fait. Et ce sont d'ailleurs ses moustaches et ses barbes qui le rendent beau. Aussi, il n'était pas le seul homme homme parmi les membres de l'administration. Si la plupart des jeunes filles le fréquentent que les autres membres de l'administration, c'est pour gagner son amitié ; et gagner son amitié, c'est pour qu'il ne les frappe pas trop aux heures de correction. Le châtiment corporel est interdit mais lui, il s'en tape. Je me demande même parfois si c'est avec cette même rigueur qu'il frappe ses enfants à la maison. Puisqu'il frappe tellement qu'on n'a même pas l'envie de lui porter de coup de main à ses moments de soutien.
Ce matin-là, j'étais à ma place, songeant aux événements qui allaient avoir lieu à dix heures. J'étais de corps présent mais toutes mes pensées étaient non seulement dans le récit de Lydia mais aussi sur le professeur. J'avais peur de l'amour puisque ma tante m'avait dit un jour que quand on s'approche du pénis de l'homme quand on n'a pas encore dix-huit ans, on meurt sur-le-champ. Mais je me demande, pourquoi Lydia, bien n'ayant pas encore cet âge, se laisse coucher par un grand homme et pourtant, n'est jamais morte ? Lydia est la plus âgée de notre équipe avec ses dix-sept ans. Il est vrai qu'elle est déjà proche de ses dix-huit ans. Mais elle n'est pas morte après s'être laissée baiser par le proviseur. Assise à ma place, je déduisais combien il y avait de gros mensonges dans les conseils de ma tante.
Ma tante, c'est une exceptionnelle femme. Elle nous donne de conseils de temps en temps au sujet de la sexualité. Elle n'est pas comme la mère d'une certaine jeune fille au prénom de Grâce dont la sexualité est considérée comme un sujet tabou. Non, elle nous en parle sans vergogne. C'est à cause de ses conseils surtout que je me suis abstenue des hommes depuis toutes ces années sinon mes premières années où j'avais commencé les seins et que les jeunes gars du quartier avaient commencé à me jeter la grappe, je serais déjà devenue une fille polluée.
Bien, ce n'étaient que des parenthèses. Malgré ce qui me rongeait l'esprit, je m'étais donnée à fond au recopiage des cours. Je n'avais pas encore recopié la moitié des cours lorsque la sirène sonna l'heure des récréations. Je fermai mon cahier et le rangeai dans mon sac. Je m'empressai à la place de Lydia et lui offris mon sourire.
– Pourquoi ce sourire ? me demanda-t-elle, étonnée.
– Il est dix heures et il faut que je parte immédiatement…
– Non, ne va pas tout de suite sinon il va suspecter quelque chose. Tu dois attendre encore dix minutes voire quinze.
– Oh, mais c'est trop !
– C'est ce que tu dois faire ! Tu ne dois pas lui afficher que tu espérais qu'il t'invite à son bureau.
Visage penché vers le sol, je lui accordai la raison.
– Mais si tu trouves d'inconvénient dans ce que j'ai dit, tu peux partir, ça ne me dérange pas, ajouta-t-elle d'un ton mou.
De l'autre côté, Cintia recopiait encore ses leçons. Avec sa tenue sexy, elle était aussi plus belle qu'à jamais. Oui, c'est compte tenu de nos nouvelles uniformes que j'ai compris la raison pour laquelle on exige de grosses uniformes dans les lycées. C'est pour éviter l'influence des jeunes vis-à-vis de leurs enseignants qu'on exige que toutes soient en tenues descentes.
Sous le conseil de Lydia, je me retournai à ma place pour aller continuer le recopiage de mes cours. Au fond de moi, j'avais mal parce que depuis quelques heures, j'espérais de toute impatience que l'heure file et me donne celle du rendez-vous. Mais voilà que l'heure a sonné et pourtant, on m'impose encore un verdict. Je n'ai pas le choix que d'obtempérer.
Cinq minutes ; dix minutes ; quinze minutes. Pendant toutes ces minutes, je m'impatientais que ma copine lève son regard à mon adresse pour me donner l'ordre de partir. Mais toujours était-il qu'elle avait sa tête plongée dans son cahier. Ce matin-là, le professeur nous avait gavés de cours avant de nous quitter. Je me demandais intérieurement quel était le plan de ma copine. Tout à coup, j'aperçus Cintia presser les pas à mon adresse.
– Je croyais que tu avais un rendez-vous avec le proviseur ! me demanda-t-elle lorsqu'elle arriva tout proche de moi.
– Si ! Mais Lydia ne m'a pas encore donné l'autorisation.
– Comment ça ? Mais le temps passe voyons !
Cintia se hâta vers la capitaine et alla lui parler. En moins de quelques secondes, elles deux m'approchèrent.
– J'ai complètement oublié, avança Lydia, l'air désolé. Et toi aussi, n'était-ce pas dix minutes que je t'avais dit ? Bien, vas-y rapidement et fais les choses très bien, ok ?
J'acquiesçai de la tête et me dirigeai vers la sortie.
Le proviseur, à cette heure-là, était assis dans son bureau en train de taper les touches du clavier de son ordinateur. Dans la salle, était debout une jeune fille qui lui parlait. Je ne sais de quoi ils discutaient mais à mon arrivée, le proviseur mit fin à l'entretien en lui disant : vas-y et cogne-moi la paix.
La jeune fille se retira aussitôt.
– Entre jeune fille, me lança-t-il.
Je pénétrai dans le bureau et le saluai avec de jolis sourires sur les lèvres.
– Rappelle-moi ton prénom s'il te plaît.
– Cathy !
– Voilà ! Bonne arrivée Cathy ! Comment ça va ?
– Je vais bien monsieur, merci.
– Alors vous avez cours maintenant ?
– Si ! Nous avons cours tout à l'heure mais le professeur n'est pas encore arrivé.
– D'accord, ça marche ! Alors dis-moi, peux-tu m'aider à balayer mon bureau ?
Je commençai à tourner mon regard dans la salle et ne trouvant aucun déchet ni aucun grain de sable errer le même les carreaux, je le fixai de mon regard inquisiteur.
– Mais monsieur, la salle est pourtant propre !
– Non, ce n'est pas ici ; je parle de mon deuxième bureau.
– Ah d'accord, je vois !
– Bien, prends cette clé et va ouvrir cette porte que tu vois devant toi.
De la table, je m'emparai du trousseau de clés et allai déverrouiller ladite porte. Je pénétrai dans la salle ; une salle sombre et toute noire. Je voulus lui réclamer la lumière mais mon interlocuteur me devança en parole.
– Je viens je vais t'allumer les lampes, dit-il en se levant de sa chaise.
En se levant, il alluma la radio comme nous l'avait raconté Lydia et vint ensuite appuyer sur le contact.
La salle, elle était un peu large. Je me demandai sur-le-champ à quoi servait-il de faire une chambre et un salon en titre de bureau. Un bureau n'a pas le droit de se composer de deux pièces, selon mes imaginations. Mais j'ai fini par comprendre que quand on a du pognon, on fait des commandes en fonction de la préférence de soi.
– Comment trouves-tu mon deuxième bureau ? me demanda-t-il.
– Il est beau et encore plus beau que l'initial.
– Merci de tes compliments.
Et soudain, la sirène retentit annonçant la fin des récréations.
– Oh, il est l'heure ! m'inquiétai-je.
– Ne t'en fais pas ; je vais t'emmener en classe. Quand tu es avec moi, il ne faut jamais t'en faire ! J'aime les femmes.
À sa phrase, je voulus lui poser une question ; celle de lui demander si c'est cet amour qui le pousse le plus souvent à être bizarre avec nous mais le truc me demanda de rester calme.
– Où se trouve le balaie, lui demandai-je.
– Laisse d'abord le balaie. Alors dis, adores-tu la pipe ?
– La pipe, qu'appelle-t-on la pipe ?
Et effectivement, je n'avais jamais entendu ce mot. Je ne sais pas ce que ça signifiait. Je me rappelle que quand j'étais encore au cours primaire, on avait lu un jour l'histoire d'un vieux dont le titre était : papa et sa pipe.
Donc ce que je savais de la pipe, c'était sûrement quelque chose de contraire de ce que me demandais cet homme de proviseur.
– Tu n'as jamais entendu parler de la pipe ?
– La pipe ? Je dois entendre parler de ça. Sinon la pipe, c'est un objet dans lequel les vieillards mettent du tabac pour fumer.
Le proviseur commença à rire. Ah oui, j'étais consciente de mon aberrance.
– Non, ce n'est pas de ça que je parle.
Mon compagnon se dirigea vers le lit qui gisait dans un coin et s'assit là-dessus. Il saisit son téléphone et après quelques secondes de manipulation, il m'invita à venir s'asseoir à ses côtés. J'allai m'asseoir et il commença à me faire regarder un film porno. Un film porno au cours duquel une jeune fille suçait du pénis. J'entrouvris la bouche en signe de stupéfaction.
– Et si elle le mord maintenant ? lui demandai-je.
– Non, elle peut pas faire ça ! C'est ça on appelle la pipe ou encore, la fellation. C'est un très joli jeu qui se fait entre les adultes. Vois-tu ce qu'elle fait ? Beaucoup de femmes aiment ça ! Puisque c'est souvent comme du chocolat. As-tu une fois mangé du chocolat ?
– Si, m'empressai-je de lui répondre.
– Vois-tu comment c'est doux ? C'est exactement le même goût que ça donne.
Pendant ce temps, j'avais mes yeux bien gros sur l'écran de son téléphone en train de regarder la vidéo. Tout à coup, quelqu'un cogna à la porte de son bureau initial et il me dit : attention, ne sors pas d'ici, d'accord ? J'irai voir qui est-ce. Reste donc là à regarder la vidéo. Quand je viendrai, on passera à l'action si tu veux.
– D'accord, à tout à l'heure.
Et il me quitta en me laissant le téléphone. Je suivais la vidéo. La jeune fille qui suçait le pénis de l'homme était une très jolie fille. Elle était complètement nue. L'homme avec qui elle faisait le jeu avait masqué son visage. Son pénis était tellement gros qu'il avait honte de se laisser démasquer. Tout mon corps avait commencé par émettre de petits frissons. Oui, à voir ce qui se passait sur l'écran du téléphone, j'avais envie d'attraper moi aussi un pénis dans la bouche. Je regardais encore la vidéo lorsque tout à coup, je commençai par entendre des coups de cravache dans le bureau initial du proviseur. Oui, des jeunes filles avaient été conduites dans son bureau pour le même rituel ; la correction. Il fouettait les jeunes filles et moi je suivais ma vidéo. Lorsque le monsieur en vidéo était bien satisfait de la pipe, il roula la jeune fille dans le lit et commença à lui laper le vagin. Tantôt il introduit son index dans le vagin de la jeune fille, tantôt c'est la langue. Je me demandai s'il y avait des hommes courageux qui osent plonger leur langue dans le vagin de la femme ? Lorsque Lydia nous en avait parlé, je l'avais prise pour menteuse. Mais là, je voyais la preuve. Je suis femme et je sais combien nos vagins commencent à sentir après quelques heures de bain. Et c'est dans cela que le monsieur trouvait du plaisir. Le monsieur, après avoir bien lavé le vagin de la jeune fille de sa langue, il longea son gros pénis sur les poils de la jeune fille et tout doucement, il commença à la pénétrer avec.
C'était incroyable. Moi qui trouvais le pénis du gars trop long et trop gros, qui pouvait imaginer que le vagin de la jeune fille avait tout avaler dans les secondes qui ont suivi ?
Le monsieur, de toutes ses forces, avait commencé à baiser la jeune fille. Elle poussait de petits cris. Je l'entendais dire : « oh bébé, baise-moi encore plus fort ; j'aime ta chaleur ; j'aime ton pénis ; j'aime ça ; vas-y ; accélère plus vite ».
Tchié ? Voyez-vous comment femme est courageuse ? La personne la baisait déjà de toutes ses forces et elle ose encore le supplier et lui demander d'accélérer encore plus vite.
Je suivais encore la vidéo quand le proviseur ouvrit la porte et fit son entrée. Cette fois, il bloqua la porte du verrou.
– Ça avance ? me lança-t-il.
– Oui, ça avance !
– On peut donc aussi essayer ?
– Euh…je ne sais pas…
– Écoute, Cathy, si tu acceptes, non seulement je ne te frapperai plus mais aussi je te donnerai beaucoup d'argent. Est-ce que tu comprends un peu ?
J'acquiesçai de la tête en signe d'affirmation.
– Ce qui est sûr, je ne vais pas te blesser ! Et je suis sûr que tu vas aimer ma façon de te faire l'amour.
Je tournai mon regard vers le mur et aperçus l'horloge murale sur laquelle sonnait dix heures quarante-deux.
– Monsieur, notre professeur ne va-t-il pas parler vu tout ce retard que je suis en train d'accuser…
– Je t'ai déjà dit que quand c'est moi, il faut te mettre à l'aise. Il n'y a pas cette personne qui peut te dire quoi que ce soit.
Et mon interlocuteur, de ses mains chaudes, commença à me caresser. Il me caressait et moi, j'admirais ses façons de me caresser les seins. Sans ma permission, il déboutonna mon uniforme et attrapa de plus beau mes seins. Une fois encore sans ma permission, il me dégrafa le soutien-gorge et exposant mes deux seins hors du soutif, il commença à me les sucer. Je commençai à sentir quelque chose bouger dans mon caleçon. Et croyant que c'était un insecte, je plongeai la main dans mon slip et c'était mon clitoris qui faisait la tête.
Le monsieur me caressait les seins et je me voyais au petit paradis. Ah oui, c'était trop fort que moi. Je n'ai jamais su que quelque chose pouvait un jour pimenter mon corps et lui donner tant de douceur.
Il passait ses mains sur tout mon corps frais. Il me donnait plus de douceur surtout quand il longe sa main vers mon cou. Tantôt il me suce les seins, tantôt les oreilles ; tantôt il tire sa langue jusqu'à mon cou et là, je meurs encore de plus.
Le proviseur me tua d'envie avant avant de me prendre à califourchon.
– Maintenant, tu vas me faire la pipe.
Il me donna la position qu'il faut pour la réussite de cette phase. À genoux à ses pieds, il me plongea sa grosse verge dans la bouche et attrapa ma tête de ses deux mains. Il faisait des va-et-vient incessants dans ma bouche avec sa grosse bite. Moi j'étais à genoux et lui, il était debout. C'était exactement ce qui s'était passé en vidéo que je vivais moi aussi. Le proviseur me baisa correctement par la bouche avant de me demander de monter dans le lit. Je montai dans le lit et me couchai sur le dos. De sa force, il me releva et me donna une autre position.
– On appelle ça la levrette, me dit-il.
J'étais courbée et mes deux fesses étaient en l'air. De par derrière, mon compagnon voulait m'enfoncer son plantain. Mais à sa grande surprise, bien que je sois bien mouillée, il ne réussit guère.
– Attends, Cathy ; es-tu encore vierge ? me demanda-t-il.
– Si, je suis encore vierge.
– Wouah ! Il fallait me le dire ! D'accord, en ce cas, je te réserve alors un bon plat. Nous n'allons pas faire l'amour aujourd'hui. Nous allons le faire pendant les weekends. Je vais te laisser mon numéro et tu vas m'appeler.
– D'accord, il n'y a pas de souci.
– Alors lève-toi et habille-toi.
Je me levai et m'habillai.
Pendant ce temps, mon compagnon avait son regard sur moi.
– Tes seins sont trop jolis, voyons ! J'aime le genre de seins que ton Dieu t'a donné.
– Merci monsieur.
En moins de quelques minutes, je finis de m'habiller. Pendant ce temps, le proviseur s'habillait lui aussi. Lorsqu'il finit, il me demanda d'attendre dans la salle et il fallait qu'il me donne le top avant de sortir.
– D'accord, monsieur.
Il retourna dans le bureau principal et revint quelques secondes plus tard et me dit : c'est bon, tu peux sortir maintenant.
Et je sortis de son bureau de baise.
– Tiens ce billet de dix mille francs, c'est d'abord le début de commencement. Je vais te pourrir d'argent, m'ajouta-t-il.
Je lui saisis le billet dans une fraction de seconde avec un merci à l'appui.
– Allons maintenant dans ta classe, me dit-il.
Ensemble, nous prîmes la direction de ma salle de classe.
