Aï, la bite du proviseur fait mal
Arrivée a ma salle de classe avec le proviseur, je m'étais directement dirigée à ma place. Le tableau était plein de mots. Toutes mes camarades recopiaient les cours. De ma place, je voyais le proviseur et le professeur s'entretenir je ne sais à quel sujet. Au bout de quelques minutes seulement, il sonna l'heure de la fin des cours. Le professeur ne tarda pas à s'éclipser de la classe. Aussitôt qu'il partit, mes deux copines me rejoignirent.
– Dis, vous avez bien baisé ? me murmura Cintia, taquine.
Cette fille, elle doit être une imbécile. Sinon, comment peut-elle se donner du plaisir à employer ce genre de verbe sans aucune honte ?
– Nous n'avons pas baisé comme tu le penses, lui répondis-je de ma voix calme.
– Et pourtant tu es restée avec lui pendant plus d'une heure trente minutes, souligna-t-elle.
– Ce n'est pas une raison de croire déjà que nous avons baisé.
– Dis plutôt que tu n'as pas envie de nous dire comment ça s'était passé.
– Oh mon Dieu, ok ! Pour être honnête et franche avec vous, nous n'avons pas effectivement baisé mais nous avons fait des caresses.
Lydia qui avait gardé son calme pendant tout ce temps, chercha le visage de Cintia comme pour lui demander si elle entendait ce que entendaient ses oreilles.
– Donc, vous avez fait des caresses pendant tout ce temps ? me demanda-t-elle.
– Si ! C'est seulement des caresses nous avons fait. Il voulait m'introduire sa bite mais vu que je suis encore vierge, il a…
– Quoi ? Tu étais encore vierge ? répartit Cintia, très surprise.
C'est vrai ! Quand on me regarde, on pense que je fais partie des traînées des rues alors que je ne le suis pas.
– Je ne sais rien du sexe, lui répondis-je. Ma tante est très sévère et très rigoureuse avec moi ; ce qui a fait que je me méfie du sexe.
– Ah, je vois ! Je pense que la prochaine fois, c'est ton tour, murmura Lydia à l'adresse de Cintia.
Je saisis mon sac et mes copines et moi prîmes la direction de la cour.
***
Trois jours plus tard.
Aujourd'hui, j'avais pris le rendez-vous avec le proviseur notre lycée. À dix heures comme d'habitude, je m'étais rendue à son bureau. Puisqu'il me savait déjà au courant de ses jeux, il ne me demanda plus le nettoyage de son deuxième bureau. Il alla droit au but en me demandant si j'étais prête pour la baise.
– Je te donnerai beaucoup d'argent, me promit-il.
L'autre fois, il m'avait donné un billet tout neuf de dix mille francs alors que ce n'était que pour de simples caresses. Je me demandais combien allait-il me donner quand il s'agira de la vraie baise ?
– Oui, nous pouvons entamer le jeu, lui répondis-je.
– D'accord ! Lève-toi et reste au seuil de la porte et jette un coup d'œil dans la cour pour voir si quelqu'un arrive.
Je me levai et allai voir si quelqu'un arrivait.
– Non, la cour est vide. Personne n'arrive.
– D'accord, va m'attendre sur le lit. Et avant mon arrivée, il faut te déshabiller.
Sans lui répondre un mot, je me dirigeai vers la porte et la poussai d'un coup. Je rabattis la porte et me déchaussai. Je montai sur le lit et enlevai ma robe. Elle était tellement serrée qu'elle m'avait pris du temps à s'enlever. Je dégrafai mon soutif et le déposai au pied du lit. Je voulus enlever aussi mon caleçon mais je gardai d'abord ma patience. Au bout de quelques secondes, arriva le doyen. Il rabattit la porte et la verrouilla comme si quelqu'un pouvait pénétrer dans la pièce sans son consentement. Mais il avait raison ; il faut éviter le pire à tout moment.
Se jetant sur mes seins, le monsieur commença à me les sucer comme l'on suce de l'orange. Il me suçait tellement que je me demandais quel plaisir mes seins qui étaient sans eau lui donnaient. Il me suçait tellement que je me demandais s'il était gamin pour jouer à ces jeux enfantins. Mais de tout et en tout, je ne lui empêchai rien. Il passa plus de quinze minutes à me sucer les seins. Tantôt il les suce, tantôt il les prend dans ses mains et les masse comme il veut. Tantôt il circule ses mains tièdes sur tout le périmètre de mon corps et tantôt, il m'attrape les oreilles avec sa langue. Après m'avoir correctement parcouru le corps de ses deux paumes de main, il traîna enfin sa main dans mon slip. Je le sentais en train de me palper le clitoris. Au commencement, il passait sa main à la surface de mes poils. Pendant ce temps, de terribles frissons me parcouraient le corps. Je poussais de petits murmurs. Oui, le proviseur me donnait la joie dans l'âme. Dans tout mon corps, je sentais des frémissements. Oui, des vibrations par-ci par-là. Je vibrais comme je n'ai jamais vibré. Plusieurs fois déjà, j'ai provoqué la colère du courant électrique à la maison et très fâché, le courant électrique m'avait électrocutée. Cette vibration que produit le courant, j'en sais quelque chose. Mais la vibration que les attouchements du proviseur faisait dans mon âme était différente de celle du courant électrique. Je vibrais tellement sur le lit que mon compagnon en était fier.
J'étais aux anges lorsque je sentis les lèvres de mon compagnon dans mon temple. Ah oui, le proviseur me léchait. Il m'avait tellement tuée d'envie que je ne savais même plus quand est-ce qu'il m'avait ôté mon slip. C'était lorsque j'ai senti sa langue sur mon clitoris que je me fus surprise complètement nue.
On dit souvent qu'il n'est pas bien de lécher la femme mais beaucoup sont ces hommes qui adorent ça. Se donnant à ce plaisir dangereux, ils ignorent les risques que cette pratique peut avoir sur leur avenir et sur le succès de leur vie professionnelle. Je me rappelle d'un oncle qui s'était tellement habitué à la lèche au point où un jour, une de ses meufs lui avait rendu visite. Après les entretiens, ils voulaient passer à l'acte lorsque tout à coup il avait eu de délestage. Malgré l'obscurité qui avait pris possession de la chambre, il s'était mis à lécher la jeune fille. Au bout de quelques minutes lorsque arriva la lumière, le monsieur s'était surpris en train de sucer du sang. Ah ouais ! La jeune fille était en menstrues et ne lui avait rien dit. Il s'était plaint mais avait fini par faire l'amour avec la jeune fille. Le lendemain, lorsqu'il s'est rendu à son service, n'ayant rien fait au PDG de l'entreprise où il travaillait, on l'a remercié. Ah oui, on l'avait licencié. Voilà ! C'est ce qu'il savait faire qui l'avait fait à son tour. Je m'arrête là parce que ce n'est pas de l'histoire de mon oncle qu'il s'agit ; il s'agit plutôt de la mienne.
Mon proviseur me palpait le clitoris de sa langue mouillée de salive. Il me suçait aussi ce liquide séminal qui me coulait des entrailles ; ce liquide que moi-même j'ai de la peine de mettre sur ma propre langue. Oui, ce liquide venait de mon vagin mais je ne pouvais pas mettre ça sur la langue et de comble, l'avaler. Mais ce matin-là, mon proviseur le prenait dans sa bouche et l'avalait à chaque fois que ça tombait sur sa langue.
Ne sachant même pas si je fais correctement mes toilettes ou non, il me frottait le vagin de sa langue. Ah, que les hommes sont bêtes ! Exception ! Pas tous les hommes mais ceux-là qui lavent le vagin de la femme avec leur langue.
Après m'avoir correctement lavé la chatte, il me tira vers lui, au bord du lit et, enlevant son gros pénis du pantalon, commença à le mater sur mon publis. Le voyant venir vers moi avec le pénis, je me demandai si c'était pour moi seule tout ce gros bangala ? Oui, son pénis était encore plus gros qu'avant. Or, mon vagin, c'est difficilement que lors des toilettes, j'arrivais à mettre deux doigts dedans. Alors que le marteau de mon compagnon était plus gros que le poing de ma main. Je me sentais déjà cuite devant cette bataille. Sur mon cœur, une grande et terrible peur. Je fermai les yeux pour ne pas crier au secours. J'attrapai le drap de toutes mes forces pour accepter dans mon temple ce gros pénis qui venait à moi. Des yeux fermés, je commençai à sentir quelque chose de chaud sur ma matrice. Même des yeux fermés, je devinais déjà ce que pourrait être cette chose. Ah oui, c'était le pénis de mon gars.
Il le passa sur mon vagin à plusieurs reprises. Je commençai à le sentir me pénétrer doucement et petitement. Oui, le proviseur me pénétrait doucement de sa grosse queue. Quant à moi, j'avais mes yeux fermés. Et que pouvais-je d'autre que de garder mes yeux clos de peur de crier. Au bout de quelques secondes, je commençai à sentir des brûlures dans tout mon sexe. Oui, c'était comme si on venait de me verser de l'eau chaude dans le vagin. De mes yeux, coulaient des larmes. Mon compagnon, au lieu de faire preuve de pitié et arrêter de me pomper, il ne s'arrêta pas. Attrapant mes deux seins dans ses mains, il me pompait tellement on dirait un vulcanisateur. Il me pompait tellement que je ne savais qui appeler à mon secours. Le pompage dura environ quinze minutes avant qu'il ne libéra un liquide blanc. Lorsque venait le liquide, il accélérait tellement que je me demandais s'il voulait devenir fou ou si la folie était proche de son cerveau. Lorsque arriva complètement le liquide, il ressortit son pénis et libéra le liquide sur un torchon blanc qui errait le long du lit.
– Tu es trop douce, ma chérie ; me murmura-t-il, épuisé.
Et moi, sans mot, je restai dans la même position pendant une dizaine de minutes avant de me relever du lit pour aller reporter ma robe. C'est lorsque je m'assis et jetai un coup d'œil à l'adresse de mon sexe que j'aperçus des gouttes de sang dans mes poils. C'est alors que je donnai raison à ces gens qui disent que le sang coule à chaque fois qu'une jeune fille perd sa virginité.
Et là, j'avais perdu aussi la mienne. Je n'étais plus vierge dorénavant. Je faisais partie de la liste de Lydia.
Lorsque je saisis ma robe et voulu la porter, les brûlures reprirent de plus belle.
– Aï, m'écriai-je lorsque j'avançai un pas vers devant.
– Il y a quoi ? me demanda mon pointeur.
– J'ai mal.
– Ne t'inquiète pas ; tu seras habituée.
Je serai habituée ? me demandai-je intérieurement.
Je portai mon caleçon ; mon soutif et ma robe malgré tout.
– Nous pouvons partir, dis-je au proviseur.
Il se leva et se dirigea vers la porte. Patatras ! Je ne pouvais pas lever les pas. J'avais atrocement mal ; oui, très mal. Ma douleur était presque comparable à celle d'une pute qui s'est faite baiser par une dizaine d'hommes. Oui, j'avais affreusement mal.
– J'ai mal, fis-je d'une voix triste.
– Ça va aller, me répondit le proviseur.
Je trottinai jusqu'au bureau principal.
– Tiens, voilà ta récompense.
Je saisis des mains du monsieur un billet de dix mille francs et un autre de cinq mille francs. Que c'est wouah ! Pour un plaisir de moins d'une heure, je m'étais fait un gain de quinze mille francs. Je pense que ce projet allait beaucoup me profiter.
– Merci monsieur ! m'exclamai-je toute heureuse.
Lorsque nous arrivâmes dans la cour, j'améliorai ma démarche de peur que les gens soupçonnent des idées négatives et malsaines. Bien que j'avais très mal, je m'efforçais à sauver le monsieur des palabres. Je faisais l'effort de marcher correctement comme d'habitude mais au fond de mon vagin, ce n'était pas de l'amusement.
