05. Le nouveau propriétaire
Madame Josiane, la propriétaire de la boîte était allée à la recherche de cette fille. Mais elle avait refusée de la suivre. Elle était alors revenue m'en informer.
Je l'avais déjà acheté. Elle était déjà ma propriété. Je la vis danser toujours au milieu de tous ces vieillards.
La cocaïne montait de plus en plus dans sa tête alors elle était sur le point de se débarrasser de son slips et ces malades étaient entrain de l'encourager de le faire. Sans qu'ils ne s'attendaient, j' apparus au milieu d'eux et la saisie par les bras.
" Arrête !!" Dis-je en la secouant brusquement.
"Qui es-tu ?' demanda t'elle en me repoussant.
"Ton nouveau propriétaire." Répondis-je sans gêne.
Ses magnifiques yeux deviennent sombres. Elle me regarda sans émotion. Elle voulait pleurer.
Était -elle consciente de ses actes ? Elle insistait vouloir se débarrasser de son slips mais j 'insistai et lui cria dessus.
Les hommes autour de moi voulaient m'empêcher de l'avoir. Je me retournai et leur dire qu'elle était à moi.
"Je ne suis pas à vous. " Dit elle mécontente.
"Tais- toi..." Dis-je. " Tu ne sais de quoi tu parles."
"Je suis une femme indépendante." Dit -elle.
" Tu l'étais." Répondis-je.
Je l' attrapai par le bras et la sortie de tout ce chaos les hommes voulaient m'empêcher quand soudain, la dame arriva et leur annonça que la petite aux yeux noirs était mienne désormais.
" Quoi !!" S'exclama t'elle. " Mais madame Josiane vous m'avez encore vendue ?"
" Oui... à quoi me servais- tu ?" Demanda t'elle. " Tu es inutile, tu refuse de travailler comme les autres. Je dois te forcer la main tout le temps. Tu es faible et grincheuse. Tu n'étais qu'un poids lourd pour moi figure toi." Dit la femme.
Dans son état, c'était difficile de savoir si elle comprenait ce qui se passait. Elle était droguée et donc, elle ne faisait que rire.
" Puis-je partir maintenant ?" Demandai-je.
" Oui, monsieur Nelly." Répondit la dame avec une cigarette dans la bouche. " Amenez-là. Elle est désormais à vous. " Elle rejette fièrement la fumée en admirant le chèque.
" Viens avec moi." Je l'avais forcé de me suivre.
" Je n'irai nul part avec vous. " Dit- elle en signe de rébellion.
"Tu viens avec moi. " j'insistais.
" Que se passe t'il Clark ?" Me demanda Clarissa.
" Nous retournons à la maison." Répondis-je sans m'arrêter.
" avec cette fille nue?" Demanda t'elle.
Je m' arrêtai soudainement pour répondre. Je ne voyais pas qu'elle était triste et jalouse en me voyant avec cette fille. Voyant son état, je gardais mon sang froid.
"Matthias, accompagne Mlle Tallman jusqu'a son appartement." Dis-je calment.
" Clark, je ne veux pas rentrer à la maison maintenant." Dit- elle. " Nous n' avons même pas encore duré." Elle voulait argumenté.
" La fête est terminée ma belle . " Répondit avec une voix dure.
" Pourquoi à cause de cette boniche ?" Demanda t'elle aggressive'' elle ne m'arrive même pas à la cheville, Clark ! Pourquoi la veux-tu ? " Elle s'écria.
Je n'arrivais pas à croire qu'elle aura osé lever la voix sur moi ce soir. J'étais énervé.
" Salope.'' Dit ma nouvelle concubine" je ne suis pas une boniche compris!! '' elle lui pointa du doigt. Elles voulurent bagarrer toutes les deux.
" Eh , eh " criai -je. " Vous allez vous calmer toutes les deux compris ! Et toi Clarissa. Tu vas retourner chez toi comme je l'ai demandé.'' Exigeai -je avec autorité.
'' Clark, aujourd'hui c'est mon anniversaire voyons. Tu devrais me faire plaisir...je veux que tu reste à mes côtés. " Pleura Clarissa.
" Je sais mon amour." Dis-je. "Mais je ne peux pas pour ce soir, compris !"
" Non, pourquoi, veux-tu rester avec cette fille et où vas-tu aller avec cette moins que rien. " Demanda t'elle.
" Je retourne avec elle dans mon appartement. " Répondis-je.
" Quoi !! Dans ton appartement ? Mais bébé pourquoi ?" Demanda t'elle vexée.
" Je n' irai nul part avec toi. " Dit la nouvelle femme de ma vie. " Si tu as payé pour mes services. Faisons- le ici et nous pourrons nous séparer en paix. " Déclara t'elle.
" Je ne comprends pas. " S'écria clarissa. " Tu l'as acheté pour la baiser?" Demanda t'elle nerveuse.
" Tu n'as aucun droit de me questionner clarissa. As-tu perdu la tête de poser ce genre de question à moi." ai-je grondé.
Elle garda un visage nerveux et ses mâchoires serrées. Elle croisa ses mains autour de sa poitrine et garda silence. Ne volant pas me montrer assez égoïste et sans cœur, je pris la parole et dit:
" Cette fille a besoin d'aide Clarissa. Rentre chez toi et je t'expliquerai tout demain." Dis-je d'une voix calme.
" Hé monsieur, j'ai pas besoin d'aide vous comprenez ? " Répliqua la demoiselle en détresse derrière moi.
" Ferme là. " ai-je grondé la fille en le retournant vers elle.
" C'est ça, " marmonna nerveusement Clarissa " Amène là dans ton appartement et baise là si c'est ce que tu veux. Je ne crois pas à tes mensonges. " Elle ajouta.
Je me retournai face à elle pour la regarder. Elle fuyait mon regard alors je décidai de laisser passer cette insolence pour aujourd'hui.
" Accompagnez Mlle Thalmann maintenant." Dis-je avec une voix sérieuse.
Tirant ma nouvelle concubine à me suivre dehors, elle insista de me resister. J' enlevai ma veste et lui passa sur le corps pour cacher sa nudité.
Sans vouloir être dérangé, je la portai dans mes bras et sortis avec elle de cet endroit destiné aux personnes sans avenir dont elle ne mérites pas de s'y rester.
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