04. Je la veux entièrement

Clark

Je l'avais suivi à l'intérieur. Je me dirigeai vers la table où se trouvait Clarissa. Je m' assis. Je regardai clarissa pendant deux secondes et elle me sourit.

Je retournai mon visage sur ma nouvelle proie. J'avais toujours voulu remplacer cette fille dans ma vie car ma mère ne l'appréciait pas du tout.

Adèle Nelly et monsieur Rodrigue Tallman sont dans une sorte de compétition dans le monde de la mafia. Alors notre relation n'a jamais été appréciée ni par ma mère ni par le père de Clarissa. Tout ce dont nous faisions, nous le forçons seulement.

Il y'a eu de milliers de fois que j'ai du mentir à ma mère que nous n'étions plus ensemble et pourtant, je la baise toujours.

Ma mère ne vit pas avec moi. Elle est une femme très occupée alors je vis uniquement avec mes deux grandes sœurs. Par téléphone, je peux lui raconter tout ce qui me passe par la tête.

Jamais, elle ne voudrait savoir si je dis vrai ou pas. Mais , elle m'a fait lui promettre de lui présenter ma nouvelle copine une fois qu'elle sera de retour. J'aurais bien voulu en avoir une copine jusqu'ici avant son arrivée mais, il ya deux problèmes...

Primo, je suis tellement attaché à ma maîtresse que je ne peux m'en passer de la baiser. Et secondo, je n'avais pas encore trouvé une femme à la hauteur de mes attentes.

Une femme qui me fera ressentir des choses que seule Clarissa avait pu jusqu'ici...

J'avais longtemps cherché, je pensais que cette femme n'existait peut-être pas à Olive City. Ah, jusqu'à ce que je tombai sur cette fille dont je ne pus détacher mon regard.

J'étais toujours entrain de la suivre mais je le faisais secrètement pour ne pas éveiller les soupçons de clarissa. Par ma grande surprise, cette magnifique beauté se débarrasse de sa petite robe. Elle la laissa glisser jusqu'à ses jambes. Elle resta en slip uniquement. Mes yeux s' tardaient sur sa belle poitrine nue et magique et aussi sur ses jolie lèvres courte et épais.

Que faisait t'elle ?

Alors, la femme de mes rêves sera une fille de cuisses légère ? J'étais complètement bouleversé. Je baissai la tête dans mon verre. Elle monta rejoindre les autres déjà sur la piste. Une dame se reprocha d'elle et lui passa la cocaïne.

Elle secoua la tête pour un refus. Mais la femme l'attrapa pas les mâchoires et la força d'accepter de prendre cette cocaïne. Je fus irrité.

Après l'avoir pris, elle se mit debout pendant un moment. Quelques minutes passèrent avant qu'elle se mit à danser comme si elle était sous possession.

La joie débordait de son corps. Elle attrapa le poto et grimpa déçu. Elle dansait en gravitant les étages de ce poto. Les hommes de la maison étaient foux d'elle.

Là encore, je fus tellement irrité voyant le nombre d'hommes qui étaient entrain de la regarder avec envie de la baiser.

Un vieillard se leva, il alla danser avec elle. Il lui couvrir d'un peu d'argent. Ce qui lui donna le droit de la toucher n'importe comment à cause de quelques billets d'argent seulement. J'avais une boule dans la poitrine. Je baissai mon regard.

"Mon amour, tu es sûr que ça va bien? " Clarissa me questionna.

" Je vais bien. " Répondis-je.

" Non, tu sembles bizarre depuis que l'on ait arrivé ici. Que passe t'il?" Elle se retourna et regarda un peu partout autour de nous pour voir s'il y'a quelqu'un ou quelque chose qui me mettait dans un tel état.

"Je ne veux pas en parler. " Répondis-je en récupérant froidement mon verre de la table pour ensuite boire ma limonade.

" Ah, je vois. Tu es stressé à cause de moi parce que je n'ai pas aimé cet endroit depuis le départ. " Dit -elle. " Ok, ne sois plus remonté calme toi. " ajouta t'elle.

" Je suis calme." répondis-je en déposant le verre.

" bon bébé et si nous allons danser un peu sur la piste." Proposa t'elle. " j'ai envie de me déhancher un petit peu."

Sans que je n'avais accepté, elle se leva et me tendit la main. Pour ne pas l'humilier publiquement, j'acceptai la rejoindre sur la piste de danse.

Elle posa ses mains sur moi et je déposa les miennes au niveau de ses hanches. Elle se mit à danser et pendant ce temps, mes yeux étaient fixés sur cette belle personne qui se faisait ridiculiser par ce public de vieillard.

Quand un vieux monsieur mit sa main dans son slips, je ne pus supporter cette injustice. Je poussai Clarissa d'un côté et je me dirais vers cette femme du bar qui l'avait donné cette cocaïne.

Une jeune femme aussi belle avec pleine de vie et d'avenir pourquoi était elle obligée de se retrouver dans un tel milieu ! Je ne pouvais accepter cette injustice de la vie.

Je décidai de la faire sortir de cet endroit quoi qui se passe. Je me dirigeai vers la dame et elle fut gentille avec moi.

" Comment puis-je vous aider?" Demanda t'elle.

" Servez -moi quelque chose à boire." Dis-je en regardant où se trouvait Clarissa.

Elle s'était retournée s'assoir tranquillement sur son siège. Elle était nerveuse et je pouvais le voir. Je ne pouvais l' empêcher d'être triste au moins l'autre là, elle a le plein droit. C'est son droit d'être triste.

Je me retournais face à la dame. Je bois mon verre en déposant mon dévolu sur ma nouvelle proie. Qui est cette demoiselle et pourquoi elle me faisait la désirer aussi ardemment.

Pourquoi contrôlait elle mes pensées ? jamais encore, rien ni personne n'avait réussi à attirer autant mon attention et chambouler ma tranquilité interne.

Mais là, cette fille faisait tout le contraire. Je n'avais plus aucun contrôle sur moi ni sur mes émotions et ensuite suivirent mes agissements.

Regardant la dame qui m'avait servi, je demandai : " qui est cette fille au cheveux noires sur la piste ?"

"Oh personne" répondit elle en servant d'autres clients.

" Personne ? " Demandai-je par curiosité.

" Oui, répondit elle. '' mais elle travaille pour moi." Ajouta t'elle en servant un autre client et sa copine.

J'attendais un moment que les deux amoureux se retirent pour déclarer ceci :

" Je la veux." Dis-je discrètement.

"Pour une nuit ?" La femme me regarda un peut perplexe. " Ou pour trois nuits ?" demanda t'elle.

" Non, je la veux entièrement." Répondis-je avec une voix sérieuse.

" Elle va vous coûter un peu chère monsieur." Répondit -elle.

"Quel est votre prix ?" Demandai-je.

"Voulez-vous l'acheter ?" Demanda la femme un peu surprise.

" Rien n'est impossible pour monsieur Clark Nelly. " Répondis-je. " À combien vous la vendez ?" Demandai-je ensuite avec du sérieux.

" vous savez, moi je vends tout par ici." Murmura la femme pour se rassurer que je sois décidé d'acheter cette fille.

" je sais. " répondis-je. " voilà pourquoi, je vous demande le prix à payer pour l'avoir." avais-je répondu pour paraître plus pertinent.

" elle va vous coûter très chère, monsieur " Dit- elle en retournant dans ses affaires.

" l'argent n'est pas le problème." Répondis-je en déposant mon verre sur la table. " un autre verre s'il vous plaît." Dis-je avec les mâchoires serrées.

" 125 millions de dollars" répondit elle en versant lentement de la limonade dans mon verre.

'' Deux Cent Millions, " Déclarai- je. '' je la veux entièrement et elle ne reviendra plus jamais travailler ici. Que dites vous ?"

" Elle peut-être à vous si vous honorez votre parole." Répondit elle après avoir placé ses cordes sur la table et entrelacer les dix doigts de ses mains.

Je la regardai en souriant. Je ne marche jamais sans un style ni de quoi écrire. Je signais alors un chèque sur place.

" Voici le chèque, appelez -moi la fille, elle deviendra mienne et vous recevrez l'argent demain matin en espèces si vous le souhaitez.'' répondis-je.

"Elle est déjà votre propriété monsieur. "

" Monsieur Clark Nelly." Dis-je pour qu'elle sache avec qui elle traite affaires.

" Monsieur Clark Nelly," reprit -elle d'une façon à me faire croire qu'elle avait saisie le message envoyé indirectement. " Donnez- moi deux minutes et je vous la ramène très vite. "

" Bien." répondis-je confiant et rassuré.

C'était ainsi, qu'elle alla à sa cherche. Elle était désormais à moi et jamais, je n'accepterai qu'elle retourne dans cet endroit.

***