

Histoires


Ce monstre d'homme qui me sert de beau père
PROLOGUE J’suis une jeune sénégalaise du nom de Kiné. J’suis actuellement dans la trentaine. J’ai connu ma mère tardivement dans une situation incroyable. J’ai vécu toute mon adolescence au bled. J’ai connu ma mère à l’âge de 17ans. Ma vie était rebondissement sur rebondissement, joie, peines, douleurs etc. Malgré ce luxe que j’ai connu tardivement, j’donnerai tout pour revenir à mon ancienne vie. J’suis venue partager mon histoire avec vous. Avant de commencer, j’vais remercier nandité qui m’a tendu une oreille attentive. Le fait de me confier à toi m’a permis de me soulager et m’ôter ce poids de l’esprit. Merci de m’avoir convaincu à partager cette histoire avec tes lecteurs et lectrices. Comme tu me l’as dit certainement, y’a des personnes qui ont vécu pire et pourtant, elles continuent à vivre leur vie normalement. J’suis contente de t’avoir rencontré et je t’en serai éternellement reconnaissante de m’avoir redonné confiance et espoir. Vous aurez de plus amples détails dans les parties. Nandité : C’est à moi de te remercier pour cette confiance. Tu as été forte sur tous les plans, expliquez un souvenir douloureux n’est pas donné à tout le monde. Tu es forte, je n’ai fait que réveiller ce talent qui dormait en toi. Beaucoup d’entre vous pense qu’ils sont faibles alors que la faiblesse pour moi n’existe pas. On ne peut passer dans certaines situations pour devenir faibles. Certain passage nous forge. La vie est et restera toujours un combat indécis. Une vie tranquille est une mer morte. Chaque jour de ta vie est une feuille de ton histoire que tu écris, une ivresse continuelle, le plaisir passe et le mal de tête reste. Comme on le dit, n’ayez jamais honte de vos cicatrices ou de vos blessures. Cela signifie juste que vous avez été plus fort que "ce" ou "ceux" qui ont voulu vous faire du mal. Dans cette chronique, y’aura des larmes c’est sur vous êtes avertis. On se lance.


Les regrets et confidences d'un ancien Doorkat(Truand)
PROLOGUE Bonjour chers frères et sœurs. Je m’appelle Demba mais pour les proches c’est Dembis. J’viens partager mon histoire avec vous, espérant aider certaines personnes à ne pas tomber dans la facilité. J’serai bientôt dans les quarantaines dans quelques mois. Ma vie est vraiment comme du chewing gum. Ceux qui ne savent pas cette vie auront l’occasion de le savoir, ceux qui le savent déjà connaitront la vraie signification de cette vie. J’suis un doorkat (truand en quelque sorte).Tout ce que j’peux vous dire pour le moment est que l’argent se gagne à la sueur du front. J’étais influencé par ceux qui disaient que : "Khaliss kéne douko ligueye danioukoy lidieunti" (l’argent ne se travaille pas on le règle). Aujourd’hui, je ne suis plus de cet avis, l’argent doit être travaillé pas en truandant de gauche de à droite. Pour vivre une vie simple et tranquille, faites recours à votre travail. L’argent d’un mini travail honnête vaut mille fois des millions d’un travail malhonnête. Khaliss dafa wara lew, sett té barkel (l’argent doit être béni et propre). Nous entrerons dans les détails très bientôt. Nandité : Rebéguééé les gars. J’avais de nombreuses histoires à raconter mais beaucoup d’entre vous voulait une histoire décontractée, parce que la dernière fois, y’avait trop d’émotion et j’comprends. J’reste dans la même lignée, c'est-à-dire les histoires de la vie. J’suis de retour pour une histoire pas comme les autres, y’aura de l’émotion, du rire, de la joie, des regrets, mais le but final c’est comme d’habitude faire attention à la vie. J’voulais vraiment prendre 3 mois de repos mais cette histoire mérite d’être racontée, parce que beaucoup d’entre nous sont un peu perdu, aveuglé par l’argent. Nous ne cherchons plus à travailler honnêtement, tout ce que nous voulons c’est être riche, vivre dans le luxe sans se fatiguer. Le pire, y’a un mot qu’on utilise avec fierté sans peser son poids (Door) sans juger personne, nous allons découvrir les paroles de cet homme. Tout le monde veut être dans la richesse, c’est normal mais y’a des sacrifices, des règles à suivre tout dans la dignité, la sincérité, l’honnêteté bref, nous en débattrons tout au long de cette histoire. Namess namalène…


Parole d'aîné
PROLOGUE Je m’appelle Mansour (Sora pour mes proches). J’ai 33ans et j’suis l’ainé d’une famille de 5 personnes. J’avais perdu la parole, les privilèges, le droit d’ainé etc. Ma seule erreur (si j’peux l’appeler ainsi) était d’avoir mis du temps à me trouver un bon boulot. Si chacun pouvait s’offrir tout ce qu’il voulait, personne ne souffrirait dans ce bas monde. Mon destin était tracé bien avant ma naissance. 1- Je n’ai pas demandé à naitre 2- Le futur est entre les mains de Dieu 3- Tout enfant rêve de prendre le relais de ses parents. 4- La vie ne se passe pas souvent comme on le souhaite. Mais après tout ça, nous devons mettre tout entre les mains de Dieu. Il est le Seul qui décide de notre futur. En tout cas, j’suis croyant et j’ai toujours su tant que y’aura la vie, y’aura de l’espoir. Et tôt ou tard, demain fera jour. Une chose est sure, j’attendrai avec patience que mon étoile brille. Vous aurez le temps de découvrir le fond de cette histoire que j’ai tenu à partager avec vous (PAROLE D’AINE). Merci nandité pour cette oreille attentive. Nandité : Plaisir partagé frère. Je ne pouvais pas rester muet face à cette belle histoire, pleine de renseignement et de leçon. Peut-être, y’a des personnes qui vivent dans l’ombre cette histoire. Au Sénégal triste qu’il soit « Magg bou amoul khalé nga, Khalé bou am kilifeu ».


La métamorphose d'un mari timide
PROLOGUE Bonjour, je m’appelle Vito (nom d’emprunt). J’suis dans les 35ans. J’avoue avoir un beau physique et une taille très appréciée par la junte féminine. Au début, j’étais complexé mais avec le temps ça a changé. J’me suis marié après avoir obtenu un bon travail grâce à mes études. Pendant que mes amis draguaient de gauche à droite, je me concentrais sur mes études. Je n’ai jamais découvert une fille jusqu’à mon mariage. Vous l’aurez imaginé, j’suis resté puceau durant toute ma jeunesse (eh oui ça existe des hommes vierges mdrrr). Je n’avais jamais eu le courage de dire à une fille que je l’aime. Même si j’avoue qu’il y avait une fille qui me faisait rêver, je n’ai jamais eu la force de déclarer mon amour. J’étais timide et j’avais peur des filles. J’enviais certains de mes amis qui réussissaient à sortir avec toutes les filles qu’ils voulaient. Décidément, chacun avec le don que Dieu lui a donné. Ils étaient doués côté filles et moi, côté études. Aujourd’hui, j’me suis marié avec la première fille avec qui j’suis sorti. Mais sa maman est compliquée et ma mère est autoritaire. Elle pense que j’suis toujours le petit Vito. Depuis que j’ai découvert le plaisir charnel, il m’était difficile de me retenir. J’draguais de gauche à droite, je n’avais plus de retenu. Les belles filles étaient devenues mon passe temps favori. J’tirais sur tout ce qui bouge. La copine de ma femme, la bonne de la maison, bref, j’pensais que toutes les belles filles étaient pour moi. Ma femme n’est pas étrangère de tout ça. Elle est vraiment jongué Mashallah. Mais j’avais une autre philosophie, il faut changer de repas parfois. Chaque jour, le même plat devient lassant. Dans cette histoire, vous comprendrez que l’argent augmente le courage et la force de l’homme. Xaliss dey yokk fiit. Et ne jugez pas la fidélité de l’homme tant qu’il n’a pas réussi. Ne vous vantez pas de votre mari puceau, parce qu’une fois qu’il découvre le plaisir, il sera difficile de le maitriser. Ngène balma nak mdrrr. Tey lay wakh secret mec yeup kxkxkxkx. A vos marques… Kouci am djeukeur bou vierge titeul kxkxkxkx Nandité de retour, j'étais dans mon coin et j'avoue que j'avais décidé de ne plus écrire parce que ça prend énormément de temps et franchement parfois ça en manque. Mais j'ai vu tous les messages même si je n'ai pas réussi à répondre tout le monde n'empêche que vos messages me vont droit au coeur. J'vais essayer de vous consacrer un peu de mon temps. C'est une passion mais ça devient difficle nak rire. Heureusement que j'ai la permission de madame qui m'a forcé aussi hahaha... Bon, pardon à l'avance pour les maris puceaux et qui se croient exemplaires mdrrrr....


Ma solitude et ma liberté : mes erreurs
Prologue Salut les lecteurs et lectrices de nandité. J’vais vous raconter mon histoire. J’pense qu’il est grand temps de me vider la tête. C’est une grande occasion pour moi de me libérer l’esprit dans l’anonymat. Peut-être certaines personnes me jugeront mais, je ne vais pas en faire tout un tas de problème, car j’ai des questions à résoudre dans ma tête. L’essentiel est que j’serve d’exemple pour d’autres filles qui seront peut-être victimes ou qui vivent la même situation que moi. J’aurai beaucoup plus à gagner qu’à perdre. Ça me permettra de tirer des conclusions et des conseils dans le futur, grâce à vos commentaires et messages. Ma solitude et ma liberté sont mes erreurs. Je m’appelle DADA prénom d’emprunt bien sur. J’suis sénégalaise de Kolda. J’ai 32ans maintenant vivant au bled plus précisément à Dakar dans un quartier de la place. J’en suis à ma 5ème année de mariage, si j’peux l’appeler ainsi, je ne sais pas si j’suis toujours dans les liens du mariage ou dans un autre monde. J’sortais avec un homme qui était vraiment un débrouillard et qui faisait des choses pour moi, malgré sa situation difficile. Il était journalier dans une société de notre village natal. J’avoue que j’suis une femme très belle mais cette beauté m’a joué de mauvais tour. J’croyais que le monde m’appartenait. Avec le temps, j’commençais à avoir un appétit grandissant pour l’argent. Au début, j’étais fidèle à mon petit ami ALLODI avec qui nous avons passé 7ans de relation. Ce dernier est un homme simple, digne, gentil et surtout pieux. Vous aurez le temps de le connaitre. Le tournant de ma vie a commencé lorsque j’suis venue à Dakar avant de rencontrer Bachir. A suivre… Nandité : Les confessions d’une femme désespérée. J’espère que vous êtes prêts à voyager dans un autre train. A chaque fois, que j’veux abandonner, j’reçois des histoires qui méritent vraiment de partager. Merci à Dada d’avoir proposé cette histoire. Elle mérite d’être partagée. J’étais obligé de sortir ma plume pour écrire cette confession. On va se lancer. J’suis au premier rang pour écouter et découvrir avec vous ce qu’elle a à raconter. Dada, la page est à toi. Pour le moment tout ce que j’peux dire : Infidélité, solitude, amour, trahison, déception, tout y est. A bon entendeur…


Les dessous de ma polygamie
PROLOGUE J’suis venu partager mon histoire avec vous chers lecteurs et lectrices des chroniques d’un nandité sénégalais. J’suis un fidèle lecteur. J’suivais dans l’ombre toutes les histoires de cette page et j’ai fini par juger opportun d’expliquer ma vie de polygame. Le but c’est juste d’avertir les hommes qui y songent, je ne les dissuade pas mais juste les préparer. C’est une vie pleine de rebondissement, de stress oui vous en traverserez, de bonheur oui parce que vous en aurez chacune voudra faire de toi l’homme le plus heureux et te montrer qu’elle est le bon choix. De problème oui vous en aurez aussi à cause des états d’âme, de rivalité atroce oui vous serez servis aussi, imaginez la mentalité féminine pour deviner, de pression oui elle sera présente, chacune scrute tes erreurs pour te créer des problèmes, de mensonge oui de mensonge parce que vous en aurez besoin de temps en temps. Dans cette histoire, vous serez avertis de tout, en tout cas de ce que j’vis. J’vais me nommer Massamba nom d’emprunt bien sûr et pour les intimes Mass. J’suis dans la quarantaine. J’suis cadet d’une famille de 3. J’ai deux grandes sœurs. Elles se sont mariées très tôt. J’ai 4 femmes, ma première (Adji) que j’surnomme la lionne et la sagesse à cause de sa force, sa bravoure, sa mentalité et son respect. La seconde (Nafi) la tigresse et la curieuse par sa force aussi, son caractère, ses habitudes agressives et sa curiosité. La troisième (Rama) c’est la sournoise, elle fait tout sans bruit. La quatrième (Faty), c’est la sagesse, la tranquillité et la soumission. Vous aurez l’occasion de découvrir tout dans cette histoire. Je veux être clair dès le début, je ne parle pas aux noms des polygames, j’parle de moi-même et de mon expérience. A plus… Nandité : Comme d’habitude, tous mes remerciements d’avance à Mass de m’avoir fait confiance pour tenir compagnie à mes lecteurs. J’serai au premier rang pour découvrir ce monde de polygame. Je n’y connais absolument rien mais ce sera l’occasion pour moi de découvrir autre chose. Le rat ressort de son trou pour fouiner. Les parties seront bientôt disponibles. Bonne lecture à tous et à toutes…


Dilemme : mon bonheur ou le bonheur de ma mère ?
PROLOGUE « Mon fils n’envie personne dans ta vie. Ne sois pas pressé. Je sais que c’est difficile de trouver du boulot actuellement dans ce pays mais tôt ou tard ça viendra. N’échange jamais ta dignité, ton éducation, ta foi pour quoi que ce soit. Surtout ne vend jamais ta dignité pour l’argent. Aies toujours confiance en toi et dis toi tant que y’a la vie, il y’a toujours l’espoir ». Les propos de ma mère quand j’venais de terminer mes études. Je m’appelle Chérif (nom d’emprunt bien sur). J’ai la trentaine et j’suis un V.A.U.C (Victime des Années à l’Université pour Chômer). Ma mère n’a ménagé aucun effort pour ma réussite. Elle est une brave dame et elle n’a jamais cessé de m’encourager. Malheureusement, un bon travail tarde à venir. J’ai collectionné des stages les uns après les autres sans être embauché. Le pire, c’est la maman qui me donnait le transport. Ne pouvant plus accepter que maman ne vit que pour moi avec son âge avancé, j’ai arrêté les stages et j’faisais de petits boulots. J’me suis lancé dans la vente du café Touba dans le coin du quartier en premier temps avant d’ajouter des beignets. La place était occupée aussi par d’autres vendeuses, y’avait Mère Nabou (vendeuse de Tiéré "Couscous", Mère Bator (vendeuse d’arachide "Guerté khott"). Une complicité s’est liée entre nous. Nous étions comme une famille. J’ai fini par faire la connaissance de Néné la fille de Mère Nabou. Une jeune fille bien éduquée, gentille, calme et posée. Avec le temps, j’suis tombé amoureux d’elle pour différentes raisons que j’évoquerai dans l’histoire. Au fil du temps, j’ai rencontré Diary, une fille qui est tombée en panne avec sa voiture devant notre lieu de travail tard dans la nuit. J’ai aidé à dépanner en appelant le mécanicien du quartier qui était un ami à moi. Elle était contente et nous avions échangé nos contacts. Avec le temps, elle est devenue proche de moi et me donnait de temps en temps un coup de main. Cette connaissance allait bouleverser ma vie paisible et simple que j’avais auparavant. Elle a fait changer le discours de maman. « Tu ne peux pas et tu ne dois pas rendre nul les efforts consentis durant des années dans la maison de ton père. J’ai sacrifié ma vie pour vous et il est temps que vous me rendez l’ascenseur. Tu ne peux pas rejeter cette belle opportunité qui vient à nous. J’vais voir si tu tiens vraiment à mon bonheur ou tu vas imposer ton égoïsme ». Tels sont les propos de ma mère à mon encontre. L’argent, encore l’argent, toujours l’argent, il a encore fait des dégâts. « Quand l’argent parle parfois la raison se tait pour l’écouter ». Bref, vous aurez les détails. Merci à Nandité d’avoir accepté de partager mon histoire. Nandité : Salam à tous mes lecteurs et lectrices. Vous m’avez beaucoup manqué. J’ai vu tous les messages même si je n’ai pas répondu à tous. Sachez que ça me va droit au cœur de recevoir tous ses messages de reconnaissance. Pour dire vrai, j’avais décidé de me retirer définitivement. Mais y’a des histoires qui méritent vraiment d’être partagé. J’remercie Chérif de m’avoir fait confiance et de s’ouvrir à moi pour raconter son histoire qui m’a vraiment touché. Dieu merci, j’espère que ton histoire aidera certaines personnes à se ressaisir pendant qu’il est temps. J’suis au premier rang pour suivre comme vous cette histoire.


Avantages et inconvénients d'une femme indépendante
« Chères femmes, c’est bien de travailler mais svp, un ménage se gère. Ne laissons pas le travail prendre tout notre temps, jusqu’à oublier notre rôle de femme mariée. La vie est un combat déjà perdu d’avance. Quelque soit notre réussite, notre échec, nous allons nous retrouver tôt ou tard dans un trou. Donc, sachons faire la part des choses ». Bonjour la famille. Je m’appelle Zeynab (nom d’emprunt bien sur). J’ai 33ans et j’suis sénégalaise à 100%. Maman d’une fille de 3ans. J’viens partager et sensibiliser en même temps mes semblables. J’suis une femme d’un fort caractère. J’me suis toujours battue dans ma vie pour ne pas dépendre sur les hommes. Grâce à ma motivation, Alhamdoulilah, Dieu a exaucé mes vœux. Aujourd’hui, je ne dépends de personne. Financièrement, j’suis bien assise. J’suis mariée avec l’homme de ma vie Badou (nom d’emprunt). Un homme vraiment doux, simple, compréhensif qui cède à tous mes désirs. J’suis éperdument amoureuse de lui. Mais mon caractère bien trempé, m’a joué de mauvais tour. Je me réclame une femme indépendante qui décide de tout dans mon ménage. Vous aurez de plus amples détails dans mon récit. J’tenais à vous remercier d’avance et à vous avertir de ne pas commettre les mêmes bêtises que moi à l’avenir. J’parle en connaissance de cause. Merci à Nandité d’accepter de sortir de ton trou comme tu le dis pour raconter mon histoire. Contente de t’avoir fait revenir sur ta décision de mettre en stand by les écritures. Enfin, j’ai réussi. J’espère que mes écrits seront utiles à certaines femmes de ta page. Bisou à tout le monde. Nandité : Salam, chers lecteurs, me revoilà lol. J’suis toujours dans mon étoile de mariage rire. Madame s’occupe tellement bien de moi, que je n’ai plus le temps de me concentrer pour écrire. Heureusement, elle a accepté de me laisser un peu pour partager cette histoire que j’trouve hyper intéressante. J’suis content de revoir certains noms dans les commentaires. Vous les célibataires de cette page, je n’ai aucun doute, vous serez de bons époux et de bonnes épouses rire car vous êtes tellement fidèles. Franchement votre fidélité et votre patience me touchent. De nos jours, plusieurs ménages ont éclaté à cause de certaines erreurs que nos femmes commettent sans le savoir. C’est bien de se réclamer femme indépendante mais une femme restera toujours une femme. Elle a des devoirs à accomplir à la maison. N’abusez pas de votre situation pour imposer certaines choses à votre mari. Vous courez à votre perte. Pour moi, le mariage n’est pas un jeu. Soyons prêts avant de nous engager. J’suis au premier rang pour suivre avec attention cette histoire. A vos claviers pour donner vos avis.


Les aventures de Nandité
Les aventures de nandité J’suis amoureux de la femme divorcée du coin. Elle a l’air plus âgé que moi mais en matière d’amour, l’âge ne compte pas. J’ai le droit de rêver et de tenter ma chance comme tout le monde. Même si elle est plus élancée et plus grande que moi (soutt ma mom dafa yomb cause dama gatt), j’vais tenter ma chance. En plus, j’rêvais d’avoir une relation avec une femme divorcée. Yénama gueneu kham, doundou lo fékké aduna amoul solo, lepp téranga leu lol. C’est l’histoire d’une femme qui me faisait vraiment fantasmé. J’vous donne son portrait même si ce sera difficile. Elle a une bonne taille et des formes extraordinaires. Une poitrine bien faite Mashallah, un derrière hippopotamé lool bref, tout ce don a besoin d’une femme. Elle est précoce par rapport à son âge. Elle est mon ainé de 2ans mais en le voyant, on dirait qu’il y’a une différence d’âge de 10ans. Magoum djiguène koi. Elle est semi drianké en quelque sorte. Elle a la peau claire, elle utilise les bons produits. Dafa sett nak, meloul ni certaines lool. Vous allez découvrir le reste dans la chronique. Yénéma gueneu kham, dama siikk. J’raconterai aussi mes connaissances, passant par la fille tioco tioco (moy une fille qui roule les R quoi maname toubabé, elle se reconnaitra), ma st louisienne (ymgx), wa brioche dorée, sans oublier la maman jalouse que j’ai rencontré en rendant visite sa fille mdrrr etc… Bref du vrai nandité dans le texte… Nandité de retour après des chroniques tristes et beaucoup d’émotion, nous allons replonger dans les aventures d’un certain nandité. Nous allons emprunter à Viviane sa nouvelle chanson No stress. Ma vision de la vie c’est de vivre de jour en jour. La joie de vivre est mon crédo. Pas de stress, ni de colère, faisons disparaitre la haine et remplaçons la par le bonheur et la joie de vivre. Pourquoi se compliquer la vie alors qu’elle vaut la peine d’être vécue.


Entre problème de caste et mariage forcé
Je m’appelle Penda Cissokho plus connue sous le nom de Pendista. J’ai 32 printemps, employée dans une haute société de la place, j’ai une bonne situation financière. J’suis élégante, séduisante et je n’envie aucune femme sur cette terre. Ce n’est pas pour me vanter mais j’ai des formes extraordinaires, je m’habille classe et aucun mec ne peut me résister. J’ai toujours été la favorite de mes parents malgré une famille de 4 personnes. Jusqu’au jour où mes parents ont découvert que j’avais un copain laobé. J’ai tenu à vous raconter mon histoire pour sauver ce qui peut l’être. Combien de filles ont entendu : Douma lako mey dolène ndawlé ??? Aduna dou neex ba nga seuy ak ki ??? Combien de filles ont été battu à cause d’un homme d’une soi-disant autre classe sociale ??? Pourquoi tant de chose au Sénégal. A travers ses quelques parties, vous allez découvrir que ses pratiques existent toujours au Sénégal et je ne pense pas que ça changera. Ne vous découragez pas Dieu est plus fort que tous ses préjugés, si c’est écris que vous resterez ensemble eh bien ça arrivera tôt où tard.


Les chroniques d'un Nandité Sénégalais
Les conséquences d’un mariage à distance Louf est le mari de Mina. Il l’a connu via la vidéo du mariage de son ami Laye qui vivait en Espagne avec lui. Comme cupidon lance ses flèches partout, il est passé par là et a foudroyé le cœur de Louf. En voyant la photo de Mina, j’comprends pourquoi Louf a jeté son dévolu sur cette fille qu’il n’a vu que par Vidéo. Ce que j’trouve comme erreur d’ailleurs. Ce récit sera détaillé en 20 parties. Malgré que Mina était en couple avec un autre, Louf n’a pas laissé passer sa chance lorsqu’elle s’est présentée. Après avoir mis tous les atouts de son côté, il a fini par convaincre Mina, qui accepta de donner une chance. Et ce fût une histoire qui mènera vers d’autres chemins parfois sombres, parfois clairs. Wayow ma ngi ratati rek. Au faite, c’est l’histoire d’un couple qui vivait leur mariage à distance dans la plus grande complicité, malheureusement les effets de la distance sont passés par là. Comme tout début, tout allait super bien, les conversations nocturnes (watsapp, Imo et Viber etc…), chacun ne voulait pas raccrocher, au fur et à mesure que ça avançait, les pulsions humaines se sont réveillées, l’attente commençait à devenir longue. Avec les problèmes familiaux, une maman qui avait refusé au début, en y ajoutant la distance et une jalousie maladive. Bref, j’vous laisse écouter le récit d’un Modou Modou qui accepte de briser le tabou pour partager son expérience. Et comme d’habitude, j’mettrai mon grain de sel en commentant si besoin. J’espère que vous êtes prêts à vous lancer dans un univers un peu méconnu de la société. Après les confessions de cette personne, j’dirai que certains mariages à distance se tiennent qu’à un bout de fil. Je ne généralise pas, mais j’préfère ma femme près de moi. Allalou golo si lékh ba…


A la conquête des amours impossibles
A la conquête des amours impossibles


Les confessions de Nahima
Les confessions de Nahima


Le choix d'une vie pleine de risques
Le choix d'une vie pleine de risques


Un amour sucré
Sally et Salem un amour sucré


Cally
Cally


Sombre vie
Sombre vie


La vie,tu parles d'un long fleuve tranquille
La vie,tu parles d'un long fleuve tranquille


L'ombre du passé
L'ombre du passé


Les embûches de la vie de Divine Ntonda
Les embûches de la vie de Divine Ntonda