Chapitre 3 : visite du domaine avec madame Eliza la gouvernante de la maison .

Chapitre 3 : visite du domaine avec madame Eliza la gouvernante de la maison .

Madame Eliza, la gouvernante du domaine, l’accueillit avec un sourire aimable. Elle portait une robe sobre mais élégante, et ses cheveux gris étaient tirés en un chignon strict. Elle posa une main rassurante sur l’épaule de Léa.

« Bienvenue au domaine de Lord Damien, » dit-elle d’une voix douce. « Viens, je vais te montrer ta nouvelle demeure. »

Léa suivit Madame Eliza à travers le grand hall d’entrée. Les murs étaient ornés de tapisseries et de portraits de famille, chacun racontant une histoire de grandeur et de pouvoir. Léa se sentait minuscule et insignifiante dans ce lieu grandiose.

« Voici le salon principal, » dit Madame Eliza en ouvrant une porte massive. La pièce était immense, décorée de meubles luxueux et de tapis épais. Un grand chandelier pendait du plafond, illuminant la pièce d’une lumière dorée.

Léa resta sans voix devant tant de splendeur. Elle n’avait jamais vu quelque chose d’aussi magnifique. Mais sous cette beauté, elle ressentait une froideur, une distance qui la mettait mal à l’aise.

« Nous avons beaucoup de pièces à visiter, » poursuivit Madame Eliza. « Il est important que tu te familiarises avec les lieux. »

Elles continuèrent leur tour, passant par la salle à manger, la bibliothèque, et enfin les cuisines. Chaque pièce était plus impressionnante que la précédente. La cuisine, en particulier, était un lieu de grande activité. Des cuisiniers et des aides de cuisine s’affairaient autour des fourneaux, préparant des plats somptueux pour le dîner.

Madame Eliza présenta Léa aux domestiques. « Voici Léa, notre nouvelle venue, » dit-elle. « Traitez-la bien et aidez-la à s’adapter. »

Les regards curieux et amicaux se posèrent sur Léa. Une jeune femme aux cheveux roux et aux taches de rousseur s’approcha.

« Bonjour, je suis déborah, » dit-elle avec un sourire chaleureux. « Si tu as besoin de quoi que ce soit, n’hésite pas à me demander. »

Léa murmura un timide merci. Elle était touchée par cette gentillesse inattendue. La présence de déborah et des autres domestiques la rassurait un peu.

Après la cuisine, Madame Eliza la conduisit aux quartiers des domestiques. C’était une aile plus modeste du manoir, où l’ambiance était plus détendue et conviviale. Léa sentit un peu de sa tension disparaître en voyant les visages souriants et en entendant les éclats de rire.

« Voici ta chambre, » dit Madame Eliza en ouvrant une porte. La pièce était petite mais confortable, avec un lit, une armoire et une table. Une fenêtre donnait sur le jardin, offrant une vue apaisante sur les massifs de fleurs colorées.

« Merci, Madame Eliza, » dit Léa en entrant dans la chambre. Elle posa son maigre bagage sur le lit et s’assit, laissant échapper un long soupir. Les émotions de la journée la submergeaient.

« Repose-toi un peu, » dit Madame Eliza. « Je viendrai te chercher pour le dîner. »

Léa acquiesça et Madame Eliza la laissa seule. Elle s’allongea sur le lit, observant le plafond. Les événements de la journée tourbillonnaient dans son esprit. Elle était à la fois excitée et terrifiée par ce nouveau départ.

Un peu plus tard, Madame Eliza revint la chercher. Elles se dirigèrent vers la salle à manger des domestiques, une grande pièce où une longue table était dressée. Les domestiques étaient déjà rassemblés, discutant joyeusement. Léa s’assit timidement, essayant de se faire discrète.

Déborah s’assit à côté d’elle, une assiette de nourriture dans les mains. « Alors, comment tu trouves le domaine jusqu’ici ? » demanda-t-elle.

« Impressionnant, » répondit Léa. « Et un peu intimidant. »

« Ne t’inquiète pas, tu t’y habitueras, » dit Clara en lui souriant. « Lord Damien peut sembler sévère, mais il est juste. Et nous, les domestiques, formons une grande famille. Nous prenons soin les uns des autres. »

Léa se sentit réconfortée par ces paroles. Le dîner se passa dans une ambiance conviviale. Les domestiques plaisantaient et racontaient des histoires, créant une atmosphère de camaraderie qui apaisa légèrement l’anxiété de Léa.

Après le repas, Madame Eliza emmena Léa dans la bibliothèque où Lord Damien l’attendait. Il se tenait debout près de la cheminée, une expression grave sur le visage.

« J’espère que ta journée a été satisfaisante, » dit-il en la voyant entrer.

Léa hocha la tête. « Oui, monsieur. Merci. »

« Très bien. Demain, nous commencerons avec tes tâches. Pour ce soir, repose-toi et familiarise-toi avec les lieux. »

Léa s’inclina légèrement et quitta la pièce. En remontant vers sa chambre, elle réfléchissait à tout ce qui s’était passé. Le domaine de Lord Damien était un endroit complexe, à la fois accueillant et intimidant. Elle sentait que beaucoup de choses restaient à découvrir, à la fois sur le lieu et sur son mystérieux maître.

Elle s'allongea sur son lit, épuisée mais étrangement apaisée. Peut-être, juste peut-être, trouverait-elle ici une chance de reconstruire sa vie et de guérir de ses blessures. Tandis que ses paupières se fermaient, elle murmura une prière silencieuse pour que le lendemain apporte un peu plus de lumière et d’espoir dans son existence tourmentée.

### Chapitre 3 : Arrivée au Domaine

Léa descendit du carrosse, les jambes tremblantes après le long trajet. Elle leva les yeux pour découvrir le manoir imposant de Lord Damien. Une imposante bâtisse de pierre s’élevait devant elle, ses tours dominant l’horizon. Chaque fenêtre, chaque porte semblait chuchoter des secrets du passé.

Madame Eliza, la gouvernante du domaine, l’accueillit avec un sourire aimable. Elle portait une robe sobre mais élégante, et ses cheveux gris étaient tirés en un chignon strict. Elle posa une main rassurante sur l’épaule de Léa.

« Bienvenue au domaine de Lord Damien, » dit-elle d’une voix douce. « Viens, je vais te montrer ta nouvelle demeure. »

Léa suivit Madame Eliza à travers le grand hall d’entrée. Les murs étaient ornés de tapisseries et de portraits de famille, chacun racontant une histoire de grandeur et de pouvoir. Léa se sentait minuscule et insignifiante dans ce lieu grandiose.

« Voici le salon principal, » dit Madame Eliza en ouvrant une porte massive. La pièce était immense, décorée de meubles luxueux et de tapis épais. Un grand chandelier pendait du plafond, illuminant la pièce d’une lumière dorée.

Léa resta sans voix devant tant de splendeur. Elle n’avait jamais vu quelque chose d’aussi magnifique. Mais sous cette beauté, elle ressentait une froideur, une distance qui la mettait mal à l’aise.

« Nous avons beaucoup de pièces à visiter, » poursuivit Madame Eliza. « Il est important que tu te familiarises avec les lieux. »

Elles continuèrent leur tour, passant par la salle à manger, la bibliothèque, et enfin les cuisines. Chaque pièce était plus impressionnante que la précédente. La cuisine, en particulier, était un lieu de grande activité. Des cuisiniers et des aides de cuisine s’affairaient autour des fourneaux, préparant des plats somptueux pour le dîner.

Madame Eliza présenta Léa aux domestiques. « Voici Léa, notre nouvelle venue, » dit-elle. « Traitez-la bien et aidez-la à s’adapter. »

Les regards curieux et amicaux se posèrent sur Léa. Une jeune femme aux cheveux roux et aux taches de rousseur s’approcha.

« Bonjour, je suis Clara, » dit-elle avec un sourire chaleureux. « Si tu as besoin de quoi que ce soit, n’hésite pas à me demander. »

Léa murmura un timide merci. Elle était touchée par cette gentillesse inattendue. La présence de Clara et des autres domestiques la rassurait un peu.

Après la cuisine, Madame Eliza la conduisit aux quartiers des domestiques. C’était une aile plus modeste du manoir, où l’ambiance était plus détendue et conviviale. Léa sentit un peu de sa tension disparaître en voyant les visages souriants et en entendant les éclats de rire.

« Voici ta chambre, » dit Madame Eliza en ouvrant une porte. La pièce était petite mais confortable, avec un lit, une armoire et une table. Une fenêtre donnait sur le jardin, offrant une vue apaisante sur les massifs de fleurs colorées.

« Merci, Madame Eliza, » dit Léa en entrant dans la chambre. Elle posa son maigre bagage sur le lit et s’assit, laissant échapper un long soupir. Les émotions de la journée la submergeaient.

« Repose-toi un peu, » dit Madame Eliza. « Je viendrai te chercher pour le dîner. »

Léa acquiesça et Madame Eliza la laissa seule. Elle s’allongea sur le lit, observant le plafond. Les événements de la journée tourbillonnaient dans son esprit. Elle était à la fois excitée et terrifiée par ce nouveau départ.

Un peu plus tard, Madame Eliza revint la chercher. Elles se dirigèrent vers la salle à manger des domestiques, une grande pièce où une longue table était dressée. Les domestiques étaient déjà rassemblés, discutant joyeusement. Léa s’assit timidement, essayant de se faire discrète.

Clara s’assit à côté d’elle, une assiette de nourriture dans les mains. « Alors, comment tu trouves le domaine jusqu’ici ? » demanda-t-elle.

« Impressionnant, » répondit Léa. « Et un peu intimidant. »

« Ne t’inquiète pas, tu t’y habitueras, » dit Clara en lui souriant. « Lord Damien peut sembler sévère, mais il est juste. Et nous, les domestiques, formons une grande famille. Nous prenons soin les uns des autres. »

Léa se sentit réconfortée par ces paroles. Le dîner se passa dans une ambiance conviviale. Les domestiques plaisantaient et racontaient des histoires, créant une atmosphère de camaraderie qui apaisa légèrement l’anxiété de Léa.

Après le repas, Madame Eliza emmena Léa dans la bibliothèque où Lord Damien l’attendait. Il se tenait debout près de la cheminée, une expression grave sur le visage.

« J’espère que ta journée a été satisfaisante, » dit-il en la voyant entrer.

Léa hocha la tête. « Oui, monsieur. Merci. »

« Très bien. Demain, nous commencerons avec tes tâches. Pour ce soir, repose-toi et familiarise-toi avec les lieux. »

Léa s’inclina légèrement et quitta la pièce. En remontant vers sa chambre, elle réfléchissait à tout ce qui s’était passé. Le domaine de Lord Damien était un endroit complexe, à la fois accueillant et intimidant. Elle sentait que beaucoup de choses restaient à découvrir, à la fois sur le lieu et sur son mystérieux maître.

Elle s'allongea sur son lit, épuisée mais étrangement apaisée. Peut-être, juste peut-être, trouverait-elle ici une chance de reconstruire sa vie et de guérir de ses blessures. Tandis que ses paupières se fermaient, elle murmura une prière silencieuse pour que le lendemain apporte un peu plus de lumière et d’espoir dans son existence tourmentée.