Chapitre 7
CHAPITRE 7 :
UNE VIE INCROYABLE DE REVE
Marina raccrocha. Elle est d’abord restée 2min à regarder dans le vide et me dit
Marine : Appelles le dans une heure, le gars va voyager pour 3semaines ce sera chaud tu ne pourras pas le voir d’ici là et ce n’est pas bon il m’a dit qu’il part demain à Lille pour 2 semaines, après il va en Cote d’Ivoire et ensuite reviendra ici. Moi je pense qu’il ne faut pas le laisser partir comme ça.
Moi : ah bon ?mais c’était prévu le voyage la ? Wouaih il t’a dit quoi exactement ? Tu vois alors mes choses ?je suis dépassée hein hum !!!J’ignore même ce que le gars voulait me dire, il voulait me montrer quelque chose et ne faisait que me dire qu’il doit absolument me montrer quelque chose. Wouaih l’amour même ci tsuiiip est ce qu’il va même prendre si je l’appelle ? mieux au retour on va gérer.
Marina : toi et ton foutu orgueil ci je fais comment avec toi ?appelles le tu l’aimes ou pas ?en tout cas lui y’ a pas de doute le gars est mordu et je sens que c’est lui le bon, ma sœur. Bats toi pour ton homme puce ,ne le laisses pas filer.
Moi : Non, il est encore trop vexe, mieux je lui donne du temps. Ou alors comme il a dit j’attends qu’il m’appelle sinon tant pis.
Marina : c’est toi qui vois, tu ne comprends pas qu’il a dit qu’il va t’appeler juste pour me zapper ? Il est si poli qu’il ne veut pas me décevoir mais il le fera pas.
Moi : ok qu’il laisse alors. N’est ce pas je secoue mes épaules pour ya que je suis forte ?aka on va voir qu’il laisse alors les hommes la aiment trop ça c’est quoi ?
On n’a causé pendant longtemps. On n’a flâné aussi je suis allée voir maman qui me manquait et papa était un peu malade. J’ai fais un bouillon de poisson et j’ai regardé la télé bien tard espérant que Franc allait m’appeler mais rien.je suis allée me coucher avec la ferme intention de le rappeler le lendemain.
Je me suis réveillée vers 11heures, tellement fatigué. la veille j’ai dormi sans m’en rendre compte avec mes habits, directement ma pensée est allée vers Franc. J’ai couru vers mon téléphone pour l’appeler mais je ne tombais que sur son répondeur. « Mince c’est pas de chance… » Je vais faire comment pour le voir.
Je me suis vite lavée, j’ai appelé un taxi, un ami à moi qui était chauffeur . " Viens vite tu vas m’accompagner chez Franc" il le connaissait de nom puisqu’il avait pour habitude de me déposer chez lui. Le gars n’a pas mit long nous voila partis. Quand je suis arrivée,Le gardien m’a dit qu’il était sorti avec une dame. Hein ??? Une dame ? Qui était comment ?elle faisait quoi la ?j’étais tellement déçue et triste. J’ai relancé l’appel ca passait pas.
La mort dans l’âme je suis repartie chez moi. J’ai appelé Marina pour lui expliquer elle m’a grondé jusqu’à. Me disant qu’elle m’avait bien demandé d’appeler la veille, bien sur elle était désolée pour moi.
Je n’avais envie de rien, j’avais mal hein vraiment j’étais triste. Je me suis enfermée chez moi et ne suis ressortie que le lundi pour aller bosser. J’essayais dele faire pour oublier.
Une semaine écoulée, pas de nouvelles de Franc.
Un soir je sortais du bureau, Christian est venu m’attendre à la sortie, il avait l’air bien préoccuper.
Moi : que veux tu encore ?tu n’es pas fatigué de m’appeler et me chercher ?je t’ai déjà dis que je n’ai rien à te dire.
Christian était un homme fier, il n’acceptait pas la défaite et surtout se refusait d’être rejeté. pour lui un homme de son gabarit ne devait être rejeté par aucune femme. C'‘était un challenge comme il aimait dire car pour lui les femmes aiment les bonne choses. Argent, voitures, bijoux, belles maisons, restaurants, il me disait toujours qu’un étalon comme lui nul ne pouvait le refuser.
Christian : Allons ma chérie, je veux juste prendre un verre avec toi et te dire certaines choses. Tu as peur de moi ou quoi ?
Moi : peur ???Mais non je ne veux tout simplement pas te causer. Arrêtons de faire semblant tu ne m’intéresses plus.
Christian : ah bon ?! Tu en es sur ? Parce que tu sors avec le gars la ?il a quoi de plus que moi ? J’ai tout ma belle et je ferais de toi la femme la plus comblée et respectable de cette ville et au Gabon.
Moi : tu fais rire hein BENG tu es drôle hein va dire ça à d’autres moi je suis plus intéressée.
Christian : ahahahahahahaha, je repars bientôt et je compte bien te reconquérir avant. Allez !!! montes je te dépose chez toi alors t’as toujours pas de voiture ?
Qu’il était drôle ? J’avais d’abord le permis pour avoir la voiture ? il se moquait de moi de toute façon c’est pas moi qui vais restée là à écouter ses balivernes.
Un taxi passait par la je l’ai stoppé et dedans je n’ai même pas donné ma destination, le Mr. a même Wanda que c’est comment ?je lui ai dis démarres juste je te prends en course.
Ah !madame faut dire comme ça avec le sourire sur ça. Affaire nkap la hum !!! Christian n’en croyait pas ses yeux.
2ème semaine écoulée, je me suis battue corps et âme sur les dossiers même les collègues j’aidais. Y’avaient de grosses commandes ça me permettait de ne pas penser à Franc et ne pas voir le temps passé.
Enfin vendredi ouf !!! Je pouvais respirer Eldwing et moi avons décidé d’aller prendre un verre au Yaoba un restaurant chic de la place. J’en ai besoin on n’avait rendez vous à 21h. J’étais sous la douche quand mon téléphone sonne…
Moi : Allô !!!
Ca devait peut être une erreur. Tsuiiip en rentrant sous la douche la sonnette retentit
Mince Eldwing n’était pas en avance ?!
Wouaih obligée d’aller ouvrir j’ai vite tirée la serviette et Je suis allée ouvrir la porte…
Dieu mon cœur allait exploser, qu’il était beau, accoudé sur la porte son regard dans les miens, habillé d’un polo bleu, un jean délavé et d’un débardeur dessus le tout avec des mocassins. Je n’arrivais pas à détacher mon regard du sien et lui aussi l’odeur de son aftershave me piquait les narines « hm mm !!! Il sentait si bon, on dirait de la citronnelle… » il a croisé ses bras et a sourit, j’ai souri. Pour tout vous dire j’avais envie de sauter à son cou hein mais j’étais timide ooooh.
Franc : bonsoir
Moi : bonsoir
Puis silence radio, juste le regard, timidement je lui dis
Moi : euuuh !!! Excuses moi tu entres ???
Lui : oui, si tu le permets « hum !!!Il me tente ? Si je permets comment ?pourtant je ne voulais que ca.
Moi : bien sur Franc, ravie de te revoir
C’était un peu bizarre entre nous. D’habitude on se parle comme des Amis, mais la je ne voulais même pas casser les œufs ooooh. « Pour dire que j’avais pas envie de dire une bêtise ». Il entra et me pris dans ses bras ; il me serrait tellement fort que j’ai cru que mon souffle allait s’arrêter, je ne voulais pas imaginer autre chose j’étais trop bien la. Tous mes sens étaient en éveil. Normal j’étais en serviette et puis c’est le gars que j’aime ooooh. Il s’écarta un peu me regarda dans les yeux déjà ses lèvres effleuraient les miennes. Légère, immobile, tout d’abord, comme s’il voulait me laisser le temps de me raviser. Puis quand ma bouche s’entrouvrit, il me pressa contre lui dans un fougueux élan de désir. « Hééé, mama j’étais aux anges ooooh ».
Lui : tu peux t’habiller ?
Moi : oui, oui un peu gênée donnes moi 15minutes.
Est ce que j’ai même fait 5 minutes pardon je ne voulais pas arriver au salon et croire que j’avais rêvé. J’ai vite pris une petite robe dans la penderie fleurie simple. Mis le parfum, léger maquillage et hop !sandales hauts et l’affaire était jouer.
Il m’attendait debout.
Lui : on n’y va ?
Moi : ok je prends mon sac.
Mama à l’heure là dans la voiture j’ai eu le temps d’envoyer le message à Eldwing pour lui dire que rendez vous annulé urgence signalée elle comprendra. Elle renvoya le message ok et bonne chance.
Arrivés chez lui, le gardien vint ouvrir, toujours calme silencieux, imperturbable il disait presque rien.je lui ai demandé s’il a bien voyagé , oui ca été dur mais ca va.
Franc avait une très belle maison, avec 5 chambres, une grande cuisine une belle cour avec des fleurs partout, un patio, une véranda et ce qui me plaisait surtout c’était le boukaro ou on pouvait se reposer en paix et profiter du soleil. A l’intérieur y’avaient deux salons en cuir, une belle salle à manger et un écran plasma de plus de 52 pouces. La décoration était très masculine, genre pas de fleur et tout il me disait souvent tu décoreras selon ton gout, et je rougissais.
Moi : Ca va ?
Lui : oui ca va mieux et toi dis moi as-tu compris pourquoi je suis parti ?
Moi : Tu étais fâché, je voudrais bien t’expliquer mais tu ne m’as pas laissé le temps. Chéri en posant ma main sur la sienne je n’avais pas encore compris que je pouvais aimer à nouveau ca été dur la séparation avec Christian, il m’a appris beaucoup. Ce jour la je n’ai pas prévu ce qui s’est passé, je t’assure je n’avais pas revue Christian depuis des mois crois moi il a débarqué sans m’en avertir. J’étais prête, je t’attendais avec impatience il est arrivé et j’ai du le faire entré parce que les voisins sont sortis, le temps de lui demander ce qu’il faisait la il m’a embrassé de force. Je n’ai pas prémédité cela tu comprends ? Me fais tu confiance ?
Lui : oui, j’ai été aveuglé par la colère et la jalousie. Je t’aime tu sais et j’ai toujours eu l’impression que tu n’étais pas prête pour une autre relation j’ai été patient parce que je sais que tu es la femme de ma vie, celle avec qui je veux vivre, vieillir, fonder ma famille et mourir tu comprends ? Alors je voudrai te faire totalement confiance être sur de tes sentiments pour pouvoir avancé. Es tu prête ?
« si on vous demande ça vous dites quoi ? Seigneur je suis prête le tour ci hein c’est ma part la pian !!! hé GOD »
Il me regardait comme s’il voulait être sur que ma réponse était vrai et venait du cœur je me suis levée, j’ai pris sa tête dans mes mains je l’ai regardé droit dans les yeux et je l’ai embrassé incapable de se réfréner plus longtemps, il me serra contre lui pour m’embrasser à pleine bouche. Mes lèvres s’ouvrirent trahissant une impatience en tout point égale à la sienne.je me fondais dans ses bras et m’abandonnait, comme mes jambes ne me soutenaient plus, je bougeai contre lui, timidement tout d’abord comme si je réinventais à son rythme la gestuelle immémoriale de l’amour. De sa gorge, montaient de tendres petits gémissements.
Franc effleura ma joue et la trouva aussi douce que les pétales de fleurs qu’il ne lui avait pas encore données. Sentait-elle les battements de son cœur ? Il avait envie d’elle plus que tout au monde. »Pensa t il intérieurement.
Lui : Es tu sure que c’est ce que tu veux mon cœur ???
Pour lui montrer que je le voulais là et maintenant avec amour, j’ai commencé à mordiller son oreille, il laissa passer un petit cri de plaisir.
Moi : je suis à toi, rends moi heureuse dans tes bras
Apparemment ça eut son effet, il m’a porté tout en m’embrassant je savais qu’on se dirigeait vers la chambre, je n’arrêtais pas de l’embrasser, lui parler en même temps, le rassurer.
Nous nous sommes déshabillés mutuellement avec fougue, il s’écarta légèrement pour mieux me scruter, il me touchait avec ses yeux ce qui me faisait perdre mes moyens.
Il m’a tiré vers lui nos corps se sont touchés dans la nudité d’Adam et Eve j’ai senti son sexe entre mes cuisses puis je l’ai pris dans mes mains il était comme j’aime, musclé et bien charnu, je l’ai poussé sur le lit, et me suis étalée tout le long de son corps.
Je l’ai embrassé et j’ai étendu ses mains pour qu’il se laisse faire ,j’ai sucé ses tétons,il haletait de plaisir, je suis descendu vers le bas et attraper son joli bijoux dans ma bouche ,j’ai sucé d’abord lentement tout en picotant le bout et de ma main gauche je le masturbais ;les tétons, les couilles je suçais , j’engloutis tout dans ma bouche et faisait les mouvements de va et vient ,il gémissait et se tortillait
j’ai pris sa main droite et mis sur mon minou bien mouillé, il m’a retourné sur le lit et a passé la tête en bas et les fesses sur ma bouche, pendant que je suçais ses couilles et son bijou, il me prenait dans sa bouche, il écartait de ses mains mon clitoris pour mieux me boire, j’étais dans un état second.
je gémissais comme un gorille devant sa proie
Franc : tu aimes ça mon cœur ?
Moi : ouiiiiiiiiiiiiii !!! Bb ohhh oui !!! Vas-y lèches moi
De plus belle il me suçait,mordillant légèrement le clito en passant sa langue sur la fente du vagin, tellement j’étais excitée je n’allais pas tarder à m’envoler vers les cieux du plaisir. Il le sut et mit deux doigts tout en léchant, buvant ma saveur en manipulant les doigts dans mon trou féminin, il mi le 3ème doigt ce qui me rendait presque bête de plaisir. J’accélérais mon mouvement en même temps que lui, je sentais le plaisir monté de plus en plus fort et lui aussi là d’un coup il se leva et écarta mes cuisses pour mieux me pénétrer , j’ai senti sa bite dans mon vagin et les mouvements accélérés me donnait tant de plaisir que je criais dans tous les sens, je le sentais venir et moi aussi la j’ai bloqué son sexe à l’intérieur et me suis levée pour qu’il me prenne en levrette lorsqu’il m’a enfoncé la chatte j’ai pris ses couilles dans mes mains et on s’embrassait comme des fous tt en gémissant
LUI : mon cœur je vais sombrer …aaaaargrgrgrgrgr
Moi : ouiiiiiiiiiiiiiiiiii mon cœur je viens avec toi
Et dans un élan commun on s’évanouit de plaisir, l’extase avait atteint son paroxysme. On s’écroula sur le lit tellement bien tous les deux et s’endormirent.
Vers 4h, je me levais pour aller aux toilettes, il dormait comme un bb je n’ai pas pu résister à ce beau corps couché sur ce lit.je me suis mise à 4pattes et j’ai attrapé son bijou question de le réveiller par des sensations fortes. Et hop !!!
Il m’a tiré vers lui …
La suite vous imaginez j’ai un problème de connexion je n’arrive pas à suiter plus de 2pages par jour pourtant c’était mon objectif mais bon régalez vous, commentez, suggérez et complimentez mes chéris bonne soirée gros kisss
