chapitre 5
Chapitre 5 - Sébastien aimait-il Anna ?
Anna demande à Jonas se qu’il va faire il lui explique qu’il va se faire à manger dans la cuisine. Anna veut l’accompagner, elle s’accroche au bras de Jonas, ils passent devant la porte ouverte du salon, Enzo les voit ensemble. Il contient sa jalousie et continue de lire. Dans la cuisine Anna et Jonas rient ensemble, Anna se dit que Jonas ressemble à son ami Jimmy. Anna pense à ces nuits passé avec ses amis. Elle sait aussi que si ils n’ont pas pu bouger de leur cabane c’est parce qu’elle avait ses règles et qu’ils n’ont pas voulu se déplacer pour elle. Elle veut oublier sa douleur pendant un instant et essaie de profiter de la gentillesse de Jonas. Jonas veut lui faire goûter la sauce alors elle se lève du tabouret. Voyant Enzo bras croisé dans son dos elle esquisse l’homme stoïque devant elle pour aller doucement à coté de Jonas. Enzo dit « Jonas tu n’as pas besoin d’elle pour cuisiner ! »
Jonas répond « elle m’aide beaucoup. »
Enzo répond « Non tu n’as pas besoin d’elle, elle me suit. »
Anna interrompe en disant « Ne t’inquiètes pas tu vas bientôt me ramener dans mon enfer alors laisse moi profiter d’encore un peu de paradis. »
Enzo s’approche d’elle et lui prend la main, il l’amène au salon. Il l’assoit sur un fauteuil à coté de lui en face d’Anaïs. Enzo se rassoit et rouvre son livre. Anna se lève et se dirige vers la bibliothèque un livre brille, l’hypnose elle le veut, elle tend le bras pour l’attraper se qui lève sa robe au raz de ses fesses. Enzo entend Anaïs grogner il regarde Anna, il l’a laisse galérer et il peut regarder ses cuisses, quand un de ces hommes lui attrape le livre et elle le remercie se qui l’énerve dans son plus profond être. Pour les autres c’est la froideur, mais lui sait que c’est de la jalousie. Anna s’assoit en indien sur le fauteuil deux de ces hommes la regarde, Sa robe arrive au milieu de ses cuisses. Il sait que ces hommes sont entrain de se faire des idées malsaines. Quand Jonas interrompe ses pensées. Il dit : « C’est prêt Annabelle si tu as faim. »
Anna lui répond « Appelle moi Anna. J’arrive. »
Anna essaie de remettre le livre en place quand il voit un de ces gars commençant à bouger Enzo se lève attrape la taille d’Anna et la lève. Anna regarde Anaïs elle les regarde elle remercie Enzo avec une main tapotant sur son torse. Anna suit Jonas, il a dressé deux assiettes, Anna et Jonas s’assoit au comptoir de cuisine, Il a cuisiné des pâtes au saumon. Elle adore ça. Elle mange une bouché mais à la nausée, Jonas lui dit que c’est normal si elle n’a pas manger depuis longtemps elle doit manger lentement.
Jonas lui dit « Je t’ai vu. »
Anna lui demande de s’expliquer. Il dit « Tu veux rendre Anaïs jalouse. Mais je ne comprends pas pourquoi seul quelqu’un de stupide ferait ça. Tu n’es pas bête ça c’est sur. »
Anna lui sourit et dit « Je suis sans doute stupide alors. »
Jonas dit « Tu n’es pas stupide tu es effrayée et désespérée. Tu ferrais n’importe quoi pour ne pas retourner là bas comme tes amis. Ils ont choisi la mort à la place de rentrer avec toi. »
Anna sent ses larmes monter, elle remercie Jonas pour ce bon repas. Jonas lui dit avant quelle ne passe la porte. « C’est une vierge qu’ils veulent au manoir King. On voit le médecin que dans trois jours. » Anna part en larme vers sa chambre. Elle heurte Enzo, se décale et passe sur son coté, entre dans sa chambre. Elle se met sous les couvertures, elle sait que Jonas à compris son but, il risque de le dire à Enzo. Si Enzo l’apprend il l’emmènera plus vite au manoir ou bien il ne la laissera pu s’approcher de lui et Anaïs ne lui mettra pas de balle. Quand elle pense à retourner au manoir, aux coups qui l’attendent en punition. Elle s’effondre dans un sommeil réconfort. Pendant ce temps Enzo est aller voir Jonas pour discuter. Enzo demande à Jonas : « qu’as tu appris ? »
Jonas lui répond : « Je ne peux pas te le dire ta chienne est là. »
Anaïs dit : « C’est qui que tu traites de chienne bâtard. »
Jonas répond « Je suis peut être un bâtard mais j’ai pas dis a un des hommes qu’il pouvait caresser Annabelle. »
Enzo regarde Jonas et lui demande de s’expliquer, Anaïs essais de le retenir, Enzo perd patience et il attrape le cou d’Anaïs et se tourne vers Jonas. Il lui dit violemment « Parle maintenant dis moi se que tu sais. »
Jonas raconte « Pendant que tu été au téléphone avec notre père Anaïs a dit à Bruce que la caresser est autorisé. Anna a tout entendu. Elle ne te l’a pas dit car tu n’as pas retenu Anaïs pendant son massacre ce matin. Elle ne te fais clairement pas confiance. Qu’est ce que tu cherches Enzo ?»
Enzo se retourne vers Anaïs, Anaïs explique en disant que c’était avant de savoir qui elle été.
Jonas ajoute « Anaïs supporte qu’aucune fille t’approche alors soit tu fais d’Anaïs ta femme officiellement soit tu l’as remet à sa place. » Enzo jette Anaïs par terre.
Enzo dit : « Jonas va t’assurer qu’Anna va bien, Anaïs suit moi. »
Jonas sort de la pièce. Enzo se tourne vers Anaïs.
Elle est furieuse elle dit : « Tu as quoi avec cette duchesse ? » Enzo ne répond pas. Anaïs ajoute « Elle doit être livrée sinon je t’assure que son corps serait avec ceux de ses rigolos, j’ai hâte de voir ta tête quand le certificat annoncera qu’elle n’est plus pure ! » Enzo lui demande d’aller faire la ronde avec trois hommes et de venir faire un rapport après, Enzo sort son téléphone il appel son père. Pendant ce temps, Jonas est avec Anna.
- « Comment vas-tu ? » Demande Jonas.
- « Pourquoi tu parles avec moi ? Je suis qu’un contrat, une marchandise. »
- « Car je dois ma vie à Enzo, je suis son demi-frère, on à le même père mais ma mère été une domestique. Il m’a protégé toute mon enfance. »
- « Rôle d’un frère, il été comme ça aussi avec moi petite. »
- « Et les hommes avec qui tu été ils étaient comment ? Comme des frères ou des amoureux potentiels ? »
- « Des frères ma famille. »
- « Même Sébastien ? »
Anna ne répond plus, Jonas la laisse se reposer. Anna retourne tout dans sa tête. Elle pense dans sa tête : « Sébastien était-il un frère ou autre chose. Le baiser été un baiser d’adieu, il avait peur de la mort, il m’aurait aimé il se serait battu plus. » Anna en conclu qu’il n’était pas amoureux d’elle. Juste effrayé par la mort. Elle n’est pas effrayée, elle désir la mort. Voler une arme possible mais elle se dit qu’elle ne sait pas tirer ni enlever la sécurité. Elle regrette de pas avoir accepté les cours de Bryan sur les armes. Il reste la colère d’Anaïs. Anna s’endort en pensant toujours. Anna se réveil et voit sur le réveil six heures. Elle enfile un des nouveaux gilets par dessus sa nuisette. Elle passe dans les couloirs ils y a des hommes qui dorment sur les canapés, par terre, certains font le tour de la maison. Elle voit Anaïs nul part. Elle avance jusqu’à la cuisine elle se sert un verre d’eau. Anna retourne dans sa chambre avec son verre, elle passe devant la porte ouverte du salon de lecture, elle voit une lumière tamisée au fond Enzo est endormi sur son fauteuil. Elle pose son verre, elle prend son livre et le dépose sur le guéridon. Elle se retourne voit un plaid, elle le prend et le met sur lui. Enzo a fait ça dans la voiture pour elle. Elle se dit qu’elle ne rend qu’un service qui lui a été donné hier. Enzo lui attrape le poignée.
il lui demande :« Que fais tu ? »
elle répond « Ce n’est Rien, chuuut, Rendormez vous. »
Enzo la tire sur ses genoux et dit « Maintenant mettez la couverture. » Anna est assise sur ses genoux, elle aller se relever quand Anna entend la voix d’Anaïs elle s’exécute, elle passe son bras autour de son cou, pose sa tête contre la sienne. Met la couverture sur eux, Enzo dépose sa main sur sa cuisse et l’autre sans son dos. Anna se raidit aucun homme ne l’a touché autant, Anna ressent des picotements dans son estomac, que se passe t-il ?
Est ce que sa véritable identité changerait-elle quelque chose ?
