
Résumé
Connait-on vraiment ceux qui nous entourent ?
Prologue
prologue
c'est impatiemment que je regarde mon téléphone sans cesse et ce coup de téléphone qui ne viens toujours pas pff. il était sensé m'appeler à 15h et il se fait déjà 16h. il est d'habitude plus professionnel que ça. mon ventre cri famine, je suis bien obligé d'aller me restaurer parce qu'à cette allure la soirée risque de s'étirer.
je prends tranquillement mes clés de voiture et je sors de ce bureau que j'affectionne tant, non sans jeter un petit coup d'oeil à la pièce pour voir si tout est dans un état qui me convient. c'est pas trop ça mais je n'y peux rien pour aujourd'hui, je suis déjà sur le départ, et il est hors de question que qui que ce soit entre dans mon bureau en mon absence.
moi ( m'adressant à ma secrétaire) : julienne
elle ( se levant droit comme un i ) : oui monsieur
moi: demain vous viendrez un peu plus tôt, j'aurai besoin que vous nettoyiez mon bureau. je recevrais des gens extrêmement important. est ce clair?
elle ( le regard craintif) : oui monsieur.
c'est sans plus de cérémonie que je me retourne et me dirige vers l'ascenseur, j'entends vaguement des '' bonsoir monsieur" lancés respectueusement par des subalternes, mais je n'y prête pas attention. j'ai jamais aimé frayer avec le petit personnel, à part un lien de subordination je ne vois pas ce qu'on peut avoir à se dire.
une fois dans l'ascenseur des directeurs, j'appui tranquillement le bouton qui mène au sous sol, où se trouve le parking des hauts cadres. j'ai toujours adoré cette initiative de la boîte. après tout dans la vie il y a les personnes et les personnalités. il devait être incommodant de se frottant au petit personnel dans le même ascenseur par tous les temps. quelle horreur! se frotter à ses gens là qui transpirent la souffrance, sentent le parfum bon marché et les vêtements de friperie. échanger des civilités avec eux pff. j'aurai pu en mourir.
je sors de l'ascenseur et c'est avec plaisir que je regarde mon bijou de voiture. j'en suis complètement dingue. je m'en occupe mieux que d'une femme. d'ailleurs à part l'argent en remerciement des services de son entrejambe que mérite une femme? en tout cas pour moi les petites trainées dont regorge cette planète ne méritent même pas que je leur porte le tiers de l'attention que je porte à mes chaussures.
PIAN PIAN, ouverture automatique et je vois les portières de mon bébé s'élevées vers le ciel. on aurait dit un phoenix qui prends son envole cette voiture est tout simplement superbe. après 10 minutes de circulation libre, direction le bateau ivre où j'ai une table bien placée.
maître d'hôtel: bonsoir monsieur OGOUERA, que puis je faire pour votre plaisir ce soir?
moi: bonsoir francis , apportez moi svp la carte des entrées, j'aimerai mangé léger pour l'instant. apportez du vin blanc pour accompagner la salade qui me plaira.
maitre d'hôtel: lequel monsieur?
moi: surprenez moi mon cher, surprenez moi. mais que ce soit un grand crû comme d'habitude.
c'est avec délectation que j'ai savouré ce vin blanc aux notes fruitées acidulées que m'a présenté francis. je tiens à mes petites habitudes et mon personnel doit être invariable pour que je sois familier d'un établissement. et celui ci ne m'a encore jamais déçu. venir ici est à chaque fois un délice pour mes papilles, francis me fait tout bonnement voyager avec sa carte de vins du monde.
DRIING DRIING
moi: allô, c'est pas trop tôt. que s'est il passé exactement?
lui: le colis est empaqueté et près pour la livraison.
moi: j'aimerai assister moi même à la l'emballage avant la livraison.
lui: très bien boss, alors?
moi: dans 2heures au point de rencontre habituel. clic
voilà! j'aime quand les affaires sont aussi claires. j'espère maintenant que son retard en valait la peine et que c'est un bon produit qu'il va me présenter. c'est sans empressement que je finis ma salade. une fois la facture soldée, direction la sablière chez moi. il va falloir essuyés les embouteillages du début de soirée à l'aéroport. rien de telle que de la bonne musique soul pour détendre l'atmosphère. j'introduis dans le lecteur mon cd favori et directement le doux air de sexual healing de marvin gay envahit l'habitacle.
bizarrement ça a bien roulé, et en moins de 30 minutes je suis chez moi. il me faut être parfaitement détendu pour la suite.une fois à l'intérieur de ma villa, je me dirige tranquillement vers ma chambre après avoir laisser au gardien de nuit, le soin de transporter mes affaires. en laissant glissé mon pantalon lentement le long de mes jambes, je ressens une petite pression dans mon bassin et une langueur sensuelle s'empare de moi.je glisse alors lentement ma main entre mes jambes et je me saisi fermement de mon bel attirail qui demande un peu d'attention.
me saisissant de mon téléphone je compose le numéro de ma régulière...
elle ( sensuellement): allô jacques, dans combien de temps tu me veux près de toi?
moi: 15minutes à tout casser. j'ai une course urgente à faire dans au trop 1 heure 30.
elle: en clignement d'yeux je serais là. clic.
voilà ce que j'aime chez elle, c'est une chatte disciplinée, obéissante aussi bien qu'agressive. j'ai composé le numéro de la guérite afin que l'accès lui soit facilité par le gardien. je me mets sous mon jet hydro massant à 6 vitesses. j'actionne l'eau chaude et je ferme les yeux pour ressentir parfaitement la caresse de l'eau le long de mes muscles tendus par cette rude journée. je dois arrivée à mes fins, il me faut absolument cet avancement , donc je ne peux me permettre aucune négligence. je dois m'assurer moi même de la qualité de la marchandise. perdu dans mes pensées, c'est la pression d'une grosse poitrine ferme qui s'écrase sur mon dos, et la chaleur d'une main aventureuse, qui déjà s'emploi à mastiquer mon mini jacques qui me ramène délicieusement sur terre.
je la sens qui cajole vigoureusement mon membre et je me laisse faire. je garde mes yeux fermés et je savoure cette douce caresse qui réveille petit à petit la bête qui sommeillait. soudain tout s 'arrête et je me demande bien pourquoi mais mon interrogation est de courte durée, vue que telle une chatte Annie c'est glissée devant moi et qu'en un rien de temps la chaleur de ses mains a laisser place à la chaleur de sa bouche. voilà pourquoi c'est ma régulière, elle connait bien sa leçon. avec elle pas besoin de fausse pudeur elle sait ce qu'elle a à faire, mais à cette allure elle risque de me faire jouir et c'est impossible que je déverse ma précieuse semence hors d'un vagin.
c'est sans ménagement alors que je la tiens par sa touffe épaisse de cheveux et que je la relève, elle ronronne carrément de plaisir et décuple mon http://xn--dsir-bpa.je/ la retourne brusquement, la plaque contre la vitre de la douche et ni une ni deux je la sodomise sous ses gémissements de douleur, à mon plus grand plaisir. et là je m'en donne à coeur joie. je le fouille, la farfouille, ressors entièrement pour mieux m'y replonger. je me sens de mieux en mieux et elle je la sens partir, mollement, faiblement puis elle est secouée de violent spasmes qui lui arrachent des pleurs de jouissances. ça c'est l'effet Jacques Ogouera aussi tranchant que la lame et doux que le miel en même temps.après quelques instants je me laisse enfin venir et je me sens très détendu pour la suite des évènements.
je la laisse reprendre contenance quelques instants, puis on se rince rapidement et chacun s'habille. j'ouvre mon armoire et lui tends un million en remerciement de ce moment de pur délice et sans demander son reste elle s'en va avec un très large sourire dessiné sur son visage. ah les femmes! que disais je l'argent et c'est tout! j'enfile rapidement un jean noir, un polo bleu marine, une casquette et une paire de tennis bleu marine aussi. je saute à bord de mon véhicule et direction le cap des pères. je regarde mon tableau de bord qui affiche 20 h; je suis dans les temps. 15 minutes plus tard j'amorce l'entrée du cap des pères, et je prends la petite piste détournée qui mène au lieu habituel. arrivé au petit portillon de bois pourri je fais clignoté mes phares 3 fois et le portillon s'ouvre.au niveau de la boite ouverte qui s'y trouve je dépose une liasse de 500.000 frs gage de notre tranquillité. c'est une clause du contrat qui me lie au propriétaire des lieux. j'avance lentement en regardant à ma gauche, lorsque je vois un signe des mains.
je me gare et continu le chemin à pied. arrivé à son niveau je constate que comme d'habitude ils sont 3.toujours la même équipe. j'aime mieux ça.
lui: suivez nous boss.
on s'enfonce très profondément dans cet endroit sombre que je connais déjà par coeur. et enfin on arrive à la rivière enchantée. là dans l'eau se trouve endormie, la tête contre un rocher une jeune fille d'à peu près 15 ans en tenue de lycée. je m'approche, me déchausse et une fois près d'elle je tiens son menton et la retourne de gauche à droite. je constate qu'elle tremble de froid et de peur. une biche effrayée comme je les aime.
elle ( les yeux pleins d'espoir): snifff tonton aide moi stp, snifff pardon laisse moi partir. je ne dirai rien oyoooooo ma mère oh. pitié seigneur, touche son coeur oh. tonton pardon amène moi loin d'ici.
moi: ne t'inquiète pas chancine, tu t'apprêtes à avoir un destin glorieux. grâce à toi je serai encore plus heureux. tu veux que tonton jacques soit heureux non?
elle ( apeurée, secouant la tête positivement) : oui tonton.
moi: voilà c'est bien. ( m'adressant aux gars) vous avez vérifier qu'elle est vierge?
lui: oui oui on a fait le test de l'oeuf, tout est pôpô le boss.
moi: bien. commencez!
je suis sorti de l'eau sous les cris de chancine quine comprenait pas pourquoi je la laissais là. pauvre fille naïve, que croit elle que je fasse dans un coin aussi reculé à pareille heure, si ce n'est moi l'instigateur de tout ceci.
déjà un des gars s'empare de son avant bras et la tire vivement hors de l'eau, et se met à déchirer ses habits.elle crie mais bon cela ne lui servira à rien ici. il l'a soulève alors et la pose sur la pierre à rituel et le deuxième viens lui tenir les deux bras, tandis que le premier lui tient les deux jambes.
le troisième : boss ça te dit?
moi: non je vais juste récupérer.
il entre alors dans l'eau, son pagne blanc ceint autour de la taille, et la poudre sur son visage. son expression est glaciale.il lui retire d'abord le clitoris, puis la langue et enfin ni une ni deux , il lui ouvre la poitrine à l'aide de son couteau à sacrifice et me fait signe d'avancer. je m'approche et introduit les mains dans sa poitrine tandis qu'elle est au paroxysme de la douleur, et la je lui arrache le coeur de la poitrine et lui il sectionne les artère qui veulent opposé une résistance. le coeur bats encore quelques secondes dans ma main puis s'arrête. je le prends et l'emballe avec le reste de la marchandise. je me rince les mains et ils font pareil. je me rechausse, et on reprends la direction de ma voiture. le premier me suit et les deux autres emportent ce qui reste de chancine chez le propriétaire des lieux. c'est un des mets de choix qu'il sert ici tous les dimanche à une clientèle bien particulière d'abonnés.
une fois à ma voiture j'ouvre la boîte à gant et en ressors 600.000 comme d'habitude.je les lui remet, les affaires sont les affaires.........
---------coucou du petit papillon, alors vous embarquez?-----------
