Chapitre 10
Trois semaines sont passées. Candice venait de finir les compositions du deuxième trimestre. A l'école, ils faisaient encore les corrections. Ça faisait quelques temps qu'elle n'avait vraiment pas vu son' beau père parce qu'il voyageait beaucoup pour le travail. Il était là souvent 2 jours sur 7 par semaine. Ce jour à la sortie des classes elle était dehors avec sa copine. Cabrel aussi est venu les trouver
Cabrel : vous êtes encore là
Candice : c'est comme si nos chauffeur nous ont ndem aujourd'hui ?
Julie : je te jure le mien' qui est toujours à l'heure il a traîné stuipp moi j'ai faim mes yeux me font mal
Cabrel : assiiaa. Ton père est rentré Candice ?
Candice : non pourquoi ?
Cabrel : pour me rassurer qu'il ne viendra pas te chercher et te trouve avec moi
Julie : hahahaha
Candice : aka.
Cabrel : mon pote la me demande toujours ton numéro
Candice : je ne veux pas que tu donnes mon numéro à quelqu'un Cabrel je suis très sérieuse
Cabrel : une fille qui a peur des hommes vraiment hein
Candice : tes noyaux
Julie : hahahaha
Cabrel : ayiiiii
Julie : werrrr vous deux ci hein. Candice ta voiture est la
Candice : enfin bye alors à demain
Cabrel : à demain Mlle le Général
Candice : stuipp
Julie : hahahaha tu aimes trop la déranger
Cabrel : elle même n'est pas facile.
Julie : mon chauffeur va te déposer si tu veux
Cabrel : bien sur
Julie : cool
À l'arrière de la voiture, Candice manipule son téléphone quand elle lève la tête, elle se rend compte que ce n'est pas la route qui mène chez elle.
Candice : ekieeeeee Bouba on va ou ?
Bouba : monsieur t'attends ailleurs
Candice : il est rentré ?
Bouba : oui ce midi
Candice : hummm
Elle a vite fait d'envoyer le message à son ami Cabrel pour lui informer. Celui ci était déjà dans la voiture avec Julie quand il a reçu le message
Cabrel : eh ah. Voici Candice qui m'envoie un message son, beau père est rentré et a demandé au chauffeur de l'emmener dans son studio. Après vous allez encore me dire que c'est simple.? Toi même Julie es ce que c'est normal ça ?
Julie : c'est vrai que ça fait bizarre mais.
Cabrel : il ya pas de mais ce n'est pas normal. Tu ne peux pas avoir une autre maison inconnu de ta femme mais tu fais venir ta belle fille là-bas c'est qu'elle sorcellerie ca
Julie : je n'ai pas envie de penser à ce que tu penses pardon épargne moi ce genre de pensée
Cabrel : moi j'y pense et sérieusement
Julie : Cabrel c'est un général hein
Cabrel : toi même tu connais leur réputation nor
Julie : ce ne sont que des suppositions s'il te plaît n'exagérons pas. Jusqu'ici je reste convaincu qu'il n'a pas les mêmes pensées que toi.
Il a répondu au message de Candice
Julie : tu lui dis quoi ?
Cabrel : elle arrive là-bas et demande à partir sur le champ prétextant avoir un devoir demain donc elle doit étudier. Donc l'enfant rentre des classes au lieu de la laisser se reposer tu l'entraîne dans tes bêtises et tu vas me dire que c'est le comportement d'un père ça ? Foutaise.
Julie : hummm. Je pense que tu es furieux contre lui depuis qu'il a interdit Candice de marcher avec toi
Cabrel : ça n'a rien à voir. C'est vrai que depuis lors il m'a énervé mais ça n'a rien à voir. Elle a l' habitude de nous parler de lui et je remarque toujours quelque chose de gênant dans son comportement qu' elle même ne voit pas. Candice ne peut rien voir c'est normal elle a toujours voulu avoir un père et être aimée par le mari de sa mère. Donc elle le voit comme tel. Hummm wait and see
Julie : j'ai une question. Tu aimes Candice ?
Cabrel : quoi ? Aimer comment ?
Julie : comme un homme aime une femme
Cabrel : je l'aime comme une amie rien de plus. Pourquoi tu me demandes ça ?
Julie : tu te préoccupe beaucoup d'elle
Cabrel : même si c'était toi je ferai la même chose. Si tu avais un problème je volerais à ton secours sans hésiter
Julie a rougi et ses yeux brillaient de mille feux.
Cabrel : je suis arrivé. On s'écrit où bien ?
Julie : oui on s'écrit.
Cabrel : (en touchant son nez de son doigt) arrête de rougir
Julie : hihihihi
Il est sorti de la voiture et Julie a continué avec son chauffeur toujours avec un grand sourire.
Candice est arrivée devant l'immeuble et est montée. Quand elle se retourne Bouba n'y était plus
Candice : ekieeeeee pourquoi il part stuipp.
Comme elle connaissait le chemin, elle est arrivée sans problème. Au moment où elle voulait cogner la porte s'est ouverte sur une jeune fille qui avait à peu près son âge elle est sortie et est partie sous le regard interrogateur de Candice. Elle est entrée et a trouvé son beau père devant la télé les pieds croisés et un verre de whisky en main
Candice : bonsoir
Francis : ah tu es déjà là. Viens t'asseoir.
Elle s'est assise nonchalamment
Candice : j'ai vu une demoiselle sortir d'ici c'est qui ?
Francis : c'est la fille à mon cousin je l'aide pour son école elle venait prendre l'argent du mois
Candice : pourquoi elle ne vient pas à la maison
Francis : elle vient souvent. La plupart du temps elle me trouve au bureau. Tu sais que depuis quelques semaines je suis dehors donc je ne l'ai pas vu il fallait que je la gère au plus vite avant de voyager à nouveau. Quand je l'ai appelé, elle m'a dit qu'elle est dans le coin, voilà pourquoi je lui ai demandé de passer ici. C'est la première fois qu'elle vient hein
Candice : OK ohh.
Elle a pensé au message que son ami lui a envoyé
Candice : Bouba est partie et pourtant je croyais qu'il allait m' attendre il faut que je rentre me reposer
Francis : on va rentrer ensemble. J'ai passé 3 semaines à travailler je ne me suis pas amusé une seule fois donc je vais profiter au maximum avant mon prochain voyage. Je te sers un peu de vin
Candice : ah non demain j'ai cours
Francis : je sais, 'une gorgée' ne te fera pas du mal. Tu es déjà une grande fille hein dans 3 mois tu auras 18 ans
Candice : ah tu connais même
Francis : bien sur. Et je te réserve une grande surprise
Candice : oualala. Merci d'avance.
Francis : tu peux te mettre à l'aise, tu as un démembré dans ta robe tu peux enlever. Dans la chambre il y a tout ce que tu peux porter.
Candice n'avait vraiment pas envie de rester là mais vu la façon dont son beau père faisait il n'avait pas l'intention de rentrer maintenant et tout ce qu'elle pourra dire ne servira à rien. Autant mieux jouer le jeu en attendant l'heure du retour. Elle est allée dans la chambre, le lit était bien dressé elle a ouvert le placard et a vu des vêtements de femmes.
Candice : hummm les habits pour femme c'est pour quoi faire.? Je suis sûr qu'il a une maîtresse, il trompe ma mère. Yeuchhhh. Si oui pourquoi il me fait venir ici ? Il ne pense pas que je vais savoir ? Ou il croit que je suis trop bête pour ne pas m'en rendre compte. Je ne vais pas mettre les habits que d'autres femmes ont portés
Elle a fermé le placard et est sortie
Francis : tu ne t'es pas changé ?
Candice : non je n'ai pas envie de porter ça je ne sais pas qui les as mises avant moi
Francis : hahaha tu es amusante hein je les ai acheté pour toi donc personne ne les a mis. Comment peux tu croire que je te fais venir dans un endroit où les femmes passent. Quand même, j'ai du respect pour toi et encore plus pour ta mère. Bon si tu ne veux rien porter c'est pas grave je t'ai servi c'est du balleys tu vas adorer les filles aiment beaucoup ça.
Elle a pris et a goûté
Candice : c'est bon
Francis : voila. Je te l'avais dis. C'est la boisson préférée des filles.. Mais attention à la dose
Candice : ça serait mon nouveau goût
Francis : hahahaha. Le deuxième trimestre tire à sa fin, tu as bien travaillé ?
Candice : je peux dire oui. On fait encore les corrections d'ici deux semaines on aura les bulletins. Le professeur titulaire a dit qu'on aura un programme pour les congés donc nous n'iront pas en congé
Francis : ah c'est ça les classes d'examens. Il faut avoir ton examen j'ai beaucoup de projets pour toi
Candice : comme quoi ?
Francis : ça te dis de continuer tes études en Europe ?
Candice : quoi ? En Europe ? Sérieux ?
Francis : j'ai l'air de blaguer ?
Candice : mais c'est fantastique.
Francis : tu as donc intérêt à bien travailler. Je t'ai dis qu' avec moi tu ne manqueras de rien je prendrai soin de toi. À condition aussi que' tu sois gentille
Candice : j'ai toujours été gentil nor
Francis : oui oui mais j'aimerais que ca soit encore plus. Pour aller en Europe il faut le mériter hein
Candice : tu verras que je vais le mériter. Je ferais tout ce qui est à mon pouvoir pour le mériter
Francis : j'aime entendre ça
Candice : merci papa tu es génial
Francis : or ne m'appelle pas comme ça. J'aimerais que tu m'appelle Francis
Candice : papa ne te va plus ? Tu trouves que je n'ai pas ce droit là ?
Francis : si si ça me plaît mais à la maison. En dehors de la maison tu peux dire Francis
Candice : hummm d'accord
Même si elle a trouvé ça bizarre. En tout cas rien ne pouvait gâcher la joie qui l'animait à ce moment. Savoir qu'elle ira peut-être en Europe lui a fait chaud au cœur. Subitement elle s'est sentie fatiguée et a déposé son verre presque vide.
Francis : ça va ?
Candice : oui ça va je veux juste m'allonger
Francis : OK vas-y
Elle s'est adossée sur le fauteuil et a fermé les yeux. Francis s'est levé et a essayé de la réveiller mais pas moyen. Il l'a porté pour la coucher dans la chambre. Il a enlevé ses chaussures et s'est couché près d'elle.
Francis : tu es très belle Candice. Tu me rends fou. J'essaie de me contenir mais je n'y arrive pas. Je vais faire de toi ma princesse, il suffit juste que tu sois d'accord. On aura une belle relation
Il a commencé à passer ses mains dans sa robe. Il caressait des cuisses
Francis : hummm j'aime ce corps tu es vraiment magnifique
Il a entrepris de lui enlever sa robe et a bondi sur sa poitrine volumineuse. Il a mordu les bouts de ses seins en gémissant de plaisir.
Francis : putain j'adore cette forte poitrine et dire que je suis le premier à le toucher.
Il a continué sa sale besogne. Ensuite il a enlevé son slip et a observé son sexe
Francis : je serais le premier à entrer la dedans j'imagine comment ça doit être agréable.
Il a écarté ses pieds et a fourré sa tête à l'intérieur. À l'aide de sa langue, il passait et repassait sur son sexe. Ensuite il a envoyé un doigt dans son vagin
Francis : ah oui c'est bien serré
Il a retiré son sexe à lui et a commencé à le frotter sur celui de Candice toujours profondément endormi. Il ne voulait pas la pénétrer, du moins sans son consentement. Il s'est contenté de prendre son plaisir en frottant son sexe sur le sien
Francis : ah oui c'est bon. On fera des merveilles tous les deux j'en suis sûr. Je vais t'apprendre des tonnes de choses. Oh ma douce Candice j'aime déjà ta chatte. Tu seras à moi et à personne d'autre.
Il a continué à frotter jusqu'à jouir. À l'aide d'un mouchoir, il l'a nettoyé et a remis son slip. Il a mis un drap sur elle et est sorti.
Plus de deux heures après, Candice à ouvert les yeux sa tête lui faisait mal. Elle s'est levée et a sursauté lorsqu'elle a remarqué qu'elle n'avait que ses sous-vêtements sur elle. Sa tenue de classe était posée sur une chaise, elle a pris et l'a porté. Les bouts de ses seins lui faisaient mal. Qu'est ce qui s'est passé (se demanda t-elle). Elle a porté ses chaussures et est sortie. Francis était toujours devant la télé
Candice : je peux savoir ce qui s'est passé ?
Il s'est retourné pour la regarder
Francis : enfin tu es debout mais tu m'as fait peur hein
Candice : comment ça ? Et pourquoi je me réveille nue
Francis : tu as fait fort avec le vin ça t'a menacé comme tu transpirais beaucoup j'ai enlevé ta robe
Candice : mais j'ai juste bu un peu ça ne peux pas me mettre dans un état d'inconscience
Francis : il faut savoir que tous les organismes ne sont pas pareils. Le tien n'a pas pu supporter en plus ces derniers temps tu n'as pas beaucoup dormi à cause des devoirs que tu préparais à l'école donc c'est tout ça mélangés qui t'ont fatigué. Tu devrais vraiment te reposer
Candice : hummm
Francis : désolé c'est de ma faute je t'ai forcé à boire ça il est clair que ça ne te convient pas.
Candice : il se fait tard
Francis : oui j'attendais que tu te réveille pour qu'on rentre.
Il s'est levé pour mettre un peu de l'ordre dans la pièce. Candice avait envi de lui demander ce qui s'était passé pour qu'elle ai mal aux tétons à ce point. Sa question devait être gênante pour lui ainsi que pour elle.
Il a fini le rangement et ils sont partis. Tout au long du trajet Francis lui racontait des histoires et elle faisait mine de les écouter mais en réalité elle était en train de vouloir se remémorer ce qui venait de se passer.
De retour à la maison la voiture de sa mère n'y était pas
Francis : maman n'est pas encore rentrée on ne sera pas grondé
Candice a forcé un sourire. Il a garé et elle est vite monter dans sa chambre, direction sous la douche. Elle a ressenti un picotement dans sa partie génitale lorsqu'elle a uriné, une situation qui ne lui arrive pas souvent.
Candice : Mais qu'est ce qui ne va pas ? D'abord mes seins me font mal et maintenant j'ai l'impression d'avoir une blessure au sexe. Hummm
Elle a fini et s'est mise à chaud son mal de tête est passé. Cabrel l'a appelé pour en savoir plus, elle l'a promis de lui raconter demain pour le moment elle voulait manger. En bas, elle a suivi la voie de sa mère, une chance qu'elle n'a pas su qu'elle venait de rentrer.
Candice : Martha j'ai très faim
Martha : toi même tu as duré à l'école hein. Ta nourriture est dans le micro onde moi je vais rentrer
Candice : OK merci.
Elle s'est assise à la cuisine pour manger tranquillement sa mère est arrivée
Hélène : pourquoi tu mange maintenant
Candice : bonsoir maman tu as passé une bonne journée ?
Hélène : stuipp tu ne réponds jamais aux questions qu'on te pose
Candice : c'est la question que j'attends de toi.
Hélène : hummm. S'il te plaît j'ai besoin d'un peu d'eau chaude
Candice : OK. C'est pour toi ?
Hélène : non papa Francis en a besoin il a très mal à la tête
Candice : hummm OK je te l'apporte
Elle est sortie.
Candice : il a mal a la tête parce qu'il a trop bu ou quoi.
Candice a fini et est allée se reposer avant d'étudier tard dans la nuit.
Le matin elle était toujours la première à arriver. Assise à sa place elle feuilletait son livre d'espagnol quand Cabrel s'est assis à la place de Julie
Cabrel : je t'écoute
Candice : bonjour. On a dormi ensemble ?
Cabrel : dis-donc laisse les civilités parlons des vraies choses raconte
Candice : c'était bizarre je ne saurais expliquer
Cabrel : vas-y quand même et parle moi en toute franchise tu sais que tu peux compter sur moi
Candice : oui. Je suis arrivée il buvait comme il aime bien il m'a offert un verre de baileys je crois que c'est ça le nom
Cabrel : oui c'est comme le lait
Candice : voilà. J'ai juste pris 2 ou 3 gorgées et puis trou noir je me suis réveillée sur le lit juste en sous vêtements
Cabrel : hein père ! Il t'a dit quoi après ?
Candice : que j'ai beaucoup bu et que je me suis endormie. Comme je transpirais, il a retiré ma robe. Tu crois qu'on peut boire un peu et tomber dans les pommes ? Moi je ne connais pas ça je n'avais jamais pris d'alcool
Cabrel : hummm je suis dépassé. Ton beau père est très fort. Un petit verre de vin te fait dormir wandaful. Qu'es ce que tu as remarqué à ton réveil
Candice : les bouts de mes sens me faisaient mal
Cabrel : oh!
Candice : qu'est ce qui explique ça ?
Cabrel : tu as encore eu mal ou ? Au sexe peut être ?
Candice : non bon un peu ça piquait juste quand j'ai fait pipi
Cabrel : Candice tout ce que tu me dis ne me plaît pas il se passe quelque chose de pas net. Ton beau père n'est pas une personne à qui tu peux faire confiance fait attention à toi il pourra bien profiter de toi
Candice : tu penses à quoi ? Ne me dit pas que tu penses qu'il a pu me toucher ? Mais Cabrel n'exagère pas c'est le mari de ma mère c'est un général et je lui fais confiance il ne peut pas me faire ça
Cabrel : mari de ta mère et puis quoi ? OK dit moi tu bois un vin à moitié et même si ça te saoul c'est pas au point de perdre connaissance. Tu te réveille avec les seins qui te font mal dis moi c'est du à quoi ? La seule personne avec qui tu étais dans la pièce c'est lui. Tu veux que je te fasse un dessin ou bien. Ton beau père est à craindre et je suis sûr qu'il t'a fait quelque chose. Il faut en parler à ta mère
Candice : tu me fais peur là.
Cabrel : je te dis une vérité. D'ailleurs même tu vas dire quoi à ta mère. Il pourra lui raconter une autre version, je préfère que tu n'accepte plus son invitation, évite le au maximum. Tu peux penser que j'exagère mais on n'est jamais prudent
Candice : tu parles de lui comme si c'était un brigand
Cabrel : fait ce que je te dis
Candice : d'accord. Je me pose moi aussi des questions mais je ne pense pas à ce que toi tu penses c'est grave là. En tout cas je ferais comme tu as dis. Je n'ai pas envie de me retrouver à nouveau dans les bras de morphée. Et s'il demande encore à Bouba de me laisser là-bas je fais comment
Cabrel : c'est alors ça le problème
Candice : Bouba respecte les ordres comme un téléguidé il ne va jamais accepter que je refuse
Cabrel : hummm c'est compliqué. Tu fais confiance à qui parce que je sais qu'avec ta mère c'est pas trop ça
Candice : ma tante
Cabrel : OK explique lui et tu écoute ce qu'elle te dira
Candice : d'accord
Cabrel : bon je te laisse. Prend ça au sérieux ohh fait attention
Candice : merci.
Il s'est levé et est parti
