Chapitres 9
Pdv de Leïla
Ramata : tu es adulte mais toujours avec cette esprit de gamine dans ta cervelle, ok t'es vielle comme tu le pense mais est-ce que tu es plus vieille que nous tous réunis ici?
Moi: personne...
Ramata : alors pourquoi tu as des manières aussi absurde Leïla, je vais te dire une chose, la femme n'est jamais assez vieille pour s'occuper de son foyer et de son homme, tu dois tout le temps être une adolescente à ses yeux, oui je te comprends ces genres de penser là, nous sommes tous passé par cet étape et c'est tout à fait normal, comporte toi en jeune fille et occupe toi de ton homme comme il se doit la vie est courte Leïla sinon tu vas le perdre et il ira voir ailleurs c'est ça que tu veux ?
Moi: non... bien-sûr que non
Salma : alors occupe toi bien de lui avant qu'il ne soit trop tard pour l'attraper, t'es pas du tout vieille Leïla arrête de penser ça, on dirait même pas que tu as eu tous ces enfants qui sont aujourd'hui des hommes mashaallah, donc arrête de réfléchir et satisfait lui pour qu'il ne pense pas à aller voir ailleurs...
Alima: les filles ont tous dis moi tous ce que j'ai à dire c'est toujours être prête et présente pour ton mari et sois tout le temps réceptive à ses demandes, soit tout le temps prête à le recevoir quoiqu'il se passe même étant occupée...
Moi: d'accord les filles vous êtes non seulement mes amies, mais aussi des sœurs incroyable, je ne sais pas ce que je deviendra sans vous... merci infiniment...
Ramata : nous serons toujours prête à t'aider t'inquiète pas...
Je les aient fait un câlin puis nous causons de tout et de rien...
Pdv externe
Du côté de Aïda ;
C'est vraiment grave ce qui venait de se passer, Aïda la pauvre ne comprenais rien, elle s'était évanouie et réveiller encore dans la salle de bain dans un sal état, elle avait mal partout et avait du mal à respirer convenablement, elle se met difficilement débout face au miroir, elle se regarde et manque de crié face à son visage, c'était encore plus affreuse que la normale, ses larmes commencent à couler à flot, un homme qui bât une femme n'est pas un vrai homme, c'est un bonne à rien, un nulard, une personne qui veut juste ajouter un sens à sa vie, Kassim est un homme à double face, une face douce et gentil et l'autre mauvais et maléfique, ça doit surprendre plus d'un mais de son côté il à déjà des regrets et se parle à lui même, pour lui il n'est jamais en tort mais les autres si, pour lui c'est les autres qui font du mal et lui il règles les problèmes ils ne vois jamais sa propre nature pourtant il est déjà pourrit de l'intérieur.
Il marche depuis une bonne minute dans le salon ne sachant comment agir ni quoi faire...
Kassim : elle l'a chercher...oui c'est ça moi je ne fais que l'éduquer c'est ça que doit être un mari non? Éduqué sa femme même si ce n'est pas ma femme en réalité elle est quand même sous ma responsabilité, elle doit savoir ça voilà bien dit-il à lui même...
Il devenait de plus en plus parano de plus ça fait un bout de temps qu'il n'a pas touché à ses médocs ce qui complique un peu la situation...
Maintenant ça fait des heures que Aïda est enfermé dans la salle de bain sans pouvoir en sortir, quand elle a soif elle boit l'eau du robinet, elle se lève difficilement pour cogné à la porte...
Aïda : KASSIMMMMM OUVRE MOI S'IL TE PLAÎT SNIFFF JE SOUFRE IL FAIT CHAUD JE N'EN PEUX PLUS...
Kassim ne l'entendait pas puisqu'il était dans son endroit favoris, cette pièce inquiétante et remplit de suspens, cette pièce où il passe parfois la plupart de son temps là dans et maintenant que Aïda est là, il devait plus faire attention se dit il par ce qu'elle commence à posé plein de questions.
C'est la nuit que Kassim se décide à là faire sortir mais avec un humeur différents...
Pdv de Aïda
J'étais extrêmement épuisée et à bout de force on peut faire ça aussi ? Avec qui me suis-je marié ? Je me suis jeter dans la gueule du loup, je ne peux en vouloir qu'à moi même, je n'ai même pas protesté pensant que peut-être je faisais passé une chance hors pair sous mes yeux mais au final je constate que je ne suis pas faite pour être heureuse, je vais mourir malheureuse et poisseuse c'est inévitable c'est mon destin et ça doit être ainsi... fatiguée de frappé, je me suis donc assoupie..
J'étais profondément endormie lorsque je sent des petits caresses sur ma joue, j'ouvris doucement les yeux et ils rencontrent aussitôt ceux de ce psychopathe...
Kassim : tu vas bien ?
Moi:....
Je le regarde perdue sans le répondre par ce que j'étais vraiment remonter contre lui..
Kassim : tu sais je ne suis pas méchant juste qu'il ya certains choses que je n'accepte pas, je l'ai fait pour ton bien, je voulais pas te frappé mais tu m'a chercher toi aussi donc assume, et les paroles blessantes que je t'ai dit, je ne l'ai pensais pas du tout, c'est sortie tout seul, donc si tu fais et respecte ce que je te dis de faire, je ne te fera rien promis...
Je commence à pleurer comme une petite fille...
Moi: je veux rentrer....snif je ne veux plus rester....je veux être auprès de ma mère sniffff..
Lui: heyyy Aïda tu as déjà oublié qu'on est marié ?
Moi(en sanglots): et tu appelles ça mariage ? Un mariage où le mari dénigre sa femme ? Un mariage où le mari frappe sa femme comme un bonhomme ? Un mariage où le mari enferme sa femme comme une prisonnière ? C'est ça que tu appelles mariage ? Moi je veux rentré Kassim je ne veux plus rien savoir...
Il se tut et me regarda énervé, ça ne sent pas bon du tout...
Lui: tu viens de dire quoi là ?
Moi: je... veux...
Lui(en me coupant): ose répété ne serais ce qu'une phrase sur le fait de retourner dans ce stupide village je t'egorge c'est compris ?
Moi: .....
Lui: C'EST COMPRIS ?
Moi: o....ui
Lui: voilà tu es à moi par ce que je t'ai acheté à tes parents comme un vulgaire marchandise.
Moi(choqué): quoi?
Lui: ohhhw tu ne le savais pas ? Oui t'es parents ne t'aime pas Aïda, ils t'ont vendus aux premiers personnes qui était prêt à t'epouser, donc je t'ai acheté à bon prix, c'est auprès de ces même parents dont tu veux retourner ?
Moi: ....
Je ne savais plus quoi répondre, donc c'est comme ça qu'on m'a donné en mariage ? Me livrer comme de la marchandises ? Ils ont préféré l'argent à moi je n'arrive pas à y croire...
Lui(doucement): t'inquiète pas je m'occuperai bien de toi d'accords ? Ils ne t'ont jamais aimé, ils m'ont même dis que tu as la poisse et que tu es infect pour le village voilà pourquoi le mariage à été ainsi vite fait , et si j'étais toi j'arrêterai de les appeler pour prendre de leurs nouvelles, ils n'en vaut pas la peine et s'ils t'aimais ils allaient annuler ce mariage, tu es importante pour moi seulement d'accord...
Je hausse la tête incapable de parler, il me faisait énormément peur, j'étais confuse mais pas convaincu, est ce que ce qu'il dit est vrai ? Mes parents m'ont ils réellement vendus ? S'il s'avère que ça soit vrai, ils m'ont vraiment déçus, je suis aussi un être humain, j'ai aussi des ressentis comme tout autres personnes....
Lui(en me prenant les mains pour me relevé): viens je vais te mettre bien tu as besoin de reprendre des forces...
Je ne le fait pas du tout confiance, il m'aide à me relevé, je ne faisais que pleurer et suffoquer, il m'emmène dans la salle à manger puis me fais asseoir sur la chaise, je reste ainsi sans le regardé, il fait des aller retour de la cuisine au salle à manger avec des nourritures, je reste silencieuse et impassible...
Lui: je t'es fait à manger, tu as vraiment l'air fatiguée, mange fait moi plaisir...
Moi: je n'ai pas faim... dis-je avec la respiration saccadé..
Lui: je l'ai préparé spécialement pour toi...tu ne vas pas me le refusé...
Moi:....
Je reste muette, il m'a tellement tabassé que je sentais des battements sur mon corps comme si ma peau aspire et expire, mes larmes ne cessent de coulé rien qu'en y pensant, jamais on ne m'avait tapé ainsi, même pas mes propres parents...
Lui: chute maintenant arrête de pleurer et mange
Moi: j'ai dis que je n'ai pas faim sniffff...
Il me donne une grosse gifle qui a retentit dans toutes la pièce...
Lui: JE T'AI DIS DE MANGER IDIOTE NE ME CHERCHE SURTOUT PAS SINON ÇA VA MAL SE PASSER POUR TOI MANGE ET QUE ÇA SAUTE...
Je tremble de tout mon corps, je prends la cuillère et commence à manger sans m'arrêter, il se tient au dessus de ma tête sans bouger attendant sûrement que je mange tous, après avoir fini de manger il me force à boire de l'eau...
Lui: voilà c'est mieux...si tu ne fais pas ce que je te demande je serais vraiment fâché donc ne me tente pas compris ?
Moi: o....ui
Lui: tu sais je ne te déteste pas mais je veux juste ton bien c'est pourquoi je fais tous ça j'espère que...
Il a été coupé par le bruit de la sonnette de l'appartement...
Pdv externe
Kassim regarde par la Juda et vois que c'est Leïla sa voisine qui sonne à la porte, il n'avait vraiment pas envie d'ouvrir, mais s'il ne l'ouvre pas, elle va se poser des questions donc c'est à contre cœur qu'il ouvre la porte le visage neutre..
Kassim: oui c'est pour ?
Leïla : bonjour comment allez-vous ?
Kassim : je vais bien..
Leïla le regarde dépassé par son humeur grincheux mais n'en fait pas cas...
Kassim : vous voulez quoi?
Leïla : je peux entrer s'il vous plaît ?
Kassim : et pourquoi voulez-vous entré ?
Leïla : pour salué la fille qui était avec vous l'autre jour... c'est votre épouse ?
Kassim : vous là connaissez ?
Leïla : non...je veux... juste
Kassim : alors dégagez madame et merci dit-il essayant de refermer la porte mais Leïla l'arrête encore une fois...
Kassim : quoi encore ?
Leïla : je vous ai apporté un gâteau de bienvenue dit-elle avec un grand sourire mais c'était plutôt nerveux..
Kassim : merci mais on ne meurt pas de faims...
Leïla : oook mais c'est tout de même bizarre que je l'ai vue qu'une seule fois jusqu'à aujourd'hui elle vas bien j'espère ?
Kassim : écoute madame sous tout vôtre respect mêlez vous de vos affaires c'est clair ? Nos vis ne vous concerne pas donc allez-vous en ....
Il claque la porte laissant une Leïla surprise et bouche B
Leïla : Ahiii qu'ai-je fait de mal? Je veux juste savoir...il est vraiment bizarre ce gars là et mal élevé...
_ t'es grave têtu Leïla
Elle se retourne pour voir Cheikh arrêté devant leurs maison...
Leïla:....
Cheikh : je t'avais dit de t'éloigner de cet homme mais t'es têtu comme un mule
Leïla : je sais et je suis désolée mais je pensais en bien, je voulais juste là souhaité la bienvenue, je l'ai pas vue d'ailleurs ce que je trouve assez louche comment ça se fait que je l'ai jamais revu ?
Cheikh : laisse tomber s'il te plaît et occupe toi de t'es propre soucis...
Leïla (frustré): d'accord...
Il l'a prend par la taille puis ils rentrent chez eux...
Kassim referme la porte sans manqué de cogné le mur énervée, il est comme ça d'un coup il s'énerve pour si peu, il retrouve Aïda endormie profondément sur la chaise...
Kassim : bingo c'est exactement ce que je voulais...
Il l'a porte dans ses bras pour l'amener dans sa chambre, vous l'avez deviné je suppose, il l'a drogué, pour qu'il puisse profiter d'elle à sa guise, oh quel homme ignoble sans cœur, oh quel injustice face à Aïda qui n'a rien demandé, qu'est ce qu'elle a fait pour mériter ça ?
Est-ce qu'il va réellement là violé ?
Qu'est ce qui se cache derrière cette porte fermée 24/24 que Kassim ne veux pas que Aïda vois?
Qu'est ce qu'il y cache ?
Seul l'avenir nous le dira....
