Chapitres 14

Pdv de Aïda

De se fait, nous montons à l'étage, j'avais la peur dans le ventre, ça me faisais tremblé à force, je ne faisais que regarder autour de moi, c'est vraiment magnifique cette maison, mais c'est de l'argent sale j'imagine après tous ce que j'ai pû voir en bas, nous pénétrons dans l'une des chambres aligner dans le couloir, la chambre était extrêmement grande avec une grande lit, une commode et un dressing qui faisait la moitié de ma chambre carrément..

Jasmin: arrête de me regarder toi et déshabille toi..

Moi: mais je..ne t'ai même pas regarder je..

Elle me coupe avec une gifle qui a retentit dans toute la chambre...

Jasmin : quand je te parle tu ferme ta gueule compris ? Je ne suis pas n'importe qui moi, après le patron ici c'est moi donc tu me dois du respect sale villageoise dégoûtante..

Je reste planté là sans réagir, je ne savais que faire à part ravalé mes larmes qui étaient sur le point de coulé..

Jasmin : putinn arrête de me maté idiote et déshabille toi...

C'est en tremblant que j'enlève doucement mes habits sans enlever ma petite culotte...

Elle: enlève vite...

Voyant que j'hésite, elle se courbe puis me l'enlève de force..puis s'essuie les mains avec un torchon qui traînait dans la chambre

Elle: maintenant vas te laver tu sent très mauvais dit-elle en pinçant son nez...

Sans un mot je rentre dans la salle de bain, c'était tout autant grande que la chambre, c'était magnifique et spacieux, je me dirige vers la douche et sans réfléchir,  j'ouvris directement le robinet alors que c'est une douche qu'ont doit recommander et là mettre sur la bonne température mais bête comme je suis, je me suis presque brûlé....

Moi: AAAAAAAAH dis-je avant de courir jusqu'à la chambre où je trouve jasmin assise sur le lit concentré sur son téléphone tout en mâchant son chewing gum comme si elle ne m'avait pas entendue crier

Elle : tu as terminé ? Dit-elle sans lever la tête...

Moi: en faite non...je n'arrive pas à...

Elle : rohhhh parle...

Moi: s'il te plaît viens me montrer comment allumé vôtre truc là...

Elle ricane..

Elle : c'est ce que j'ai dit à capone, quel idée absurde d'aller dégoter une villageoise ? Puff amène ton cul..

Elle part régler ça pour moi, puis je me lave frénétiquement, je voulais enlever toutes les crasses qu'à laisser ce psychopathe sur mon corps, mais après mûre réflexions je me dis que ça ne sert à rien en faite, car ce qui m'attendais est pire que ce que Kassim m'a faite...bref après avoir fini je porte un peignoir accroché au mur avant de ressortir retrouver cette jasmin..

Elle: tient porte ça et pose toi sur le lit, il vient dans peu de temps dit-elle avant de sortir en claquant la porte me faisant sursauter par la même occasion..

Je regarde ce qu'elle m'a donné, attend est-ce qu'on peut appeler ça habit ? Des bouts de ficelles, comment je pourrais mettre un truc pareil ? Jamais hum, je  retourne dans la salle de bain puis là jete dans le cabinet puis tire la chasse d'eau même si c'était un peu difficile, elle est partie quand même...

Je retourne dans la chambre et me jette sur le lit, je n'ai même pas senti le sommeil arrivé c'est des tapes sur les fesses qui me font presque sauter au plafond..

Moi: mais t'es...

Je ravale mes mots en voyant ce capone pencher sur moi et il n'était pas content du tout..

Lui: je peux savoir pourquoi tu dors avant mon arrivé?

Moi: je..

Lui: tu te tai et où est passé la lingerie que t'es sensé porter ?

Moi(sachant pas quoi répondre): en faite..je l'ai..

Lui: oui?

Moi: je suis plus à l'aise comme ça c...c'est pourquoi je n'ai pas voulu le mettre...

Lui: ahh d'accord je vois maintenant passons aux choses sérieuses dit-il avec un sourire pervers...

Pdv de Leïla

Ça fait maintenant deux semaines que cette fille est chez nous et ne parle pas du fait de partir, au début je me suis dis qu'elle n'ai pas encore guérie de ses séquelles donc de lui laisser un peu de temps histoire de calmer les choses mais je ne vois pas de changements, sa présence me dérange beaucoup par ce que j'ai remarqué des gestes déplacé chez elle qui ne me dit rien qui vaille, en plus de ça mademoiselle est très paresseuse, moi je suis quelqu'un qui n'aime pas du tout le désordres, je suis une maniaque quand il s'agit de la propreté, elle passe la journée devant la télé ne faisant rien, ne m'aide pas à la cuisine ni rien, l'autre jour je suis rentré dans sa chambre pour nettoyer et c'était catastrophique...

Des boîtes de yaourt jeté par terre, des sachets de chips par ci par-là, des habits éparpillés un peu partout dans la chambre j'étais dépassé, je n'ai jamais vue une personne aussi bordélique même mes garçons sont plus ordonné pourtant ce sont des hommes, bref je commence le nettoyage et tout rien de suspect hein jusqu'à ce que je tombe sur l'une de mes nuisette dans son armoire, au début je me suis dis que c'est peut-être une coïncidence et qu'elle peut avoir la même que moi, mais je n'étais pas satisfaite je l'ai donc prise pour le regardé de plus près et c'était belle et bien la mienne j'étais ébahi bilahi comment, non mais comment elle a pu l'avoir ? Puisque mes effets sont dans ma chambre sauf si elle y entre sans mon autorisation mais quand? Sera t'elle capable d'entrer dans ma chambre? Elle seule peut m'éclaire...je descend à la hâte les escaliers pour là trouver devant la télé avec ma nuisette à la main..

Moi(en là tapotant l'épaule): heyii toi là...

Elle(en se tournant vers moi): oui Leïla ?

Moi: j'étais en train de nettoyer ta chambre tranquillement sans arrière pensée par ce que je n'aime pas le désordres et comme par hasard, je tombe sur ça dans ton armoire tu m'explique s'il te plaît ? Dis-je en essayant de toutes mes forces d'être calme...

Elle se lève puis se met en face de moi...

Elle: d'abord, pourquoi tu te permet de rentré dans ma chambre et de toucher mes affaires sans mon consentement ? Tu te prends pour qui?

Moi: pour la propriétaire de cette maison, cette nuisette me tient énormément à cœur, tu n'a pas le droit de me le prendre et même de rentrer dans ma chambre compris ?

Elle: je ne suis jamais entré dans ta chambre, pour qui tu me prends ? Je ne suis pas ce genre de personne je te jure que l'autre jour avec cheikh je lui est dit que j'aurais besoin des sous vêtements et ils m'en a acheté quelques unes c'est tout sinon je ne t'aurais jamais fait ça, comment aurais-je pû faire ça à une personne qui a été super gentille avec moi et m'a hébergé ? Non jamais mais si tu le veux, pas de problème prends j'en ai plusieurs t'inquiète dit-elle les yeux remplis de larmes...

Moi: non non autant pour moi et désolé pour mon comportement brute mais ses que ça y ressemble énormément d'où ce geste..

Elle: non je comprends t'en faite pas, ça arrive...

Je retourne à mes occupations la tête pleines de questions, qu'est-ce qui m'arrive ? Cette fille malgré ses défauts à vraiment l'air d'une chouette fille ,je dois sérieusement me calmer, mais c'est tellement difficile depuis ce qui s'est passé avec Mélissa et Rama, j'arrive plus à faire confiance a une inconnue mais de toute les façons je vais dire à cheikh de là faire partir au plus vite par ce que là...

Le soir je met la table puis apporte le dîner et le dessert avant de les appeler, ils viennent un a un puis nous commençons à dîner tous ça quand d'un coup je dis à cheikh...

Moi: cheikh pas de nouvelles sur Aïda ?

Cheikh : malheureusement non, même aujourd'hui j'ai contacté le commissariat pour en savoir plus et ils disent qu'ils sont toujours sur l'affaire mais c'est toujours au point zéro...

Moi: oh la pauvre je prie sincèrement pour qu'on là retrouve au plus vite...

Cheikh : inshaallah...

Moi: Sophia tu as bien dit que tu vivais à Paris non?

Elle: oui

Moi: tu dois vraiment manquer à ta Famille non? Ils ne te manquent pas eux?

Elle: oui beaucoup..

Moi: j'imagine ma belle c'est pourquoi avec cheikh ont a décidé de te payer ton billet de retour...

Cheikh me regarde cachant un sourire car n'étant pas au courant de ça mais joue quand même le jeu.

Cheikh : oui ça serait rassurant qu'ils te voient en fin après des années d'absence...

Elle nous regarde à tour de rôle puis éclate en sanglots, on t'étaient tous choqué,  c'est de la joie où de la tristesse ?

Elle: ça me touche beaucoup vôtre geste mais je ne vous aient pas tous dis sur mon compte..

Moi(pas convaincante): dis toujours..

Elle: je...suis orpheline de père et de mère, Kassim m'a rencontré dans le bar où je travaille, je n'ai ni famille,  ni amis, si je retourne à Paris je n'aurais personne, c'était Aïda ma première amie depuis que j'ai quitté la France si vous voulez,  donnez moi un peu de temps s'il vous plaît, dès qu'on là retrouve je m'en irait promis...

Silence

Silence

Silence

Qu'est ce que nous pouvons dire après cela ? Nous passons le reste de la soirée ainsi puis je monte avec cheikh et dès que je ferme la porte de notre chambre, j'attaque..

Moi: sérieux j'ai dû mal à là croire...

Lui: tu pense réellement qu'elle va mentir sur un truc aussi sérieux ?

Moi: j'en ai aucune idée cheikh mais de toute les façon j'ai du mal à gobé ça...et tu sais quoi j'ai vus l'une de mes nuisettes dans son armoire aujourd'hui tu te rends compte ? Tu me l'avais acheté pour nôtre anniversaire de mariage..

Lui: hein? Tu crois pas qu'elle peut bien avoir pareil  c'est peut-être une coïncidence non?

Moi: non non je ne suis pas bête à ce point, attend..

J'ouvre ma dressing et me dirige vers mon rayon de nuisette et commence à les défilé puis d'un coup je tombe sur la nuisette dont je parlais j'étais choqué comment est-ce possible ? Je me tourne pour faire face à cheikh le bras croisés...

Lui: tu te fais juste des idées ma belle, oublions ça vient là dit-il en me tirant vers lui..je ne savais pas que tu étais une sacré monteuse t'as besoin d'une bonne fessé..

Moi(rire): j'en serais honorer plutôt...

Je n'ai pas voulue lui dire le passage où elle m'a dit que cheikh le lui avait acheter pour ne pas envenimer les choses je crois que je ne pourrais pas gérer cette affaire là toutes seules car elle dépasse mes compétences il faut que je fasse appel à mes coéquipières (Rama, Salma,  Alima et Magui) elle ne vas rien voir venir, je vais me faire passer pour une fille bête naïve et sans cervelle...

Il me colle à lui puis commence à m'embrasser doucement, j'avais des frissons, même après tant d'années, je continue à l'aimer comme une dingue, je lui déboulonne sa chemise puis lui caresse ses abdos qui ne cesse de prendre du volume de jour en jour grâce à ses sports habituel, je lui enlève son éternel jogging et son caleçon et monsieur était déjà au rendez-vous, je vois que je lui faisais tout autant effet qu'il me fait également je lève mes yeux vers lui et lui souffle...

Moi: je t'aime...

Lui: si tu savais combien je t'aime aussi...

Je l'enfonce dans ma bouche profondément le faisant crier de surprise mais de plaisir également, je lui faisais des trucs qui le faisait chavirer, tremblé et grogner, n'en pouvant plus, il me relève puis me déshabille avant de me porter et me positionner sur lui et me pénètre doucement, il commence les vas et viens tout en me regardant dans les yeux...

Lui: t'es si belle...

Moi: c'est toi qui me rend ainsi...ton amour me rend belle...

Lui: tu me rend fou...

Moi: et toi tu me rend folle....oh shiiit

Nous passons presque toutes la nuit à s'adonner aux plaisirs de la chair jusqu'au petit matin...

Pdv externe

Aïda ne savais pas où se mettre, elle avait peur et ne savait pas comment faire, mais parfois nos gestes maladroites peuvent êtres un bienfaits pour nous ,donc capone se met déjà au dessus de Aïda et commence à lui donner des baisers sur le cou ce qui donnait à Aïda une folle envie de gerbé, il essaye en vain de lui enlever le peignoir mais c'est sans compter sur une Aïda qui le serre contre elle du coup il commence à s'énerver, il lève la mains comme pour là giflé quand d'un coups ils entendent des bruits, comme s'il y'avais une fuite dans la chambre, capone regarde par dessus son épaule et effectivement c'était le cas, de l'eau sortait abondamment de sa salle de bain, il sauta sur ses jambes tandis que Aïda s'assoit correctement l'air perdue...

Il descend en bas en toutes vitesse puis fait appel à son plombier, qui n'a pas tarder a vérifier ce qui clochait vraiment, après quelques minutes, il constate qu'il y'avait quelques choses de coincé à l'intérieur, il fait donc entré son outil de travail à l'intérieur pour là faire sortir et bingo il là pris entre les mains en le montrant à capone et Aïda qui était derrière lui ...

Capone (en là regardant sévèrement): grrrrrrrr putiiiin

Aïda(en avalant difficilement): je....oupsss.

Avec Aïda nôtre cœur bas plus fort, je crois que capone verra de toutes les couleurs avec une Aïda qui faisait des gaffe maladroitement et innocemment...